Jean Harlow
(1911 - 1937)
actrice américaine
L'idole de Marilyn
american actress
The Marilyn idol
Jean Harlow, de son vrai nom Harlean Carpenter, naît le 3 mars 1911 à Kansas City, dans le Missouri. Elle est la fille unique d'un père dentiste, Montclair Carpenter, et d'une mère issue de la bonne société locale, qui s'appelle Jean Harlow. Harlean n'a que neuf ans quand ses parents divorcent et elle ne reverra dès lors que très peu son père. Harlean est alors recueillie par ses grands parents maternels et élevée dans les meilleurs écoles de la ville, tandis que sa mère, partie à Chicago sous prétexte d'y trouver un travail, y mène en réalité une joyeuse vie et ne tarde pas à se remarier avec un gigolo notoire, Marino Bello, un sicilien.
Jean Harlow, whose real name is Harlean Carpenter, was born on March 3, 1911 in Kansas City, Missouri. She is the only daughter of a dentist father, Montclair Carpenter, and a mother from the good local society, named Jean Harlow. Harlean is only nine years old when her parents divorce and she would hardly ever see her father again. Harlean is then taken in by her maternal grandparents and raised in the best schools in the city, while her mother, who leaves for Chicago on the pretext of finding a job, actually leads a happy life there and soon remarries. with a notorious gigolo, Marino Bello, a Sicilian.
En 1926, sa mère (photo ci-contre) est de retour avec son nouveau mari qui désormais prend en charge l'éducation d'Harlean, âgée de quinze ans. En fait, il envoie la jeune fille en pension à Lake Forest, dans l'Illinois. Loin de sa famille, Harlean, seule et triste, se sent abandonnée. De retour à Kansas City, la beauté d'Harlean ne laisse personne indifférent: un teint de pêche, de grands yeux bleus, des cheveux d'un blond pâle naturellement bouclés, une liberté de ton et d'esprit qui la font exclure, en mars 1927, de la très sélecte école de Ferry Hall. Harlean, qui était alors âgée de 16 ans, avait fugué pour épouser à Chicago, l'un de ses chevaliers servants rencontré dans un bal, Charles F. Mac Grew, âgé de 21 ans. Le jeune homme, fils de banquier, était riche. Mais Harlean avait surtout trouvé là un moyen d'échapper à l'emprise de sa mère, trop protectrice et très religieuse. Cependant, sa mère parviendra à séparer les deux époux et Harlean divorcera l'année suivante.
In 1926, her mother (photo opposite) is back with her new husband who now supports the education of Harlean, aged fifteen. In fact, he sends the girl to boarding school in Lake Forest, Illinois. Far from her family, Harlean, alone and sad, feels abandoned. Back in Kansas City, Harlean's beauty leaves no one indifferent: a peachy skin, big blue eyes, naturally curly pale blond hair, a freedom of tone and spirit that makes her exclude, in March 1927, from the very select Ferry Hall school. Harlean, then 16 years old, has run away to marry in Chicago, one of her servant knights met at a ball, Charles F. Mac Grew, 21 years old. The young man, the son of a banker, is rich. But most of all, Harlean has found a way out of the grip of her mother, who is too protective and very religious. However, her mother will manage to separate the two spouses and Harlean will divorce the following year.
Ayant toujours autant de succès auprès de la gente masculine lorsqu'elle se ballade dans la rue, Harlean prend conscience de sa sensualité et, poussée par sa mère, elle part à Hollywood tenter sa chance bien qu'elle n'ait jamais prit de cours de comédie. Elle entre sur les plateaux de cinéma en faisant beaucoup de figurations (dont l'un des chefs d'oeuvres de Charles Chaplin "City Lights") jusqu'à ce qu'elle tourne la scène qui va la faire remarquer; c'est en 1929 dans une scène gag de "Double Whoopee" un film de et avec Laurel et Hardy, le duo comique le plus célèbre des Etats-Unis: une jeune fille blonde coince sa robe dans un taxi qui redémarre aussitôt et la belle se retrouve en combinaison noire sur le trottoir. Lors de la sortie du film, Olivier Hardy déclare qu' "elle n'a pas de soutien-gorge, c'est sa publicité". Du jour au lendemain, alors qu'elle n'a que 18 ans, elle devient célèbre sans tarder à changer de nom en prenant le nom de sa mère, Jean Harlow. Laurel et Hardy la recommandent à Arthur Landau, chargé de recruter une actrice pour le film d' Howard Hughes, Hell's Angels. Les journalistes ne retiennent pas son talent d'actrice mais le physique et la plastique de cette blonde platine attire les regards. Le film est un triomphe et Jean Harlow devient une star. Elle signe un contrat avec Howard Hughes (photo ci-contre), qui sera l'un de ses nombreux amants.
