Pendant "Let's Make Love", enregistrements
Le Milliardaire
Sur le tournage
Marilyn Monroe en enregistrement studios des chansons du film "Let's Make Love" ("Le Milliardaire") en 1960.
Marilyn Monroe recording songs for the movie "Let's Make Love" in 1960.
- photographies: John Bryson -
Studios MGM
Marilyn Monroe & Paula Strasberg
- photographies: Bruce Davidson -
Marilyn Monroe, George Cukor & Jack Cole
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copyright text by GinieLand.
Marilyn Through The Lens - 03/2017 - Julien's I
Photographies
(diverses)
Lot 1: MARILYN MONROE AT NIAGARA PARTY, BRUNO BERNARD
Winning bid: $1,875
Lot 2: MARILYN MONROE AT NIAGARA PARTY, BRUNO BERNARD
Winning bid: $1,875
Lot 3: MARILYN MONROE AT NIAGARA FALLS, BRUNO BERNARD
Winning bid: $3,750
Lot 4: MARILYN MONROE WITH FLOWERS, ANDRE DE DIENES
Winning bid: $1,250
Lot 5: MARILYN ON SET OF THE MISFITS, BRUCE DAVIDSON
Winning bid: $1,000
Lot 6: MARILYN ON SET OF LET'S MAKE LOVE, NAT DALLINGER
Winning bid: $1,250
Lot 7: MARILYN ON SET OF LET'S MAKE LOVE, NAT DALLINGER
unsold
Lot 8: MARILYN IN GENTLEMEN PREFER BLONDES, JOHN FLOREA
Winning bid: $ 562.50
Lot 9: MARILYN READING BOOK, EVE ARNOLD
Winning bid: $ 625
Lot 10: MARILYN MONROE & JACK LEMON IN SOME LIKE IT HOT
Winning bid: $ 1,500
Lot 11: MARILYN MONROE AND ARTHUR MILLER, JOHN BRYSON
Unsold
Lot 12: MARILYN MONROE HOLDING CAMERA, JOSEPH JASGUR
Winning bid: $ 375
Lot 13: MARILYN MONROE AT ZUMA BEACH, JOSEPH JASGUR
Winning bid: $ 375.75
Lot 14: MARILYN MONROE AT ZUMA BEACH, JOSEPH JASGUR
Winning bid: $ 625
Lot 15: MARILYN MONROE AT ZUMA BEACH, JOSEPH JASGUR
Winning bid: $ 531.25
Lot 16: MARILYN MONROE AT ZUMA BEACH (2), JOSEPH JASGUR
Winning bid: $ 750
Lot 17: MARILYN ON HOLLYWOOD ROOF (3), JOSEPH JASGUR
Winning bid: $ 812.50
Lot 58: MARILYN MONROE PUBLICITY PHOTOGRAPH
Winning bid: $ 1,250
Lot 59: MARILYN MONROE PUBLICITY PHOTOGRAPH, NICK DE MORGOLI
Winning bid: $ 437.50
Lot 60: MARILYN MONROE PUBLICITY PHOTOGRAPH, ED CLARK
Winning bid: $ 1,187.50
Lot 61: MARILYN MONROE PUBLICITY PHOTOGRAPH, ERNEST BACHRACH
Winning bid: $ 812.50
Lot 62: MARILYN MONROE PUBLICITY PHOTOGRAPH, BERT REISFELD
Winning bid: $ 812.50
Lot 63: MARILYN MONROE PUBLICITY PHOTOGRAPH, EARL THEISEN
Winning bid: $ 625
Lot 64: MARILYN SUPPORTING 'STOP ARTHRITIS', MILTON GREENE
Winning bid: $ 812.50
Lot 65: MARILYN PHOTOS ON RIVERBANK, MILTON GREENE
unsold
Lot 66: MARILYN SUPPORTING 'STOP ARTHRITIS', MILTON GREENE
Winning bid: $ 2,000
Lot 67: MARILYN MONROE (BLACK RAINCOAT), MILTON GREENE
Winning bid: $ 750
Lot 68: MARILYN WITH A TIGER, RICHARD AVEDON
Winning bid: $ 937,50
Lot 69: MARILYN ON ARMY TANK IN KOREA, ROBERT H. MCKINLEY
unsold
Lot 70: MARILYN MONROE PUBLICITY PHOTOGRAPH
Winning bid: $ 437,50
Lot 71: MARILYN MONROE KOREA IMAGES WITH COPYRIGHT
Winning bid: $ 1,000
Doc - Le Cinéma dans l'oeil de Magnum
Le cinéma dans l'oeil de Magnum
Année: 2017
Réalisation: Sophie Bassaler
Pays: France
Durée: 54 min
À l’occasion des 70 ans de Magnum, retour sur le lien noué entre les photographes de l'agence mythique et le monde du cinéma. Une plongée unique dans le regard des créateurs, parmi lesquels Robert Capa, Cartier-Bresson, ou Josef Koudelka.
