1952 Club 54 Marilyn avec Travilla et Moore
Marilyn Monroe au Club 54 de South Central à Los Angeles en 1952, en compagnie de Phil Moore (son professeur de chant) et de William Travilla (son couturier attitré pour ses films à la Fox).
>> Source photo sur travillatour.com
1949 Marilyn et Hyde au Racquet Club 1
LIFE 4/11/1966
Le magazine américain Life du 4 novembre 1966 consacrait un article intérieur de 6 pages à Marilyn Monroe, intitulé "Behind the Myth, the Face of Norma Jean" en publiant des photographies de la jeune Marilyn, enfant, adolescente, lors de son premier mariage, et de sa mère; accompagné d'un texte de Richard Meryman.
Décès de Jane Russell
L'actrice américaine Jane Russell est morte
article publié sur lemonde.fr
le 1er mars 2011
L'actrice américaine Jane Russell, la brune incandescente qui donna la réplique à Marilyn Monroe dans Les hommes préfèrent les blondes, est décédée lundi 28 février 2011 en Californie à l'âge de 89 ans, ont indiqué ses proches.
"J'ai parlé avec sa belle-fille ce matin. Elle est morte paisiblement chez elle, entourée de ses enfants", a déclaré à l'AFP Kim Davis, la directrice du centre d'aide juridique à l'enfance CASA, dont l'actrice soutenait l'action. Jane Russell résidait à Santa Maria, au nord de Santa Barbara (Los Angeles). La cause de la mort n'a pas été précisée.
Jane Russell fut l'une des pin-ups préférées des GI et restera dans les mémoires comme la brune incandescente qui donne la réplique à Marilyn Monroe dans Les hommes préfèrent les blondes. La légende veut que le producteur Howard Hughes, qui cherchait une actrice aux formes voluptueuses, l'ait repérée chez son dentiste, où elle travaillait comme réceptionniste, pour en faire l'héroïne du Banni (The Outlaw, 1943). Mais Jane Russell n'en était pas moins une enfant de la balle : fille d'une actrice de troupe ambulante, elle avait pris des cours de piano et de théâtre, notamment avec la fameuse actrice russe Maria Ouspenskaïa, et posait pour des photos de mode.
La légende veut que le producteur Howard Hughes, qui cherchait une actrice aux formes voluptueuses, ait repérée Jane Russell chez son dentiste, où elle travaillait comme réceptionniste.REUTERS/HO
Née Ernestine Jane Geraldine Russell le 21 juin 1921 dans le Minnesota, elle est l'aînée de cinq enfants. La famille s'installe alors qu'elle est encore enfant à Burbank, en Californie. Son père, un ancien militaire, meurt à 46 ans et elle doit alors gagner sa vie. Howard Hughes arrive à point nommé.
Le Banni, où ses jambes interminables et sa poitrine crèvent l'écran, la propulsera dans le monde de Hollywood, lui vaudra la célébrité et une aura de scandale. La censure tique sur ses décolletés et le film ne sortira pour de bon qu'en 1946. "Tout ça pour un décolleté ! Aujourd'hui, ils en font dans le dos", dira-t-elle bien plus tard.
Dans l'intervalle, elle a eu le temps de tourner dans L'Esclave du souvenir et surtout de figurer sur un poster particulièrement populaire auprès des soldats américains durant la seconde guerre mondiale. On l'y voit dans une pose lascive, étendue sur une meule de foin, le regard provocant, un revolver à la main.
Les hommes préfèrent les blondes de Howard Hawks, sorti en 1953, sera l'apogée de sa carrière d'actrice. Elle y joue le rôle d'une brune idéaliste mais ayant les pieds sur terre, à l'exact opposé du personnage de blonde naïve et vénale incarné par Marilyn. A l'écran comme à la ville, les deux femmes sont amies – même si le cachet de Jane Russell pour ce film est dix fois supérieur à celui de Marilyn Monroe.
Video
- "Ain't There Anyone Here for Love?",
dans Les hommes préfèrent les blondes
Malgré une filmographie abondante, dont Les hommes épousent les brunes (1955), et des talents d'actrice indéniables – mais beaucoup moins exploités à l'écran que sa plastique –, la carrière cinématographique de Jane Russell s'essouffle dans les années 60. Dans la décennie suivante, on ne la voit plus que sur le petit écran, dans des publicités pour des soutiens-gorge. Entre-temps, elle s'est en partie reconvertie dans le music-hall, à Las Vegas ou New York.
Jane Russell, mariée trois fois (et deux fois veuve), dénotait, dans un milieu hollywoodien réputé progressiste, par sa défense des valeurs républicaines et sa foi revendiquée. "Je suis née pour le mariage. La vie de famille est un soutien en toutes circonstances. Ça, et ma foi en Jésus", dira-t-elle en 2007 dans une interview au journal britannique Daily Mail.
