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Divine Marilyn Monroe
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DIVINE MARILYN

Marilyn Monroe
1926 - 1962

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4 novembre 2019

TV - Apocalypse La Guerre des Mondes

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Les mardis de novembre 2019 - à 21h05 - France 2
A revoir en replay

Documentaire:  Apocalypse: 
La Guerre des Mondes 
1945 - 1991

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Réalisation: Isabelle Clarke & Daniel Costelle
Narration: Matthieu Kassovitz
Pays: France
Année: 2019
En 6 épisodes
Durée d'un épisode: 53 min

À l’occasion des commémorations de la chute du mur de Berlin qui marque la fin de la guerre froide, France 2 diffuse la septième saison d’Apocalypse : La Guerre des mondes. Deux soirées événements qui reviennent sur plus de quarante années qui ne sont, en fait, qu’une succession de guerres chaudes : Indochine, Corée, Vietnam, Afghanistan… entrecoupées de confrontations périlleuses entre l’Est et l’Ouest. Si, en 1945, les femmes et les hommes de la planète pensent laisser derrière eux les atrocités de la guerre, dans les coulisses de la reconstruction du monde, un affrontement plus long et plus insidieux se prépare. Bientôt, un « rideau de fer » va tomber entre l’Est communiste, dominé par l’Union soviétique, et l’Ouest, avec les États-Unis. C’est la guerre froide, la « guerre des mondes ». Dans une folle course aux armements, les États ont inventé la pire menace : l’arme nucléaire. Durant près d’un demi-siècle les grands dirigeants – Staline, Khrouchtchev, Mao, Kennedy – se rapprochent ou s’affrontent, dans un dangereux équilibre de la terreur. À tout moment, c’est l’humanité tout entière qui peut plonger dans l’apocalypse.

Episode 1: Été 1945. Alors que les peuples victorieux célèbrent le retour à la paix, un rideau de fer tombe entre ceux qui furent autrefois alliés. Pendant cinquante ans, le bloc de l'Est communiste affronte le bloc de l'Ouest, dominé par les Américains. C'est la guerre froide, la guerre des mondes. En Indochine, en Corée, au Vietnam, les grands se font face par peuples interposés. Et la toute nouvelle arme nucléaire fait peser sur l’humanité la menace d’une nouvelle apocalypse.

Episode 2: En 1947, craignant que l'Europe abîmée ne devienne le terreau du communisme, les Etats-Unis lancent le plan Marshall, pour permettre aux pays européens de se reconstruire. Les Français ont aussi besoin d'aide en Indochine, où Ho Chi Minh, caché dans la jungle, ne cesse d’accroître son armée et son influence. A Berlin, Staline impose un blocus, mais il préfère se concentrer sur le succès de sa toute nouvelle bombe atomique. Et la vague rouge continue de progresser. En Corée, la guerre est déclarée entre les communistes du Nord et une armée sud-coréenne démunie. Truman envoie ses hommes : une véritable débâcle les attend.

Episode 3: Septembre 1950. En Corée, le conflit continue mais les Américains font face à un nouvel ennemi : la Chine. Truman songe à la bombe atomique. En Indochine, les Français aussi sont au plus mal. Le parallèle entre les deux conflits est frappant : mêmes acteurs dissimulés, mêmes colonnes de prisonniers. Et le véritable ennemi, c'est Staline.


Episode 1: La grande rupture 1945-1946: diffusion le 05/11/19
Episode 2: L'escalade de la peur 1947-1950: diffusion le 05/11/19
Episode 3: Le monde tremble 1950-1952: diffusion le 05/11/19
Episode 4: La conquête 1953-1955: diffusion le 12/11/19
Episode 5: Le Mur 1956-1962: diffusion le 12/11/19
Episode 6: L'Abîme 1963-1991: diffusion le 12/11/19


© copyright text : France 2


Pour Info...  Documentaire contenant des images filmées de Marilyn Monroe:
- dans l'épisode 4, des extraits colorisés de sa tournée en Corée en 1954;
- dans l'épisode 5: des extraits de sa participation au gala organisé pour la venue de Khrouchtchev en 1959.


captures

Episode 3: Le monde tremble 1950-1952
Des images colorisées de Marilyn Monroe en Corée
apparaissent dans le générique de fin

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© All images are copyright and protected by their respective owners, assignees or others.

