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Documentaire - Tony Curtis Le gamin du Bronx
Réalisation: Ian Ayres Pays: France Année: 2011 Durée : 56 min
De la tragédie de l'enfance à l'apaisement des dernières années, de "Certains l’aiment chaud" à "Amicalement vôtre", un voyage intime avec Tony Curtis (1925-2010), l’un des premiers sex-symbols masculins d'Hollywood.
Dès son plus jeune âge, sur le pavé du Bronx, Tony Curtis, né Bernard Schwartz, a misé sur son charme et son énergie pour échapper aux naufrages de son enfance : une famille d'émigrés juifs hongrois engluée dans la misère, une mère schizophrène qui le bat, un petit frère renversé par un camion. Engagé volontaire dans la marine pour combattre le nazisme, ce mordu de cinéma apprend après la guerre les rudiments du métier d'acteur. Repéré par Universal, il échappe assez vite à l'anonymat du menu fretin des studios, marigot impitoyable éclairé par une brève liaison avec la starlette Marilyn Monroe. En 1951, son mariage avec Janet Leigh, l'une des stars de la MGM, lui permet d’accéder à de vrais rôles de composition (Trapèze, puis Le grand chantage). S'il se prête aux diktats de la célébrité, il n'hésite pas à afficher son combat contre la ségrégation (La chaîne, avec Sidney Poitier) ou à défendre l'ambiguïté sexuelle d'un rôle (Spartacus). Et son irrésistible prestation dans Certains l’aiment chaud (1959), aux côtés de Jack Lemmon et de Marilyn, est entrée au panthéon du septième art.
Fantômes À ces années flamboyantes succède un long déclin. Même s'il tourne encore quelques grands films (Le dernier nabab) et savoure un immense succès de télévision avec Amicalement vôtre, Tony Curtis est rattrapé par les fantômes de l'enfance. Avant de trouver, sur le tard, une forme de sérénité. C'est en paisible retraité qu'il témoigne dans ce film tourné peu avant sa mort, en 2010. Entre ombre et lumière, archives et témoignages (Debbie Reynolds, Harry Belafonte…), un voyage intime avec l'une des dernières icônes de l'âge d'or hollywoodien.
Depuis la disparition de Jerry Lewis le 20 août 2017, de nombreux articles évoquant une liaison entre l'acteur et Marilyn Monroe refont surface sur le web. En effet, Jerry Lewis avait dévoilé cette liaison qu'en 2011 dans une interview pour le magazine américainGQ .
Dean Martin, Marilyn Monroe & Jerry Lewis - Redbook Award - 24/02/1953
Ancien ami proche du président John Fitzgeral Kennedy, dont Jerry Lewis a dit "avec lui, j’ai eu l’amitié la plus belle et la plus intense de mon existence", il aurait vécu une folle passion d'un mois seulement avec Marilyn. Et c'est avec son humour qu'il parvint à la séduire. S'il n'a jamais dévoilé les détails de leur rencontre, ni la date ou période exacte à laquelle elle a eu lieu, il ne cachait pas l'intensité de cette relation éphémère. Il a avoué avoir été captif de cette folle attraction reconnaissant la "tragique et mythique bombe sexuelle" qu'était Mariltn Monroe. Comme un souvenir douloureux, il expliquait "d'un sourire teinté de regret", combien il ne contrôlait plus sa propre vie à cette époque: "J'étais paralysé pendant un mois (le mois qu'ils ont passé ensemble, ndlr)". Les confessions s'arrêtent là. Rien n'est jamais venu infirmé ou confirmé cette révélation.
Extrait de l'interview / article de GQ de 2011: Asked for a list, he demurs, "That's not good press." But in the midst of another story, Lewis is suddenly insistent that Marilyn Monroe and President Kennedy—with whom Lewis was close—never had the affair many believe they had. When I look skeptical, he turns stern. "I'm telling you what I know. Never! And the only reason I know is because I did. Okay?" Wait, what?? He nods, adding that Monroe used sex like he uses humor: to make an emotional connection. "She needed that contact to be sure it was real." Okay, but what was it like, I ask, to make love to the most famously tragic sexpot of all time? "It was…" he says, taking a beat, "long." He smiles ruefully. "I was crippled for a month." Another pause. "And I thought Marlene Dietrich was great!"