Dans une autre interview en 2009, elle se décrira non sans autodérision comme "une chrétienne sectaire conservatrice de droite, avec l'esprit étroit et qui a mauvais esprit". Farouchement opposée à l'avortement après avoir subi à 18 ans une IVG qui l'avait rendue stérile, elle avait adopté ses trois enfants avec son premier mari, le footballeur américain et producteur Bob Waterfield. Elle avait également fondé WAIF, une association au sein de laquelle elle a milité pendant des décennies pour faciliter l'adoption d'enfants, y compris étrangers, par des familles américaines, contribuant à assouplir la législation de son pays sur le sujet.
Sa famille a demandé aux personnes voulant lui témoigner son soutien de faire des donations à des associations d'aide à l'enfance, notamment au centre CASA de Santa Barbara, qui apporte une aide juridique aux enfants en situation difficile. "Elle s'intéressait à notre centre parce qu'elle-même défendait inlassablement les droits des enfants", a précisé Kim Davis, la directrice du centre.
Kate Somerville’s Secret Weapon: The Gillette Mach 3
Kate Somerville’s Secret Weapon:
The Gillette Mach 3
article publié sur style.com
le 19 janvier 2011
Quand est venu le temps d'enlever les poils indésirables, les femmes ont eu une multitude de choix. La cire, la pince à épiler, le sucre -toutes sortes de façons avec du matérial et des mécanismes pour parvenir aux "racines" du problème. Le rasage, la forme d'épilation la plus primitive, a une mauvaise influence utilisée sur le visage; prendre un rasoir pour épiler ses jambes est un acte qui se doit d'être régulier, mais faire glisser cet outil sur le duvet du visage est un acte totalement tabou, grâce à la prévention qui s'est transmise de génération en génération: si vous avez des poils, ils deviendront encore plus noirs et plus épais. "C'est une légende" déclare l'esthéticienne des stars, Kate Somerville , une opinion qu'elle partagea avec nous lors d'une discussion sur le lancement de nouveaux produits. De par son expérience qui fait foi (comme celle du dermatologiste personnel en cosmétique d'Elizabeth Taylor, que Somerville avait l'habitude d'assister), les plus grandes (comme Elizabeth Taylor et Marilyn Monroe) se rasait le visage pour avoir une peau totalement lisseet y ajouter une bonne dose d'exfoliation. (Pas un mot sur l'actrice italienne Virna Lisi si elle utilisait ou non un vrai rasoir dans cette célèbre couverture du magazine Esquire en 1965). Somerville elle-même est une ferme croyante dans le pouvoir du rasoir —un en particulier: Gillette’s Mach 3. .
TV - Hollywood Stories
Jeudi 3 mars 2011
22h20 - E! Entertainment
Documentaire: Hollywood Stories
Durée: 1 heure 20 minutes
Année: 2001
Résumé: Remarquée tout d'abord par les photographes, celle qui devait devenir Marilyn Monroe gravit une à une les marches de la gloire. Ses coups d'éclat et ses mariages ont défrayé la chronique et fait rêver bien des fans : du simple marine aux frères Kennedy en passant par Yves Montand ou ses époux successifs, à commencer par le premier, Jim Dougherty.
>> Source: programme sur canalsat.fr
G comme Garrett
Murray Garrett
(19?? -)
photographe américain
Murray Garrett en juin 2011, à New York
Alors qu'il n'était encore qu'un adolescent, Murray Garrett décroche son premier contrat professionnel et photographie Eleanor Roosevelt et Phillip Murray, president du CIO, assistant à un concert à Newark, dans le New Jersey. De ses débuts audacieux, depuis qu'il a tenu un appareil photo, Murrray Garrett a travaillé personnellement avec des célébrités du monde entier: du show business, du sport, de la politique, des arts et des sciences... une liste tellement longue de noms qu'il serait impossible de tous les citer.
En 1941, il travaille après le lycée, et démarre sa carrière à New York, travaillant pour Graphic House Inc., une grande agence de photographies. Il commence par être l'assistant de la photographe de théâtre Eileen Darby et Garrett couvre ainsi les photos des productions de Broadway comme "Oklahoma", "Carousel", "Stalag 17", "On The Town" et bien d'autres encore. En 1946, Graphic House Inc. ouvre un bureau sur la côte Ouest et Garrett est selectionné pour partir à Hollywood pour représenter la société new-yorkaise. En moins d'une année, Garrett devient le chef du bureau d'Hollywood et signe des contrats photographiques pour quasiment la majorité des publications. Un contrat pour couvrir la tournée de Bob Hope, dont le show radio de Hope, va être le tournant de sa carrière. En effet, Bob Hope fut tellement ravi du résultat qu'il engagea Murray Garret comme l'unique photographe pouvant le photographier à ses show de radios. Ce que va faire Garrett pendant plus de 25 ans, suivant Bob Hope à la radio et à la télévision.
