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Divine Marilyn Monroe
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DIVINE MARILYN

Marilyn Monroe
1926 - 1962

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20 octobre 2012

Gif Don't Bother To Knock (1) - Chocolate

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20 octobre 2012

Les critiques de There's no business...

La Joyeuse Parade
Lecritiques 

New York Times
Lorsqu'il s'agit de faire montre de son talent, Miss Gaynor a une longueur d'avance sur Miss Monroe, dont les trémoussements et les tortillements, lorsqu'elle chante Heat Wave et Lazy, sont embarrassants à voir. 

New York Daily Mirror
Marilyn Monroe, qui détourne Donald du monde du spectacle et le pousse à revêtir l'uniforme, chante et joue sur le mode sexy dont elle est coutumière. (...) La Joyeuse Parade est un film d'une extravagance bouffonne, coloré et mélodique, avec juste ce qu'il faut de sentimentalité pure et magnifique.

New York Daily News
La Joyeuse Parade abonde en épisodes distrayants. (...) Tourné en DeLuxe Color, c'est un film à l'affiche prestigieuse; la référence à Irving Berlin lui confère du rythme, du dynamisme et une agréable note nostalgique. (...) Marilyn tient la vedette de façon amusante dans trois chansons très particulières, lorsqu'elle joue sur le mode burlesque une chanteuse sexy, interprète de chansons grivoises.
 

Variety
Il faut voir la façon dont Miss Monroe chante pour l'apprécier. Ca ne va pas chasser ses rivales du box-office; et en termes de vente de disques, elle ne fera jamais d'ombre à Miss Merman. Avec ses courbes, elle fait davantage concurrence à Mae West.


> dans la presse
 -magazine "Focus"

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20 octobre 2012

M comme Monroe, Otis Elmer

 Otis Elmer Monroe
( 1866 - 1909 )
Grand-Père ~Maternel~ de Marilyn Monroe
 

Otis Elmer Monroe, semble être la personnalité la plus sombre de la famille maternelle de Marilyn.
Sa famille est originaire d'Ecosse, mais Otis Elmer Monroe naît le 14 mai 1866 à Mc Creed (dans le Missouri). Son père est Jacob Monroe et sa mère Mary Appleton (Monroe) née en 1838.
Otis Elmer venait de quitter L'Etat de l'Indiana lorsqu'il rencontre Della Mae Hogan, qu'il épouse à la fin de l'année 1899. Il était dix ans de plus âgé que sa femme et exercait le métier de peintre en bâtiment. Il avait cependant l'ambition de se rendre un jour en Europe pour étudier la peinture. Il pimentait ses conversations de discours sur les peintres français et sur la Belle Epoque parisienne dont il avait vu des gravures dans les magazines.
Physiquement, Della Mae le décrit avec une peau claire, des cheveux roux et les yeux noisettes. Une mauvaise chute lui avait laissé une cicatrice sur la joue gauche, ce qui lui donnait un caractère romanesque et impétueux.

En 1901, avec sa femme, ils s'installent à Porfirio Diaz (qui s'appelle aujourd'hui Piedras Negras), du côté Mexicain, non loin de la frontière avec les USA, proche du Texas et d'Eagle Pass; où Otis Elmer travaille pour la Mexican National Railway.
Leur premier enfant est une fille, Gladys Pearl (qui sera la mère de Marilyn), et vient au monde le 27 mai 1902 à Mexico. L'enfant sera déclarée cinq jours après sa naissance à un juge civil mexicain.

La famille mena une existence itinérante le long de la Côte Ouest, jusque dans le Nord des Etats-Unis, puis s'installa dans la région de Los Angeles, qui était prospère et offrait de meilleures perspectives d'emploi. C'est ainsi qu'au printemps 1903, Otis Elmer trouve un emploi mieux rémunéré à Los Angeles, à la Pacific Electric Raimway (la ville était en pleine expansion et les quartiers étaient reliés par les divers moyens de communication). La famille s'installe à L.A. et loue un petit bungalow d'une seule pièce dans la 37ème Rue Ouest (secteur sud du centre-ville). C'est là que naît leur deuxième enfant, en 1905, un garçon prénommé Marion Otis Elmer (l'oncle de Marilyn). Mais la famille vit dans la pauvreté et n'a pas de foyer stable (ils déménagent plus de onze fois entre 1903 et 1909). Leurs enfants Gladys et Marion vivent donc leur enfance dans l'insécurité, sans pouvoir se lier d'amitié avec des amis de leurs âges.