L'agence Magnum, créée en 1947 par Robert Capa, est intimement liée au cinéma depuis soixante-dix ans. Ses photographes iconiques, Capa lui-même, Cartier-Bresson, ou plus tard Josef Koudelka ont accompagné des tournages, leurs réalisateurs et leurs vedettes. Ils ont ainsi documenté des scènes de vie quotidienne, de travail, ou choisi de s'écarter du cadre pour immortaliser leur propre vision artistique. Venant du reportage de guerre ou du documentaire, ces photographes du réel ont appliqué leurs méthodes de travail à ce monde d’illusions : appareil léger, lumière naturelle, photo sur le vif et sans retouches. Marilyn Monroe, James Dean, Kate Winslet, Michelangelo Antonioni ou Theo Angelopoulos sont passés sous l'œil de l'agence, instaurant un lien unique qui ne s'est pas défait en soixante-dix ans.
Fiction et réel
C’est par amour pour l’actrice Ingrid Bergman que Robert Capa prend la toute première photo de cinéma de Magnum sur le tournage des Enchaînés d’Alfred Hitchcock, inaugurant cette histoire entre l’agence et le cinéma. À partir de nombreux récits inédits, le documentaire retrace toute une vie d’histoires croisées entre deux mondes qu’a priori tout oppose : la fiction et le réel, comme cette rencontre en 1994 entre le réalisateur Theo Angelopoulos et le jeune photographe Josef Koudelka. Ils puiseront dans les Balkans, lieu de tournage du film Le regard d'Ulysse, des clichés et plans extraordinaires, tout en gardant chacun leur signature unique. Un témoignage passionnant sur le regard des créateurs, artistes de l'image, qu'ils soient derrière une caméra ou un appareil photo.
>> Diffusé en France sur arte le 31 mai 2017
Retranscription du passage lié à Marilyn Monroe:
(à 19min 30sec) - Peter Marlow (photographe): Quand on a ce genre de relations, cela rend les choses très différentes; ça permet d'atteindre ce niveau d'intimité.
David Hurn (photographe): L'exemple parfait, c'est Marilyn Monroe et Eve Arnold. Elles étaient très amies et totalement à l'aise ensemble.
Eve Arnold (photographe): Marilyn avait vu une série de photos que j'avais faite de Marlene Dietrich. C'était au début des années 50; ça devait être en 52. A cette époque, les photos étaient toutes retouchées. Tout était très mis en scène. Moi, je ne savais rien de tout ça, j'étais une photojournaliste. J'ai photographié Marlene comme elle était. Elle ne posait pas. Il n'y avait pas de décor ou d'éclairage, juste moi et elle qui chantait. Quelques temps plus tard, je suis allée à une fête donnée pour John Huston. C'est Sam Shaw, un ami commun, qui m'a présentée à Marilyn. Elle m'a regardée et m'a dit: "Vous avez fait du beau travail avec Marlene. Imaginez ce que vous pourriez faire avec moi." J'ai trouvé ça merveilleux. Il se dégageait d'elle une vraie naïveté, mais en même temps, elle avait le sens de son image et savait se vendre. Je suis sûre qu'elle a tout de suite sentie ce que nous pourrions faire ensemble. Un jour, une nuit plutôt, vers 4 heures du matin, elle m'a appelée pour savoir si j'acceptais de la rejoindre à 10 heures du matin à l'aéroport. J'aurai droit à un reportage exclusif, car elle voyageait seule avec son coiffeur.
Isabella Rossellini (actrice, réalisatrice): Eve avait sa délicatesse qui je pense, lui a permis de gagner la confiance d'autres actrices. Notamment, celle de Joan Crawford.
