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24 décembre 2023

Calendrier Agenda 2024 Marilyn Monroe

calendrier_2024_-_marilyn Calendrier Agenda 2024
Marilyn Monroe
"Une icône"
n° 01

pays: France
parution le 24 octobre 2023
prix: 9,99 €

24 photos (2 pages pour 1 mois) avec 1 anecdote sur chaque page
format magazine
En vente chez votre marchand de journaux
site web César Editions 

calendrier_2024_-_marilyn_1 


/!/ Il s'agit du même calendrier que celui sorti l'an dernier:
 Agenda Calendrier 2023 Marilyn Monroe


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13 octobre 2023

Paris-Match, Hors Série A la Une - Les Femmes du clan Kennedy

2023-10-12-parismatchHSKennedy Paris Match
Hors Série
Collection " A la Une" n°38
Les Femmes du clan Kennedy

pays: France
paru le 12/10/2023
Mois de octobre / novembre 2023
prix: 8,50 €
titre de couverture: "Liaisons Fatales - Marilyn, le soupçon d'assassinat" - reproduction d'un article de 8 pages constitué d'une interview de Don Wolfe paru dans le magazine en 1998.

> sur le web: article sur  parismatch.com

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copyright text by GinieLand.

8 juin 2023

Casemate, 06/2023

2023-06-casemate-france CaseMate
n° 169

pays: France

mensuel 08 juin 2023
prix: 7,95 €
site officiel CASE MATE 

Magazine spécialisé dans la BD
Marilyn en couverture + article intérieur de 12 pages: "Qui veut tuer Marilyn Monroe ? Réponse dans Angel Wings ! (+ 4 planches)"

- visuel article -
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2 mars 2023

Les Echos 16/02/2023

lesechos20230216Les Echos
n° 216

pays: France

hebdomadaire 16 février 2023
prix: 3,40 €

Article intérieur encart rubrique "art et culture" sur la sortie du livre "Des blondes pour Hollywood" intitulé "les avatars de Marilyn"

lesechos2023b  


logo-lesechos

 « Des blondes pour Hollywood » : les avatars de Marilyn
16 février 2023 - sur Les Echos

Journaliste culture et critique cinéma aux « Echos », Adrien Gombeaud réhabilite dix sosies de Marilyn Monroe dans une collection de portraits très joliment troussée. Si vous n'avez jamais entendu parler des Mamies, Joi, Sheeree et autres Diana, il est temps de leur accorder l'attention dont elles ont été privées.

lesechos2023 
« Des blondes pour Hollywood. Marilyn et ses doubles », d'Adrien Gombeaud. Editions Capricci.

Le grand public n'a retenu ni leur nom ni même leur prénom, à ces Mamie, Joi, Sheeree, Diana éclipsées par sept lettres magnétiques : Marilyn. Et pourtant, ces blondes atomiques avaient chacune une particularité à faire valoir dans un Hollywood dévoreur de nouvelles recrues. « Elles avaient toutes, sinon du talent, au moins un talent », écrit Adrien Gombeaud dans son trépidant essai « Des blondes pour Hollywood. Marilyn et ses doubles ». « Elles savaient occuper une scène, danser, chanter, jouer la comédie, parfois d'un instrument de musique ou encore, tout simplement, attirer la lumière. »

A travers dix portraits brossés à la manière d'un roman noir, le journaliste et critique cinéma des « Echos » a voulu réhabiliter ces sosies qui auraient pu faire carrière si seulement l'écran n'avait été monopolisé par la seule et unique Marilyn Monroe. Ces ombres ont été sacrifiées au projet fou d'une industrie ultracapitaliste de fabriquer en série des actrices « aussi reproductibles que des voitures, des cigarettes ou des boîtes de soupe Campbell » afin de répondre à la demande de spectateurs particulièrement conservateurs. Aucune place pour les aspérités ou les acarctères un peu différents, "punk ou borderline", dans un Holywood puribond et lisse - au  moins en apparence. Et l'avènement de la télévision ne fera qu'accentuer la tendance à consommer des personnalités consensuelles jusqu'à leur épuisement complet.

Figurations fugaces
Dès lors, il ne restait plus qu'à ces malchanceuses aspirantes à la gloire qu'à se contenter des miettes laissées par une star qu'elles ont souvent à peine croisée, ne jouant pas dans la même catégorie. Elles firent de figurations fugaces dans des films dont Marilyn ne voulait pas, récupèrèrent des rôles de blondes idiotes qui l'exaspéraient, portèrent les corsets qui avaient, jadis, mis sa plastique en valeur. Certaines iront jusqu'à envisager de se teindre en brunes pour échapper à la malédiction.
On sent dans ces pages, fort joliment troussées, le profond intérêt de l'auteur pour cette période du cinéma américain pas aussi dorée qu'on la présente parfois. Au-delà des destins tragiques des protagonistes, il décrit avec une foule d'anecdotes le fonctionnement effroyable des studios avec lesquels la plupart étaient sous contrat. Rares sont celles à y avoir survécu. Touchante exception: Mamie Van Doren vient de fêter son anniversaire. A 92 ans, l'ex Miss Palm Springs tweete encore.


