Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Divine Marilyn Monroe

NAVIGUATION
DIVINE MARILYN

Marilyn Monroe
1926 - 1962

BLOG-GIF-MM-BS-1 

Identités

Norma Jeane Mortenson
Norma Jeane Baker
Norma Jeane Dougherty
Marilyn Monroe
Marilyn DiMaggio
Marilyn Miller
Jean Norman
Mona Monroe
Zelda Zonk

Archives
20 décembre 2009

Les Affiches de All About Eve

Eve
1950_AllAboutEve_01_logo_title_1

Les Affiches
Les Affiches Ciné dans le monde & dvd / vhs

1950_AllAboutEve_affiche_fr_010_1 1950_AllAboutEve_affiche_fr_020_10 film_eve_aff_evaaldesnudo_espanol_32647 film_eve_aff_evaaldesnudo_espanol_100271
1950_AllAboutEve_affiche_danemark_010_1 film_eve_aff_evaaldesnudo_sueco_171489 film_eve_aff_evaaldesnudo_sueco_186910 1950_AllAboutEve_affiche_italie_010_1
film_eve_aff_evaaldesnudo___100267 film_eve_aff_evaaldesnudo_argentino_182350 1950_AllAboutEve_affiche_usa_010_1 1950_AllAboutEve_affiche_usa_011_1 film_eve_aff_evaaldesnudo_usa_100272
1950_AllAboutEve_affiche_usa_020_1 1950_AllAboutEve_affiche_usa_030_1 1950_AllAboutEve_affiche_usa_031_1
   1950_AllAboutEve_affiche_usa_lobby_1_1 21604_0727_1_lg
  1950_AllAboutEve_affiche_usa_lobby_3_1 1950_AllAboutEve_affiche_italie_lobby_1_1 
1950_AllAboutEve_affiche_video_010 1950_AllAboutEve_affiche_video_dvd_1 1950_AllAboutEve_affiche_video_dvd_2_a_front 1950_AllAboutEve_affiche_video_dvd_2_b_back

>> programme cinéma allemand
film_eve_program05 film_eve_program06 film_eve_program07 film_eve_program08

19 décembre 2009

Décès du photographe Bob Willoughby

 Bob Willoughby
1927-2009
 

Source: article sur tarahanks
Biographie sur wikipedia
Photos de Willoughby sur globalgallery
Ses photos sur MPTV

Le photographe Bob Willoughby, 82 ans, est décédé le 18 décembre 2009 dans sa maison à Vence, en France, des suites d'un cancer.

bobo_et_jean bob_et_judy bob_1968
Bob Willoughby: avec Jean Seberg et avec Judy Garland

Né le 30 juin 1927 à Los Angeles, il fut, dès son plus jeune âge, fasciné par le cinéma. A ses 12 ans, il reçut en cadeau un appareil photo, de là, va naître sa passion pour la photographie, qu'il va étudier à l'Université de Californie et travailler pour le designer Saul Bass.
chet_bakerEntre 1948 et 1954, ses expositions photographiques sur les musiciens de jazz et les danseurs l'amènent à signer un contrat avec Globe Photos. Fan de Jazz, il adorait Billie Holiday, Chet Baker et Cole Porter.
Plus tard, il travailla pour le magazine Harper's Bazaar où ses photographies illustraient les articles sur l'art et la culture. Puis il fut désigné par six magazines pour photographier Judy Garland Judy_Garland_Life_Magazine_Coverpendant le tournage d' "Une étoile est née" ("A Star is Born") en 1954. il fut ainsi licencié par les studios Warner pour avoir signer un contrat de vente de photos avec des magazines. Mais sa photo de Judy Garland fit la couverture du célèbre magazine Life, sa première couverture de Life, le magzzine le plus populaire des Etats-Unis.

Ce qui l'amena à travailler ensuite sur de nombreux tournage de films: "My Fair Lady", "Who’s Afraid Of Virginia Woolf ?" ("Qui a peur de Virginia Woolf ?"), "The Graduate" (Le lauréat) et "Rosemary’s Baby".

audrey_hepburnWilloughby est devenu le photographe préféré de Frank Sinatra et de sa bande le Rat Pack, et il était très proche d'Audrey Hepburn, considérée comme sa "muse". Mais il photographia des centaines de célébrités: Humphrey Boggart, Liz Taylor, Richard Burton, Judy Garland, Natalie Wood, Louis Armstrong, James Dean, Katharine Hepburn, Alfred Hitchcock, Sophia Lore, Elvis Presley, Jean Seberg, Montgomery Clift, Katharine Ross, Kirk Douglas, Anthony Perkins, Donald Sutherland, Kim Novak, Mickey Rooney, Barbra Streisand, Julie Christie, Mia Farrow, Miles Davis, Rock Hudson, Peter O'Toole, Shirley MacLaine, Susan Strasberg, Sondra Locke, Charles Boyer, Gene Hackman, Dustin Hoffman, Jack Lemmon, Jane Fonda, Kevin Kline...