5 octobre 2019

TV - Elliott Erwitt, Silence Sounds Good

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Lundi 7 octobre 2019 - 23h55 - Arte
A revoir en replay sur arte.tv

Documentaire:  Elliott Erwitt
Silence Sounds Good

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Réalisation: Adriana Lopez Sanfeliu
Pays: France
Année: 2019
Durée: 62 min

Ancien directeur de l'agence Magnum, devenu célèbre pour ses portraits de onze présidents des États-Unis, ou de stars du cinéma, l'Américain Elliott Erwitt, né à Paris en 1928, s'est aussi distingué par des choix plus politiques ou humanistes, non sans un certain humour. Portrait sensible d'un des plus grands photographes du siècle passé, au regard toujours aiguisé.

Il a beau figurer parmi les photographes incontournables du XXe siècle, avec certains de ses clichés devenus iconiques, Elliott Erwitt, à 91 ans, demeure toujours insatiable. Le travail reste sa motivation quotidienne et composer un plan ou orchestrer la sortie de son prochain livre l'occupe presque dix heures par jour. C'est cette passion incandescente pour la "prochaine image" à saisir, cet esprit toujours en marche que ce film, réalisé par son assistante Adriana Lopez Sanfeliu, se propose d'accompagner, non sans une tendresse manifeste.

Ironie libre
Ancien directeur de l'agence Magnum, devenu célèbre pour ses portraits de onze présidents des États-Unis, ou de stars du cinéma, cet Américain, né à Paris en 1928, s'est aussi distingué par des choix plus politiques (la ségrégation raciale, le Che) ou humanistes (les enfants, les chiens et leurs maîtres), non sans un certain humour. "Je mets beaucoup de sérieux à ne pas être sérieux", a-t-il avoué lors d'une rare interview accordée à un journaliste de la télévision. Une ironie douce, souvent adressée à lui-même, que parvient à capter Adriana Lopez Sanfeliu en suivant le quotidien de son mentor. Portrait sensible, libre, son film rare – Elliott Erwitt n’aime pas être regardé – fait de la lenteur de son vieux personnage un motif récurrent, et aussi un motif d'étonnement, tant la force qu'il dégage derrière son appareil impressionne.  "Le succès, c'est la liberté de pouvoir faire ce qu'on veut à tout moment."


© copyright text : Arte.


Mon Avis...  01/10
Mais à quoi sert ce documentaire ? Juste une autosatisfaction de sa réalisatrice (qui en fait, n'en est pas une: elle est simplement une des assistantes du photographe). On y apprend absolument rien ni de la vie d'Erwitt (aspect privé et professionnel) ni aucune analyse de son travail. Certes, il n'aime pas analyser ses photographies, mais le documentaire ne fait que "suivre" son assistante qui le suit et le filme... et puis... rien. Il ne se passe absolument rien. Marilyn y est juste évoquée dans l'introduction par des propos d'Erwitt: "Marilyn aurait dans les 80 ans, difficile de l'imaginer à cet âge. Elle est morte à la trentaine et quand on meurt, la carrière s'arrête". On découvre juste que dans son bureau -intégré dans son appartement new-yorkais- une grande photographie encadrée de Marilyn trône. Ce film ne dure qu'une heure (et heureusement !) et il dessert totalement le personnage qu'est Erwitt. Il paraît creux, sans âme, sans profondeur; on ne comprend même pas pourquoi il est photographe et continue à travailler. L'un des plus grands photographes du XXème siècle aurait amplement mérité mieux !!

20 août 2018

Doc - Debbie Harry: Atomic Blondie

Debbie Harry: Atomic Blondie

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Année: 2017
Réalisation: Pascal Forneri

Production: Arte France / No One
Durée: 52 min

Bien avant Madonna ou Lady Gaga, il y avait Deborah Harry. La chanteuse du groupe Blondie est devenue une icône punk et glamour. Portrait intime d'une jeune fille du New Jersey qui décide de conjurer l'ennui en se plongeant dans le bouillonnement de New York et qui marquera l'histoire de la pop.
Deuxième femme la plus photographiée du monde après Lady Diana, "sorte de Barbarella sous acide", selon Iggy Pop, Debbie Harry grandit dans la classe moyenne suburbaine de l'Amérique des années 1950, alors à son apogée avant les grandes remises en question des décennies suivantes. À 20 ans, elle part seule tenter sa chance à New York. Un temps Bunny Girl pour le Playboy Club, elle finit par trouver un job de serveuse au Max's Kansas City, la cantine des plus grandes stars – Lou Reed et William Burroughs y sont des clients réguliers. Dans les bars où elle joue avec son partenaire musical et amoureux Chris Stein, un guitariste et photographe qui prendra des milliers de clichés d'elle, l'héroïne circule et fait des ravages. Les musiciens vivent dans le bas Manhattan, alors à l'abandon, et créent sans se soucier des loyers. Dans le petit monde du punk rock naissant, le groupe Blondie peine à s'imposer à New York. Debbie Harry par contre, fascine déjà cette scène alternative de junkies et d'artistes fauchés. Finalement, le succès viendra d'ailleurs : convié en Californie, le groupe fait chavirer le Golden State. Puis l'Australie, via une face B, et enfin le reste du monde. La suite s'écrira en dollars, avec plus de 30 millions d'albums vendus.
Coulisses du punk rock
Des coulisses de la création d'une scène musicale émergente à New York, par ses lieux (le club CBGB, berceau du punk rock américain) et ses figures emblématiques (les Ramones, Warhol, David Bowie et Iggy Pop…), jusqu'aux pires moments de la starification (la drogue, l'oubli, la difficulté de se réinventer lorsqu'on est catalogué), le documentaire de Pascal Forneri dresse le portrait passionnant d'une génération. Mais aussi celui d'une femme libre et fascinante qui a inspiré les plus grandes figures musicales féminines actuelles.
>> Diffusé en France sur arte le 17 août 2018