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copyright text by Les Echos.

19 novembre 2022

Blog - Marilyn Cover Girl

Marilyn Cover Girl - en français & anglais

Marilyn Cover Girl
Clic sur l'image ci-dessus pour aller sur le site
Click on the image above to go to the site

Un nouveau blog apparu depuis peu sur le web qui se concentre sur les couvertures de magazines avec Marilyn Monroe. D'une navigation aisée par le classement en catégories, vous y retrouverez toutes les couvertures de magazines classées par années; ainsi que des albums photos par type de magazines et d'autres rubriques à thèmes comme le classement par photographes. Un blog ambitieux et riche en images, dont le thème de Marilyn en couverture de magazines reste inépuisable, tellement elle reste l'une des personnalités les plus mises en couvertures à travers toute la presse du monde entier.

A new blog recently appeared on the web that focuses on magazine covers with Marilyn Monroe. Of an easy navigation by the classification in categories, you will find there all the covers of magazines classified by years; as well as photo albums by type of magazines and other themed sections such as classification by photographers. An ambitious blog, rich in images, whose theme of Marilyn on magazine covers remains inexhaustible, so much does she remain one of the most covered personalities throughout the press all over the world.


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3 novembre 2022

Agenda Calendrier 2023 Marilyn Monroe

2023-cal-mm1 Agenda Calendrier 2023
Marilyn Monroe
"Une icône"
n° 01

pays: France
parution le 29 octobre 2022
prix: 9,99 €

24 photos (2 pages pour 1 mois) avec 1 anecdote sur chaque page
format magazine
En vente chez votre marchand de journaux
site web César Editions 


2023-cal-mm2 


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28 octobre 2022

Elle, 27/10/2022

2022-10-27-elle-cover Elle
n° 4 010

pays: France
hebdomadaire
parution le 27 octobre 2022
prix: 2,80 €

Article intérieur de 4 pages interview de Joyce Carol Oates, auteure de "Blonde"

2022-10-27-elle-p12  

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Joyce Carol Oates : rencontre avec celle qui connaît l'Amérique mieux que personne
> en ligne sur elle.fr 

Alors que « Blonde », son roman culte sur Marilyn Monroe, vient d'être adapté à l'écran, l'écrivaine signe « Respire... », un nouveau texte subtil et mélancolique sur la perte de l'être aimé. Rencontre avec celle qui sonde les États-Unis mieux que personne.

En arrivant chez Joyce Carol Oates, on ne peut s’empêcher de penser à son héroïne préférée : Alice au pays des merveilles. Elle vit aux États-Unis, près de l’université de Princeton (New Jersey), où, à 84 ans, elle enseigne encore l’écriture. En son royaume sauvage et sans réseau règnent le silence et les animaux. Contrairement au lapin du livre de Lewis Carroll, nous sommes en avance en cet après-midi de septembre. Et nous avons de la chance. Le temps se suspend. Des coqs en fer forgé bordent l’allée de sa maison, au bout de laquelle ce n’est pas Oates qui nous accueille, mais trois biches. Une atmosphère féerique, miroir inversé de son œuvre – composée de romans, d’essais, de nouvelles, de pièces de théâtre, de poèmes... – reflétant l’histoire violente de l’Amérique. Prolifique, observatrice irremplaçable, Oates est devenue, avec « Les Chutes », « Fille noire, fille blanche » ou « Nous étions les Mulvaney », la sentinelle des divisions politiques, économiques et raciales qui agitent son pays. En sirotant un Coca Light, elle évoque à la fois la menace qui pèse contre le droit à l’avortement, qu’elle étudie dans « Un Livre de martyrs américains », la vie de Marilyn Monroe, romancée dans « Blonde », ou son amour pour ses chats, qui nous frôlent tout au long de l’interview. Elle l’affirme, d’ailleurs : « Les animaux sont plus fiables que les humains. » Et les morts plus bavards que les vivants. Entre deux souvenirs, la voici qui nous entraîne à travers les pièces colorées de sa maison : « J’ai quelque chose à vous montrer. » Sur la commode d’un salon, un portrait d’elle, peint par Gloria Vanderbilt, amie chère et figure new-yorkaise, meurtrie, elle aussi, par le deuil. Aux murs d’un corridor menant à l’étage, les paysages photographiés par Charlie, son second mari, mort en 2019. Dans ce sanctuaire intime et vitré, Joyce Carol Oates examine inlassablement les tourments du présent. En nous raccompagnant, elle remarque un oiseau- mouche virevoltant au-dessus de nos têtes : « Ces petits oiseaux sont un signe d’espoir, vous le saviez ? »

BLONDE-roman  ELLE. Vingt-deux ans après sa parution, « Blonde », votre biofiction sur Marilyn Monroe, est devenu un film Netflix. Qu’avez-vous pensé de son adaptation ?