A partir de 1907, la santé d'Otis Elmer commence à se dégrader. Il buvait énormément et sa mémoire le trahit progressivement: il oublie notamment souvent de rentrer à la maison après sa journée de travail, et il est incapable de se souvenir ce qu'il avait fait ni où il était allé. En 1908, son état de santé s'empire. En plus de ses troubles de mémoire, il souffre de violents maux de tête, est pris de tremblements importants, et devient émotionnellement fragile et instable avec des accès de rage, des crises de larmes et même des attaques cardiaques. Avec une santé plus que fragile, et l'abus de boisson, Otis Elmer néglige son hygiène et ses tenues vestimentaires. Durant l'été 1908, il devient à moitié paralysé.
En novembre 1908, il est admis au Southern California State Hospital à Patton, dans le Comté de San Bernardino, en Californie. Sa femme Della lui rend visite au début de son hospitalisation, mais Otis Elmer perd complètement la mémoire, allant juqu'à ne plus reconnaître sa femme et la démence le gagne. Della stoppe progressivement ses visites à l'hôpital, d'autant plus que pour subvenir aux besoins de la famille, elle s'est mise à travailler. 
Otis Elmer était atteint de parésie, le stade ultime de la syphilis (comme le confirmera le biographe Donald Spoto). Le traitement de la maladie ne sera découvert qu'en 1908. Cela signifierait que la maladie mentale d'Otis Elmer était due à une pathologie et non à une maladie héréditaire.
A peine neuf mois après être entré à l'hôpital, Otis Elmer y meurt, le 22 juillet 1909, à 15h50, à l'âge de 43 ans. Il est enterré au Rose Hill Cemetery, à Whittier. 

> Certificat de décès du 22 juillet 1909
Avis de décès paru dans LA Times du 25 juillet 1909
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> La tombe d'Otis Elmer au Rose Hill Cemetery
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Sans doute terrifiée par le fulgurent déclin mental de son mari, Della Mae racontera à ses enfants que leur père était devenu fou, à cause de l'alcool et de sa vie désordonnée. Pourtant, le dossier médical qu'on lui avait remis après la mort d'Otis, explique qu'il était décédé d'une maladie organique et non d'une maladie mentale. Un des médecins était persuadé que la forme de la syphilis qui l'avait tué était de forme endémique, c'est à dire non transmise lors d'un rapport sexuel mais bien à cause des piètres conditions d"hygiène dans lesquelles il avait travaillé au Mexique. Et la majorité des cas de syphilis au Mexique dans la période de 1880 à 1910, était bien de type endémique.
Della, Gladys et Marion ont toujours été, malgré tout, intimement convaincus que Otis Elmer avait été emporté par la folie. C'est pourquoi plus tard, Marilyn comme sa mère Gladys avant elle, vécurent dans la terreur d'une prédisposition familiale à la maladie mentale.

>> sources:
livre "Marilyn Monroe" -L'encyclopédie- d'Adam Victor
courte bio sur Geni  
documents sur le forum
Everlasting Star 
sa tombe sur findagrave.com

20 octobre 2012

Wallpaper Milton Greene (15) - wicker

> du site fanpop.com

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19 octobre 2012

La joyeuse parade vue par DVDClassik

dvdclassik_logoCritique de La Joyeuse Parade
Article
publié par Ronny Chester
en ligne
sur DvdClassik.com

dvdclassik_joyeuseparade 

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Générique
Année : 1954
Pays : États-Unis    
Genres : Comedie, Drame, Musical, Romance    
Réalisé par : Walter Lang    
Avec : Ethel Merman, Donald O'Connor, Marilyn Monroe, Dan Dailey, Johnnie Ray, Mitzi Gaynor, Richard Eastham, Hugh O'Brian, Frank McHugh, Rhys Williams, Lee Patrick, Eve Miller, Robin Raymond    
Montage : Robert L. Simpson    
Photographie : Leon Shamroy    
Scénario : Phoebe Ephron, Henry Ephron, Lamar Trotti    
Costumes : Travilla, Miles White    
Maquillage : Ben Nye, Helen Turpin    
Décorateur de plateau : Stuart A. Reiss, Walter M. Scott    
Direction artistique : John DeCuir, Lyle R. Wheeler    
Studios de production : Twentieth Century Fox Film Corporation