alfred_hitchcock James_Dean_reading_music_score_for_Rebel_Without_cause liz_taylor
jane_fonda 
frank_sinatra barbra_steisand jean_seberg natalie_wood

* * * * *

Willoughby photographia Marilyn Monroe au moins à deux occasions: la première en 1952, à une fête donnée en l'honneur de Marilyn, à l'époque où tournait le film Niagara, et la deuxième, en 1960, sur le tournage de "Let's Make Love" ("Le Milliardaire").

mm_Phil_Stern mm_Willoughby1
mm_Willoughby_1952 mm_Bob_Willoughby_Marilyn_Monroe_on_the_set_of_Lets_Make_Love_1960 marilyn_monroe mm_by_bob_w

* * * * *

Willoughby photographia toute sa vie durant. Dans les années 1970, il s'installe en Europe: il vécut 17 ans en Ireland, où il prit beaucoup de clichés du pays pour illustrer d'anciens poèmes irlandais. Ses dernières années, il les a vécu en France, à Vence, où il poursuivait toujours activement son activité professionnelle. Il était marié à Dorothy Willoughby, avec qui il a élevé quatre enfants.

14 décembre 2009

Doggy Célébrités

mag_doggy_coverLa revue Doggy Célébrités n°2, paru le 12 décembre 2009, avec Adriana Karembeu en couverture, consacre un article de 3 pages à Marilyn Monroe et les chiens qui ont jalonné sa vie, à travers une interview d'un fan et collectioneur français (Yvon).
Prix: 2 €.
>>
Commandez en ligne sur journaux.f

scan de l'article:
Doggy1 Doggy2 Doggy3

2 décembre 2009

Timbres Maldives 2009

stamps-2009-maldives

1 décembre 2009

Vidéo amateur Marilyn fumant de la marijuana

Un petit film amateur montre Marilyn Monroe fumant de la marijuana

lieu: New York
date: 1er décembre 2009
agence: Reuters


Un film amateur dans lequel on voit Marilyn Monroe en train de fumer ce qui semble être de la marijuana vient d'être exhumé, un demi-siècle après avoir été réalisé.

Tourné dans une maison du New Jersey, sans doute en 1958 ou 1959, ce film muet et en couleurs a été vendu récemment par son auteur, qui a souhaité rester anonyme, au collectionneur Keya Morgan pour 275.000 dollars (182 000 Euros).

Ce dernier amasse des photos historiques, des manuscrits, des autographes et d'autres documents et travaille actuellement à l'élaboration d'un documentaire sur la mort de Marilyn Monroe, en août 1962.

Il a appris l'existence du film durant ses recherches et a entrepris de retrouver le propriétaire. Ce dernier le conservait depuis trois ans dans son grenier.

Sur les images, l'actrice apparaît heureuse et détendue, entourée d'amis.

"C'est à la fin des années 1950 donc elle est déjà très célèbre, mais c'est un de ses côtés intimes que l'on n'avait encore jamais vu. Les gens ne l'ont jamais vue si détendue", a déclaré Morgan.

A un moment, on la voit prendre une cigarette et tirer une bouffée, mais sans inhaler profondément. Un peu plus tard, elle semble renifler son aisselle et en rire.

L'auteur du film a confirmé qu'il s'agissait de marijuana, expliquant en avoir lui-même apporté à cette simple soirée entre amis et avoir fait circuler un joint.

r84721934 r1255170997 r458334674

(source: info et film diffusés au JT de 20 h de France 2 le 1/12/2009 et lire l'article sur l'express )

1 décembre 2009

Décès de Shirley De Dienes

Shirley De Dienes, veuve du photographe André De Dienes, est décèdée le 19 novembre 2009. C'est grâce à Shirley qu'un livre de photographies de Marilyn Monroe prises par André De Dienes, était sorti il y a quelques années.

30 novembre 2009

Marilyn Monroe était une fille malade

Marilyn Monroe était juste une fille malade, très malade

Article publié
le 05 octobre 2009,
par Lori Leibovich

en ligne
sur slate.fr 

Marilyn_Monroe

C'est ce que révèle une nouvelle biographie qui sort aux Etats-Unis.

 En 1961, Marianne Kris, la psychanalyste qui traite Marilyn Monroe, est convaincue que sa célèbre patiente est au bord du suicide. Elle agit donc comme l'auraient fait la plupart des psychanalystes de l'époque en faisant interner Monroe dans un hôpital psychiatrique. Sachant que la star n'ira jamais de son plein gré — Monroe était terrifiée par les sanatoriums car sa mère y avait passé la plus grande partie de sa vie et sa grand-mère y était morte — Kris dit à sa patiente qu'elle la place dans un hôpital privé pour «se reposer et se relaxer». C'est par ce subterfuge que Monroe arrive à l'hôpital Payne Whitney de New York le 5 février, où des aides-soignants l'escortent rapidement à travers plusieurs portes d'acier, puis la mettent de force dans une pièce capitonnée aux fenêtres barricadées. «Je suis enfermée avec ces pauvres barjots», écrit Monroe à ses professeurs Paula et Lee Strasberg. «Je suis sûre que je vais devenir folle moi aussi si je reste dans ce cauchemar. S'il vous plaît, aidez-moi.»

