Article publié le 3/03/2014
Par Sophie Legras
en ligne sur lefigaro.fr
En coulisse de la soirée d'Anniversaire de Kennedy
L'histoire des coulisses du "Joyeux anniversaire, Monsieur le Président" de Marilyn Monroe
L'agent des services secrets Larry Newman a affirmé que Bobby Kennedy et Marilyn se disputaient dans les coulisses avant la représentation.
En 1962, lorsqu'elle chante "Happy Birthday Mr. President", Marilyn Monroe est à un tournant de sa carrière et de sa vie personnelle. Elle était l'une des plus grandes actrices de son temps, mais son film précédent, The Misfits, a été une déception. Elle sortait également d'un divorce avec Arthur Miller et elle est restée un moment dans un hôpital psychiatrique de Manhattan, en raison de son état mental fragile.
Mais à la fin du printemps, les choses s'améliorent. Monroe a acheté une nouvelle maison dans le quartier calme de Brentwood à Los Angeles, et on lui avait offert un rôle principal dans Something's Got to Give (mais elle a ensuite été licenciée), un remake de la comédie loufoque de 1940 My Favorite Wife. De plus, elle avait hâte de se produire lors d'une importante collecte de fonds démocrate en l'honneur du président John F. Kennedy au Madison Square Garden de New York le 19 mai.
Monroe et Kennedy étaient impliqués dans une relation secrète et de nombreuses personnes ont affirmé qu'ils avaient passé plusieurs nuits ensemble.
Trois jours avant l'événement, Marilyn a été vue en train de répéter à New York, extrêmement anxieuse. Le soir de l'événement, on a cousu sur elle une tenue spéciale pour l'occasion - une robe couleur chair conçue par Jean Louis incrustée de plus de 2 500 strass et conçue pour épouser ses courbes.
Peter Lawford l'a présentée, "M. Président… la regrettée Marilyn Monroe" – une référence ludique aux fréquents retards de Marilyn ("late" en anglais voulant autant dire "en retard" que "regretté" pour désigner une personne chère décédée). Puis Lawford a retiré son étole et le public a eu le souffle coupé. Marilyn scintillait de 2 500 strass sur une robe couleur chair qui la faisait apparaître nue. (Elle ne portait pas de lingerie.)
Marilyn effleura le microphone avec un doigt, et soudain l'ingénue timide se transforma en chaton sexuel confiant. Marilyn a toujours été un désordre de paradoxes.
Cette nuit-là, John Kennedy était particulièrement inquiet. L'agent des services secrets Larry Newman a affirmé que Bobby Kennedy et Marilyn se disputaient dans les coulisses avant la représentation.
Plus tard dans la soirée, les Kennedy et Marilyn assistèrent à une after-party pour les donateurs démocrates. L'ambassadeur des États-Unis aux Nations Unies, Adlai Stevenson, s'est plaint qu'il était difficile de parler à Marilyn puisque Bobby était comme "un papillon de nuit autour de la flamme". D'autres ont fait remarquer qu'il était difficile de dire quel frère Kennedy Marilyn préférait.
Les services secrets ont confisqué tous les négatifs des photos montrant Marilyn avec les Kennedy cette nuit-là, sauf celle-ci (voir photo ci-dessous).
Nous ne connaîtrons jamais la véritable nature de la relation de Marilyn avec les Kennedy, mais la plupart des historiens pensent que Marilyn couchait avec Bobby à l'époque.
Mais quelque chose s'est sûrement passé cette nuit-là. Le lendemain, les chroniqueurs comme Dorothy Kilgallen ont qualifié la performance de Marilyn de "faire l'amour avec le président sous les yeux directs de quarante millions d'Américains". D'autres ont affirmé que la performance sexy de Marilyn visait à rendre son ex-mari, Arthur Miller, jaloux. (Il était dans le public.) Malheureusement, John F. Kennedy n'était pas homme à garder des femmes gênantes, et le scandale avait rendu Marilyn très gênante. Il a rompu les liens avec elle peu de temps après cette nuit.
The Story Behind Marilyn Monroe’s ‘Happy Birthday, Mr. President’
May, 03, 2022 | - online iconic
Secret Service agent Larry Newman claimed that Bobby Kennedy and Marilyn argued backstage before the performance.
During 1962, when she sang “Happy Birthday Mr. President”, Marilyn Monroe was at a turning point of her career and personal life.
She was one of the greatest actresses of her time, but her previous movie, The Misfits, was a disappointment. She was also coming off a divorce to Arthur Miller and she stayed for a while at a Manhattan psychiatric hospital, due to her fragile mental state.
But by the end of the spring, things getting better. Monroe bought a new home in the quiet Brentwood section of Los Angeles, and she had been offered a leading role in Something’s Got to Give (but she was later fired), a remake of the 1940 screwball comedy My Favorite Wife. Furthermore, she was looking forward to performing at a major Democratic fundraiser to honor President John F. Kennedy at ew York City’s Madison Square Garden on May 19.