Technique
Durée : 117 min
Format d'image : 2.55:1
Couleur : Couleur 


L'histoire
dvdhis_joyeuseparadeMolly et Terence Donahue forment, avec leurs trois enfants, une grande famille de saltimbanques nommée "The Five Donahues". Ils parcourent le pays, se produisant dans des numéros de music-hall chaleureux et endiablés. Des petits bonheurs ou petits malheurs du quotidien, rien ne vient perturber leur sens du spectacle et de la fête. Cependant les enfants grandissent et, devenus adultes, finissent par afficher leur désir d’indépendance. Steve, le fils aîné souhaite quitter le métier pour entrer dans les ordres. Quant à Tim, le cadet, grand séducteur et noceur devant l’éternel, il est follement séduit par Vicky Parker, une très belle jeune femme ardente d’entrer dans la profession. De sérieuses tensions familiales font leur apparition, mais ne dit-on pas que le milieu du spectacle est une grande famille ?


Analyse et Critique
dvdan_joyeuseparadeA l’instar de That’s Entertainment, There’s no Business like Show Business tient une place particulière dans la culture américaine. Elle est devenue la chanson symbole de la comédie musicale, l’emblème d’un spectacle donnant toujours la priorité au merveilleux. Un spectacle défendu par des artistes complets, moines soldats d’un genre qui doit survivre aux différentes difficultés que ceux-ci endurent au quotidien. La Joyeuse Parade est ainsi une œuvre qui se veut un hommage vibrant à la comédie musicale et à ceux qui la font vivre sur les planches comme au cinéma. Le film est aussi et surtout un hommage à Irving Berlin, musicien américain d’origine russe grandement influencé par le Jazz, l’un des compositeurs les plus talentueux et respectés de la comédie musicale à Broadway et à Hollywood. Il composa une vingtaine de chansons pour des films comme Top Hat, En suivant la flotte ou Noël Blanc. Irving Berlin fut également l’auteur du célèbre hymne patriotique "God Bless America". Jerome Kern, autre grand compositeur qui révolutionna le musical dans les années 1910 et 1920, dit de lui un jour : "Berlin ne tient aucune place particulière dans la musique américaine… il EST la musique américaine".

Pour toutes ces raisons, on aurait donc bien voulu encenser un tel film, s’enflammer devant la perspective alléchante d’un aussi beau spectacle. Malheureusement, il nous faut vite déchanter face à un film poussif, dénué de toute émotion et de talent proprement cinématographique. Le problème se situe véritablement à la base : le scénario n’est manifestement qu’un prétexte à un enchaînement de numéros musicaux. Daryl Zanuck, initiateur du projet, ne s’est pas trop soucié de produire un film soutenu par une véritable intrigue et de réels enjeux dramatiques. Le sujet de La Joyeuse Parade se résume à une historiette insipide faisant vaguement le lien entre les différentes et nombreuses chorégraphies. De plus, le film ne se trouve pas vraiment être une comédie musicale dans le sens où les segments musicaux ne s’insèrent pas dans la dramaturgie du récit, exception faite de la chanson "A Man chasses a Girl" interprétée par Donald O’Connor.

