Dimanche 12 août 2018 - sur arte
- à 20h50 -
Film - Some Like It Hot
En janvier 1960, le journaliste Stephane Groueff interviewe Marilyn Monroe pour le magazine français Paris Match (l'article paraîtra dans l'édition du 20/02/1960 ) sur le tournage du film "Let's Make Love" ("Le Milliardaire"); l'interview avait été arrangée par le photographe John Bryson.
In January, 1960, the journalist Stephane Groueff interviewes Marilyn Monroe for French magazine Paris Match (the article will be published in the edition of 1960, February, 20) on the set of "Let's Make Love". The interview was arranged by photographer John Bryson
> Stephane Groueff, Marilyn Monroe, Paula Strasberg
> Marilyn Monroe & Arthur Miller
Marilyn Monroe et sa coach Paula Strasberg prennent leur repas au Beverly Hills Hotel à l'époque du tournage de "Let's Make Love" ("Le Milliardaire") fin 1959 / début 1960. Photographies de John Bryson.
Marilyn Monroe and her drama coach Paula Strasberg take their lunch at the Beverly Hills Hotel at the time on the shooting of "Let's Make Love" at the end of 1959 / beginning 1960. Photographs by John Bryson.
Le 12 novembre 1959, Marilyn Monroe quitte le Beverly Hills Hotel pour se rendre aux studios de la Fox sur le tournage de "Let's Make Love" ("Le Milliardaire"). Photographies de John Bryson.
On November, 12, 1959, Marilyn Monroe leaves the Beverly Hills Hotel to go to the Fox Studios on the set of "Let's Make Love". Photographs by John Bryson.
source site officiel timbres postes République Centrafriquaine: car.post-stamps
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Du 18 août au 30 septembre 2018, exposition des lots mis aux enchères Essentially Marilyn au Paley Center for Media à Los Angeles, organisé par Profiles in History. Les enchères auront lieu à la fin Octobre 2018.
From August 18th to September 30th, 2018, exhibit of auction Essentially Marilyn at The Paley Center for Media in Los Angeles, by Profiles in History. Auction will occur end of October.
Description:
- photographies personnelles de son enfance
- 15 costumes de films (dont robe jaune de A Ticket To Tomahawk, body de Gentlemen Prefer Blondes, robe satin de The Prince and the Showgirl, robe à sequins de How to Marry a Millionaire, et la célèbre robe blanche du métro de The Seven Year Itch)
- vêtements de sa garde robe personnelle
- scripts annotés de sa main (dont celui de The Seven Year Itch)
- photographies de Milton Greene ...
Lieu et adresse: The Paley Center for Media - Los Angeles - 465 N. Beverly Drive, at S. Santa Monica Blvd - USA.
Horaires: Du Mercredi au Dimanche de 12h00 à 17h00 - Fermé les lundis et mardis. From Wednesdays To Sundays 12:00 to 5:00 pm - Closed Mondays and Tuesdays
Tarifs: Entrée gratuite / Free Entrance
Sites Web: profilesinhistory.com
paleycenter.org
Debbie Harry: Atomic Blondie
Année: 2017
Réalisation: Pascal Forneri
Production: Arte France / No One
Durée: 52 min
Bien avant Madonna ou Lady Gaga, il y avait Deborah Harry. La chanteuse du groupe Blondie est devenue une icône punk et glamour. Portrait intime d'une jeune fille du New Jersey qui décide de conjurer l'ennui en se plongeant dans le bouillonnement de New York et qui marquera l'histoire de la pop.
Deuxième femme la plus photographiée du monde après Lady Diana, "sorte de Barbarella sous acide", selon Iggy Pop, Debbie Harry grandit dans la classe moyenne suburbaine de l'Amérique des années 1950, alors à son apogée avant les grandes remises en question des décennies suivantes. À 20 ans, elle part seule tenter sa chance à New York. Un temps Bunny Girl pour le Playboy Club, elle finit par trouver un job de serveuse au Max's Kansas City, la cantine des plus grandes stars – Lou Reed et William Burroughs y sont des clients réguliers. Dans les bars où elle joue avec son partenaire musical et amoureux Chris Stein, un guitariste et photographe qui prendra des milliers de clichés d'elle, l'héroïne circule et fait des ravages. Les musiciens vivent dans le bas Manhattan, alors à l'abandon, et créent sans se soucier des loyers. Dans le petit monde du punk rock naissant, le groupe Blondie peine à s'imposer à New York. Debbie Harry par contre, fascine déjà cette scène alternative de junkies et d'artistes fauchés. Finalement, le succès viendra d'ailleurs : convié en Californie, le groupe fait chavirer le Golden State. Puis l'Australie, via une face B, et enfin le reste du monde. La suite s'écrira en dollars, avec plus de 30 millions d'albums vendus.