Extrait de l'interview accordée au magazine françaisGaladans une suite du Four Seasons Hotel, à Beverly Hills, en septembre 2016: Gala: "Vous êtes considéré comme une légende d’Hollywood. Qu’est-ce qui vous a le plus impressionné lors de vos premières années ?" Jerry Lewis: "Marilyn Monroe toute nue ! Je peux vous dire qu’il fallait avoir la forme pour être son amant ! Pendant un mois, je ne pouvais même plus bouger ! (rires) J’ai toujours admiré Hollywood, j’ai tout aimé à Los Angeles, les lieux, la nourriture, les gens, etc… Cet endroit m’a rendu heureux toute ma vie."
Année: 2011 Réalisation: Ian Ayres Pays: France Durée: 56 min
De la tragédie de l'enfance à l'apaisement des dernières années, de "Certains l'aiment chaud" à "Amicalement vôtre", un voyage intime avec Tony Curtis (1925-2010), l'un des premiers sex-symbols masculins d'Hollywood. >> Diffusé en France sur arte le lundi 21 mars 2016
Retranscription des passages évoquant Marilyn Monroe:
(à 16min 50sec) Hollywood ne manque pas non plus de jeunes starlettes ambitieuses. Certaines, plus prometteuses que d'autres. Une en particulier attire l'attention de Tony. Tony Curtis: "Marilyn et moi, on s'est rencontré en 1948. Elle avait les cheveux auburn, et elle portait des chemisiers transparents qui laissaient entrevoir le bout de ses seins. Ohhh.. tous les scènaristes se penchaient depuis le deuxième étage pour la regarder passer et ils l'applaudissaient. Elle se dirigeait vers le portail, elle n'avait pas de voiture. En la voyant partir à pied, je me suis dit 'C'est ma chance'. Le policier qui gardait le portail était un bon copain et il lui a dit 'C'est un type en or. Vraiment, c'est quelqu'un de bien, vous pouvez monter avec lui.' Elle l'a fait ! Une fois chez elle, je l'ai invitée à sortir avec moi, elle a accepté. Elle m'a donné le numéro de son petit hôtel." Tony se fait prêter la maison d'un ami sur la plage de Malibu. Après être passé prendre Marilyn, il s'arrête dans un épicerie et achète un délicieux dîner pour leur soirée en tête à tête. Il a imaginé une soirée romantique, organisée dans les moindres détails. Tony Curtis: "Les steaks et le poulet ont brûlé. J'ai renversé le vin, la salade est tombée des assiettes, c'était le pire des dîners ! Mais on a fait l'amour. Cela a été une expérience formidable pour tous les deux. Je savais ce qu'elle ressentait parce que je le ressentais moi-même. Tous les deux, on vivait là quelque chose de totalement nouveau !"
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(à 33min 40sec) Après avoir bravé la discrimination raciale, Tony accepte d'incarner le rôle d'un travesti dans un film qui joue sur la confusion entre les sexes. Allan Hunter (Journaliste et Biographe): "Certains l'aiment chaud, aujourd'hui, est la plus grande comédie de tout les temps. Mais à l'époque, c'était très risqué. Deux stars masculines, déguisés en femmes, dans une oeuvre hybride, mi-film de gangster, mi-comédie. Cela aurait pu donner quelque chose de mauvais goût. Et Tony prenait un risque. D'ailleurs, il a avoué ne pas être très à l'aise avec le fait de devoir changer de sexe. Mais comme toujours, l'instinct de l'acteur a pris le dessus. Une seule question: comment être crédible ? Son inconfort et son égo sont devenus secondaires et il s'est borné à jouer un personnage dans une situation déséspérée qui doit devenir une femme convaincante, c'est tout." Marian Collier (Actrice): "Un jour, ils sont arrivés sur le plateau en disant 'Il y a une audition pour une publicité. On y va, les filles ?' On y est tous allés, Tony y compris. Devinez qui a été pris ? Tony Curtis ! C'était lui la plus jolie. Mais à la fin, il leur a dit "Je ne suis pas une femme'". Debbie Reynolds (Actrice): "Etre un bon acteur est un don du ciel. Soit vous faites rires, soit vous ne faites pas rire. Vous êtes drôles ou vous ne l'êtes pas. Vous avez le don ou vous ne l'avez pas. Et Tony l'a." La patience d'un acteur n'a pas une durée illimitée en talons aiguilles. Pendant quatre mois, Marilyn oblige Tony Curtis et Jack Lemmon, travestis de la tête aux pieds, à l'attendre pendant des heures. Avant qu'elle ne daigne enfin à rejoinde le plateau. Comme toute l'équipe de tournage, Tony finit par enrager. Les sentiments que Tony avait éprouvé pour Marilyn ont bien changé. Le comportement de Marilyn lui rappelle les abus infligés par sa propre mère. Marian Collier: "Tony lui en voulait. Il lui en voulait beaucoup. Un soir, au visionnage des rushes, on y était tous, il était au fond, il a dit 'L'embrasser, c'est comme embrasser Hitler'". Mamie Van Doren (Actrice): "Le connaissant, il a dit ça pour faire sensation. Pour faire le malin, et attirer l'attention. Au fond, il ne le pensait pas." Tony Curtis: "J'ai connu cinq ou six filles qui embrassaient admirablement. Marilyn était de celles-là, elle faisait partie de la sélection."