Monroe and Kennedy were involved in a secret relationship, and many people claimed that the two spent several nights together.
Three days before the event, Marilyn was seen rehearsing in New York, extremely anxious. On the night of the event, she was sewn into a special outfit for the occasion – a Jean Louis-designed, flesh-colored gown embedded with more than 2,500 rhinestones and tailored to hug her curves.
Peter Lawford introduced her, “Mr. President…the late Marilyn Monroe” — a playful reference to Marilyn’s frequent tardiness. Then Lawford removed her stole, and the audience gasped. Marilyn was shimmering with 2,500 rhinestones over a flesh-colored gown that made her appear naked. (She did not wear lingerie.)
Marilyn flicked the microphone with one finger, and suddenly the shy ingenue morphed into the confident sex kitten. Marilyn was always a mess of paradoxes.
That night, John Kennedy was particularly worried. Secret Service agent Larry Newman claimed that Bobby Kennedy and Marilyn argued backstage before the performance.
Later that evening, the Kennedys and Marilyn attended an after-party for Democratic donors. United States Ambassador to the United Nations, Adlai Stevenson, complained that it was hard to speak to Marilyn since Bobby was like “a moth around the flame.” Others commented that it was difficult to tell which Kennedy brother Marilyn preferred.
The Secret Service confiscated all the negatives of photos showing Marilyn with the Kennedys that night, except this one.
We will never know the true nature of Marilyn’s relationship to the Kennedys, but most historians believe Marilyn was sleeping with Bobby at the time.
But something surely happened that night. The next day, columnists Dorothy Kilgallen referred to Marilyn’s performance as “making love to the president in the direct view of forty million Americans.” Others claimed that Marilyn’s sexy performance intended to make her ex-husband, Arthur Miller, jealous. (He was in the audience.)
Unfortunately, John F. Kennedy was not a man to keep inconvenient women around, and the scandal had made Marilyn very inconvenient. He broke ties with her shortly after that night.
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Histoire de folles rumeurs. Marilyn Monroe assassinée
Histoire de folles rumeurs. Marilyn Monroe assassinée
05/08/2019 | en ligne sur francetvinfo.fr
La vie de l'actrice a été compliquée, l'explication de sa mort l'est également.
Personne n’a jamais mis en cause le fait que Marilyn Monroe soit morte le 5 août 1962 à Brentwood, Los Angeles, Californie, à l’âge de 32 ans. Mais à peine quelques jours après l’annonce du probable suicide de la comédienne, la rumeur d’un assassinat commence à prendre corps. 35 minutes, c’est la durée entre la constatation du décès par le médecin de Marilyn et l’arrivée de la police. Pas une éternité, mais un laps de temps particulièrement long dans lequel s’est engouffré... le doute.
Marilyn est morte depuis plusieurs heures déjà lorsque sa gouvernante la découvre sans vie dans son lit au milieu de la nuit. Un probable suicide est rapidement évoqué, consécutif à l'absorption de très nombreuses capsules de Nembutal, un puissant barbiturique, dont on ne retrouva pourtant pas la trace dans l’estomac lors de l’autopsie. Mais pourquoi la gouvernante était-elle en train de nettoyer les draps du lit de Marilyn quand le sergent Jack Clemmons entra dans la chambre à 4h25 du matin. S’agissait-il de nettoyer les traces d’un lavement décidé par le psychiatre de Marilyn et qui aurait en réalité causé la mort ? S’agissait-il de nettoyer d’autres traces, celles d’un meurtre ? La machine à rumeur est lancée. Elle repose comme toujours sur la sidération face à la mort d’une icône. Mais il y a aussi des faits plus rationnels : pourquoi se donner la mort moins d’une semaine après avoir remporté un bras de fer avec Fox qui avait accepté de revoir son contrat à la hausse ?
Accident ou Assassinat ?
Pourquoi se donner la mort alors qu’elle disait vouloir repartir sur de bonnes bases, sans son psychiatre, en se remariant avec Jo DiMaggio, et quatre jours avant un rendez-vous de travail pour préparer un nouveau rôle, une comédie musicale avec Frank Sinatra ? Oubliant que l’on ne retrouve pas forcément la trace des barbituriques dans l’estomac, les tenants de la rumeur ont oscillé entre l’accident et l’assassinat. Un assassinat commandité par John F. Kennedy, par son frère Bobby, par Fidel Castro ou par la mafia. En 1973, le journaliste et romancier Norman Mailer publie son livre sur Marilyn, qui fera beaucoup pour la rumeur, et dont on entend parfaitement ici le mécanisme de la propagation.
Quelques mois plus tard sur le plateau de "60 minutes", le même Norman Mailer avouera qu’il avait imaginé un assassinat commandité par Robert Kennedy pour vendre beaucoup de livre. "J’avais besoin d’argent", explique-t-il. Le succès de ce livre fut en effet phénoménal. Il reste aujourd’hui un mystère qui entoure la mort de Marilyn. Ce mystère se résume en une question : a-t-elle voulu ou non se donner la mort ?