Still having such success with men when she walks in the street, Harlean becomes aware of her sensuality and, pushed by her mother, she goes to Hollywood to try her luck although she has never taken theatre lessons. She enters in the world of cinema doing a lot of figurations (including one of Charles Chaplin's masterpieces "City Lights") until she shoots the scene that will get her noticed; it is in 1929 in a scene gag of "Double Whoopee" a film of and with Laurel and Hardy (photo opposite), the most famous comic duet of the United States: a young blonde girl wedges her dress in a taxi which restarts immediately and the beautiful blond is found in black overalls on the sidewalk. When the film comes out, Olivier Hardy declares that "she doesn't have a bra, that's her publicity". Overnight, although she is only 18, she quickly become famous by changing her name, by taking the name of her mother, Jean Harlow. Laurel and Hardy recommend her to Arthur Landau, who is in charge of recruiting an actress for Howard Hughes' film "Hell's Angels". The journalists do not retain her talent as an actress but the physique and the figure of this platinum blonde attracts attention. The film is a triumph and Jean Harlow becomes a star. She signs a contract with Howard Hughes, who will be one of her many lovers.
Engagée ensuite par la MGM, elle tourne beaucoup: The secret six (de George W. Hill), avec Clark Gable, The Public Enemy (de William Wellman) et Iron Man (de Tod Browning). Elle tourne ensuite Goldie (de Benjamin Stoloff) pour la Fox; puis Three Wise Girls (de William Beaudine) et Platinum Blond (de Frank Capra) pour la Columbia. Les critiques la descendent en flammes -la désignant de "tristement suffisante" ou encore en pointant sa voix qui ne plaît pas à ces journalistes- mais elle plaît au public qui lui fait un triomphe et se précipite pour voir ses films. Les hommes sont amoureux d'elle et les américaines sont nombreuses à copier sa coiffure: décoloration en blonde platine et cheveux crantés. Les mauvaises langues déclarent qu' "elle est le sexe incarné et rien ne se vend mieux !" et Jean d'en rajouter en portant des tenues légères, laissant entrevoir sa poitrine, lors des conférences de presse ou des premières de films.
Under contract with MGM, she makes a lot of films: The secret six (by George W. Hill), with Clark Gable, The Public Enemy (by William Wellman) and Iron Man (by Tod Browning). She then shoots Goldie (by Benjamin Stoloff) for 20th Century Fox; then Three Wise Girls (by William Beaudine) and Platinum Blond (by Frank Capra) for Columbia. Critics brings her down in flames - designating her as "sadly sufficient" or even pointing to her voice which doesn't please these journalists - but she appeals to the public who makes her a triumph and rushes to see her films. Men are in love with her and many American women copy her hairstyle: platinum blonde discoloration and notched hair. Evil tongues declare that "she is sex embodied and nothing sells better !" and Jean to add some by wearing light clothes, revealing his chest, during press conferences or film premieres.
Riche, célèbre, adulée, sa vie privée est pourtant un désastre. Sa mère et son gigolo de mari s'installent chez elle et lui soutirent tout son argent. De plus, Jean apprend qu'elle est stérile. Mais le pire est à venir: en 1931, elle rencontre le producteur Paul Bern (de la MGM), qui a 20 ans de plus que Jean. Le 2 juillet 1932, elle l'épouse (photo ci-contre) mais le soir du mariage, elle téléphone affolée à son agent Arthur Landau pour qu'il vienne la chercher. Il la retrouve en larmes, enveloppée dans un peignoir, couverte de bleus et de morsures, le dos ensanglanté. Son mari, impuissant, l'a sauvagement cravachée. On raconte qu'à la vue du petit sexe de son mari lors de cette nuit de noces, Jean se serait mise à rire, ce qui aurait provoqué la rage folle et incontrôlable de Bern. Soignée dans le plus grand secret, elle reprend tout de même la vie commune avec Bern jusqu'au 4 septembre 1932 où, nu devant le miroir, il se tire une balle dans la tête, laissant une lettre d'adieu en guise de note de suicide. Le scandale est énorme et Jean se console en multipliant les aventures, dont Bugsy Siegel, un parrain de la mafia de New York.