Marilyn Monroe: A case for murder Author: Jay Margolis
Date de sortie:août 2011 Broché 441 pages Langue:anglais Éditeur:iUniverse.com Prix :45 Euros ISBN-10:146201755X ISBN-13:978-1462017553 Ou le commander ?sur amazon.fr Site officiel surmarilynmonroeacaseformurder
Description: It is one of the greatest mysteries of the twentieth century. How did Marilyn Monroe die? Although no pills were found in her stomach during the autopsy, it was still documented in the Los Angeles coroner's report that she had swallowed sixty-four sleeping pills prior to her demise. In Marilyn Monroe: A Case for Murder, biographer Jay Margolis presents the most thorough investigation of Marilyn Monroe's death to date and shares how he reached the definitive conclusion that she was murdered. Margolis meticulously dissects the events leading up to her death, revealing a major conspiracy and countless lies. In an exclusive interview with actress Jane Russell three months before her death, he reveals Russell's belief that Monroe was murdered and points the finger at the man she held responsible. While examining the actions of Peter Lawford, Bobby Kennedy, and Monroe's psychiatrist, Dr. Ralph Greenson, Margolis establishes a timeline of her last day alive that leads to shocking revelations. In August 1962, Marilyn Monroe's lifeless body was found on her bed, leaving all to wonder what really happened to the beautiful young starlet. Marilyn Monroe: A Case for Murder provides a fascinating examination of one of the most puzzling deaths of all time.
> 4ème de couverture (back cover)
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>Autre couverture
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Bert Stern The Man Who Shot Marilyn Objectif Marilyn Bert Stern, Original Madman
Année: 2011 Réalisation: Shannah Laumesiter Pays: USA Durée: 93 min
Documentaire sur la vie et l'oeuvre du photographe Bert Stern. Filmé par une amie, Shannah Laumesiter, le photographe se livre: son enfance, ses débuts dans la photographie, le milieu de la mode, ses femmes, ses années noires, et sa vie d'aujourd'hui... Il revient notamment en détails sur la célèbre séance de Marilyn Monroe, intitulée "The Last Sitting" car prise un mois et demie à peine avant la mort de l'actrice. Résumé: Né à New York en 1929, Bert Stern a fait ses premières photos alors qu'il était soldat en Corée. Il s'est ensuite tourné vers la pub et a notamment lancé la campagne "Driestt of the dry" pour la vodka Smirnoff. Devenu célèbre dans le monde du cinéma, il a photographié les plus belles femmes du monde (Audrey Hepburn, Brigitte Bardot, Liz Taylor, etc.). Il rencontre Marilyn Monroe pour la première fois à l'Actors Studio en 1955, l'actrice porte une robe verte émeraude qui épouse les courbes de son corps. Mais il faut attendre 1962, quand Stern propose au magazine Vogue de prendre des clichés de Marilyn. Au départ, il devait s'agir de photos de mode classiques. Mais soudain, la belle lui demande : "Vous voulez que je me mette nue ?" Ce sera le point de départ de la série "Last Sitting" ("La dernière séance"). >> Diffusé en France sur arte le 5 août 2012 >> Site officiel sur bertsternmadman.com
Iza Olak & David Guerre - par Esther Haase - pour Vanity Fair Italia, 7 décembre 2011 - Marilyn & Arthur Article en ligne suranneofcarversville.com
La photographe Esther Hasse a fait un travail remarquable en photographiant la relation naissante et magique entre le dramaturge Arthur Miller et Marilyn Monroe, sa seconde épouse à travers une relation tumultueuse qui dura près de 12 ans. Les mannequins Iza Olak et David Guerre interprètent le couple célèbre, avec le travail de la styliste Anna Brambilla pour l'édition italienne de Vanity Fair, paru le 7 décembre 2011.