Ensuite, la Fox eut la volonté d’utiliser un nouveau format de pellicule apparu depuis un an : le Cinémascope. Grâce à ce dernier, les spectateurs allaient voir sur l’écran un spectacle inédit. Le film fut en effet la première comédie musicale tournée dans ce format. Mais innovation technique n’est point synonyme d’innovation artistique. Et le metteur en scène Walter Lang, à qui Zanuck confia la réalisation du film, le prouve brillamment si l’on puis dire. Walter Lang fut un réalisateur docile et appliqué comme il y en eu des dizaines à Hollywood. Il signa de nombreuses comédies (musicales ou non) dont la plus célèbre reste sans doute la version du Roi et moi de 1956. Mais ce dernier film doit sa réussite bien plus à la qualité de son livret (signé Rodgers & Hammerstein), à ses interprètes (Deborah Kerr et Yul Brynner) et à ses qualités plastiques qu’à la réalisation désespérément plate de Lang. Ancien illustrateur de mode, le metteur en scène ne fait justement que cela : illustrer. Et La Joyeuse Parade en est l’exemple le plus frappant. La caméra se contente de suivre les prestations des comédiens en plans larges, se rapprochant par moments de la scène mais pas trop près car, comprenez-vous, le cinémascope est là pour faire entrer tout ce joli monde dans son cadre extra large. On a donc véritablement l’impression d’assister à du théâtre filmé ou plutôt du music-hall filmé, devrait-on dire. Et en dehors des numéros musicaux, Walter Lang continue de plus belle en appliquant le même principe, la caméra ne faisant qu’honorer misérablement son format : plan large / léger travelling avant / léger travelling arrière, etc...

On constate enfin, et c’est bien là le paradoxe avec La Joyeuse Parade, que le cinémascope, évolution technique majeure s’il en est, a fait reculer d’une demi génération la représentation de la comédie musicale à l’écran. On en est revenu, avec ce film, à l’illustration pure et simple de superbes numéros musicaux comme le furent ceux de Busby Berkeley. Il ne s’agit évidemment pas de dénigrer cette merveilleuse période des années 1930, source de tant de beauté et de création. Mais comment peut-on, en 1954, faire fi du renouveau apporté par le sublime et baroque Vincente Minnelli, comme de la modernité venue du couple formé par les fougueux Stanley Donen et Gene Kelly ? Il faudra attendre jusqu’à 1961 pour qu’un cinéaste digne de ce nom utilise le cinémascope à de réelles fins artistiques dans une comédie musicale. On pense évidemment à Robert Wise et West Side Story.

La distribution de La Joyeuse Parade fait la part belle à des interprètes spécialistes du genre. Ethel Merman fut une fameuse artiste de Broadway qui avait créé sur scène deux célèbres Musicals de Irving Berlin : Annie get your Gun et Call me Madam. Dan Dailey était également un acteur complet, chanteur et danseur, très apprécié aux Etats-Unis bien qu’il ne fût pas véritablement considéré comme une star. Il figura dans de nombreuses comédies musicales dans les années 40 et 50. Ces deux comédiens, jouant le couple Donahue, manquent néanmoins quelque peu de charisme. Lisses et gentillets, ils ajoutent un peu trop de mièvrerie à un scénario qui en regorge déjà beaucoup. Ethel Merman et son côté "bobonne", flanquée de la sympathique mais trop sage Mitzi Gaynor, nous font amèrement regretter les personnages forts et charismatiques qui peuplent les films de Donen ou Minnelli. Heureusement, le jovial et sautillant Donald O’Connor apporte sa fraîcheur et son énergie communicative à un film qui en manque définitivement.

Mais ne restent-il pas des raisons de se réjouir à la vision de La Joyeuse Parade ? En dehors des performances de Donald O’Connor et de quelques tableaux enchanteurs (dont l’émouvant tableau final reprenant la chanson titre), les quelques instants de bonheur proviennent assurément de la présence de Marilyn Monroe. Une Marilyn qui fit des pieds et des mains pour ne pas figurer dans le film. Darryl Zanuck, qui avait acquiescé à son désir de renoncer au projet Pink Tights, l’obligea à accepter ce second rôle qu’elle renâclait tant à jouer. Le fameux contrat de sept ans qu’elle avait signé avec la Fox, et qu’elle allait bientôt casser, ne lui laissait pas d’autre alternative. Alors qu’au même moment, le grand réalisateur Henry Hathaway terminait l’adaptation du roman "Of human bondage" de Somerset Maugham, et espérait y faire jouer Marilyn Monroe et James Dean, on n’ose pas imaginer ce que nous avons perdu au change… Mais Zanuck fit la sourde oreille.

