04 mai 2013

Bus Stop caps 13

Arrêt d'Autobus
Captures
 
13ème partie des captures du film 

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Les critiques de The Seven Year Itch

Sept ans de réflexion
Lecritiques 

The New York Times
Miss Monroe apporte à ce film une touche personnelle et un je-ne-sais quoi de tangible (...) Dès le moment où elle apparaît dans le film, vêtue d'une robe qui drape ses jolies formes comme si une main experte l'avait moulée dedans, il n'émane plus de la fameuse vedette de l'écran aux boucles blond argent et aux yeux candidement écarquillés, qu'une seule suggestion, une suggestion que l'on retrouve tout au long du film. Faut-il le préciser ? Miss Monroe, de toute évidence, joue le rôle principal.

The New Yorker
Ce film offre des vues stimulantes de Marilyn Monroe, succédané du comique que George Axelrod avait introduit dans la version originale de cette bagatelle. Il arrive que Tom Ewell suscite un rire ou deux, mais quand Miss Monroe apparaît sous la forme d'une jeune personne trop réelle pour les rêves, le film est réduit au rang de la revue déshabillée.

Hollywood Reporter
Marilyn est presque parfaite dans le rôle de l'héroïne à l'idiotie plaisante et aux courbes plus plaisantes encore.

New York Daily Mirror
Tout Américain digne de ce nom attendait ce film depuis la publication des photos aguicheuses montrant le vent soulevant la jupe de Marilyn Monroe et dévoilant ses jambes sculpturales. Cela valait la peine d'attendre. "Sept ans de réflexion" est un nouvel exemple d'adaptation intelligente à l'écran d'une pièce à succés. (...) Presque tout le mérite de cette comédie réussie revient à Tom Ewell, qui avait reçu les éloges de la critique pour son interprétation au théâtre et emporta le rôle de haute lutte, et à la "Monrore". (...) L'élocuation boudeuse (de celle-ci), sa moue -incarnation du glamour de cette décennie- font d'elle l'une des plus grandes attractions de Hollywood, dont elle prouve ici, une fois encore, que ce n'est pas un modèle très brillant.

Time
La démarche tape-à-l'oeil de Marilyn Monroe est plus ondulante et chaloupée que jamais. Elle distille également une jolie note comique, qui fait penser à une Judy Holliday au babil enfantin. 

Télé 7 Jours
Inoubliable ! La robe de Marilyn soulevée par le souffle du métro ! Un film désopilant sur les affres du démon de midi.

Télé Loisir
En plus d'un divertissement de qualité avec une inoubliable scène de Marilyn Monroe, une critique amusante du "mâle" américain en proie à des fantasmes.

Télé Star
Marilyn est plus affriolante que jamais dans cette comédie délicieusement loufoque, qui voit un bon père de famille, déboussolé par le voisinage d'une créature de rêve, s'abandonner à d'hilarants fantasmes, parodies de divers genres cinématographiques ou films célèbres. Un régal. 

Les Inrockuptibles (Hors Série - 2012 - par Serge Kaganski)
"Certains l'aiment chaud" du même Billy Wilder est le film d'une réplique culte "nobody's perfect" ("personne n'est parfait"), mais c'est surtout une comédie trépidante et bourée d'idées. "Sept ans de réflexion" est le film d'une image culte, celle de la robe de Marilyn s'envolant au-dessus d'une bouche d'aération et dénudant ses cuisses voluptueuses, mais c'est une comédie laborieuse, bavarde et théâtrale au mauvais sens du terme. On rappelle le pitch: laissé seul en ville pendant les vacances d'été comme tous les maris et pères de famille new-yorkais, l'éditeur nerd Richard Sherman en pince pour sa nouvelle et gironde voisine.
Comme souvent chez Wilder, la sexualité est le moteur qui fait tourner le monde (et les têtes) mais le génial réalisateur juif autrichien est ici loin de l'inspiration débridée qui a rendu inoubliables "Certains l'aiment chaud", "Embrasse-moi idiot" ou "Un, deux, trois". Le film s'enlise dans des dialogues interminables et l'alchimie (même comique) ne prend pas entre Marilyn et Tom Ewell. Peut-être manque-t-il ici la fine fleur du rock qui électrisait "La Blonde et moi" sur un sujet similaire, avec le même Tom Ewell et Jayne Mansfield dans le rôle de Marilyn. Dans "Sept ans de réflexion" demeure cette scène iconique qui a migré dans de nombreux films et publicités et incendié l'imaginaire de génération de spectateurs. Combien de garçons (et de filles ?) n'ont-ils pas rêvé d'être à la place de la bouche d'aération ?

Télérama (Hors Série - Mai 2012 - par Guillemette Odicino)
C'est "la fille qui a chaud" (dixit Wilder) et fait monter la température sans s'en rendre compte en avouant à son voisin du dessous qu'elle met ses dessous au réfrigérateur ou en restant plantée avec délectation sur une grille d'aération de métro... Comme le voisin, un mâle moyen, célibataire le temps des vacances, a l'air conditionné, elle voudrait bien dormir chez lui. Pas "avec" lui, quoi qu'il puisse imaginer. Il ne pense qu'à "ça", elle ne pense qu'à plus de fraîcheur. Tout le malentendu Marilyn en un film. Il la drague en pianotant, tente de l'embrasser maladroitement, ils tombent du tabouret du piano. Honteux sur la moquette, il s'excuse: "Je suis désolé, cela ne m'arrive jamais." "Moi, ça m'arrive tout le temps", répond-elle, regard candide au possible de 'girl next door' pas allumeuse pour deux sous. En faisant des compliments à Tom Ewell, pourtant aussi sexy qu'une endive au jambon, Marilyn fait croire aux mâles du monde entier qu'eux aussi, elle pourrait les admirer...
Mieux: à la fin, quand ce crétin de mari fidèle part rejoindre sa femme, les hommes su monde entier se persuadent alors qu'ils pourraient résister à Marilyn. A la fenêtre, elle dit gentiment au revoir à l'endiver qui court vers une autre. Elle est resplendissante: il lui a laissé l'air conditionné.


> dans la presse
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Posté par ginieland à 18:40 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
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