Dans son livre ‘Arthur Miller: The Definitive Biography’, Christopher Bigsby raconte la première rencontre entre Miller et Monroe:
" Miller first met Marilyn Monroe on the Fox lot. He and Kazan watched her at work on the set of As Young as You Feel. It was a nightclub scene and she was required to walk across the floor in a black open-work lace dress, swaying her hips in a way that Miller would later insist was natural to her (her footprints on a beach, he explained, ‘would be in a straight line, the heel descending exactly before the last toe print, throwing her pelvis into motion’). Others, less emotionally committed, spoke of her lowering the heel on one shoe to create the effect.
When the shot was over, she crossed to Kazan, who had met her once before with the agent Johnny Hyde, tears in her eyes, still upset by Hyde’s death. ‘From where I stood, yards away,’ Miller wrote in Timebends, ‘I saw her in profile against a white light, with her hair coiled atop her head; she was weeping under a veil of black lace that she lifted now and then to dab her eyes. When we shook hands, the shock of her body’s motion sped through me.’ "
Les 12 livres intello-pop de 2011 Par Eve Beauvallet, Publié le 15/12/2011, en ligne surgqmagazine.fr
2/12 Vertiges du désir, Ollivier Pourriol
De quoi ça parle ? De Gilles Deleuze, Sharon Stone, Al Pacino, et de Brigitte Bardot… enfin de ses fesses.
C’est quoi ? La dernière petite bombe philo-ludique d’Ollivier Pourriol, nouvel Ali Badou du Grand Journal de Canal+. Ici, Bardot et Kidman s’allient à Sartre et Hegel pour causer cinéma, philosophie, et désir.
Marilyn Monroe s’est souvent déshabillée à commencer pour un calendrier qui vaut aujourd’hui une fortune. Mais elle n’a jamais été aussi nue que dans "Confession inachevée" (Robert Laffont) dans laquelle elle ne dévoile pas son corps mais son âme… Publiée une première fois en France en 1974, cette autobiographie, un journal intime laissé à son vieil ami Milton Greene en 1954 (elle avait 28 ans), n’avait pas été rééditée depuis.
De ce journal, on n’apprendra rien. Rien sur les derniers mois de la star puisqu’il s’achève juste après son mariage avec Joe Di Maggio, le champion de base-ball, le seul homme qu’elle aima, solide et fiable même s’il se révéla parfois violent. Rien non plus, aucune révélation, sur les frasques de sa vie tumultueuse. On y trouvera beaucoup plus : les clés de sa vie ! Livrées sans fard, ni dissimulation, presque sans pudeur. Un vrai trésor pour comprendre qui fut Marilyn Monroe, née Norma Jean Baker un jour de 1926 à Los Angeles.
Devenue la star désirable, attendue, souvent capricieuse, Marilyn explique dans cette « Confession » qu'elle se venge de ces années où elle n'était que la petite orpheline à blouse bleue que personne ne voulait voir. « J'éprouve une étrange satisfaction à punir ceux qui me désirent maintenant. Mais ce ne sont pas eux que je punis en réalité, avoue-t-elle. Ce sont tous les personnages de mon lointain passé qui ne voulaient pas de Norma Jean ».
Si Marilyn se prélasse des heures dans sa baignoire au risque de faire patienter des heures les puissants qui l’invitent, c’est parce que la petite Norma Jean devait se baigner dans une eau qui avait servi aux sept ou huit personnes de sa famille d’accueil. Miss Monroe récompense ainsi Norma Jean, petite fille éperdue d'amour à qui personne n'a jamais offert la moindre tendresse.