Dans la Joyeuse Parade, Marilyn Monroe interprète trois chansons : "After you get what you want", "Heat Wave" et "Lazy". Dans le premier acte, sa présence lumineuse et sa voix langoureuse avec ses vibratos donnent enfin un peu de chaleur au film. Et cela même si Walter Lang ne sait absolument pas la filmer, en la desservant avec ses plans larges, alors que Marilyn est bien meilleure chanteuse que danseuse. Nos vœux sont quand même exaucés avec le tableau "Heat Wave" qui porte bien son nom. La sensualité affriolante de Marilyn y fait merveille. Ses déhanchements lascifs et son jeu de scène suggestif affolent les rétines. Cette séquence, plus gestuelle que dansante, parvient heureusement à la mettre en valeur. Bizarrement, on a enfin le droit à un gros plan, ce qui prouve que même un réalisateur médiocre peut se sentir pousser des ailes devant un tel phénomène. La chanson "Lazy" est également propice à un joli numéro dans lequel Marilyn, accompagnée de Mitzi Gaynor et Donald O’Connor, impose à nouveau sa sensualité et son tempérament.

Malheureusement, c’est lors du tournage de ce film que la santé de Marilyn Monroe commença à chanceler. Les effets secondaires de sa consommation répétée de somnifères commençaient à se faire sentir. C’est également sur ce plateau qu’elle fit la connaissance de Susan Strasberg qui allait bientôt jouer un rôle important dans sa vie personnelle et professionnelle. Quant à La Joyeuse Parade, on laissera le dernier mot à Marilyn : " un rôle idiot dans un film idiot.. ". Rideau !


DVD
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DVD Diamond Collection 20th Century Fox 2002
 DVD - Région 2
20th Century Fox
Parution: 4 / 9 / 2002 

Technique
Durée : 112 min
Support : 1 DVD9
Région : 2
Norme : PAL
Format cinéma : 2.55 : 1
Format vidéo : 16/9
Langues : anglais en 3.1 et italien en mono 2.0
Sous-titres : anglais, français, italien, hollandais, grec 

Image : Encore une fois, le coffret "The Diamond Collection" des films de Marilyn se distingue par sa qualité technique. La copie proposée a été magnifiquement restaurée. Les images sont quasiment nettoyées de toute impureté. Les couleurs sont belles et pimpantes. On remarquera néanmoins, pour faire le difficile, un léger voile granuleux sur tout le film dû à la compression. Mais cela n’entache en rien la vision d’un tel spectacle coloré. A noter que l’on a droit au format dit "Cinémascope 53" avec un rapport impressionnant de 2.55.

Son
: L’éditeur offre une piste originale mixée en 3.1. Cette bande son apporte donc une spatialisation bienvenue à l’avant et un canal dédié au caisson de basse (qu’on qualifiera de symbolique). La stéréo avant est appréciable, même si l’ensemble manque de dynamique. Cependant, les voix restent claires. Malheureusement, à plusieurs reprises, quelques voix sont illogiquement déportées sur les voies latérales, provoquant des effets déplaisants. Le DVD ne propose pas de piste française. Une version italienne en mono est présente, mais elle est caractérisée par un souffle important et un doublage… particulier. On ne saurait trop recommander la version originale.

dvdbo_joyeuseparadeTrois bandes annonces : une première bande annonce originale (4’15’’) en cinémascope non sous-titrée, un peu usée ; une seconde bande annonce originale (2’41’’) plus propre mais aux couleurs passées ; une bande annonce portugaise (2’41’’), qui est la traduction de la précédente (le film s’appelle O Mundo da Fantasia.
La restauration du film (1’59’’), une comparaison avant et après, introduite par trois pages d’explications en anglais (non sous-titré) sur le processus de restauration.
Une affiche originale du film en couleur.
Le chapitrage fixe et muet.