Cet épisode, bien connus de ceux qui s'intéressent à Marilyn, est à nouveau relaté dans la nouvelle biographie à succès, The Secret Life of Marilyn Monroe. L'auteur, J. Randy Taraborrelli, raconte qu'une patiente de l'hôpital Payne Whitey rendant visite à Monroe après que celle-ci avait essayé d'enfoncer la porte de la salle de bain de sa chambre, lui avait dit: «tu es une fille très très malade. Et tu es malade depuis très longtemps.» La biographie de 541 pages de Taraborrelli est basée sur plus de dix ans de recherche. Elle comprend des citations des fichiers du FBI, rendus publics en 2006 grâce à la loi sur la liberté de l'information, ainsi que des notes prises par des reporters des années 1950, et des lettres jusqu'ici inédites écrites par Marilyn, ou encore d'autres s'adressant à elle ou la prenant pour sujet. Bien sûr, l'auteur promet des découvertes «explosives» et des «révélations», mais il n'y en a pas vraiment, en tout cas, pas pour le connaisseur de Marilyn que je suis. Ce qu'offre le livre en revanche, c'est l'approfondissement d'une tragédie bien plus ordinaire qui continue de fasciner, celle d'une femme que Taraborrelli appelle «un brave soldat engagé dans une bataille dévastatrice avec elle-même».

Monroe a succombé à une overdose en 1962. Selon les estimations, plus de 300 livres sur Monroe ont été publiés, et des écrivains aussi renommés que Norman Mailer, Gloria Steinem, et Joyce Carol Oates ont tentés de trouver un sens à sa courte vie. Etait-elle une victime d'Hollywood, ou bien n'était-elle vraiment heureuse qu'entourée d'admirateurs et de photographes? Etait-elle Norma Jeane, l'orpheline abandonnée cherchant l'amour et l'approbation, ou bien Marilyn, «le fantasme amoureux de tous les hommes d'Amérique », selon la formule de Mailer? Ou alors était-elle ces deux femmes à la fois, emmêlées inextricablement dans une psyché torturée? L'avons-nous (ou les Kennedy, le FBI et les autres) tuée ou s'est-elle tuée elle-même?

Taraborrelli explore les premières relations qui ont formé Norma Jeane Mortenson, y compris sa relation avec sa mère, Gladys Baker, une paranoïaque schizophrène. Il dévoile aussi des informations qui suggèrent que, à la fin de son adolescence, Monroe commence à entendre des voix et pense qu'elle est suivie. Cela pourrait probablement signifier que sa psychose était antérieure à son ascension fulgurante à sa plongée dans la dépendance aux médicaments. Est-ce intéressant? Oui, seulement parce que cela casse le récit romantique d'auto-flagellation que l'on préfère — ce «on» c'est le public insatiable qui l'a abîmée. En fait, rien de tout cela n'est surprenant étant donné son histoire familiale.

Le livre ne rentre pas dans ce qui m'intéresse le plus dans la maladie mentale de Monroe la relation peu orthodoxe de l'actrice avec Ralph Greenson, le psychiatre qui la traitait à l'époque de sa mort. Greenson était un analyste brillant et haut en couleur, ayant soigné plusieurs acteurs connus (Vivien Leigh, Frank Sinatra, Tony Curtis), et auteur d'un texte qui fait école: La technique et pratique de la psychanalyse. Greenson pense que sa patiente, hantée par son abandon lorsqu'elle était enfant, pourrait tirer parti du temps passé dans une famille stable et heureuse. Il choisit donc la famille qui lui est la plus proche : la sienne. Après des sessions journalières (parfois deux dans la même journée) dans le bureau privé de Greenson dans sa maison à Santa Monica, Marilyn rejoint souvent la famille pour les repas ou s'attarde, juste pour passer du temps avec eux; elle va aux soirées qu'ils organisent (elle débarque une fois à l'anniversaire de la fille de Greenson et se met à enseigner le twist aux invités). Taraborrelli affirme même qu'elle y passa la nuit à cette occasion.

Taraborrelli, qui a également écrit, entre autres, des biographies de Michael Jackson et d'Elizabeth Taylor, est plus mesuré au sujet de Greenson que beaucoup de spécialistes de Monroe, dont certains affirment qu'il est directement responsable de sa mort. «Dans les années 1950 et 1960, toutes sortes de traitements avant-gardistes pour les maladies mentales étaient testés», écrit-il. Les méthodes de Greenson étaient franchement critiquées pas ses collègues, et il était méprisé par la plupart des amis de Monroe, beaucoup d'entre eux pensant qu'il était un Svengali qui manipulait l'actrice fragile. Selon Taraborrelli, Pat Kennedy Lowe, une amie proche de Marilyn lui avait dit: «Tu vois trop ce type, on dirait qu'il t'a jeté un sort.»