Passés ces aveux, on comprend avec émotion que Marilyn ne fut jamais au fond d'elle-même et n’eut même jamais l’intention d’être cette séductrice, cette rivale potentielle qui rendait les femmes folles de rage et de jalousie dès qu’elle apparaissait quelque part. Tout ce qu'elle rechercha au long de sa vie ne fut que de l'amour, de l'attention, de la protection. Tous s'y sont trompés qui n'ont vu en elle qu'une femme écervelée mais d'une incroyable sensualité.
Marilyn en est morte. Elle qui, si elle fut adorée, adulée au delà de l'imaginable, ne fut en réalité qu'une riche, très riche petite fille pauvre…
CONFESSION INACHEVEE / MARILYN MONROE - Robert Laffont
Lettres à... Marilyn Auteur: Jean-Marc Loubier Préface de Brigitte Lahaie
Date de sortie:octobre 2011 Broché 186 pages Langue:français Éditeur:Editions Autres Temps ISBN-10: 2845214294 ISBN-13:978-2845214293 Prix éditeur:18 Euros Ou le commander ?sur amazon.fr
Présentation de l'éditeur: La nuit du 4 août 1962, seule dans sa chambre, Marilyn Monroe tirait sa révérence. Légende de son vivant, morte elle devenait un mythe. Marilyn avait 36 ans. Près d’un demi-siècle après cette nuit funeste, Marilyn n’en finit pas de fasciner et d’intriguer. Aurait-elle supporté que son image soit écornée à coup de rumeurs fantaisistes et de convoitises financières ? Aurait-elle imaginé qu’aujourd’hui, elle continue d’être l’objet de tous les fantasmes ? Sans vraiment le vouloir Marilyn devint un sex-symbol faisant oublier à beaucoup qu’elle était avant tout une femme. Et, c’est à cette femme que Jean-Marc Loubier écrit pendant trente six jours. Il lui parle d’elle, de ce qu’on pense d’elle, de ce que sont devenus ses amis, ses partenaires, ses amants, ses rivales… Il ne lui cache rien des turbulences du monde et tente aussi de l’amuser, de la distraire. Il lui parle comme à une grande soeur, comme à une amie qu’il n’a pas connue en lui rendant l’hommage qu’elle méritait. Ces Lettres à… Marilyn sont autant de cris du coeur que de coups de gueule. Brigitte Lahaie ne s’y est pas trompée dans sa préface en soulignant que « ces lettres ne ressemblent en rien à une biographie même si de temps en temps, Jean-Marc rétablit la vérité. Elles sont plutôt une satire de notre époque. Teintées de nostalgie mais aussi remplies de ce bon sens qui fait tant défaut à notre époque ».
* Mon Avis en Bref... 0/10 J'ai beaucoup hésité à évoquer ce livre sur le blog, mais j'ai décidé tout de même de le publier afin de vous mettre en garde: n'achetez surtout pas ce livre, rempli d'inepties, où l'auteur ne fait que des "blabla" inutiles -qui plus est, très mal écrit, sans aucune poésie ou un style littéraire plaisant- à travers une correspondance épistolaire avec Marilyn (par 36 lettres car Marilyn est morte à 36 ans). On n'apprend absolument rien du tout sur Marilyn, et quand elle est évoquée, ce sont des bêtises qui sont retranscrites. Bref, on se demande encore pourquoi les éditeurs français publient ce genre de choses alors que tant d'autres livres étrangers, comme de merveilleuses biographies exhaustives, ne sont pas édités en France. Encore du gâchis !!
Drei Tage mit Marilyn: Die verschollenen Fotos des Manfred Linus Kreiner Photographies de: Manfred Linus Kreiner
Date de sortie:octobre 2011 Relié 80 pages Langue:allemand Éditeur:Garnies, Lutz ISBN-10: 3926163712 ISBN-13:978-3926163714 Prix éditeur:? Euros Ou le commander ?sur amazon.de
Description: Manfred Linus Kreiner est un photographe allemand qui a suivi Marilyn lors de son séjour à Chicago en 1959, pour la promotion du film Some like it hot (Certains l'aiment chaud). Ce livre publie en exclusivité de nombreux clichés restés jusqu'à aujourd'hui totalement inédits.