Joyce Carol Oates. Je pense qu’elle est à la fois puissante et dévastatrice. Andrew Dominik, le réalisateur, a choisi de mettre Marilyn au cœur de chaque scène, si bien qu’à chaque minute l’on ressent sa souffrance, ses hallucinations, son malheur et sa peur. Le spectateur peut s’identifier à elle. Lorsque j’ai écrit « Blonde », j’avais fait le choix d’adopter le point de vue de Norma Jeane Baker, la femme dissimulée derrière la star, celle qu’elle était depuis l’enfance. Elle est restée cette fille-là jusqu’à la fin de sa vie. J’ai trouvé Ana de Armas absolument remarquable, sachant transmettre la vulnérabilité extrême de Marilyn, son innocence mais aussi son intelligence, qui seront balayées par les forces patriarcales.

ELLE. Comment expliquer encore notre fascination pour son drame, sa beauté, son image ?

J.C.O. Si elle reste une figure iconique, probablement plus emblématique qu’Elizabeth Taylor ou Ava Gardner, c’est parce qu’elle était une victime. Les gens se reconnaissent dans sa détermination, dans sa lutte acharnée pour réussir, qui fut vaine. Même ses films ne lui ont pas permis de gagner beaucoup d’argent. Marilyn a toujours été sous-estimée et incomprise.
Je vois un parallèle entre son destin et celui d’Elvis Presley. Tous deux étaient divinement beaux, incroyablement talentueux, portés par une grande ambition. Tous deux ont été fauchés par la mort si jeunes, elle à 36 ans, lui à 42. Il y a une beauté étrange dans leur tragédie. On aimerait les garder pour toujours, à travers la culture. Ils ont l’air tellement vivants, vous ne trouvez pas ?

(extrait du passage lié à Marilyn Monroe - le reste de l'interview en ligne et dans le Elle n° 4010)


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copyright text Elle

18 octobre 2022

Vanity Fair France 10/2022

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n° 105

pays: France

mensuel octobre 2022
parution le 28 septembre 2022
prix: 4,50 €

Article intérieur de 6 pages intitulé "Passion Marilyn": Sébastien Cauchon a rencontré James Collins, un fan de la bande des "Monroe Six"

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13 septembre 2022

Teaser, 09/2022

2022-09-09-teaser-france Teaser
n°115

pays: France

mensuel - mois de Septembre 2022
paru le 09 septembre 2022
prix: 5,90 €

Article intérieur de 2 pages sur la critique du film
+
10 pages sur la génèse du film "Blonde, Quinze ans de réflexion"

- sommaire -
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- critique -
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- magazine proposé avec 2 couvertues différentes
couverture alternative: le film "Athena" -
2022-09-09-teaser-france-cover2  


BLONDE : chronique
> Par Aurélien Allin ; en ligne sur cinemateaser.com 

teaser-Blonde-Bandeau  

Andrew Dominik parfait son entreprise d’observation de figures réelles par la fiction et invite le spectateur à une proposition de cinéma sensorielle, subjective et expérientielle, pour qui le mot chef-d’œuvre semble avoir été inventé.

À son meilleur, le cinéma est pure empathie, dans sa définition la plus littérale : il dépasse la simple compréhension et propulse le spectateur dans le cœur, la tête et les pompes d’un personnage. Il parvient à en détailler et à en partager intimement la spécificité, la singularité et la subjectivité. Le roman « Blonde » de Joyce Carol Oates, dont « la synecdoque [était] le principe », se plongeait déjà dans la subjectivité de Marilyn Monroe. Il usait de la fiction pour remodeler le mythe afin d’en faire jaillir une vérité humaine fragmentaire plus que biographique. Son adaptation par Andrew Dominik décuple cet effet empathique, peut-être parce qu’un film ne connaît pas les interruptions de la lecture et que le cinéma synthétise diverses formes d’Art – peinture, photographie, musique ou littérature. BLONDE s’impose ainsi instantanément en bulle sonore et visuelle, sensorielle, expérientielle, où Marilyn plonge ses yeux dans ceux du spectateur pour un tête-à-tête de 2h47 entre confession et soliloque, entre rêve et cauchemar.