19 octobre 2012

The prince and the showgirl caps 5

Le prince et la danseuse
Captures
 
5ème partie des captures du film

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18 octobre 2012

1950s - A la Plage

Marilyn Monroe à la plage - vers 1950
Marilyn Monroe at the beach - circa 1950

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photographie non creditée
uncredited photograph


© All images are copyright and protected by their respective owners, assignees or others.
copyright text by GinieLand.  

18 octobre 2012

Catalogue Julien's Auction Novembre 2012

juliens_icons_and_idols_cover Vente aux enchères 'Icons and Idols Hollywood' les 9 et 10 novembre 2012 par JuliensAuction à Beverly Hills, aux Etats-Unis.

Le catalogue (photo ci-contre) est en vente au prix de 75 $ sur le site de juliensauction
Le catalogue est à consulter en ligne sur juliensauction
Tous les objets mis en vente (photographies, contrats, objets personnels, avec leurs descriptions et estimations) sont en consultation libre sur juliensauction (les lots concernant Marilyn vont du n°521 au n°600); ils sont exposés du 5 au 8 novembre à Beverly Hills.

> pages du catalogue
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18 octobre 2012

Julien's Auction 11/2012 - Vêtements

lot n°553: MARILYN MONROE DRESS
 A Marilyn Monroe owned off-white chiffon floor-length dress, v-neck with crossed bodice, sleeveless with thin straps, accented in rhinestone trim. Zipper at left side. Labels read "Franklin Simon's/ Fifth Avenue New York" and "New York Creation/ N.Y. Dress Institute." No size present.
PROVENANCE Partial Lot 97, "Entertainment Memorabilia Including Property From the Estates of Ella Fitzgerald and Dorothy Lamour," Sotheby's, Beverly Hills, Sale number 6975, May 21, 1997
Estimate: $5 000 - $7 000 
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 lot n°569: MARILYN MONROE PURPLE SKIRT
 MARILYN MONROE  A purple wool wraparound skirt worn by Marilyn Monroe while in Banff, Canada, shooting River of No Return (20th Century Fox, 1954) in 1953. John Vachon from Look magazine shot a series of photographs of Marilyn Monroe in this skirt, which can be seen in the book Marilyn: August 1953, The Lost LOOK Photos (New York: Dover, 2010), as did Whitey Snyder. In these photographs, Monroe is pictured recuperating from a foot injury received while filming.
PROVENANCE Partial Lot 36, "Property From the Estate of Marilyn Monroe," Julien's Auctions, Los Angeles, June 4, 2005
Estimate: $4 000 - $6 000
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lot n°581: MARILYN MONROE GOLD ENSEMBLE
 MARILYN MONROE  A Marilyn Monroe ensemble comprised of a gold fabric blouse and matching Capri pants. Don Loper Boutique label in blouse. The ensemble was originally owned by Monroe and gifted to Jean O'Doul, wife of Joe DiMaggio's personal manager.
No size present.
PROVENANCE Lot 73, "Film & Entertainment Memorabilia," Christie's, London, Sale number 5238, December 19, 2007
Estimate: $6 000 - $8 000
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18 octobre 2012

Julien's Auction 11/2012 - Documents papiers

lot n°551: MARILYN MONROE JUNIOR HIGH SCHOOL GRADUATION PROGRAM
    A program for the June 26, 1941, graduation ceremony held at Ralph Waldo Emerson Junior High School in Los Angeles. The program is separated into a list of girl and boy graduates. Norma Jeane Baker, the future Marilyn Monroe, is listed as a graduate. The cover of the paper program reads "Ralph Waldo Emerson/ Junior High School/ Class of Summer 1941/ New Frontiers of Friendship/ June The Twenty-Sixth at Four-Thirty."
9 by 6 1/4 inches