(... à 21min 50sec) - Eve Arnold: C'était à Chicago durant une escale qui s'éternisait. Marilyn est allée aux toilettes et comme je suis une femme, je l'ai suivie. Je n'avais pas l'intention de la photographier, mais elle était si belle avec sa jupe relevée sur ses petites jambes potelées. J'avais toujours pensé qu'elle était mince. Elle avait cette merveilleuse capacité à se faire plus grande qu'elle n'était.
David Hurn: Cette photo est tellement intime. Et j'aime à pense que Eve était si proche d'elle, que Marilyn lui faisait tellement confiance. Cette photo, pour moi, c'est la quintessence de la photographie.
Eve Arnold: Je l'ai photographiée sur une période de 10 ans. La plus courte de nos séances n'a duré que deux heures et la plus longue, deux mois, sur le tournage du film "The Misfits" de John Huston. Arthur Miller avait écrit une nouvelle dans laquelle il racontait l'histoire de trois hommes qui travaillaient dans le désert et capturaient des mustangs qu'ils vendaient ensuite pour faire de la nourriture pour chiens. C'est dans ce cadre sauvage qu'apparaît Marilyn. Clark Gable et Marilyn étaient le couple vedette. Il y avait aussi Montgomery Clift, Eli Wallach. Le film a été conçu dans le but de donner enfin un rôle sérieux à Marilyn.
Alain Bergala (essayiste): Les "Misfits" est totalement exceptionnel sur plein de points. Mais quand le film a commencé à se tourner, personne ne pouvait savoir à quel point, ce serait un film exceptionnel.
Voix Off: Le tournage du film "The Misfits" est un cas unique dans l'histoire des relations entre photographie et cinéma. Neuf grands photographes de Magnum Photos vont suivre ce tournage chaotique durant les trois mois de l'été 1960 à Reno et dans le désert du Nevada. Se succédant deux à deux toutes les deux semaines. Cet accord exceptionnel n'était pas uniquement le fait des liens de John Huston et de l'agence, mais revient à l'initiative de Lee Jones, à l'époque responsable des projets spéciaux du bureau de New York, qui a eu le pressentiment que ce film au casting de rêve mériterait une couverture exceptionnelle.
Alain Bergala: C'était la première fois dans l'histoire du cinéma où une agence obtenait l'exclusivité. Alors que toute la presse du monde aurait voulu être là. Il l'a obtenu pour une raison simple c'était que Marilyn était déjà mal en point au début du tournage et si elle avait vu arriver des photographes du monde entier, elle aurait craqué.
Voix Off: Les deux premiers photographes à arriver à Reno sont Inge Morath et Henri Cartier-Bresson.
Agnès Sire (directrice de la fondation Henri Cartier-Bresson): Cartier-Bresson, ça ne l'intéressait pas du tout. Et puis il a entrepris un voyage aux Etats-Unis l'année du tournage des "Misfits" et je pense que Lee Jones et tous les autres à Magnum lui ont dit: "Ca serait bien, on a l'exclu sur ce tournage. Ca serait bien que tu viennes, il y a Marilyn Monroe, etc..." Donc, il est allé sur le tournage; il n'est pas resté très longtemps. Mais il a fait beaucoup de photos; il a fait un portrait de Marilyn Monroe qui est très, très beau. Sa définition du portrait, qui est l'idée de saisir le silence intérieur d'une victime consentante, on voit vraiment, dans la photo de Marilyn Monroe, son silence intérieur.
Inge Morath (photographe -en 2001): Tout était exotique. Le caractère si américain du film était aussi exotique pour nous. Nous adoptions un point de vue très européen.
Agnès Sire: Arthur Miller a donc épousé Inge Morath qu'il a connue sur ce tournage des "Misfits". Arthur Miller était encore marié à Marilyn Monroe, mais c'était en train de se déliter totalement.
Alain Bergala: C'est hallucinant ce qu'on voit là dans les photos de ce tournage. Des scènes privées. C'est à dire que tout était destroy et du coup, tout était possible. Le photographe pouvait rentrer et faire la scène du ménage qui avait lieu à côté. Cela a évidemment beaucoup joué. Et ils ont senti ça, que tout allait mal.