Retranscription du passage lié à Marilyn Monroe:

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(à 3min 30s) - A l'âge où l'on questionne naturellement son identité, l'adolescente Debbie a libre court de s'inventer une mère. Fascinée par les stars de cinéma aux cheveux platines, mystérieuses et fatales, il lui plaît d'imaginer qu'elle pourrait être la fille de Marilyn Monroe.
extrait d'une interview: "Vous vous êtes demandé si vous étiez la fille de Marilyn Monroe ?"
Deborah Harry: "Je crois qu'il y a une ressemblance symbolique, je ne suis pas sûre. Je pense que beaucoup de jeunes filles fabulent sur certaines images, certaines idées.
Je ne me suis jamais cachée de m'être inspirée de nombreuses actrices et particulièrement Marilyn Monroe. Mais je n'ai jamais vraiment essayé de l'imiter".


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30 juillet 2018

TV - Soirée Marilyn sur Arte

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 Dimanche 12 août 2018 - sur arte


- à 20h50 -
Film - Some Like It Hot

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Durée : 115 minutes
Année et origine : 1959, USA
Réalisateur: Billy Wilder
Acteurs: Jack Lemmon, Tony Curtis,
Marilyn Monroe, George Raft...

Résumé: Pour échapper à des malfaiteurs, deux compères musiciens se déguisent en femmes et se font engager dans un orchestre exclusivement féminin... Rythme échevelé, dialogues incisifs, mise en scène virtuose signée Billy Wilder et trio génial : Marylin Monroe, Tony Curtis, Jack Lemmon. Un pur moment de bonheur.

Chicago, hiver 1929. Joe et Jerry, deux musiciens au chômage, obtiennent un contrat pour le bal de la Saint-Valentin. Mais témoins involontaires d’un règlement de comptes entre deux bandes rivales, ils sont pourchassés par les gangsters du parrain victorieux, qui veut leur peau. Travestis tant bien que mal, ils parviennent à se fondre dans un orchestre exclusivement féminin en partance pour la Floride, où ils tombent sous le charme renversant de la chanteuse “Sugar Cane”. Malheureuse en amour, celle-ci est bien décidée à harponner le premier millionnaire venu, mais c'est Jerry qui décroche le pompon, en la personne du vieil et richissime Osgood Fielding, troisième du nom…

Show devant
"Personne n'est parfait !" À la fin des années 1950, la libération des mœurs n'est pas encore à l'ordre du jour, mais Billy Wilder concocte déjà une comédie sur la confusion des sentiments et l’ambiguïté des sexes. L’homosexualité latente des deux protagonistes masculins ne fait plus guère de doute. Mais, loin de choquer, le réalisateur obtient avec son film cinq nominations aux Oscars et un succès exceptionnel au box-office. Bien sûr, Wilder a érigé des garde-fous, dont la distance temporelle, mais aussi le rythme. L’excès de vitesse du montage donne un tel tournis que le spectateur n’a pas le temps de saisir l’essence de situations résolument amorales. Enfin, le scénario repose entièrement sur la tromperie et dédouane le public de tout problème de conscience : le comique peut fonctionner. L’inversion des rôles, soulignée par des dialogues à l’équivoque irrésistible, déclenche l’hilarité. Wilder désamorce la suggestion d’homosexualité et en double le pouvoir comique en plaçant aux côtés du couple masculin une déesse à la sensualité fragile, incarnation absolue de la femme : Marilyn Monroe. Un trio inoubliable dans une comédie virtuose.