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Un acteur du "Parrain" affirme savoir qui a tué Marilyn Monroe
Un zeste de mafia, une once de liaison sulfureuse et une bonne dose de chantage… Dans ses mémoires Hollywood Godfather, à paraître le 12 mars, Gianni Russo expose sa théorie sur l’intrigante disparition de la légendaire actrice américaine.
Depuis 1962, le décès de Marilyn Monroe alimente les théories les plus folles, entre récits de vengeance, supposées erreurs médicales et même… histoires d’aliens. Dans ses mémoires Hollywood Godfather, à paraître aux États-Unis le 12 mars 2019 et coécrits avec l’écrivain Patrick Picciarelli, Gianni Russo expose sa propre version des faits. L’interprète de Carlo Rizzi dans Le Parrain, 2e partie (1975) affirme avoir entretenu une liaison discontinue avec l’actrice américaine, entre 1958 et 1962 – jusqu’à la mort de cette dernière, dans la nuit du 4 au 5 août 1962. La vedette s’éteint alors à l’âge de 36 ans - officiellement à cause d’une overdose de médicament. Gianni Russo, qui fête la même année ses 19 ans, a une théorie bien arrêtée sur les raisons de cette disparition.
Gianni Russo n'avait que 16 ans
lorsqu'il a entamé une liaison avec Marilyn Monroe.
L’acteur ne croit pas à la thèse du suicide. Selon lui, l'actrice aurait été assassinée par un sbire de «Bobby» Kennedy, le cadet de John F. Kennedy. Terrifié à l’idée que la liaison entre la vedette et l'ancien président des États-Unis ne soit révélée au grand jour, Robert Kennedy, alors procureur général, aurait préféré faire éliminer l’actrice américaine. «Personne d’autre n’aurait pu la tuer, affirme Gianni Russo dans une interview au New York Post, parue le 2 mars. La mafia ne l’aurait pas fait. Ils l’aimaient bien. C’était une fille qui aimait faire la fête.»
Pourtant, l’organisation criminelle aurait un temps nourri de sombres desseins à l’égard de la vedette. D’après Gianni Russo, la mafia projetait de filmer une sextape impliquant un «plan à trois» entre Marilyn Monroe, Robert Kennedy et son frère John dans un hôtel du Nevada, le Cal-Neva Lodge. L'objectif de cette trahison ? Faire chanter le 35e président des États-Unis, afin qu’il envahisse Cuba et permette à la mafia de reprendre la main sur les casinos locaux. Seul bémol, John F. Kennedy ne se montrera jamais au rendez-vous. Après avoir découvert le projet mafieux, Marilyn Monroe, quant à elle, aurait menacé de tout raconter aux médias. Signant par là même son arrêt de mort, affirmera Russo 57 ans plus tard.
source web
> article de madamelefigaro (04 mars 2019)
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Scandales. Rumeurs sulfureuses du vieil Hollywood
Scandales. Les rumeurs les plus sulfureuses du vieil Hollywood
en ligne sur msn.com
Il y a toujours régné un parfum de scandale dans la Mecque du cinéma, de sa naissance à son âge d'or, l'installant en Babylone des temps modernes. Voici quelques-unes de ces rumeurs les plus tenaces..
N°6/ Les parties fines de Marilyn Monroe et Frank Sinatra
On croyait avoir tout lu sur le fantasme planétaire platine, mais en 2010, Marilyn était citée dans un dossier du FBI pour une affaire de mœurs. Un feuillet figurant dans un rapport « dé-classifié » récemment apprenait, en marge de fichiers concernant des menaces de mort sur le clan Kennedy, que l'actrice avait participé à des séances échangistes et à des orgies. Cette note datée de 1965 était publiée dans un épais dossier couvrant la période 1962–1985. La new-yorkaise Jacqueline Hammond, ex-femme d'un ancien ambassadeur américain en Espagne, aurait eu « des informations considérables sur des parties fines » qui se tenaient à l'hôtel Carlyle, dans lequel John F. Kennedy possédait une chambre. Ces séances hot impliquaient des personnalités comme Robert, Ted et John Fitzgerald, Frank Sinatra, Sammy Davis Junior en plus de la blonde peroxydée. Ayant subodoré une machination à l'époque, le FBI aurait préféré ne pas prendre au sérieux les allégations concernant la vie intime des Kennedy. Mais le témoignage de Madame Hammond était très crédible et a tout de même été pris en compte.