Elliott Erwitt (photographe): Le chaos qui régnait sur le tournage était dû aux constants retards de Marilyn, à sa nervosité, et à sa grande détresse de façon générale.
Alain Bergala: Quand les acteurs arrivent, ils sont tous en très mauvais état. Clark Gable n'est pas en mauvais état mais il est très vieux, et Marilyn, ce film se trouve être son dernier film et elle le fait en très très mauvais état.
Bruce Davidson (photographe): Ce n'est pas le sex-appeal de Marilyn qui m'a attiré, mais sa fragilité. C'était une artiste qui luttait contre la dépression. Il y a cette photo que j'ai prise d'elle avec Huston qui m'a mis mal à l'aise. Elle souffrait beaucoup.
Susan Richards (auteure): Monty Clift était un peu comme elle. Les acteurs que Dennis trouvait les plus humains sortaient souvent de l'Actor's Studio. Ils essayaient de rester eux-mêmes à Hollywood où tout le monde porte un masque. Et Monty Clift ne jouait pas ce jeu là.
Alain Bergala: L'homosexualité qu'il s'interdisait de faire savoir, névrose absolue, drogues, lui, il avait tout à la fois. Et c'est magnifique. Evidemment, la scène dans l'arrière-cour où ils sont tous les deux complètement destroy, parce qu'ils étaient réellement destroy. Et Huston détestant les homosexuels... En plus, c'était pas simple pour eux, le rapport avec Huston.
Marilyn Monroe: Ce travail peut être si... On essaie d'être sincère. Cela nous amène parfois au bord d'une sorte de folie. Ce n'est pas vraiment de la folie. Il s'agit plutôt d'essayer d'extraire de soi une part de vérité. Et c'est très dur. Enfin, disons, que c'est pas facile.
Alain Bergala: Marilyn, comme toutes les stars, contrôlait les images qu'on pouvait montrer d'elle. Sur les photos qu'elle ne voulait pas voir diffuser, on voit tout ce qui la menace. C'est à dire pour elle, la beauté n'était pas donnée, n'était pas acquise, qu'est ce qu'il a fallu de travail et d'efforts pour qu'on ait une autre image que ça. Cette lutte l'a tuée. D'être toujours une image, à un moment, ça ne tient plus. C'est le film où ça ne tient plus.
Eve Arnold: On l'a tous utilisée, cela ne fait aucun doute. Nous, photographes, devons accepter le fait qu'on a besoin de l'image des autres. Bien sûr, sans la photographie, Marilyn n'aurait jamais été Marilyn. On l'aurait jamais vue car c'est ainsi que beaucoup de gens l'ont découverte. C'est un cercle vicieux, tout le monde utilise tout le monde. Elle m'a utilisée pour l'aider à aller là où elle voulait, moi et des centaines d'autres. Je n'étais pas unique. J'était unique que dans le sens où elle faisait totalement confiance.
Elliott Erwitt: Les photographes qui ont travaillé sur ce tournage n'étaient pas des paparazzis. Nous étions des photographes Magnum. Personne ne cherchait à nuire ou à créer de scandales. Je ne pense pas qu'il y ait eu des gens comme ça parmi nous.
Voix Off: Le tournage des "Misfits" s'achève le 4 novembre 1960. Le lendemain, Clark Gable est victime d'une crise cardiaque dont il décèdera quelques jours plus tard. Rarement la frontière entre la fiction et la réalité fut aussi mince; et la proximité entre les photographes et les stars aussi grandes.
Alain Bergala: C'est un film 'bascule'. Le cinéma hollywoodien ne sera jamais plus la même chose qu'avant. C'est terminé, donc Il a filmé, en même temps, la décomposition d'un système.
Voix Off: Concurrencé par la télévision, le système des studios s'est essouflé. Et bientôt, les grands magazines suivront. Pour Magnum et le cinéma, une page se tourne.
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Janvier / Février 1960 Beverly Hills Hotel
Le Milliardaire
Sur le tournage
En janvier et février 1960, les couples Marilyn Monroe - Arthur Miller et Yves Montand - Simone Signoret logent au Beverly Hills Hotel (à Beverly Hills) pendant le tournage du film "Le Milliardaire". Les deux dînaient tous les soirs ensemble. Ils sont photographiés un soir par Bruce Davidson, lors d'un dîner au bungalow n°22 des Montand (celui de Marilyn et Miller est le n° 21).
