A la TV - Soirée Marilyn sur arte
Programme Télé
Jeudi 1er janvier 2009 - 21h00 - Arte
Pas de Rediffusion
Cinéma Film - Certains l'aiment chaud
Durée: 116 minutes
Réalisation: Billy Wilder
Année: 1959
Distribution et rôles : Marilyn Monroe, Tony Curtis, Jack Lemmon...
Résumé: Rythme échevelé, dialogues incisifs, mise en scène virtuose et trio génial (Marylin Monroe, Tony Curtis, Jack Lemmon). Un pur moment de bonheur pour clore le cycle "Elle ou lui ?".
Chicago 1929. Joe et Jerry, deux musiciens au chômage, obtiennent un contrat pour le bal de la Saint-Valentin. Cela fait d'eux, malheureusement, les seuls témoins d'un règlement de comptes entre deux bandes rivales. Le chef de l'une d'entre elles, Spats Colombo, les a repérés et veut les éliminer. Pour lui échapper, les deux compères se déguisent en femmes et se font engager dans un orchestre exclusivement féminin, en partance pour la Floride. Joe a du mal à résister aux appas de la belle "Sugar Cane". Jerry n'est pas en reste, mais il excite quant à lui la convoitise d'un vieux milliardaire...
A propos du film : Comme l'explique la dernière et fameuse réplique de "Certains l'aiment chaud": "Personne n'est parfait!" Cette comédie, pourtant, est presque parfaite. Le rythme ne souffre d'aucun contretemps, d'aucune longueur, le scénario est une merveille d'esprit et de rebondissements élégants, l'image dans un noir et blanc intemporel donne à ce Miami de carton pâte un halo magique et le duo comique brillantissime se compose de deux des plus grands acteurs de l'époque Tony Curtis et Jack Lemmon (particulièrement drôle et inspiré en travesti dans le rôle de Daphné). Enfin, dans le rôle de Sugar Kane, la joueuse de ukulélé naïve et un peu pompette, une légende ultime: Marilyn Monroe plus belle, lumineuse et ondulante que jamais. Tony Curtis aura beau dire en parlant des retards et des caprices de la star que l'embrasser revenait à embrasser Hitler, ce film ne vieillit pas plus que la grâce de cette blonde mythique. Billy Wilder au sommet de son génie.
>> Source: résumé et article sur arte.tv
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Jeudi 1er janvier 2009 - 22h55 - Arte
Pas de Rediffusion
Documentaire - Marilyn, divine et fragile
Documentaire
Année: 1996
Durée: 90min
Réalisateur: Bill Harris
Production Pays: Etats-Unis
Présentation: Un portrait délicat de la femme et de l'icône Marilyn Monroe, illustré par des archives et de nombreux extraits de films.
Depuis des décennies, elle incarne à la fois un emblème de l'Amérique, un sex-symbol et une légende hollywoodienne. Et derrière sa gloire cinématographique, brille le halo fragile d'une femme peu sûre d'elle, éternellement assoiffée d'amour et de reconnaissance, disparue à 36 ans. Dans des circonstances mal éclaircies, qui ont encore ajouté à son mystère, l'enfant la plus connue de l'Amérique meurt d'une overdose de somnifères, un soir de solitude. Ce documentaire rend hommage à la femme et au mythe, notamment grâce à des interviews de son premier mari James Dougtery, de sa doublure Evelyn Moriarty et d'autres proches tels que la journaliste féministe Gloria Steinem, les comédiens Susan Strasberg (fille du fondateur de l'Actor's Studio) et Don Murray, son biographe Donald Spoto. Le film raconte ainsi toute l'histoire de Norma Jean Baker, alias Marilyn : sa jeunesse triste dans les arrière-cours de l'industrie du cinéma, son ascension de top model, sa transmutation en acrice blonde platine à la silhouette parfaite, travaillant avec acharnement. Et en marge de la carrière, les blessures de l'existence, des trois mariages successifs aux innombrables amants, avant le naufrage final.