De fait, Greenson s'insinue beaucoup dans l'espace vital de sa patiente. Il installe une femme de ménage dans la maison de Monroe à Brentwood et lui demande de surveiller l'actrice et de lui rapporter toute attitude dangereuse ou étrange qu'elle pourrait avoir. Le psychiatre va même jusqu'à intervenir dans les négociations professionnelles de Monroe. Alors qu'elle est sur le point de se faire renvoyer par la 20th Century Fox pour avoir manqué trop de jours de travail sur le film inachevé Something's Got to Give, Greenson garantit personnellement au réalisateur que la star arrivera désormais à l'heure et prête à jouer. Il ne pût cependant tenir sa promesse; Monroe était si déprimée et droguée à cette époque qu'elle finit par être renvoyée.

La fêlure la plus fascinante sans doute dans l'histoire Greenson-Monroe a été révélée en août 2005, lorsque le Los Angeles Times publie en une un article sur la découverte de «cassettes audio secrètes» prétendument faites par Monroe peu de temps avant sa mort pour Greenson. Les transcriptions de ces cassettes sont données au Times par l'ancien procureur de Los Angeles, John W. Miner, qui avait enquêté sur la mort de Monroe. Miner, qui a aujourd'hui plus de 90 ans, dit que Greenson lui avait permis d'écouter les cassettes et de prendre des notes à une condition: qu'il n'en révèle jamais leur contenu. Miner garde sa promesse pendant 30 ans, puis décide de rendre public ce qu'il sait pour laver le nom de Greenson, accusé par un biographe d'avoir prescrit à Marilyn un somnifère qui s'avéra fatal pour cause de mélange avec le Nembutal déjà présent dans l'organisme de l'actrice.

Les transcriptions sont pimentées par des passages destinés aux gros titres, y compris la confession de Marilyn de sa liaison lesbienne avec Joan Crawford, son aveu que le sexe avec son ex- mari Arthur Miller était «bof», et son intention de rompre avec son amant Robert Kennedy, alors Ministre de la Justice. Mais au-delà de ces détails juteux, c'est la relation bizarre, compliquée, et, semble-t-il, pleine d'amour de Marilyn avec son analyste, que les cassettes montrent plus profondément. «Depuis que tu m'as laissé entrer dans ton foyer...j'ai pensé à ce que ça aurait été d'être ta fille au lieu de ta patiente.... Je sais que je ne pourrais pas le faire tant que je suis ta patiente, mais quand tu m'auras guérie, tu pourrais peut-être m'adopter,» dit la femme qui, dans sa vie, n'a cessé, consciemment et inconsciemment, de chercher à remplacer l'homme qui l'avait abandonné avant sa naissance.

Mais tout devient encore plus étrange. Marilyn voyait Greenson comme une figure paternelle, mais un père qui lui apprenait comment avoir « e plus grand plaisir qu'il y ait», un orgasme. «Tu m'as dit...que quand je faisais exactement ce que tu me disais de faire, j'aurais un orgasme et que après me l'être fait à moi-même et avoir ressenti ce que c'était, je pourrais avoir des orgasmes avec des amants.» Il s'agissait là clairement d'un cas de transfert et de contre-transfert déchaînés. De son côté, Taraborrelli reconsidère les transcriptions écrites de Miner et trouve que ce dernier est un «homme très gentil et agréable», qui n'a «aucune raison de mentir» mais trouve cependant que l'explication de Miner «qu'il a reconstruit ses copieuses notes de mémoire, troublante».

Aujourd'hui Greenson se verrait certainement retirer sa licence et aurait sa photo en couverture du New York Post et de TMZ. Mais, malgré tout, la tâche de Greenson était herculéenne. Sa mission était principalement de soigner une patiente intraitable, se trouvant à la frontière de la paranoïa schizophrène (son diagnostic). Une personne suicidaire qui pouvait se procurer d'un nombre incalculable de personnes les médicaments dont elle était dépendante - et qui ne pouvait pas être internée. Dans des notes sur le cas Monroe auxquelles se réfère Taraborrelli, Greenson écrit qu'il pensait devoir l'empêcher d'être «à nouveau internée, car je sais qu'elle n'y survivra pas une seconde fois».

La «vérité» de la relation de Marilyn Monroe avec son psychiatre Ralph Greenson restera toujours ouverte à l'interprétation; Greenson est mort en 1979 et, alors que ses papiers sont conservés dans une collection spéciale à UCLA, la plupart de ses documents concernant son traitement de Monroe resteront inaccessibles jusqu'en 2039. Dans ses tentatives de l'aider, il a indubitablement franchi toutes les bornes, et a même peut-être aggravé son cas. On cherche toujours un coupable extérieur pour expliquer la vie et la mort tragique de Marilyn. On tient pour responsable la machine à célébrité d'Hollywood, les mauvais choix de maris, les Kennedy, ainsi que Ralph Greenson. Mais il n'y a pas de coupable dans cette triste histoire. Au cœur du récit se trouve quelque chose de bien plus simple: une fille très, très malade.