Coulisses du punk rock
Des coulisses de la création d'une scène musicale émergente à New York, par ses lieux (le club CBGB, berceau du punk rock américain) et ses figures emblématiques (les Ramones, Warhol, David Bowie et Iggy Pop…), jusqu'aux pires moments de la starification (la drogue, l'oubli, la difficulté de se réinventer lorsqu'on est catalogué), le documentaire de Pascal Forneri dresse le portrait passionnant d'une génération. Mais aussi celui d'une femme libre et fascinante qui a inspiré les plus grandes figures musicales féminines actuelles.
>> Diffusé en France sur arte le 17 août 2018
Retranscription du passage lié à Marilyn Monroe:
(à 3min 30s) - A l'âge où l'on questionne naturellement son identité, l'adolescente Debbie a libre court de s'inventer une mère. Fascinée par les stars de cinéma aux cheveux platines, mystérieuses et fatales, il lui plaît d'imaginer qu'elle pourrait être la fille de Marilyn Monroe.
extrait d'une interview: "Vous vous êtes demandé si vous étiez la fille de Marilyn Monroe ?"
Deborah Harry: "Je crois qu'il y a une ressemblance symbolique, je ne suis pas sûre. Je pense que beaucoup de jeunes filles fabulent sur certaines images, certaines idées.
Je ne me suis jamais cachée de m'être inspirée de nombreuses actrices et particulièrement Marilyn Monroe. Mais je n'ai jamais vraiment essayé de l'imiter".
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Un court extrait du film "Les Désaxés", sorti en 1961, a été retrouvé: on apercevrait Marilyn Monroe nue.
Une scène dénudée inédite de Marilyn a été retrouvée. Selon le Daily Mail, elle proviendrait du film Les Désaxés, réalisé par John Huston. Une révolution pour l’époque, puisque ce devait être la première scène nue d'une actrice américaine dans un long métrage. La scène sonore de 45 secondes avait été coupée par le metteur en scène au montage du film, mais gardée par le producteur Frank Taylor, dans son coffre-fort. Le réalisateur John Huston n'avait pas voulu garder cette scène, la trouvant inutile.
Après la mort de Taylor en 1999, les images de cette scène inédite on été conservées par son fils, Curtice Taylor.
Interrogé par Charles Casillo, un auteur et scénariste américain qui va sortir une biographie de Marilyn "The Private Life of a Public Icon" (août 2018), Curtice Taylor a ainsi expliqué : "La plupart du temps, les prises qui ne sont pas utilisées sont détruites. Mais mon père [Frank Taylor] a pensé qu'elles étaient si importantes et si révolutionnaires qu'il les a préservées".
Dans la scène, on verrait donc Gable entièrement habillé, entrer dans la chambre. Marilyn est endormie. Il la caresse et l'embrasse dans le cou, tourne son visage et l'embrasse. Cette partie de la scène figure dans le montage final du film. Mais après que Gable quitte la pièce, Marilyn soulève le drap et enfile une blouse. Mais cela n'avait aucun sens, comme l'explique Casillo: "Pourquoi une femme assise dans son lit, avec personne dans la pièce, enlèverait le drap et enfilerait une blouse en même temps ?" Donc, finalement, elle ne fait que ôter le drap.
Casillo explique que la seule scène de nue connue de Marilyn Monroe dans un film reste celle tournée au bord de la piscine dans son dernier film resté inachevé "Something's Got to Give". Mais il ajoute que pour "The Misfits": "Si vous lisez le script… il ne contient absolument rien sur la nudité... Quand elle a tourné la scène, tout le monde était choqué sur le plateau."
source web
> article de dailymail (13 août 2018)
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Nuit du 4 au 5 août 1962 -
Cela fait aujourd'hui 56 ans que Marilyn Monroe
s'en allait rejoindre les anges ...
Son étoile brille désormais au firmament pour toujours.
Night of August 4th to 5th 1962 -
It's been 56 years since Marilyn Monroe
was going to join the angels ...
Her star is now shining in the firmament forever.