>> Source: résumé sur arte.tv
La Mort de Marilyn
La mort de Marilyn
A l'aide A l'aide
A l'aide je sens la vie
S'approcher
Quand moi je ne veux que mourir
(Marilyn Monroe, 1958)
La conclusion de Don Wolfe, auteur de " Marilyn Monroe, Enquête sur un assassinat " (1998) est définitive: Il y a 40 ans, dans la nuit du 4 août 1962, la plus grande star du cinéma américain, Marilyn Monroe fut assassinée dans sa demeure au 12305 5th Helena Drive. Elle implique Bobby Kennedy et tout un réseau de témoins, des proches de l'actrice qui se sont tus pendant des décennies. Poursuivant les recherches du journaliste de la BBC, Anthony Summers dont les révélations firent grand bruit en 1985 (" Les vies secrètes de Marilyn Monroe "), Don Wolfe relate et explique la vérité froide d'un des crimes les plus odieux de ce xxème siècle à la lumière de témoignages fracassants qui se sont encore égrenés pendant plus de 15 ans jusqu'en 1998.
Depuis 1962, les autorités américaines ont toujours refusé la moindre enquête à propos du décès de l'actrice. " Suicide probable " aux barbituriques reste la mention convenue immuable. Alors qu'une foule d'irrégularités s'est produite à la suite de la découverte du corps, des détails étranges ont été mis de coté, des invraisemblances se sont accumulées, des témoins se sont rétractés. Ainsi l'actrice serait morte enfermée dans sa chambre, dans son lit, absorbant sans verre d'eau (aucune trace sur les lieux) de 27 à 42 comprimés de Nembutal, 12 à 23 comprimés d'hydrate de chloral et entre 11 et 24 comprimés supplémentaires de Nembutal pour expliquer la concentration que l'on a retrouvée dans le foie. Il n'existe pas dans le monde un seul exemple de cas ayant ingéré plus de 12 comprimés sans que l'on retrouve des résidus dans le tube digestif : L'autopsie du corps de Marilyn opérée le 5 août 1962 par le médecin légiste le Dr Noguchi n'en révéla aucun, ni même de cristaux réfringents, aucune concentration de barbiturique dans l'estomac ni les intestins. La concentration dans le sang de pentobarbital et d'hydrate de chloral associés était telle qu'il est impossible que Marilyn Monroe ait pu prendre par voie orale ces comprimés : Elle serait morte après avoir ingéré 35% de la prise globale. Marilyn Monroe est bien décédée d'une injection.
La médecine mettra aussi en évidence que le corps de Marilyn a été déplacé, une double lividité cadavérique prouve qu'elle n'est pas morte sur le ventre comme on l'a retrouvée mais sur le dos.
On le sait aujourd'hui Marilyn Monroe a rendu l'âme aux alentours de 22h30 le 4 août soit environ 6 heures avant que l'on ne prévienne la police. Entre temps les actants du meurtre avaient eu tout le temps nécessaire de disparaître et les témoins, accaparés par l'idée de cacher la vérité, de mettre au point leur propre version des faits. Don Wolfe, Anthony Summers et d'autres encore, dont Jack Clemmons (le premier flic sur les lieux du drame) ont travaillé sans relâche pendant des années afin d'établir le scénario de la nuit du 4 août 1962 et arracher les moindres éléments de vérité à l'entourage de Marilyn. Les témoins qui avaient menti ou caché la vérité révélèrent au fil des années des détails qui, une fois rassemblés, permettaient de reconstituer le puzzle. Mais davantage les journalistes et détectives retrouvèrent trois témoins clés jamais intérrogés qui avaient vécu le drame.
En 1982, James Hall affirma avoir été appelé à se rendre d'urgence à la demeure de Marilyn Monroe alors qu'il était ambulancier en 1962. Hall était accompagné à l'époque de son collègue Murray Leibowitz retrouvé seulement en 1993 et qui confirma tout. Ils avaient été accueillis par Pat Newcomb (amie et attachée de presse de Marilyn) survoltée et paniquée au 12305 5th Helena Drive dans le petit pavillon. Marilyn gisait sur son lit à moitié morte. Ils déplacèrent Marilyn dans le petit salon pour une séance de réanimation qui nécessitait de la place et le dos au sol.