29 novembre 2009

Chanel: l'histoire d'une maison de légende

logo_galaL'incroyable destin d'une "cousette" orpheline

Article publié le 22.04.2009,
par Marion Desrousseaux
en ligne sur gala.fr 

gabrielle_chanel_1

Incroyable histoire de vie et de mode que celle de Gabrielle - "Coco"- Chanel, qui, elle aussi, (ré)inventa la femme.

Gabrielle Bonheur Chanel voit le jour à Saumur, en Maine-et-Loire, le 19 août 1883. Elle est la fille d'un marchand ambulant, Albert Chanel, et de sa femme Jeanne Devolle, et l'aînée de cinq enfants, Julie et Antoinette, Alphonse, Lucien et Augustin. Sa mère meurt lorsqu'elle a 14 ans et son père abandonne ses enfants: ses fils à la ferme et ses filles aux soins de l'orphelinat d'Aubazine, en Corrèze. Gabrielle Chanel y reste jusqu'à ses 18 ans: c'est là qu'elle apprend la couture.

Quand elle quitte l'orphelinat, Gabrielle tente sa chance comme «cousette» maniant le fil et l'aiguille des jours durant. A ses heures, elle monte aussi sur scène et pousse la chansonnette dans des cafés-concerts. Rapidement, on la surnomme "Coco", d'après l'un de ses titres favoris, Qui Qu'a Vu Coco?

gabrielle_chanel_2Celle que l'on n'appelle pas encore "mademoiselle" tombe amoureuse d'un certain Etienne Balsan, un gentleman millionnaire et un playboy qui vient de rendre ses galons d'officier pour se consacrer à sa passion, l'élevage de chevaux. Avec lui, elle découvre le luxe de la haute société et rencontre bon nombre de ses futurs clients. Gabrielle Chanel séduit une clientèle fortunée par sa simplicité. Plus tard elle dira avoir appris que «le luxe, ce n'est pas le contraire de la pauvreté mais celui de la vulgarité».

1909: Gabrielle Chanel ouvre son premier atelier de modiste dans une garçonnière du boulevard Malesherbes, avec Adrienne, sa tante du même âge. Rapidement, son élégante simplicité est copiée par le tout-Paris. Moins d'un an plus tard, elle ouvre sa première boutique au 21 Rue Cambon, dans le 1er arrondissement de Paris, avec l'enseigne "Chanel Modes". Suivront Deauville en 1913 et Biarritz en 1915.
Chanel ne suit que son inspiration, plutôt à contre-courant de son époque: elle dévoile peu à peu le corps des femmes, raccourcit leurs jupes (mais jamais au-dessus du genou, qu'elle trouve moche) et instaure le pantalon comme tenue de loisirs. Des silhouettes modernes, des cheveux courts: une nouvelle femme est née.

5: Gabrielle tire le bon numéro

"Une femme sans parfum est une femme sans avenir". En 1921, Coco, désormais installée au 31, rue Cambon, décida de lancer un parfum à son image, dont elle confie la création à Ernest Beaux. Il lui propose 5 fragrances et elle choisit la 5e. Elle ne sait pas, sans doute, que le plus célèbre parfum du XXe siècle est né, et le plus vendu au monde presque cent ans plus tard. Elle lance sa collection le 5 mai (cinquième mois de l'année) et suggère de le nommer tout simplement par ce numéro porte-bonheur.

Trois ans plus tard, Mademoiselle Chanel s'associe avec Pierre Wertheimer pour créer la Société des Parfums Chanel, qui commercialise parfums et produits de beauté, et bientôt une ligne fantaisie. Son deuxième parfum, qui naît bien après la guerre, porte le numéro 19, en guise de clin d'œil à sa date de naissance.

chanel_marylin_n_5nce
Marilyn Monroe devint, presque malgré elle, l'égérie du N°5 un jour de 1954
.
A un journaliste curieux de savoir ce que portait la pulpeuse blonde pour dormir, elle répondit: «Juste quelques gouttes de N°5».
Une célèbre phrase qui devint le meilleur des slogans publicitaires.

La petite robe noire

En 1926, Coco lance l'éternelle petite robe noire, que Vogue, bible de la mode, considère comme «l'uniforme de la femme moderne». «Dans une réception, explique Gabrielle Chanel, si l'on dit à une femme: quelle belle robe! c'est que sa robe est ratée. Mais si l'on dit: quelle belle femme! c'est que sa robe est réussie.»

Parmi les autres indémodables lancés par la styliste, il y eût les tailleurs: en jersey dès 1913, en tweed à partir de 1924, puis les tailleurs gansés qu'elle ébauche à la fin des années 30 et reprend dès 1954.

chanel_le_tailleur_en_tweedCoco soigne enfin les boutons. Ils sont le plus souvent en métal doré car Mademoiselle puise son inspiration dans les boutons d'uniformes d'officiers qu'elle apercevait dans son enfance ou des uniformes des marins sur les yachts. Dans le magazine La Soierie de Lyon de septembre 1932, on peut lire que «Les garnitures de boutons sont un trait distinctif de cette maison».