N°8/ La bisexualité de Joan Crawford
Dans les années 20, avant d'être une immense star, elle dansait dénudée dans des vidéos destinées aux peep-shows. Plus tard, la superbe Joan Crawford a été l'une des plus grandes mangeuses d'hommes d'Hollywood, attirant dans ses draps Douglas Fairbanks Junior, Clark Gable, James Stewart, Spencer Tracy, John Garfield, Glenn Ford, Frank Sinatra et Nicholas Ray. Mais elle aimait aussi beaucoup les femmes, ce qu'elle dut cacher pour préserver sa popularité à une époque où la Cité du cinéma n'était pas des plus tolérantes avec ses étoiles. Sa rivale, Bette Davis, a déclaré : « Elle a couché avec toutes les stars de la MGM, des deux sexes. » Joan aurait également eu une aventure avec Greta Garbo, Marlene Dietrich, Barbara Stanwyck et Marilyn Monroe, qui n'aurait pas vraiment aimé leur nuit passée ensemble. Des enregistrements provenant de sessions de psychanalyse de l'actrice de Niagara ayant fait surface il y a dix ans relatent l'expérience en détails. Suite à cela, Crawford serait devenue très distante envers elle. C'est ce que clame aussi Tony Jerris, dans son livre Marilyn Monroe : My Little Secret, paru en 2012 et qui parle aussi d'autre flirts lesbiens de Marilyn.
Marilyn Monroe : Sa mort, un meurtre commandité par Bobby Kennedy ?
Marilyn Monroe: Sa mort, un meurtre commandité par Bobby Kennedy ?
publié le 18 mai 2014
en ligne sur purepeople
Dans le jeu de l'amour et du pouvoir, voilà qui devrait détourner l'intention, pour un temps, de la controverse entourant le film Grace de Monaco et ses arrangements avec la vérité historique : alors que l'histoire de Grace Kelly devenue prisonnière du Rocher revisitée par Olivier Dahan s'est attiré les foudres des Grimaldi, un ouvrage à sensation relance la théorie du complot meurtrier dans le roman sulfureux de Marilyn Monroe et des frères Kennedy. Plus de quarante ans après la mort, à 36 ans seulement, de l'icône hollywoodienne, officiellement considérée comme un suicide aux barbituriques mais toujours nimbée de mystère, le titre de cet ouvrage à paraître le 3 juin prochain (2014) ne laisse guère de place au doute quant à son positionnement : Le Meurtre de Marilyn Monroe, affaire classée.
Meurtre sur ordonnance : RFK en commanditaire, le docteur Greenson en bourreau
En exclusivité, le Daily Mail a pu prendre connaissance du contenu de l'ouvrage, écrit à quatre mains par Jay Margolis, journaliste d'investigation chevronné, et Richard Buskin, journaliste du New York Times par ailleurs auteur d'une trentaine de livres, et le quotidien se fait l'écho de sa thèse centrale : Bobby Kennedy, frère de John Fitzgerald Kennedy assassiné cinq ans après lui en 1968, aurait commandité le meurtre par injection létale de Marilyn Monroe pour la faire taire et préserver le secret des liaisons torrides que la star de cinéma entretint avec chacun d'eux. Très éprise du président et très pressante, la cultissime blonde aurait, déprimée après avoir été éconduite, jeté son dévolu sur son cadet Robert. RFK est d'ailleurs le dernier à l'avoir vue en vie avant qu'on découvre son corps inanimé, dans la nuit du 4 au 5 août 1962.
Coïncidence remarquable : la première publicité autour de ce brûlot intervient alors qu'on vient tout juste de découvrir une partie de la correspondance secrète de l'ex-First Lady américaine Jackie Kennedy, épouse de JFK, soit 33 lettres échangées avec le prêtre Joseph Leonard, dressant l'autoportrait d'une femme consciente et profondément meurtrie par les liaisons extraconjugales de son mari. Des lettres qui seront vendues aux enchères le 10 juin prochain à Durrow, en Irlande - une petite semaine après la parution de The Murder of Marilyn Monroe : Case Closed chez Skyhorse Publishing...
Le postulat de cette nouvelle enquête sur l'un des drames les plus fascinants du showbiz du XXe siècle est que Marilyn Monroe avait l'intention de révéler un tas de secrets embarrassants du clan Kennedy, consignés dans son journal intime. Pour la réduire au silence, RFK n'aurait pas agi seul, mais avec la complicité de son beau-frère l'acteur Peter Lawford et du psychiatre de la star, le docteur Ralph Greenson, accusé d'avoir supposément pratiqué l'injection fatale de pentobarbital. "Bobby Kennedy était déterminé à la faire taire, quelles qu'en soient les conséquences ; c'est la chose la plus insensée qu'il ait jamais faite, et moi j'ai été assez insensé pour laisser cela arriver", aurait plus tard témoigné un Peter Lawford rongé par la culpabilité, selon les auteurs. Lesquels avancent qu'un ambulancier du nom de James C. Hall aurait assisté à la mise à mort, présent au domicile de la star lorsque le docteur Greenson aurait injecté du pentobarbital pur directement dans le coeur de l'actrice, lui brisant une côte au passage.