Au moment où les réanimateurs réussissaient leur entreprise et étaient sur le point de chercher le brancard, Ralph Greenson (le psy de Marilyn) leur imposa de faire du bouche à bouche à la mourante sans succès. Dans son élan, le Dr Greenson tenta une injection intracardiaque d'adrénaline directement dans le cœur. Ayant touché une côte et au lieu de ressortir l'aiguille, il persista. Marilyn mourut à cet instant.
En 1993, les enquêteurs retrouvèrent également Norman Jefferies alors très malade mais qui fut présent pendant toute la journée du 4 août 1962 chez Marilyn. Proche de Mrs. Murray, il était affecté à des travaux dans la maison de la star et il confirma le témoignage de Hall. Mais surtout il avait aussi été le témoin de la venue de Bobby Kennedy et de l'acteur Peter Lawford chez Marilyn dans l'après midi. Confirmée par des enregistrements d'un détective privé (Marilyn était sur écoute) la rencontre fut violente, Marilyn en colère à l'encontre de l'attorney, il y eut des coups.
Plus tard dans la soirée entre 21h30 et 22h, Robert Kennedy accompagné de deux hommes retournèrent chez Marilyn. Jefferies témoigne qu'il lui a été sommé ainsi qu'à Mrs Murray de déguerpir. Inquiets, les deux rejetés allèrent chez des voisins de l'actrice. Une demi-heure plus tard, en revenant au 12305 5th Helena Drive, ils découvrirent Marilyn nue sur le divan.
" J'ai cru qu'elle était morte, déclara Jefferies. Elle était sur le ventre, une main tenant plus ou moins le téléphone. Je n'avais pas l'impression qu'elle respirait et elle avait une couleur affreuse ". Mrs. Murray appela une ambulance. Puis elle appela le Dr Greenson qui vint immédiatement ainsi que le Dr Engelberg.
Comme l'écrit Don Wolfe dans son ouvrage: " Tout porte à croire à un crime prémédité. Marilyn reçut une injection en présence de Bobby Kennedy et la dose était assez forte pour tuer quinze personnes ".
Les mobiles de Kennedy à l'encontre de Marilyn étaient nombreux: L'actrice était à la fois un lien entre lui, son frère (Marilyn fréquentait aussi John, le Président) et la mafia. Elle connaissait des secrets d'Etats de la plus haute importance. Dans les derniers mois de sa vie, Marilyn Monroe était devenue une amoureuse hystérique, harcelant la Maison Blanche de coups de téléphone furieux, enragée d'être rejetée. La " blonde stupide " était également une femme au journal intime menaçant qui avait laissé planer à de nombreux proches combien elle était capable de se rebeller. Marilyn dont le goût pour les médicaments mélangés à de la vodka était connu et qui avait plusieurs fois attenté à sa vie sans succès (souvent sauvée de justesse) donnait un alibi tout indiqué à ses meurtriers. En 1962, après sa mort et croyant au suicide, nombreux de ses amis dirent combien ils n'étaient guère étonnés de sa disparition. Beaucoup avaient vécu les coups de fils de l'actrice dépressive à 3 heures du matin ou encore ses états d'ébriété tels qu'il fallait être vigilant, la surveiller, s'occuper d'elle comme une enfant. Paradoxe que cette mort monstrueuse pour cette femme si douce en réalité, dont Arthur Miller, qui fut son mari, disait : " Si l'on veut vraiment comprendre Marilyn, il faut la voir avec des enfants ; Les enfants l'aiment à la folie ; elle se comporte comme eux, envers la vie : la même simplicité, les mêmes attitudes directes ".
Une enfant qui jouait dans la cour des grands et qui fut broyée par " la raison d'état ".
Olivier Bombarda
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Ouvrages :
Don Wolfe, "Marilyn Monroe Enquête sur un assassinat".
chez Albin Michel
Anthony Summers, "Les vies secrètes de Marilyn Monroe".