- à 22h46 -
Documentaire - Marilyn, divine et fragile
(titre original: "Marilyn, The Mortal Goddess")
Rediffusion dimanche 19/08/18 à 16h10

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Durée : 90 minutes
Année et origine : 1996, USA
Réalisateur: Bill Harris

Résumé: Toute l'histoire de Norma Jean Baker, alias Marilyn : sa jeunesse triste dans les arrière-cours de l'industrie du cinéma, son ascension de top model, sa transmutation en acrice blonde platine à la silhouette parfaite, travaillant avec acharnement. Et en marge de sa carrière, les blessures de l'existence, des trois mariages successifs aux innombrables amants, avant le naufrage final...

Depuis des décennies, elle incarne à la fois un emblème de l’Amérique, un sex-symbol et une légende hollywoodienne. Derrière sa gloire cinématographique brille le halo fragile d’une femme peu sûre d’elle, éternellement assoiffée d’amour et de reconnaissance. Disparue à 36 ans, en 1962, dans des circonstances mal éclaircies qui ont encore ajouté à son mystère, l’enfant la plus connue de l’Amérique aurait succombé à une overdose de somnifères, un soir de solitude. Ce documentaire rend hommage à la femme et au mythe, notamment grâce à des interviews de son premier mari James Dougherty, de sa doublure Evelyn Moriarty et d’autres proches tels que la journaliste féministe Gloria Steinem, les comédiens Susan Strasberg (fille de Lee, le fondateur de l’Actors Studio) et Don Murray, son biographe Donald Spoto… Le film raconte ainsi toute l’histoire de Norma Jeane Baker, alias Marilyn : sa jeunesse triste dans les arrière-cours de l’industrie du cinéma, son ascension de top-modèle, sa transmutation en star blonde platine à la beauté parfaite, travaillant avec acharnement. Et en marge de la carrière, les blessures de l’existence, des trois mariages successifs aux innombrables amants, avant le naufrage final.

29 juillet 2018

TV - Frank Sinatra, all or Nothing at all

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Dimanche 29 juillet 2018 - 14h30 - Arte
A revoir en replay sur arte.tv

Documentaire:  Frank Sinatra
all or nothing at all

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Réalisation: Alex Gibney
Pays: Allemagne
Année: 2016
Documentaire en 2 parties
Durée partie 1: 113 min
Durée partie 2: 121 min

De sa jeunesse miséreuse dans le New Jersey à son ascension au rang de star internationale, le portrait fleuve et intime de Frank Sinatra. Des extraits rares du concert de ses "premiers adieux", en 1971, constituent le fil rouge du film. L'occasion de réécouter ses plus grands succès : "My way", "Fly me to the moon", "That's life", "New York, New York"...

Partie 1
Enfant unique, Frank Sinatra naît en 1915 à Hoboken, une ville extrêmement pauvre du New Jersey. Élevé par des parents italiens qui crurent farouchement au rêve américain, il doit lutter pour manger à sa faim. Tout jeune, il se met à jouer du piano et à chanter dans le bar familial. Un déclic. Sinatra n'a désormais qu'un objectif : devenir le nouveau Bing Crosby. Porté par une ambition démesurée, le crooner rend folles les jeunes femmes, amasse des sommes considérables, se marie et devient père pour la première fois. Mais cela ne lui suffit pas. Il s'engage dans la lutte contre la pauvreté et l'intolérance puis se lance dans une carrière d'acteur. Les années 1940 sont pourtant loin d'être idylliques pour celui que l'on surnomme "The Voice" : il est détesté par une partie des Américains, qui lui reproche son absence sur le front. On l'accuse d'être lié à la mafia et ses incartades conjugales nuisent à son image. La MGM le congédie et il finit par perdre sa voix au début des années 1950. Au fond du gouffre, Sinatra quitte sa femme pour Ava Gardner et obtient (grâce à la mafia ?) le rôle qui changera sa vie : celui d'Angelo Maggio dans Tant qu'il y aura des hommes.

Partie 2
Le phénix Sinatra renaît. Plus adulte, il troque ses cheveux bouclés et son nœud papillon contre un chapeau en feutre et une cravate large. Très proche de la scène noire américaine, il est le premier artiste blanc de son envergure à dénoncer autant la ségrégation. Si son aura est immense, "The Voice" est dévasté par sa rupture avec Ava Gardner et assiste hébété à l'explosion du rock, qu'il méprise. Il réunit quelques-unes des stars du moment au sein d'une troupe qui flatte son ego, le Rat Pack. Plus grande star de l'histoire du show-business, l'artiste se rapproche de la mafia en même temps qu'il devient un intime de Kennedy. Égal des puissants, il est dépassé par la révolution culturelle des années 1960 et décide de prendre sa retraite en 1971… pour changer d'avis trois ans plus tard. Sinatra enchaîne alors les concerts grandioses dans le monde entier.