« You will have to shoot around her » (« Vous allez devoir tourner sans elle »), hurle Monroe en quittant le plateau de CERTAINS L’AIMENT CHAUD. Andrew Dominik fait exactement le contraire : dans BLONDE, rien ni personne n’existe à part Marilyn, autour de Marilyn. Seuls comptent ses sentiments, son visage, son corps, ses traumas et comment ceux-ci influencent son existence. Pour ainsi mettre en scène ce qu’elle ressent, pense, vit et imagine, le cinéaste s’appuie tout d’abord sur Ana de Armas, dont la ressemblance et le mimétisme ne sont que la partie émergée, presque réductrice, d’une prestation remarquable de nuances, capable de joindre dans un même mouvement la puissance à la fragilité. Il construit aussi un puzzle formel à la fois soigneusement réfléchi et aux atours d’aléatoire. Les cadres, pour la plupart resserrés, enferment Marilyn dans son image – tout le film est d’ailleurs inspiré de photographies et images d’époque, effet saisissant de voir tout un inconscient collectif visuel prendre vie, loin de toute reconstitution académique. Flou des arrière-plans, vignettage, aberrations : tout, dans la splendide photo de Chayse Irvin, vient obstruer « l’autour ». Lorsque les cadres respirent davantage, la ligne d’intimité qui relie le spectateur à Monroe se distend, comme si l’on perdait peu à peu l’actrice. Chaque plan plus large hurle ainsi sa solitude – Marilyn, seule dans la foule d’une salle de cinéma où le tout-Hollywood l’admire à l’écran ; seule face à une foule rugissante qui l’observe filmer la scène de la grille soufflante de SEPT ANS DE RÉFLEXION. Par de constants passages de la couleur au noir et blanc ou par d’incessants changements de ratios, BLONDE saute sans transition de la proximité du banal à l’iconique image cinéma, Marilyn n’existant jamais vraiment uniquement dans l’une ou l’autre, les deux sphères constamment poreuses. Andrew Dominik atteint ici une maîtrise absolue de son langage, jouant autant d’une foule d’images marquantes, choquantes ou évocatrices, que de la puissance du hors champ. Rares sont les films qui évitent aussi scrupuleusement les plans d’exposition et refusent avec autant d’efficacité le contre-champ. Rares aussi sont les cinéastes embrassant avec autant de passion le mauvais goût pour toucher à la subjectivité de leur protagoniste – des draps qui se transforment en chutes du Niagara ; des étoiles en spermatozoïdes.

Absolument fidèle au roman de Joyce Carol Oates alors qu’il en élague des parties entières (l’orphelinat, le premier mari, le tournage des DÉSAXÉS ou du PRINCE ET LA DANSEUSE…) et use d’ellipses brutales ainsi que d’allers-retours temporels, BLONDE recrée puis réinvente la réalité par la fiction. D’aucuns jugeront l’entreprise problématique. Mais comment pourrait-il en être autrement, puisque BLONDE cherche à figurer et partager un ressenti forcément trop intime et trop subjectif pour s’embarrasser du factuel ? La confusion entre fiction et réalité infuse en Marilyn-même, qui alimente notamment son audition pour TROUBLEZ-MOI CE SOIR de souvenirs personnels. Ce qu’entreprend BLONDE n’a rien à voir avec une exactitude historique mais tout avec une réalité humaine, où l’on accède à une vérité de Marilyn parmi d’autres. Celle-ci, tour à tour bouleversante, captivante, repoussante ou révoltante, raconte le rêve hollywoodien, ses fantasmes éculés de perfection, la concupiscence toxique qui en découle. Dans ce songe-cauchemar, Marilyn apparaît autant bloquée sur des rails qui lui refusent tout libre arbitre, que maîtresse de sa seule solution de repli : l’autodestruction. Au point que, lors de quelques saillies particulièrement éloquentes, BLONDE bascule de l’onirisme au film d’horreur, des bébés hurlent dans des tiroirs, des visages se déforment, des silhouettes hantent les ombres. Là, comme dans la synecdoque chère à Joyce Carol Oates, de la silhouette de l’icône émerge celle d’une femme et, derrière elle, celle de millions d’autres. BLONDE n’a peut-être pas le tampon d’authenticité de la biographie. Il a mieux : celui du très grand cinéma.

D’Andrew Dominik. Avec Ana de Armas, Adrien Brody, Bobby Cannavale, Xavier Samuel, Julianne Nicholson. États-Unis. 2h47. Sur Netflix le 28 septembre
Note: 5 étoiles sur 5


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copyright text Teaser.

10 septembre 2022

Point de Vue, 07/09/2022

2022-09-07-point_de_vue-france Point de Vue
n°3864

pays: France

hebdomadaire: semaine du 07 au 13 septembre
paru le 07 septembre 2022
prix: 3,20 €

Article intérieur de 4 pages sur le film "BLONDE": "Deauville préfère les blondes !"
+ double page mots fléchés (1 photo).

- article -
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