à gauche: Jean et Paul Bern
au milieu: note de suicide de Paul Bern
à droite: Jean à l'enterrement de Paul Bern
Rich, famous, adored, her private life is a disaster. Her mother and her husband gigolo move in at her home and get all of her money. Moreover, Jean learns that she is sterile. But the worst is yet to come: in 1931, she meets producer Paul Bern (of MGM), who is 20 years older than Jean. On July 2, 1932, she married him (photo opposite) but on the evening of the wedding, she phones in panic to her agent Arthur Landau so that he could come and get her. He finds her in tears, wrapped in a bathrobe, covered with bruises and bites, her back bloodied. Her helpless husband brutally whippes her. It is said that at the sight of her husband's small penis on that wedding night, Jean would have laughed, which would have provoked Bern's mad and uncontrollable rage. Cared for in the greatest secrecy, she nevertheless resumes living together with Bern until September 4, 1932 when, naked in front of the mirror, he shoots himself in the head, leaving a farewell letter as a note of suicide. The scandal is enormous and Jean consoles herself by multiplying the adventures, including Bugsy Siegel, a godfather of the New York Mafia.
Elle tourne à nouveau avec Clark Gable dans Red Dust (de Victor Fleming) et Hold your hand (de Sam Wood), qui sont deux films où sa performance sera enfin saluée par la critique. Lors du tournage de Dinner at eight (de George Cukor) en 1933, elle fait la connaissance de Harold Rosson, un caméraman (photo ci-contre). Ils se marient en secret mais divorceront l'année suivante. En 1935, elle tombe amoureuse de son partenaire dans Reckless, l'acteur William Powell. Elle retrouve à nouveau Clark Gable pour China Seas (de Tay Garnett), Wife vs secretary (de Clarence Brown) et Saratoga (de Jack Conway) qui sera son dernier film.
She makes again a movie with Clark Gable in Red Dust (by Victor Fleming) and Hold your hand (by Sam Wood), which are two films where her performance will finally be acclaimed by critics. During the filming of Dinner at Eight (by George Cukor) in 1933, she met Harold Rosson, a cameraman (photo opposite). They marry in secret but will divorce the following year. In 1935, she fell in love with her partner in Reckless, actor William Powell. She meets again Clark Gable for China Seas (by Tay Garnett), Wife vs secretary (by Clarence Brown) and Saratoga (by Jack Conway) which will be her last film.
En janvier 1937, lors de la fin du tournage de Personal Property (de WS Van Dyck), Jean attrape la grippe qui la force à prendre du repos mais elle refuse tout traitement, d'autant plus qu'un nouveau tournage l'attend, celui de Saratoga. La maladie qui va l'emporter commence à faire des ravages sur sa santé et touche peu à peu ses fonctions rénales: elle souffre horriblement, allant même jusqu'à se faire arracher les dents qui lui font souffrir. Il se pourrait que ses reins étaient affaiblis suite aux coups que lui avaient portés violemment Paul Bern, son second époux. La souffrance est tellement insupportable, qu'elle doit faire des pauses toutes les 10 minutes sur le tournage et un soir, elle s'évanouit dans les bras de Clark Gable. Le tournage est suspendu et Jean part se reposer auprès de sa mère qui, devenue scientiste, exerce une tyrannie sans faille, refusant tout soins médicaux à sa fille prétextant que la prise de médicaments est un pêché et que le seul remède est la prière. Jean, à bout de force, n'a plus aucun contact avec l'extérieur: sa mère la garde en effet enfermée dans sa chambre, ne laissant personne entrer dans la maison. Clark Gable prévoit d'enlever Jean; c'est finalement son agent, Arthur Landau et des médecins qui l'enlèvent de force, pour la faire hospitaliser.