L'homme, le chanteur, l'acteur
Riche en archives, vidéos personnelles inédites et témoignages, ce documentaire mêle la musique aux grands moments de la vie de Sinatra, sans cacher les faces sombres de l'artiste, notamment son tempérament colérique et son comportement vis-à-vis des femmes. Des extraits rares du concert de ses "premiers adieux", en 1971, constituent le fil rouge du film. L'occasion de (ré)écouter ses plus grands succès : "My Way", "Fly me to the Moon", "That's Life", "New York, New York", et bien d'autres encore.


Mon Avis...  10/10
L'un des meilleurs documentaires que j'ai vu consacré à un artiste. Composé uniquement d'archives (visuelles et sonores - avec des extraits d'interviews de Sinatra, de ses épouses (Nancy et Mia Farrow, ainsi que des extraits de la bio d'Ava Gardner), ses enfants, ses proches... mais aussi des coupures de presse) ce film ne relate que des faits (mis en exergue avec le contexte social, économique et politique de l'Amérique de l'époque). Un formidable documentaire qui nous apprend tout de la vie de Sinatra de sa naissance à sa mort (durée: près de 4 heures).
Marilyn est montrée à travers 2 photographies d'elle en compagnie de Sinatra pour illustrer d'une part, les nombreuses liaisons du crooner, puis dans un second temps, ses liens avec Kennedy.

24 juin 2018

TV - Ava Gardner la gitane d'Hollywood

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Lundi 25 juin 2018 - 22h50 - Arte
Disponible en Vidéo à la demande
du 19/06/2018 au 19/07/2018

Documentaire:  Ava Gardner
La Gitane d'Hollywood

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Réalisation: Sergio G. Mondelo
Pays: France
Année: 2017
Durée: 53 min
Elle tourna avec les plus grands, de John Ford dans "Mogambo" à Joseph L. Mankiewicz dans "La comtesse aux pieds nus", en passant par John Huston dans "La nuit de l’iguane". Derrière la beauté de l’actrice se cachaient les fragilités d’une femme tourmentée, que révélèrent ses années d’exil en Espagne sous la dictature de Franco.

Était-ce pour fuir son mariage houleux avec Frank Sinatra ou la surmédiatisation qui l’étouffait, était-ce parce qu’elle était tombée amoureuse d'un autre homme, comme elle l’écrivit dans ses mémoires ? Il y a sans doute un peu de tout cela dans le départ d'Ava Gardner, qui, au sommet de sa gloire, quitte Hollywood pour s’installer en Espagne en 1955, à 32 ans, en pleine dictature franquiste. "Ava Gardner devient libre dans un pays totalitaire. C’est complètement paradoxal", analyse Frédéric Martinez, l’un des biographes de la star, dans ce passionnant documentaire de Sergio G. Mondelo déjà auteur de Pedro Almodóvar – Tout sur ses femmes, diffusé par ARTE. Il brosse ici un saisissant portrait d’une des plus belles femmes du monde, qui succomba aux accents du flamenco, à la puissance des corridas et au sex-appeal d’un acteur-matador sur le tournage de Pandora, à Tossa de Mar en 1951.

Femme fragile
Quatre ans après cette expérience européenne, elle décide de s’exiler à Madrid. S’ensuivent quinze années de fêtes et de passions amoureuses (toujours les matadors) qui se terminent par une chute de cheval qui la laisse brisée, au sens propre comme au figuré. À tel point que sa carrière cinématographique en pâtit, elle qui tourna avec les plus grands, de John Ford dans Mogambo à Joseph L. Mankiewicz dans La comtesse aux pieds nus, en passant par John Huston dans La nuit de l’iguane. Tissé d’images d’archives, d’extraits de films et de ses mémoires, d’interventions de biographes et de critiques, le film explore avant tout les fragilités de la femme derrière l’actrice. Car Ava, qui sombra peu à peu dans l’alcool, ne parvint jamais à se départir d’un manque d’estime de soi sans doute dû à une enfance pauvre et à la mort prématurée d’un père aimant.
24 juin 2018

TV - Les nombreuses vies de Sammy Davis Jr.

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 Dimanche 24 juin 2018 - 22h40 - Arte
Disponible en Vidéo à la demande
du 24/06/2018 au 23/07/2018

Documentaire:  Les nombreuses vies
de Sammy Davis Jr.