In January and February 1960, the two couples Marilyn Monroe - Arthur Miller and Yves Montand - Simone Signoret live at the Beverly Hills Hotel (in Beverly Hills) during the filming of "Let's Make Love". They have used to dinner together every evening. They are photographed one evening by Bruce Davidson, at a dinner in the Montand's bungalow n°22 Montand (the one of Marilyn and Miller is No. 21).
Yves Montand et Simone Signoret dans leur bungalow 22
Photographies de Bruce Davidson
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16/01/1960 Conference de Presse pour Let's Make Love
Le 16 janvier 1960, une conférence de presse est organisée par la Fox pour présenter le film Let's make love, avec les acteurs (Frankie Vaughan; Marilyn Monroe et Yves Montand accompagnés par leurs conjoints respectifs Arthur Miller et Simone Signoret), le réalisateur George Cukor, le producteur Buddy Adler; ainsi que les journaliste Bob Thomas, Dorothy Kilgallen , Army Arched (de MSTV) et Sidney Skolsky, puis l’animateur Milton Berle.
> Arrivée de Marilyn et Arthur Miller
> Les couples Marilyn / Arthur Miller, Yves Montand / Simone Signoret
> Avec le producteur Buddy Adler
> Avec le présentateur Milton Berle
> Marilyn avec Yves Montand et Arthur Miller
> Avec les journalistes (avec Army Arched)
Dorothy Kilgallen >
Sidney Skolsky >
Bob Thomas >
> Cocktail
avec Frankie Vaughan et Buddy Adler >
avec Milton Berle >
> Marilyn et Yves Montand
avec Georges Cukor >
> Cocktail avec les couples Montand / Miller
Devant un tableau, avec Frankie Vaughan >
avec la journalistes Brésilienne Dulce Damasceno >
> photographies de Nat Dillinger
> Devant des fleurs, Marilyn, Montand, Frankie Vaughan et Cukor
> photographies de John Bryson
> photographies de Bruce Davidson
Les couples Montand et Miller quittent ensuite la réception pour aller dîner.
> Départ de Marilyn et Yves Montand
> video 1 - US TV News
> video 2
On January 16, 1960, a press conference is organized by the Fox to present the movie "Let's Make Love", with the main actors (Frankie Vaughan; Marilyn Monroe and husband Arthur Miller and Yves Montand with wife Simone Signoret), the director George Cukor, the producer Buddy Adler; and journalists Bob Thomas, Dorothy Kilgallen, Sidney Skolsky, and TV presenter Milton Berle.
After the party, the couples Montand and Miller have dinner.
Marilyn by Magnum
Marilyn by Magnum
Auteur: Agence Magnum Photos
Date de sortie: avril 2012
Relié160 pages
Langue: anglais
Éditeur: Prestel Verlag
ISBN-10: 3791346652
ISBN-13: 978-3791346656
Prix éditeur: 24,60 Euros
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Présentation de l'éditeur: On the 50th anniversary of Marilyn’s death, this beautiful book is an elegant pictorial celebration of the beloved star by the Magnum photographers who immortalized her. It’s been half a century since we lost Marilyn Monroe, but her presence in popular culture has never faded—due in part to the incredible abundance of photographs that were taken of her. Many of those pictures were taken by members of the Magnum photographic cooperative, and appear in this stunning collection that expresses every aspect of Marilyn’s multifaceted persona. Henri Cartier-Bresson, Elliott Erwitt, Eve Arnold, Inge Morath, Philippe Halsman, Bruce Davidson, Dennis Stock, Bob Henriques, Erich Hartmann, and others capture Marilyn on and off the set. The images range from glamorous portraits to candid scenes of delicate intimacy. Marilyn is pictured filming movies such as Some Like It Hot and Gentlemen Prefer Blondes; also included in the book are Elliot Erwitt’s renowned shots of Marilyn wrangling horses on the set of The Misfits, her last film. In richly toned black and white as well as lustrous color, these photographs reveal Marilyn’s uncanny ease in front of the camera. Whether acting or exercising, putting on makeup or gracefully posing, Marilyn was a photographer’s dream. This celebration of her life will be a treasured keepsake for her millions of fans. (source:randomhouse )