In January 1937, at the end of the shooting of Personal Property (by WS Van Dyck), Jean catches the flu which forces her to take rest but she refuses any treatment, especially as a new shoot awaits her, that of Saratoga. The disease that will take her begins to wreak havoc on her health and gradually affects her kidney functions: she suffers horribly, even going so far as to have her teeth pulled out, which makes her suffer. It could be that his kidneys were weakened from the beating violently inflicted on her by Paul Bern, her second husband. The suffering is so unbearable that she has to take breaks every 10 minutes on the set and one evening she passes out in Clark Gable's arms. The shooting is suspended and Jean leaves to rest with her mother who, now a scientist, exercises an unfailing tyranny, refusing all medical care to her daughter on the pretext that taking medication is a sin and that the only remedy is prayer. Jean, at the end of his strength, no longer has any contact with the outside world: her mother keeps her locked in her room, not allowing anyone to enter the house. Clark Gable plans to kidnap Jean; it is finally her agent, Arthur Landau and doctors who remove her by force, to have her hospitalized.
Mais il est trop tard et Jean Harlow décède d'une crise d'urémie le le 7 juin 1937. Une doublure sera engagée et filmée de dos pour terminer le film. Ses obsèques seront suivies par des centaines de personnes et tous ceux qui l'ont connu auront un immense chagrin, déclarant que Jean était une personne gentille et généreuse. Jean Harlow avait 26 ans elle est morte de ne pas s'être soignée. Sa mère ne se sentira jamais responsable, elle inaugurera un musée sur sa fille et dilapidera la fortune de son "bébé" chéri.
But it is too late and Jean Harlow dies of a uremic attack on June 7, 1937. A stand-in and body double will be engaged and filmed from behind to finish the film. Her funeral will be attended by hundreds of people and everyone who knew her will be grieved, declaring that Jean was a kind and generous person. Jean Harlow was 26 years old and died from not being treated. Her mother will never feel responsible, she will inaugurate a museum on her daughter and squander the fortune of her darling "baby".
>> Voir l'album photos Jean Harlow
En 1965, deux films biopics sur la vie de Jean Harlow verront le jour:
In 1965, two biopics films on the life of Jean Harlow will be released:
Harlow de Alex Seagel
avec Carol Lynley (dans le rôle de Jean Harlow)
et Betty Grable (dans celui de la mère)
Harlow, la blonde platine, de Gordon Douglas,
avec Carroll Baker (Jean Harlow),
Raf Vallone, Peter Lawford
(le blog: voir l'article sur Carroll Baker )
>> Jean vs Marilyn <<
Enfant, la petite Norma Jeane Baker (future Marilyn Monroe) était fascinée par Jean Harlow, s'amusant souvent à mettre ses mains dans les empreintes de Jean sur les trottoirs d' Hollywood. Devenue célèbre, Marilyn prévoyait tourner dans le film biopic consacré à son idole et aurait même rencontrer la mère de Jean Harlow. Elle parvint tout de même à se mettre dans la peau de Jean, le temps d'une séance photo de Richard Avedon en 1958 (voir la séance photos sur le blog). On remarque beaucoup de similitudes entre les vies des deux actrices, mais aussi sur certaines photographies, dans leurs attitudes, leurs poses, leurs mimiques. La presse magazine s'amusait à l'époque à comparer Marilyn à Jean Harlow (comme Focus ou encore Pin-Ups ). Voici un petit florilège d'anecdotes et de photos de ce comparatif Marilyn VS Jean.
As a child, little Norma Jeane Baker (future Marilyn Monroe) was fascinated by Jean Harlow, often having fun putting her hands in Jean's prints on the sidewalks of Hollywood. Becoming famous, Marilyn planned to shoot in the biopic film devoted to her idol and would even meet Jean Harlow's mother. She still managed to put herself in Jean's figure, the time of a photo shoot by Richard Avedon in 1958 (see the photoshoot on the blog). We notice a lot of similarities between the lives of the two actresses, but also in certain photographs, in their attitudes, their poses, their mimicry. The magazine press was amused at the time by comparing Marilyn to Jean Harlow (like Focus or Pin-Ups). Here is a small anthology of anecdotes and photos of this Marilyn VS Jean comparison.
Le père: Jean Harlow avait neuf ans quand ses parents ont divorcé et dès lors, elle n'a que très peu revu son père. Quand à Marilyn, elle n'a jamais connu son père. Devenues adultes, les deux femmes chercheront dans leur relation avec les hommes, l'image du père. Jean nommera William Powell "Poppy" qui en retour, l'appelera "Baby"; Marilyn appellera Arthur Miller "Daddy".