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Réalisation: Sam Pollard
Pays: Etats-Unis
Année: 2017
Durée: 53 min

Noir, juif et Portoricain : un mélange détonant dans l’Amérique du XXe siècle. Portrait d’un artiste au multiples talents, Sammy Davis Jr., connu pour avoir bravé la ségrégation raciale.

Né en 1925 de parents artistes, Sammy Davis Jr. est propulsé très tôt dans le show-business. Excellent danseur de claquettes, il se produit aux côtés de son père au sein du Will Mastin Trio. Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors qu’il sert dans l’armée, Sammy Davis Jr. découvre le racisme, et prend conscience du pouvoir de l’humour pour l’affronter. Sa carrière décolle au milieu des années 1950, lorsqu’il décroche un second rôle dans la comédie musicale Mr. Wonderful, à Broadway. Engagé dans le mouvement des droits civiques, Sammy Davis Jr. refuse de jouer dans les salles qui pratiquent la ségrégation et déclenche la polémique en se mariant en 1960 avec l’actrice suédoise May Britt, alors que trente et un États américains interdisent encore les mariages entre Blancs et Noirs.

Artiste multifacettes
Ce passionnant documentaire revient sur la vie mouvementée de cet artiste multifacettes, à la fois chanteur, acteur, danseur et imitateur. À travers une foule d’archives et les témoignages du récemment disparu Jerry Lewis, de Whoopi Goldberg et de Quincy Jones, le film déroule le chemin chaotique que ce frondeur a dû parcourir pour arriver au sommet, sur fond de bataille pour les droits civiques. "Je vais faire en sorte que les gens m’adorent en tant qu’artiste, même s’ils me détestent en tant que Noir", disait-il. Une histoire qui est aussi, pour le meilleur et pour le pire, celle de l’Amérique.

25 avril 2018

Doc - Robert Mitchum, le mauvais garçon d'Hollywood

Robert Mitchum, le mauvais garçon d'Hollywood

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Année: 2017
Réalisation: Stéphane Benhamou

Pays: France, Arte / Lobster
Durée: 55 min

Par son naturel, le "bad boy" Robert Mitchum a conquis le public et les plus grands cinéastes, d'Otto Preminger à Vincente Minnelli en passant par Howard Hawks. Sans occulter ses frasques, ce séduisant portrait dévoile la sensibilité que l'acteur dissimulait sous sa désinvolture.


Retranscription des passages liés à Marilyn Monroe:

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(à 08 min) - En mars 1940, il se marie avec Dorothy qui l'a rejoint à Los Angeles. Elle tombe enceinte, et Mitchum doit abandonner ses petits boulots et le théâtre pour trouver un emploi stable. Il est embauché à l'usine Lockheed. L'Amérique vient d'entrer en guerre et les cadences sont infernales sur les chaînes de fabrication de bombardiers. Il se lie avec un collègue, Jim Dougherty, tout juste marié à une jolie fille d'à peine 16 ans, Norma Jeane Baker. Ils sont loin d'imaginer, eux, les enfants de la crise qui peinent à boucler leurs fins de mois, qu'ils se retrouveront stars, douze ans plus tard, sur "Rivière sans retour".

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(à 16 min) - Il préfère les soirées plus intimes. Comme celle où il est invité chez la jeune comédienne Lila Leeds. La soirée est brutalement interrompu par la police de Los Angeles, qui surprend les invités en train de fumer de la marijuana. Michum est embarqué dans une voiture de police. Et, chose étrange, la presse se bouscule déjà au commissariat où on le ramène avec les autres invités. Tout cela ressemble tellement à l'un de ces films noirs que Mitchum déclare aussitôt au Los Angeles Times qu'une arrestation pour usage de drogue, ça ruine une carrière. Il en a tellement tourné des histoires comme celle-ci où un soit-disant mauvais garçon paie pour les fautes des autres, qu'il est certain de l'issue de cette sale affaire. Son producteur et patron, Howard Hughes, est appelé au milieu de la nuit. On l'informe que sa jeune vedette risque jusqu'à six ans de prison. Il n'a pas échappé au procureur que Mitchum a déjà été condamné. Peu importe qu'il l'ait été seulement pour vagabondage quand il avait 16 ans. Hugues engage aussitôt le meilleur avocat de la ville, Jerry Giesler. Mitchum ne se fait guère d'illusion sur son sort. Au greffier, qui lui demande son métier, il répond "ancien acteur". Lors de son procès en février 1949, son avocat prouve qu'il a été victime d'une sombre histoire de chantage. Le juge accorde les circonstances atténuantes et Mitchum et Leeds sont condamnés à 60 jours de prison. Pour Lila Leeds, qui n'a encore qu'un statut de starlette, sa carrière va s'arrêter là. Et le film qu'elle tourne très rapidement pour raconter cette histoire sera son dernier.