Bobby et Marilyn dans la maison des secrets
Bobby aurait eu une aventure torride avec Marilyn lors de l'été 1962 qui fut son dernier, tombant sous le charme de l'icône blonde alors qu'il était allé à Los Angeles, à la demande de son frère John, pour tenter de la convaincre d'arrêter de harceler la Maison Blanche de coups de téléphone et lui faire comprendre que JFK ne divorcerait pas de Jackie pour l'épouser elle. "Ce n'était pas dans les intentions de Bobby, mais ce soir-là, ils sont devenus amants et ont passé la nuit dans notre chambre d'amis", révèle Peter Lawford, dont la résidence de Pacific Palisades, à Santa Monica, abrita nombre des aventures extraconjugales de John Fitzgerald Kennedy, l'hélicoptère présidentiel se posant sur la plage en face. Et d'ajouter : "L'affaire devint quasi instantanément très sérieuse, et ils commencèrent à se voir souvent."
Après JFK, Marilyn Monroe s'enamoura vivement de RFK, selon la version des auteurs et de leurs témoins. C'est lui désormais qu'elle pressait de ses coups de fil, lui qu'elle désirait maintenant, bien que les frères Kennedy "se la passent comme un ballon de foot", selon une formule de Peter Lawford, qui assure que Robert aurait promis à l'actrice de quitter sa compagne Ethel (aujourd'hui doyenne révérée du clan) et de l'épouser. Et lorsqu'à son tour celui-ci se mit à prendre ses distances d'avec cette amante trop ardente, Marilyn Monroe l'aurait menacé de déballer ses liaisons avec eux ainsi qu'une foule d'autres secrets gênants lors d'une conférence de presse. RFK l'aurait alors sommée de lui dire où elle cachait ce fameux "carnet rouge" dans lequel elle disait avoir tout noté. Face à son refus, il serait passé au plan B, décidant de l'éliminer avec l'aide du docteur Ralph Greenson, avec qui la star couchait aussi. Pour le convaincre de marcher dans la combine, il lui fit croire que Marilyn avait l'intention de révéler publiquement leur liaison, ce qui risquait fort de ruiner la carrière du praticien et de l'expédier en prison.
Le dernier soir : une dispute qui tourne au drame
Le 4 août 1962, Bobby et Marilyn se voient pour la dernière fois, dans la propriété de la star dans le quartier de Brentwood. Tandis que Lawford sirote du champagne au bord de la piscine, le dialogue des amants terribles tourne à l'altercation, une dispute d'une dizaine de minutes. Bobby lui demande de cesser de lui écrire et de l'appeler, Marilyn voit rouge et menace de donner une conférence de presse dès le lundi matin suivant, puis se saisit d'un petit couteau et se jette sur Bobby, mais est interceptée par Lawford. Des voisins auraient fait état d'allées et venues, plus tard dans la soirée, de Robert Fitzgerald Kennedy avec l'un de ses deux fidèles gardes du corps, liés à une division spéciale de la police de Los Angeles menant des opérations illégales en toute discrétion et qui aurait injecté du pentobarbital en intramusculaire à la star, neutralisée au sol. RFK et Lawford auraient ensuite retourné la maison, en quête du carnet contenant les secrets si farouchement conservés. Les effets de l'anesthésique se dissipant, les deux gardes du corps auraient ensuite déshabillé l'actrice et lui auraient administré un lavement à base de nombreuses pilules broyées pour laisser le temps à Bobby et son beau-frère de poursuivre leurs recherches. Le petit groupe n'aurait quitté les lieux que vers 22h30, laissant derrière lui le chien de la maison, Maf, aboyer à tue-tête, ce qui alerta le voisinage. Le corps inanimé de Marilyn fut alors trouvé dans le guesthouse de sa résidence, tête ballante.
A son arrivée sur place vers minuit, l'ambulancier tenta de la ranimer en pratiquant un massage cardiaque. "Elle était nue. Pas de drap, pas de couverture. Il n'y avait pas de verre d'eau. Pas d'alcool. On a constaté que sa respiration était très superficielle, son pouls très faible et filant, et elle était inconsciente, nota-t-il. En me penchant au-dessus d'elle, ce qui m'a frappé c'est qu'il n'y avait pas de vomi, ce qui ne collait pas avec une overdose comme la femme qui nous avait appelés le croyait, ni d'odeur de drogue émanant de sa bouche, un autre symptome classique." Et sur la table de nuit, les flacons de médicaments étaient tous parfaitement fermés. Autant d'éléments infirmant la thèse d'un suicide par ingestion de médicaments.