Dimanche 12 août 2018 - sur arte
- à 20h50 -
Film - Some Like It Hot
Durée : 115 minutes
Année et origine : 1959, USA
Réalisateur: Billy Wilder
Acteurs: Jack Lemmon, Tony Curtis,
Marilyn Monroe, George Raft...
Résumé: Pour échapper à des malfaiteurs, deux compères musiciens se déguisent en femmes et se font engager dans un orchestre exclusivement féminin... Rythme échevelé, dialogues incisifs, mise en scène virtuose signée Billy Wilder et trio génial : Marylin Monroe, Tony Curtis, Jack Lemmon. Un pur moment de bonheur.
Chicago, hiver 1929. Joe et Jerry, deux musiciens au chômage, obtiennent un contrat pour le bal de la Saint-Valentin. Mais témoins involontaires d’un règlement de comptes entre deux bandes rivales, ils sont pourchassés par les gangsters du parrain victorieux, qui veut leur peau. Travestis tant bien que mal, ils parviennent à se fondre dans un orchestre exclusivement féminin en partance pour la Floride, où ils tombent sous le charme renversant de la chanteuse “Sugar Cane”. Malheureuse en amour, celle-ci est bien décidée à harponner le premier millionnaire venu, mais c'est Jerry qui décroche le pompon, en la personne du vieil et richissime Osgood Fielding, troisième du nom…
Show devant
"Personne n'est parfait !" À la fin des années 1950, la libération des mœurs n'est pas encore à l'ordre du jour, mais Billy Wilder concocte déjà une comédie sur la confusion des sentiments et l’ambiguïté des sexes. L’homosexualité latente des deux protagonistes masculins ne fait plus guère de doute. Mais, loin de choquer, le réalisateur obtient avec son film cinq nominations aux Oscars et un succès exceptionnel au box-office. Bien sûr, Wilder a érigé des garde-fous, dont la distance temporelle, mais aussi le rythme. L’excès de vitesse du montage donne un tel tournis que le spectateur n’a pas le temps de saisir l’essence de situations résolument amorales. Enfin, le scénario repose entièrement sur la tromperie et dédouane le public de tout problème de conscience : le comique peut fonctionner. L’inversion des rôles, soulignée par des dialogues à l’équivoque irrésistible, déclenche l’hilarité. Wilder désamorce la suggestion d’homosexualité et en double le pouvoir comique en plaçant aux côtés du couple masculin une déesse à la sensualité fragile, incarnation absolue de la femme : Marilyn Monroe. Un trio inoubliable dans une comédie virtuose.
- à 22h46 -
Documentaire - Marilyn, divine et fragile
(titre original: "Marilyn, The Mortal Goddess")
Rediffusion dimanche 19/08/18 à 16h10
Durée : 90 minutes
Année et origine : 1996, USA
Réalisateur: Bill Harris
Résumé: Toute l'histoire de Norma Jean Baker, alias Marilyn : sa jeunesse triste dans les arrière-cours de l'industrie du cinéma, son ascension de top model, sa transmutation en acrice blonde platine à la silhouette parfaite, travaillant avec acharnement. Et en marge de sa carrière, les blessures de l'existence, des trois mariages successifs aux innombrables amants, avant le naufrage final...
Depuis des décennies, elle incarne à la fois un emblème de l’Amérique, un sex-symbol et une légende hollywoodienne. Derrière sa gloire cinématographique brille le halo fragile d’une femme peu sûre d’elle, éternellement assoiffée d’amour et de reconnaissance. Disparue à 36 ans, en 1962, dans des circonstances mal éclaircies qui ont encore ajouté à son mystère, l’enfant la plus connue de l’Amérique aurait succombé à une overdose de somnifères, un soir de solitude. Ce documentaire rend hommage à la femme et au mythe, notamment grâce à des interviews de son premier mari James Dougherty, de sa doublure Evelyn Moriarty et d’autres proches tels que la journaliste féministe Gloria Steinem, les comédiens Susan Strasberg (fille de Lee, le fondateur de l’Actors Studio) et Don Murray, son biographe Donald Spoto… Le film raconte ainsi toute l’histoire de Norma Jeane Baker, alias Marilyn : sa jeunesse triste dans les arrière-cours de l’industrie du cinéma, son ascension de top-modèle, sa transmutation en star blonde platine à la beauté parfaite, travaillant avec acharnement. Et en marge de la carrière, les blessures de l’existence, des trois mariages successifs aux innombrables amants, avant le naufrage final.