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(à 27 min) - Ceux qui travaillent avec lui savent très bien qu'il n'y a rien à gagner à le provoquer. Le réalisateur Otto Preminger va l'apprendre à ses dépends sur le tournage de "Un si doux visage". Mitchum doit donner une gifle à Jean Simmons, pour la sortir de sa torpeur. Mais Preminger ne trouve pas la scène assez convaincante. Il la fait refaire plusieurs fois. Il exige que Mitchum donne une gifle plus forte, et, encore plus forte, jusqu'au moment où Mitchum s'avance vers Preminger et lui envoie une énorme claque en lui demandant: "Et comme ça, c'est assez fort ?".
(...) Après avoir été giflé, Preminger demande à Howard Hugues le renvoie de Mitchum, qu'il n'obtient pas. Cela n'empêche pas de réclamer Mitchum pour son film suivant, une super production en technicolor. Mitchum retrouve une vieille connaissance, celle qu'on appelle maintenant Marilyn Monroe. Malgré son air indifférent, Mitchum est un partenaire précieux. Il dissuade sa vieille copine Marilyn de suivre les conseils de sa répétitrice. Juste avant de tourner, il lui donne une claque dans le dos et lui demande d'abandonner ses airs affectés de grande tragédienne. Des airs qu'elle ne prend jamais quand elle se retrouve en famille chez les Mitchum.
Christopher Michum, fils de Robert Mitchum: "Je me souviens du jour où je l'ai rencontré à Mandeville, ils tournaient "La rivière sans retour". J'étais assis devant la cheminée, dans le salon, sur un petit banc haut comme ça, recouvert de tapisserie rembourrée. J'étais là, en plein hiver, à me réchauffer le dos au coin du feu. Je devais avoir dans les 10 ans. Elle est entrée, elle s'est retournée, et elle a relevé sa robe pour se réchauffer le postérieur au coin du feu. Et moi, j'étais là, à regarder... (rire). Arrive mon père, qui lui demande: "Tu as fait connaissance avec mon fils ? Là, elle se retourne, et elle me dis: "Bonjour, je m'appelle Norma Jeane." Apparemment, elle ne m'avait pas vu. Mais ça ne l'a pas troublée du tout. Ce premier contact m'a fait forte impression. Voilà comment j'ai rencontré Marilyn Monroe ! (rire)."
Carrie Mitchum, petite-fille de Robert Mitchum: "Je crois que les grandes amitiés que Bob a tissé, pas seulement avec des actrices, mais aussi avec des acteurs, d'autres hommes, était basé sur une compréhension réciproque de leur histoire. C'est une génération qui a survécu à la Dépression, à la pauvreté, à la dureté du quotidien. Ils étaient liés par cette expérience de la survie. Ils savaient tous parfaitement d'où ils venaient. Et ils ne voulaient pas retourner en arrière".


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21 avril 2018

TV - Robert Mitchum, le mauvais garçon d'Hollywood

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 Dimanche 22 avril 2018 - 22h50 - Arte
Rediffusion: Jeudi 10 mai 2018 - 15h10
Disponible en Vidéo à la demande
du 22/04/2018 au 28/04/2018

Documentaire:  Robert Mitchum,
le mauvais garçon d'Hollywood

robertmitchum

Réalisation: Stéphane Benhamou
Pays: France
Année: 2017
Durée: 55 min

Par son naturel, le "bad boy" Robert Mitchum a conquis le public et les plus grands cinéastes, d'Otto Preminger à Vincente Minnelli en passant par Howard Hawks. Sans occulter ses frasques, ce séduisant portrait dévoile la sensibilité que l'acteur dissimulait sous sa désinvolture.
Né en 1917 dans le Connecticut, Robert Mitchum subit de plein fouet la Grande Dépression. À 11 ans, il quitte un foyer qui n'a plus de quoi le nourrir. Après quelque temps passé chez ses grands-parents et une arrestation pour vagabondage, il rejoint la cohorte des hobos, ces errants en quête de jobs ou de combines. Cette jeunesse à la dure lui forgera le caractère et les muscles. Elle lui donnera aussi le désir d'un ancrage familial. En 1940, il épouse Dorothy, et leur union résistera à toutes ses infidélités.