En 1957, c'est la consécration, avec un Oscar de la mode reçu à Dallas: Coco accède au statut de créatrice de mode la plus influente du XX siècle. C'est aussi l'année où Mademoiselle lance la fameuse sandale bicolore beige et noire.

Amours et désamours

Mademoiselle Chanel ne fut pas aussi heureuse en amour… Arthur Capel, dit "Boy", un bon ami anglais de Balsan, conquiert son cœur, l'inspire et l'encourage, mais décide d'en épouser une autre, Lady Diane Wyndham.Après sa mort en 1919, elle se laisse séduire par le Grand Duc Dimitri Pavlovitch, qu'elle a rencontré à Biarritz. Leur liaison dure deux ans.

C'est la belle époque du «Bel Respiro», sa villa de Garches où elle loge Dimitri, sa famille mais aussi le compositeur de talent Igor Stravinsky, qui tombe amoureux d'elle.
Cette rencontre se traduit par une forte influence russe dans ses créations, comme, quelques années plus tard, les fréquents séjours en Écosse avec le Duc Westminster, qui inspirent Chanel. Là-bas, elle imagine ses premiers tailleurs de tweed à une époque où les fabricants français considèrent ce tissu de qualité inférieure. Or ce sont justement ces aspérités et ces défauts qui séduisent la couturière.

La guerre interrompt ses activités. Chanel ferme sa maison en 1939 pour se consacrer uniquement aux parfums. Dans le Paris de l'occupation, on lui prête une liaison avec un officier nazi des services de renseignements Hans Gunther von Dincklage, mais l'histoire lui reconnaît aussi une tentative de paix entre Anglais et Allemands: l'opération chapeau de couture, qui échoue cependant. C'est son amitié avec Winston Churchill, rencontré tandis qu'elle était la maîtresse du duc de Wesminster, qui lui évite de graves ennuis lors de la Libération. Coco décide alors de s'installer en Suisse où elle résidera pendant 10 ans, près de Lausanne.

chanel06La couturière de Saumur se "réveille" en 1954. La concurrence de Christian Dior lui redonne l'envie de s'imposer. A 71 ans, elle rouvre sa maison sous l'impulsion des frères Wertheimer, qui rentrent des Etats-Unis. Malgré une première collection mal accueillie et des critiques qui tentent de la "ringardiser", elle ne se laisse pas abattre. "La mode se démode, le style jamais" estime Coco. Elle finalise son tailleur de tweed et devient l'un des artisans majeurs de la silhouette féminine de l'après-guerre. Romy Schneider, Jackie Kennedy, Jeanne Moreau portent ses tenues. Depuis 1983, Karl Lagerfeld assure dignement la succession de Gabrielle Chanel, disparue en 1971 et continue à habiller les comédiennes les plus en vue de Paris à Hollywood. Hasard du calendrier: cette année, trois films consacrés à la géniale couturière sortent en salles et sur le petit écran. Premier de série: Audrey Tautou incarne la styliste à ses débuts dans Coco avant Chanel, d'Anne Fontaine.

29 novembre 2009

The Secret Life of Marilyn Monroe

The Secret Life of
Marilyn Monroe

Biographie
Auteur
: J. Randy Taraborrelli

Version 1

taraborelli_cover_2Prix éditeur: 19,18 Euros
Date de sortie:
août 2009
Relié 576 pages
Langue: anglais
Éditeur:
Grand Central Publishing
 
ISBN-10: 0446580821 
ISBN-13:
978-0446580823 
Ou le trouver ? en commande amazon
Petit plus: lire le début du livre sur
amazon américain 

Description: Biographie de Marilyn Monroe, où l'auteur, Taraborrelli, interviewa des centaines de personnes liées à la vie de la star, formant ainsi des sources fiables pour relater la vie du mythe: sur plus de 30 pages, on retrouve notamment des interviews du premier mari de Marilyn, James Dougherty, à son dernier mari, Arthur Miller.
Figure aussi trois pages de documents des dossiers du FBI réalisés en 2006 lors de l'ouverture publique des dossiers au nom de la liberté d'information, où un agent du FBI décrit les relations entre Marilyn et Robert Kennedy.
Quelques photos sont publiées en préambule.

taraborelli_cover_2 taraborelli_cover_2_back


Version 2

taraborelli_cover_1Prix éditeur: 15,27 Euros
Date de sortie:
18 septembre 2009
Relié 512 pages
Langue: anglais
Éditeur:
Sidgwick & Jackson Ltd
Edition: Export ed 
ISBN-10: 0283071001
ISBN-13:
978-0283071003 
Ou le trouver ? en commande amazon

Description: Même livre que celui ci-dessus ("Version 1"), excepté le nombre de pages; la raison: les caractères d'imprimeries sont différents.