"Une brute avec deux mains gauches"
Alors que l'ambulancier tentait d'intuber sa patiente, un homme, se présentant comme le médecin de Marilyn Monroe et demandant ses constantes, imposa sa présence - Ralph Greenson. Il commença à manipuler la jeune femme, et Hall se souvient : "Je sais qu'il y a des docteurs qui ne sont pas habitués aux urgences, mais ce type avait deux mains gauches. C'est quand il a marmonné : 'Il faut que j'assure.' Je n'ai jamais oublié cette remarque. Jésus, poussez-vous, lui ai-je dit. Vous pouvez travailler sur elle à l'arrière de l'ambulance." Greenson aurait alors ouvert son sac et pris une seringue hypodermique, qu'il aurait remplie d'un liquide : "Il est passé par ses côtes comme un amateur. Il a enfoncé en forçant l'aiguille dans sa poitrine. Mais ça n'a pas marché du premier coup, ça a bloqué sur un os, une de ses côtes. Au lieu de réessayer, il a appuyé, ses joues tremblaient sous l'effet de l'effort. Il a poussé fort et l'a fait passer au travers de la côte, un bruit sec très net s'est produit lorsqu'elle a cassé. J'avais déjà observé un certain nombre de procédures médicales, et ce gars était carrément une brute", raconte encore James Hall, lui-même fils d'un père chirurgien et responsable d'un service d'urgences de Beverly Hills, et d'une mère infirmière en chirurgie. Son collègue ce jour-là, Murray Liebowitz, ne s'est jamais exprimé sur les faits qui se sont déroulés. Les auteurs de The Murder of Marilyn Monroe constatent : "Il y a eu cinq témoins du meurtre de Marilyn Monroe. Trois d'entre eux établissent que Ralph Greenson était responsable." Quant à la mère de Peter Lawford, elle a affirmé des années plus tard que RFK était bien dans les parages et son hélicoptère posé sur la plage la nuit fatidique.
Conspirationnistes...
Décidément bavard, l'ambulancier Hall, visiblement un témoin béni pour les journalistes, enfonce le clou : "Je crois que Marilyn a été déplacée [de son guesthouse à sa chambre à coucher] pour que cela corrobore leur histoire de suicide." Il souligne que le légiste de l'époque, Thomas Noguchi, n'a pas trouvé de marque de seringue lors de son examen, peut-être parce que le point d'entrée était dans un pli du sein de Marilyn Monroe. Pourtant, il dit que des traces de cyanose, révélatrice d'une piqûre, étaient visibles sur les clichés réalisés à la morgue par Leigh Wiener, photojournaliste pour le magazine Life qui avait pu accéder au corps en graissant quelques pattes.
Au final, le chef de la police de Los Angeles, William Parker, aurait fait en sorte d'étouffer l'affaire en ne mettant pas les moyens qui s'imposaient pour l'enquête... et en faisant pression sur des journalistes, à en croire le témoignage de l'éditorialiste May Mann, qui déclare avoir été victime d'intimidation.
Les auteurs de l'ouvrage font remonter la conspiration jusqu'au fameux premier président du FBI, J. Edgar Hoover, qui aurait été informé par ses agents de la présence de Bobby Kennedy sur les lieux la nuit de la disparition de Marilyn Monroe. Des années après, l'un de ses voisins, jeune à l'époque des faits, affirmait que Hoover lui avait dit que Marilyn avait été assassinée mais qu'il ne voulait pas arrêter RFK, et qu'il avait fait pression sur le procureur général.
Tout un faisceau de présomptions et de témoignages sujets à caution qui relancent la théorie du complot sur l'un des décès les plus traumatisants du starsystem.
The Murder of Marilyn Monroe: Case Closed, une enquête de Jay Margolis et Richard Buskin, à paraître aux éditions Skyhorse Publishing sur Amazon le 3 juin 2014.
'I Listened To Marilyn Monroe Die' - The Fred Otash Files
‘I Listened To Marilyn Monroe Die,’ Famed Hollywood Detective Claimed In Recently Uncovered Notes
Article published on June 10, 2013
online radaronline.com
Fifty one years after the death of Hollywood’s most celebrated bombshell, new files have been uncovered from a private eye who was bugging Marilyn Monroe‘s phones, revealing details about her death, and the shocking claim that he listened to her die.
Fred Otash, who worked for old Hollywood’s tabloid Confidential, before becoming a private detective, claimed that he was listening to Monroe on the night she died, in documents recently uncovered from the late sleuth’s storage unit and published in this week’s The Hollywood Reporter – and RadarOnline.com has the details.
“I listened to Marilyn Monroe die,” he claims in the notes that were discovered by his daughter, Colleen, maintaining that he had taped an angry confrontation among Bobby Kennedy, Peter Lawford and Monroe just hours before she died from a drug overdose.
Otash wrote in his notes: “She said she was passed around like a piece of meat. It was a violent argument about their relationship and the commitment and promises he made to her. She was really screaming and they were trying to quiet her down. She’s in the bedroom and Bobby gets the pillow and he muffles her on the bed to keep the neighbors from hearing. She finally quieted down and then he was looking to get out of there.”
However, Otash didn’t learn about her devastating death until Lawford rang him the next day, demanding that he remove any incriminating evidence from her home.
“I would have kept it quiet all my life,” Otash told Vanity Fair before his 1992 death. “But all of a sudden, I’m looking at FBI files and CIA files with quotes from my investigators telling them about the work they did on my behalf. It’s stupid to sit here and deny that these things are true. Yes, we did have [Lawford's house] wired. Yes, I did hear a tape of Jack Kennedy f**ing Monroe. But I don’t want to get into the moans and groans of their relationship. They were having a sexual relationship — period.”