Edition J'ai Lu (poche)
"Une nuit avec Marilyn" de Douglas Kirkland
Etonnant livre que celui-ci, entièrement consacré à une séance photographique de Douglas Kirkland avec Marilyn Monroe, un soir de novembre 1961, soit huit mois avant la disparition de la Star.
Kirkland travaille alors pour le magazine Look qui fête ses 25 ans et veut réaliser un numéro spécial anniversaire avec Marilyn. Celle-ci accepte mais impose le décor: Un lit et des draps de soie blancs. 60 photos inédites sont publiées ici, mettant en exergue l'extrême douceur et la sensualité de Marilyn. Kirkland raconte cette nuit peu ordinaire dans un texte très émouvant. D'autres clichés en noir et blanc nous donnent à voir le contexte de la séance.
On sait que Marilyn fut certainement la Star la plus photographiée au monde. Cependant au fil des pages de cet ouvrage, on est surpris de retrouver encore des visages et des pauses que l'on ne lui connaissait pas. On y retrouve même, par endroit, la Norma Jeane de ses débuts.
Le lecteur partage alors littéralement la fascination du photographe pour cette Marilyn aux multiples facettes.
"Une nuit avec Marilyn", parution le 3 octobre 2002 chez ALBIN MICHEL
>> Source: article et photos en ligne sur arte.tv
Edité le : 12-12-08
Dernière mise à jour le : 17-12-08
Joyeux Noel 2008
Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'années
Joyeux Noël 2008
sources:
montage Marilyn: creation Chantal sur Marilyn Monroe Wallpapers
paysage noël: creation franie sur lecoindefranie
Arte Magazine, 27/12/2008
Arte Magazine
n°01
pays: France
parution: 27 décembre 2008
Marilyn Monroe en couverture
+ article "Certains l'aiment chaud" + "Marilyn Divine et Fragile"
art - peintures aquerelles par Cave
Aquarelles de Marilyn Monroe par Cave
>> source: allez sur saint-montan pour commander
Guide Le Figaro 11/12/2008
Marilyn Monroe en couverture du Guide Le Figaro, le supplément du Figaro, le 11 décembre 2008; avec à l'intérieur, une autre photo de Marilyn coupe de champagne à la main, prise par George Barris.
Première décembre 2008
Dans le magazine Premiere numéro 382, du mois de décembre 2008 (avec Scarlett Johansson en couverture) titre sur sa Une: "MARILYN Dix photos inédites": avec un article de 8 pages est consacré à Marilyn Monroe, avec publication de photographies de Georges Barris. En cadeau: un tee-shirt homme collector converse. Parution: 6/12/2008.
Prix: 3,5 Euros. (scans perso).
>>Commandez-le en ligne sur journaux.fr
Calendrier La Poste 2009
Exit les chatons, animaux de ferme ou paysages bucoliques, cette année, demandez à votre facteur le calendrier de Marilyn Monroe ! Avec des photographies noir et blanc de Sam Shaw. Excellente idée de La Poste, cependant le calendrier n'est pas disponible dans toutes les communes, parfois même introuvable. Des petits malins le mettent déjà aux enchères sur ebay, mais je vous conseille plutôt de l'acheter sur Price Minister , pour 4 Euros ( + les frais de port à 2,90 Euros), il vous sera livré en 48 heures.
Long Beach Press Telegram
Article d'une page et demie consacré à Marilyn Monroe dans le Long Beach Press Telegram de 1951. Intitulé "The fact about Miss Cheesecake: Marilyn is the two girls" (Miss Cheesecake, "Miss Fromage" en français, est le prix qu'elle reçut en 1951), l'article montre les deux facettes de Marilyn: d'un côté, une beauté bien faite surnommée la "Miss Bombe Atomic", et de l'autre côté, une bosseuse intellectuelle, qui prend des cours de littérature à l'Université de Californie, fréquente régulièrement les librairies, écrit des poèmes et écoute Mozart, Beethoven et Louis Armstrong.
Gif Nickolas Murray (2) - TNBLSB
Gif - image animé- de Marilyn Monroe
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