 Estimate: $200 - $400
 
lot109166 

 


lot n°551: MARILYN MONROE SIGNED 1957 LETTER
    A typed letter from Marilyn Monroe, dated "May 7, 1957" and written to Warner Bros. Pictures, permitting them to use her name in the dialogue of their film Green Eyes ; signed by Monroe in blue fountain pen ink. Attached is a typed page of dialogue from the film where Monroe's name was used, in part, "JOYCE: / (before mirror)/ How's my hair?/ BETSY:/ (genuine admiration)/ It's beautiful, Joyce!/ JOYCE:/ (preening herself)/ It's kind of the way Marilyn Monroe does hers." The letter is framed with an image of Monroe and two other documents; a carbon copy of a letter sent to Warner Bros. Pictures from Monroe's secretary regarding this matter; and the original request letter sent to "Mrs. Lilian Dean" at Marilyn Monroe Productions Inc.
Letter, 11 by 8 1/2 inches; 23 by 38 1/2 inches, framed

 Estimate: $3 000 - $4 000
 lot109230 lot109232


lot n°552: MARILYN MONROE SIGNED CUT SHEET 
  
A Marilyn Monroe signed piece of paper, affixed to larger board. Monroe has signed her name in red ink.
5 1/2 by 8 1/2 inches, overall
 Estimate: $800 - $1 200
lot109233 


lot n°596: MARILYN MONROE AND ARTHUR MILLER SIGNED PLAYBILL
   A playbill cover signed in pencil by Marilyn Monroe and Arthur Miller. The playbill was from a 1957 production of The Waltz of the Toreadors at the Coronet Theatre in New York City. Affixed at corners to black matte board.
Playbill, 9 by 6 3/4 inches; Board, 12 3/4 by 10 inches
Estimate: $2 000 - $4 000
lot596  
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lot n°598: MARILYN MONROE LAST WILL AND TESTAMENT
  A three-page "conformed" copy of Marilyn Monroe's Last Will & Testament administered by Weisberger & Frosch (New York) one year before her death, dated January 14, 1961. She bequeathed her belongings to several recipients, which provides great insight into her wishes shortly before her passing. Half-sister Berniece Miracle inherited $10,000.00, secretary and friend May Reis received the same amount, Norman and Hedda Rosten received $5,000.00, and mother Gladys Baker received $5,000.00 per year for her upkeep in institutions. Also present is original document cover and transmittal envelope.
14 by 9 inches, unfolded
PROVENANCE Lot 163, "Property From the Estate of Marilyn Monroe," Julien's Auctions, Los Angeles, June 4, 2005
Estimate: $5 000 - $7 000
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   lot n°599: MARILYN MONROE FUNERAL CARD
  An original card from the funeral of Marilyn Monroe on Wednesday, August 8, 1962, at the Westwood Village Mortuary in Los Angeles. The front of the card bears an image of the Bok Singing Tower. The inside reads in part "In Memory of Marilyn Monroe" with the details of her funeral service and Psalm 23.
Estimate: $600 - $800
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lot n°600: MARILYN MONROE CECIL BEATON TRIPTYCH
  A three-panel sterling silver custom-made Cartier frame, gifted to Marilyn Monroe by Nedda and Joshua Logan. The center frame houses a black and white silver gelatin print of the portrait Cecil Beaton took of Monroe in 1956. This image is purported to be Monroe’s favorite image of herself. The portrait is mounted to board and signed on matte by Beaton. The center frame is engraved at the top “For Marilyn Monroe Miller” and at the bottom “Love Nedda and Joshua Logan.” Joshua Logan directed Monroe in her 1956 film Bus Stop . The left and right frames house a handwritten letter from Cecil Beaton describing Monroe. It reads in part, “But the real marvel is the paradox – somehow we know that this extraordinary performance is pure charade, a little girl’s caricature of Mae West. The puzzling truth is that Miss Monroe is a make-believe siren, unsophisticated as a Rhine maiden, innocent as a sleepwalker. She is an urchin pretending to be grown-up, having the time of her life in mother’s moth-eaten finery, tottering about in high-heeled shoes and sipping gingerale as though it were a champagne cocktail. There is an otherworldly, a winsome naiveté about the child’s eyes…” The portrait can be seen in images of Monroe’s living room, where it was housed from 1956 until the actress’ death in 1962.
PROVENANCE Lot 22 "The Personal Property of Marilyn Monroe," Christie's, New York, Sale number 9216, October 27 & 28, 1999
Estimate: $35 000 - $40 000
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