Liste des personnes consultées par J. Randy Taraborrelli (par ordre alphabétique):
A- Bernie Abramson (JFK gala photographer), Louise Adams (mother knew Della, Gladys, Ida), Agnews Hospital representatives, Mary Robin Alexander (father knew Atkinsons), Helena Albert (student of Natasha), Rupert Allan (publicist), Rose Marie Armocida (Springer's secretary);
B- Edward Barnes (parking attendant at Lawford house-party), Stacy Baron (Cal-Neva guest), Magda Bernard (step-brother was in orphanage with Marilyn), Walter Bernstein (SGTG screenwriter), Joey Bishop (comedian, Rat Packer), Joan Braden (attended party at Lawford home alongside Marilyn), Pat Brennan (friend of Pat Kennedy Lawford), Norman Brokaw (Johnny Hyde's nephew, knew Joe D);
C- Diahann Carroll (performed at JFK gala), Charles Casillo (Marilyn Diaries author), Cyd Charisse, Cohen family (Gladys worked for them in Kentucky), Marybeth Cooke (worked for Jerry Geisler), Rose Anne Cooper (worked at Rock Haven Sanatorium, where Gladys lived), Tony Curtis;
D- Don Dandero (worked at Cal-Neva), Debbie Dandero (Don's daughter), Bill Davis (worked with Johnny), Sammy Davis Jr, Anna DeCarlo (mother worked at Radioplane with Marilyn), Tommy DiBella (accessed FBI files), James Dougherty, Joe Dougherty (policeman, re Wrong Door Raid);
E- Employees of Eagle Rock hospital (where Gladys worked), Milt Ebbins, Stacy Edwards (knew Joe), Jerry Eidelman (Marilyn's actor friend and neighbour circa 1950), Dr Hyman Engelberg, Jack Entratter (Sands manager, memos used), Martin Evans (knew Jim);
F- Matthew Fox (knew Kennedys, Lawfords), Colleagues of lawyer Aaron Frosch;
G- Mitzi Gaynor, Charles Stanley Gifford Jr (Gifford's son), John Gilmore (actor/writer), Hildi Greenson, Psychiatrist colleagues of Greenson, Sydney Guilaroff, Ed Guthman (RFK's press secretary);
H- James Haspiel, Diana Herbert (father wrote Scudda Hoo), Alexander Howell (Chester's nephew), Marybeth Hughes (dated Johnny);
K- Douglas Kirkland, Richard Kollmar (Dorothy Kilgallen's husband, donated papers to Lincoln Center), Beverly Kramer (father knew Grace & Doc);
L- Peter Lawford, Janet Leigh, John Leonard (father knew Gladys), Peter Levathes, Nunziata Lisi (knew Jackie Kennedy's sister), Edward Lovitz (knew Arthur), Carol Lynley (Selsman's actress wife);
M- Dean Martin, Jeanne Martin, Susan Martinson (ditto), Arthur Miller, Barbara Miller (daughter of a friend of Dr Kris), Wesley Miller (worked for lawyers Wright, Green & Wright), Marybeth Miller-Donovan (aunt knew Ana), John Miner, Yves Montand, Evelyn Moriarty;
N- Dia Nanouris (mother worked with Grace), Larry Newman;
O- Fred Otash, Joseph D'Orazio (knew Sinatra, Hank Sanicola, Mannie Sachs);
P- Joseph Paolella (& all 3 were secret service agents),
R- Eleanor Ray (mother knew Grace), Maryanne Reed (MM collector), Susan Reimer (Gifford's niece), Ralph Roberts (interview transcripts provided by Bruce Abner), Elliott Ross (provided orphanage material), Stanley Rubin (produced RONR), Mickey Rudin, Jane Russell;
S- Hal Schaeffer, Michael Selsman (publicist), Michael Shaw (acting coach and friend of Marilyn), Anthony Sherman, George Smathers (US senator), Mickey Song (JFK gala hairdresser), Gary Springer (John's son), Maureen Stapleton, Melissa Steinberg (daughter of Dr Steinberg, gynaecologist), Diane Stevens (John Springer's assistant), Susan Strasberg;
T- Bea Thomas (knew Grace), Mary Thomas-Strong (her mother knew Ida),
V/W- Mort Viner (Dean Marin's manager), Henry Weinstein, Dr Milton Wexler (worked with Greenson), Jimmy Whiting (knew Sinatra), Mable Whittington (worked at Parkside), Billy Wilder, Andy Williams (singer, knew RFK), Esther Williams, Marvina Williams (worked at Rock Haven), James Wright (Sinatra's chauffeur).
Ainsi que la consultation des archives de l'UCLA, université du Texas, des magazines Photoplay et Look, de RFK Oral History Project, de Justice Department files on Giancana, des Kennedys (Transcripts of wiretaps), de Milton Greene, de Natasha Lytess (her unpublished memoirs), de Charles Feldman, de Joseph Rauh (Miller's lawyer), de John Huston, de Sidney Skolsky, de Lee Strasberg (legal files at Fox), de Greenson, de Hedda Hopper.