The father: Jean Harlow was nine years old when her parents divorced and since then she saw her father very little. As for Marilyn, she never knew her father. As adults, the two women will seek in their relationship with men, the image of the father. Jean will name William Powell "Poppy" who in return will call her "Baby"; Marilyn will call Arthur Miller "Daddy".
Premier mariage à 16 ans pour Jean comme pour Marilyn. Elles se sont mariées trois fois et ont divorcé pour chacune de leur union.
First marriage at 16 for Jean as for Marilyn. They married three times and divorced for each of their union.
L'adoption: stérile, Jean avait le projet d'adopter un jour un enfant. Tout comme Marilyn qui a rencontré de nombreuses difficultés à avoir un bébé, avait visité un orphelinat l'année de sa mort.
Adoption: sterile, Jean had the project to adopt a child one day. Just like Marilyn who encountered many difficulties in having a baby, had visited an orphanage the year of her death.
Sex-appeal: leurs tenues choquaient certaines âmes prudentes et bien pensantes de l'Amérique puritaine, et elles ne portaient pas de sous vêtement sous leurs robes. Les critiques ne furent pas toujours élogieuses concernant leur talent.
Sex appeal: Their outfits shocked some cautious and well-meaning souls of Puritan America, and they wore no undergarments under their dresses. Reviews weren't always positive about their talent.
Howard Hughes: il engagea Jean Harlow dans son film Hell's Angels en 1930 qui a lancé sa carrière; il aurait aimé engagé Norma Jeane après avoir vu une photo d'elle dans un magazine pendant sa convalescence à l'hôpital en 1946.
Howard Hughes: he hired Jean Harlow in his film Hell's Angels in 1930 which launched his career; He would have liked to hire Norma Jeane after seeing a photo of her in a magazine while recovering in hospital in 1946.
Ben Lyon: il fut l'acteur partenaire de Jean Harlow dans Hell's Angels en 1930; Devenu cadre à la Fox, il fit passer les premiers bouts d'essais à Norma Jeane en 1946.
Ben Lyon: he was the partner actor of Jean Harlow in Hell's Angels in 1930; Becoming an executive at Fox, he gave the first bits of testing to Norma Jeane in 1946.
Clark Gable: il fut le partenaire de nombreux films avec Jean Harlow et surtout dans son dernier film Saratoga; il fut le partenaire du dernier film achevé de Marilyn, The Misfits.
Clark Gable: he was the partner of many films with Jean Harlow and especially in his last film Saratoga; he was the partner of Marilyn's last completed film, The Misfits.
George Cukor: il dirigea Jean Harlow dans Dinner at eight en 1933; il dirigea Marilyn dans Let's make love (1960) et Something's got to give (1962).
George Cukor: he directed Jean Harlow in Dinner at eight in 1933; he directed Marilyn in Let's make love (1960) and Something's got to give (1962).
William Powell: partenaire (et dernier amour) de Jean dans Reckless et Libeled Lady; partenaire de Marilyn dans How to marry a Millionnaire.
William Powell: partner (and last love) of Jean in Reckless and Libeled Lady; partner of Marilyn in How to marry a Millionnaire.
Cary Grant: partenaire de Jean dans Suzy; partenaire de Marilyn dans Monkey Business.
Cary Grant: Jean's partner in Suzy; Marilyn's partner in Monkey Business.
Une mort prématurée: Jean est décédée à l'âge de 26 ans et Marilyn à 36 ans, laissant le tournage de leur dernier film inachevé (terminé par une doublure pour Jean). William Powell, comme Joe DiMaggio, faisait fleurir chaque semaine les tombes de leurs amours perdus.
An untimely death: Jean died at the age of 26 and Marilyn at 36, leaving the shooting of their last film unfinished (ended with a body double for Jean). William Powell, like Joe DiMaggio, made the graves of their lost loves bloom every week.
>> Sources web:
-biographie de Jean Harlow sur wikipedia
-le site officiel sur jeanharlow.com
-site de fan sur classic movie favorites
-site de fan sur Platinum Page
-blog Platinum Blog
-le film Harlow sur imd
-le film Harlow, la blonde platine sur imdb
-blog myspace Jean the queen
-photos créditées sur gettyimages
-photos HQ sur doctormacro
-photos sur The Fashion Spot
-galleries photos sur fanpix
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