The private eye, who followed everyone from Rock Hudson to Judy Garland, was hired by the actress to install recording equipment so that she could record her own phone calls, but was also spying on her at the same time.
“Marilyn wanted a mini-phone listening device,” he purports in the notes. “You could hide it in your bra. The microphone was a wristwatch. You could also put a suction cup on the phone. Later on, she wanted a sophisticated system put in her house. We wired up her phone because it started looking stupid with a suction cup.”
Spying on Marilyn for gossip wasn’t the private eye’s intention, however, as he was working for Howard Hughes who wanted information to discredit the democrats, but in the process he listened in on her having sex with Kennedy, who was watching Lawford’s house at the time.
“When the original Lawford house was wired, Monroe was not part of the plan,” Otash says in the files. “It was to find out what the Democrats were up to on behalf of Howard Hughes and Nixon. Monroe became a by-product.”
Marilyn and JFK, Rock Hudson's Gay Confession, Lana Turner: The Fred Otash Files
Article pubished on June 6, 2013
online hollywoodreporter.com
The Hollywood Reporter obtained the private eye's secret files, which also reveal that he once caught James Dean shoplifting and where Judy Garland hid her pills.
Fred Otash With Wife Doris
The couple in 1950.
The Surveillance Van
The exterior of Otash’s undercover surveillance van.
Marilyn Monroe
Otash listened in on Marilyn having sex with John F. Kennedy when he was watching [JFK's brother-in-law] Peter Lawford’s house in Malibu, allegedly while working for Howard Hughes, who was seeking general information with which to discredit the Democrats.
“When the original Lawford house was wired, Monroe was not part of the plan,” Otash says in the files.
“It was to find out what the Democrats were up to on behalf of Howard Hughes and Nixon. Monroe became a by-product.”
Une Sextape de Marilyn et les frères Kennedy aux enchères
Une sextape de Marilyn avec les Kennedy bientôt aux enchères?
Article publié le 2/03/2014
en ligne sur leparisien.fr
Une vidéo de Marilyn Monroe en train de faire l'amour avec John Fitzgerald et Robert Kennedy ? C'est ce qu'affirme détenir William Castleberry, ancien garde du corps à Hollywood. Peut-être plus pour longtemps car l'homme a vu une partie de ses biens, dont ce film au contenu explosif, saisie dans le cadre d'une procédure judiciaire aux Etats-Unis.
Ceux-ci doivent être mis aux enchères publiques mardi (4 mars 2014), selon les sites américains Radar Online et TMZ.
Castleberry, 56 ans, espère ainsi récupérer suffisamment d'argent pour rembourser ses dettes. Ce collectionneur a été condamné à une amende de 200 000 dollars (environ 145 000 euros) pour avoir vendu de faux objets à plusieurs personnes en Californie. D'après ce qu'il a raconté à Radar Online, il avait commencé à rembourser mais il a été mis dos au mur quand un versement de 90 000 dollars (environ 65 000 euros) en une fois lui a été demandé.
Un secret qu'il entendait garder
Il explique avoir alors été obligé de révéler un secret qu'il comptait bien garder par respect pour Joe DiMaggio, l'ancien mari de la star de «Les hommes préfèrent les blondes» ou de «Certains l'aiment chaud». «Cela me rend malade et j'essaie désespérément de trouver de l'argent avant mardi pour ne pas avoir à la vendre», a-t-il confié à Radar Online.
Marilyn Monroe et Joe DiMaggio en 1954, juste après leur mariage. (AFP.)
Interrogé par TMZ, Castleberry a également certifié l'authenticité de la vidéo. S'il n'a pas confessé la manière dont il a obtenu ce film, il a assuré qu'il s'agissait bien de Marilyn Monroe avec le président américain et son frère sur la bande.
S'il dit vrai, nul doute que la bande, en cas de mise aux enchères publiques mardi, trouvera un acquéreur. En 2008, une vidéo de l'ancienne maîtresse de JFK pratiquant une fellation à un inconnu avait trouvé preneur pour 1,5 million de dollars (1,09 million d'euros).
Une sextape de Marilyn Monroe avec les frères Kennedy mise aux enchères
La relation extraconjugale qu'entretenaient l'actrice et le président américain n'était un secret pour personne. Un certain William Castleberry affirme détenir une vidéo des ébats de trois des personnalités les plus marquantes de l'histoire récente des États-Unis.
Ce sera sans doute la sextape la plus chère du monde. Les ébats de Marilyn Monroe avec John Fitzgerald et Robert Kennedy sur un film de 8 minutes ? C'est ce qu'affirme détenir William Castleberry, ancien garde du corps à Hollywood. Pourtant, il va devoir s'en séparer. L'homme a vu une partie de ses biens, dont ce film au contenu explosif, saisis dans le cadre d'une procédure judiciaire aux États-Unis et ceux-ci doivent être mis aux enchères publiques mardi.