* A Savoir... 
Le livre n'est disponible qu'en version originale: c'est à dire en anglais ! aucun éditeur français n'a pour le moment, pas l'intention de le sortir en France. Dommage !...

Enregistrer

Enregistrer

28 novembre 2009

Sosie: Amy as Marilyn

Amy_heartAmy Heart, américaine originaire de l'Iowa, est une sosie professionnelle de Marilyn Monroe. Après avoir minutieusement étudié le look et l'attitude de Marilyn, Amy est devenue une performeuse, se produisant sur scène en dansant et chantant comme Marilyn Monroe.
Amy fut invitée dans le célèbre talk show télévisé américain "The Tonight Show with Jay Leno" et est apparue dans des publicités commerciales pour la presse et la télé, des films et des séries télé, en tant que sosie de Marilyn. Elle se produit encore aujourd'hui sur scène, en galas, aux Etats-Unis.

AmyHeart amywind

>> son site officiel: Amy as Marilyn
>> mailing liste: Amy as Marilyn Yahoo group

>> sur le web: follow that dream

Enregistrer

Visiteurs
Depuis la création 5 662 757
Derniers commentaires
Marilyn sur le web

BLOG-GIF-MM-GPB-1 
Une sélection de sites web

Blog - The Marilyn Report 
Blog - The Marilyn Archive 
Blog - Tara Hanks

  Mesmerizing Marilyn Monroe
Marilyn From the 22nd Row

Collection Greg Schreiner
Collection Scott Fortner
Collection Peter Schnug

Marilyn Geek
Fan Club The Marilyn Remembered

Blog - MM Books
Blog - Marilyn Monroe Animated Gifs 
Instagram Official Marilyn Monroe

Instagram - Silver Technicolor 
Instagram - Marilynraresig

Tumblr - The Marilyn Monroe Visual Vault 
Tumblr - Infinite Marilyn 
Tumblr - Always Marilyn Monroe 
Tumblr - Marilyn in High Quality 
Tumblr - Marilyn Monroe Archive 
Tumblr - Our Girl Marilyn 

Perfectly Marilyn Monroe

Crazy For Marilyn 
Crazy For You
Crazy For You 2

La presse
Blog - Marilyn Cover Girl 
Blog - La MM que j'aime 
Magazines - Famous Fix 

Magazines - Pinterest Lorraine Funke

Archives presse USA - Newspapers 
Archives presse Australia - Trove
Archives presse - Internet Archive 
Archives presse - Lantern

Archives presse - Media History Digital Library 
Archives - Gallica BNF 

Archives magazines - Magazine Art 
LIFE photo archive 
LIFE magazines 

LIFE articles 
Collier's - Unz Review 
Esquire Classic 
Bravo Posters 
Paris Match

 Agence Photos 
Magnum  
Getty images 
mptv images 
Keystone
 profimedia
ullstein bild
Redux Pictures
Roger Viollet
Shutterstock 
topfoto
picryl
iStock by Getty 
Bridgeman images 
AP Images 

Album 

 Photographes 
All About Photo  
Listing Photographes du XXeme 
Allan Grant 
Bernard of Hollywood - instagram 
Bert Stern 
Bill Ray 
Bob Willoughby 
Carl Perutz 
Douglas Kirkland - website 
 Douglas Kirkland - instagram 
Elliott Erwitt - website 
Elliott Erwitt - instagram 
Ernst Haas 
Eve Arnold - website 
Eve Arnold - instagram 
George Barris - website 
George Barris - instagram 
Harold Lloyd  
Henri Dauman 
Jock Carroll 
Lawrence Schiller 
Leigh Wiener 
Nickolas Muray 
Phil Stern 
Philippe Halsman - website 
Philippe Halsman - instagram  
Richard Avedon - website 
Richard Avedon - instagram 
Sam Shaw - website 
Sam Shaw - instagram  
Weegee Arthur Fellig 

Milton H Greene
Milton H Greene - website 
Milton H Greene - instagram 
MHG The Archives Licensing  
The archives LLC - tumblr

Video Archives 
INA 
British Pathé  
ITN Archive

Paramount & Pathé Newsreel

Culture 
aenigma 
The Blonde at the Film 
Tumblr - Weirland TV
Dr Macro's HQ scans 
Pulp International 
Stirred Straight Up 

BLOG-GIF-MM-KOREA-1 

Sites communautés
listal 
The Place 
Who's Dated Who 
Films - imdb 
Films - Classic Movie Hub 
Bio - Wikipedia fr
  
Dossiers - FBI Records

 Marilyn Friends
Mona Rae Miracle
Joe DIMaggio
Arthur Miller
Yves Montand 
Montgomery Clift 
Clark Gable 
Marlon Brando 
Jane Russell 
Rock Hudson 
Dean Martin 
Frank Sinatra 
Ava Gardner 
Ralph Roberts 
George Fisher
Joan Crawford
Jeanne Carmen 
Travilla Style - blog 
The Actors Studio