"Jane Russell mâle"
Dès ses débuts, Robert Mitchum joue avec un naturel remarquable, à contre-courant de la vogue Actors Studio. Sa carrure, son flegme, son ironie en font un sex-symbol, le "Jane Russell mâle". Mais le jour où la police le coince en train de fumer de l'herbe, il se croit fini. Le patron de la RKO, Howard Hugues, dégaine alors une campagne de communication montrant Mitchum purgeant humblement sa peine. L'amour du public, acquis à la cause de ce mauvais garçon, fait le reste. L'acteur enchaîne les tournages avec les plus grands cinéastes, de Minnelli à Preminger (à qui il mettra une claque !). Sertie d'extraits de films, de témoignages et d'archives personnelles, cette plaisante biographie ne ruine pas la mauvaise (et savoureuse) réputation de l'acteur. Elle rappelle ses frasques, ses multiples liaisons (avec Ava Gardner et Shirley MacLaine, entre autres), sa rétivité aux mondanités, et ressuscite le franc-parler réjouissant qui le vit déclarer devant la commission aux activités antiaméricaines, en plein maccarthysme, qu'il répugnait à converser "avec des gens avec lesquels il n'irait pas boire des coups". Mais ce portrait dévoile aussi l'émotivité cachée derrière la façade de dur à cuire. Le touchant témoignage de son fils, Christopher Mitchum, révèle le père sensible et aimant que fut l'acteur. On apprend aussi que, malgré ses dénégations, Mitchum prenait son métier à cœur. L'échec des chefs-d'œuvre La nuit du chasseur et La fille de Ryan, réévalués longtemps après, minèrent ce faux cynique, qui prétendait faire du cinéma "pour le fric".

19 mars 2018

TV - Jayne Mansfield, la tragédie d'une blonde

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 Dimanche 25 mars 2018 - 22h50 - Arte
Disponible en Vidéo à la demande
du 18/03/2018 au 31/03/2018

Documentaire:  Jayne Mansfield, 
la tragédie d'une blonde

Jayne_Mansfield 

Réalisation: Patrick Jeudy
Année: 2013
Durée: 53 min

 L'itinéraire de Jayne Mansfield, une des plus célèbres pin-up américaines des années 1950, devenue une actrice jouissant d'une incroyable popularité, longtemps considérée comme la rivale de Marilyn Monroe, avant de disparaître des écrans et de connaître une descente aux enfers. Un documentaire empreint de nostalgie et truffé d'images d'archives.

Les mauvaises langues la qualifiaient de "doublure d'une imitation de Marilyn Monroe". D'autres ne voyaient en elle qu'une "pin-up pour routiers". Jayne Mansfield est pourtant bien plus : une actrice unique jouissant d'une incroyable popularité et, avec le recul, un symbole du Hollywood des années 1950. Née dans une famille bourgeoise en 1933, Jayne Mansfield n'avait qu'un but dans la vie : devenir star. Tout juste majeure, la brune plantureuse quitte son Texas pour Los Angeles, se teint les cheveux et change de look. Mais Hollywood toise de haut sa blondeur platine et ses formes avantageuses. Elle part alors à New York pour s'essayer au théâtre où le succès l'attend. Au cinéma, Mansfield est enfin reconnue pour son rôle dans La blonde explosive, qui récolte un Golden Globe en 1958. La presse se l'arrache autant qu'elle la moque. Il faut dire qu'avec ses grosses lunettes de soleil, son petit chien, son goût immodéré pour l'argent et ses caprices récurrents, Mansfield déploie toute la panoplie de la starlette décérébrée. Qu'importe si elle assure lire Montaigne en français ou interpréter Rachmaninov !

L'actrice n'a que faire de ces persiflages car le public l'adule, au point d'en faire une rivale de Marilyn Monroe. Sa chute n'en est que plus brutale. Alors qu'elle n'a pas 30 ans, elle disparaît des écrans et se retrouve ruinée. C'est le temps des scandales. Elle se drogue, tourne dans des films érotiques (elle est d'ailleurs la première actrice d'une telle notoriété à apparaître nue à l'écran), collectionne les amants douteux et s'empâte. Sa descente aux enfers s'achève lors d'une nuit d'été en 1967, sur une route à proximité de La Nouvelle-Orléans, où elle meurt à 34 ans dans un accident.

Électrisante
À travers de nombreuses images d'archives, notamment de la tournée européenne triomphale de l'actrice en 1957, ce documentaire captivant permet de (re)découvrir le vieil Hollywood des années 1950, royaume des pin-up. Des vidéos stupéfiantes témoignent de l'électricité provoquée par "la blonde explosive", reflet déjà vacillant d’une époque aujourd'hui disparue.

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