L'information provient des sites américains Radar Online et TMZ. William Castleberry, 56 ans, espère ainsi récupérer suffisamment d'argent pour rembourser ses dettes. Le collectionneur a été condamné à une amende de 200.000 dollars pour avoir vendu de faux objets en Californie. Il explique alors avoir été contraint de révéler un secret qu'il comptait pourtant garder, par respect pour Joe DiMaggio, l'ancien mari de l'actrice. «Cela me rend malade et j'essaie désespérément de trouver de l'argent avant mardi pour ne pas avoir à la vendre», a-t-il confié à Radar Online.
Une vidéo avait été vendue à 1,5 million de dollars
Interrogé par TMZ, l'ancien garde du corps a certifié l'authenticité de la vidéo. Il n'a pas confessé la manière dont il a obtenu ce film, mais a assuré qu'il s'agissait bien de Marilyn Monroe avec le président américain et son frère sur la bande. S'il dit vrai, il est certain que le film trouvera rapidement preneur en cas de mise aux enchères publiques. En 2008, une vidéo de l'actrice des hommes préfèrent les blondes pratiquant une fellation à un inconnu avait été vendue à 1,5 million de dollars. Mettant en scène trois vedettes des années 1950, dont le couple illégitime le plus célèbre de l'histoire, on ose imaginer la somme qu'un riche curieux pourrait débourser pour acquérir ce précieux film.
2/02/1962 Lettre à Bobby Miller
Février 1962: Marilyn écrit pour discuter des droits civils et de son impression générale sur Robert Kennedy qu'elle avait rencontré la veille, dans une lettre à Bobby, le fils d'Arthur Miller. Il s'agit sans doute du dîner donné chez les Lawford, le 1er février, au cours duquel elle rencontra Bobby Kennedy pour la première fois.
February 1962: Marilyn writes of discussing Civil Rights and her general impression of Robert Kennedy having met him the night before in a letter to Arthur Miller’s son Bobby. This is probably the dinner given in Lawford's, the 1st February, during which she met Bobby Kennedy for the first time.
Oh Bobby, devine quoi: j'ai dîné hier soir avec le procureur général des États-Unis, Robert Kennedy, et je lui ai demandé ce que son ministère allait faire sur les droits civils et quelques autres questions. Il est très intelligent, et en plus de tout cela, il a un excellent sens de l'humour. Je pense que tu l'aimerais bien. Quoi qu'il en soit, je devais aller à ce dîner hier soir car il était l'invité d'honneur et quand ils lui ont demandé qui il voulait rencontrer, il voulait me rencontrer moi. Donc, je suis allé au dîner et je me suis assise à côté de lui, et il n'est pas un mauvais danseur non plus. Mais j'ai surtout été impressionnée par la façon avec laquelle il traite sérieusement le sujet des droits civils. Il a répondu à toutes mes questions et puis il a dit qu'il allait m'écrire une lettre et le mettre sur papier. Donc, je t'enverrai une copie de la lettre quand je la recevrai parce qu'il y aura des choses très intéressantes dedans car j'ai posé vraiment beaucoup de questions. Tout d'abord, il m'a demandé si j'avais déjà assisté à ce genre de réunions. (ha ! ha !) J'ai ri et j'ai dit: "Non, mais ce sont le genre de questions pour lesquelles les jeunes d'Amérique veulent des réponses et veulent que des choses soient réalisées." Non pas que je suis si jeune, mais je me sens jeune. Mais il est lui-même un vieux de 36 ans ce qui m'a étonné, parce que j'en ai 35. Ce fut une soirée agréable, dans l'ensemble.
Oh Bobby, guess what: I had dinner last night with the Attorney-General of the United States, Robert Kennedy, and I asked him what his department was going to do about Civil Rights and some other issues. He is very intelligent, and besides all that, he's got a terrific sense of humor. I think you would like him. Anyway, I had to go to this dinner last night as he was the guest of honor and when they asked him who he wanted to meet, he wanted to meet me. So, I went to the dinner and I sat next to him, and he isn't a bad dancer either. But I was mostly impressed with how serious he is about Civil Rights. He answered all of my questions and then he said he would write me a letter and put it on paper. So, I'll send you a copy of the letter when I get it because there will be some very interesting things in it because I really asked many questions. First of all he asked if I had been attending some kind of meetings. (ha ! ha !) I laughed and said: "no, but these are the kind of questions that the youth of America want answers to and want things done about." Not that I'm so youthful, but I feel youthful. But he's a old 36 himself which astounded me because I'm 35. It was a pleasant evening, all in all.
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Paris Match 13/11/1971
Le magazine Paris Match n°1175, du 13 novembre 1971, consacrait un article d'une page sur Marilyn Monroe: "Le dernier soir de Marilyn Monroe raconté par un journaliste américain".
Télé Star 24/08/1991
Le magazine Télé Star n°777, de la semaine du 24 au 30 août 1991, consacrait un article intérieur de 2 pages à Marilyn Monroe intitulé "Le jouet brisé de John et Bob Kennedy".