Hope et Gardner ; Marlon Brando ; Caron et MacLaine
Au début des années 1950, le talent et les services de Murray Garrett sont reconnus autant par les célébrités, que les firmes de productions qui les emploient. Avec l'accord de Graphic House, dont il en est devenu l'agent, il lance sa propre société Garrett-Howard Inc., avec son ami de longue date, le photographe Gene Howard. En un rien de temps, ils deviennent les photographes les plus en vues à Hollywood, offrant aux publications de magazines (Life, Time, Look) des photos de stars autant prises sur le vif que dans les studios. Ce qui permet à Murray Garrett d'obtenir en exclusivité certains contrats, le permettant de photographier en privé Frank Sinatra en invité surprise à la fête des 21 ans de Natalie Wood. Il est aussi le seul à suivre Elizabeth Taylor et Richard Burton arrivant en hélicopter à Disneyland, où il logeaient dans l'appartement personnel de Walt Disney. Il est encore le seul à couvrir le reportage photos du mariage de la fille de Bob Hope.
Gardner et Sinatra ; Taylor et Burton ; Beatty et Wood
Dans les années 1960, l'illustrateur renommé Leo Monahan rejoint la société Garrett-Howard en tant que partenaire et directeur artistique; et la société change son nom en Studio Five Incorporated. La société va couvrir les plus importantes soirées des firmes cinématographiques et travailler avec les plus grands studios et labels des Etats-Unis. Ils ont créés plus de 350 couvertures d'albums en un an. C'est durant cette période que Garrett est nommé et élu pour servir sur la côte ouest comme Directeur de la NARAS (National Academy of Recording Arts and Sciences).
Kazan et Dietrich ; Lewis et Curtis ; Bacall et Bogart
En janvier 1989, Murray Garrett est honoré par "Academy of Motion Picture Arts and Sciences" où un gala de reception s'est tenue à Beverly Hills, pour présenter une retrospective du travail photographique de Garrett où étaient invités plus de 200 membres de l'Academie et d'autres invités. L'exposition de son travail fut exposé pendant plus de 60 jours à l'Académie.
Motivé par des suggestions de ses amis et partenaires associés, il publie son premier livre Hollywood Candid: A Photographer Remembers en 2000, puis publie en 2002 Hollywood Moments.
Il est aujourd'hui à la retraite et vit à Sherman Oaks, en Californie.
Murray Garrett a toujours photographié Marilyn Monroe lors d'événements en publique: à des soirées et galas, comme des premières de films ou des remises de prix. Il semblerait qu'il ait effectué une séance privé avec elle en 1951 où Marilyn est allongée dans l'herbe puis court sur la plage. Les autres collaborations sont en 1952, pour un match de base-ball caritatif; en 1953: en janvier pour une soirée au Cinerama Cocoanut, en mars à la première de Call Me Madam, en mars à la remise du prix Photoplay, en mai une soirée au Ciro's, en juin au Grauman's Chinese Theater, en novembre à la première de How to marry a millionaire; en 1954: en mars à la remise du prix Photoplay; en 1962 à la remise du prix Golden Globes.
>> Voir les photos de Marilyn par Murray Garrett
>> sources web:
Site officiel murraygarrett.com
Photos sur Photographers Gallery
Site officiel du documentaire In Focus: The Hollywood Lens of Murray Garrett
Hollywood Moments
Hollywood Moments
Auteur: Murray Garrett
Introduction de Debbie Reynolds
Date de sortie: octobre 2002
Relié 176 pages
Langue: anglais
Éditeur: Harry N. Abrams, Inc.
ISBN-10: 0810932423
ISBN-13: 978-0810932425
Prix éditeur: Environ 40 Euros
Ou le commander ? sur amazon.fr et sur barnesandnoble.com
Description:
Le souvenir de l'ancien vieux Hollywood apparaît dans cette éblouissante collection de 145 photos noir et blanc des années 1940s, 50s et 60s. Le célèbre photojournaliste Murray Garrett capte ses sujets dans les nightclubs, les soirées et fêtes de l'industrie cinématographique et entre deux mondes où les stars prennent du bon temps dans leur vie privée. Ses photos mêlent l'intimité au détachement quand les stars boivent un verre, rient et font la fête. Il est paticulèrement fasciné par les divas d'Hollywood telles que Elizabeth Taylor, Marilyn Monroe, Leslie Caron, Ava Gardner, Lauren Baccall, Loretta Young et Grace Kelly; les photos sont accompagnés de souvenirs comme ceux de Zsa-zsa Gabor, Jimmy Durante et Milton Berle. On y retrouve aussi Van Heflin, Humphrey Bogart, Clark Gable, Robert Taylor, Gregory Peck, Debbie Reynolds, Natalie Wood, Leslie Caron, Robert Mitchum, Victor Mature,Richard Burton, Marlon Brando, Maggie Smith, Jayne Mansfield, Zsa Zsa Gabor, Jack Benny, Red Skelton, Lucille Ball, Peter Sellers, Judy Garland, Danny Kaye, Bing Crosby, Harry Belafonte, Nat "King" Cole, Frank Sinatra.
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