Dans le magazine VSDn°1701, de la semaine du 31 mars 2010, un article de 4 pages avec une interview de Tony Curtis qui revient sur sa liaison secrète avec Marilyn Monroe et évoque le tournage de Some Like It Hot; à l'occasion de la sortie de son livre "Certains l'aiment chaud et Marilyn". Prix: 2,40 €.
Dans le magazine Gala n°877, de la semaine du 31 mars 2010, un article de 4 pages avec une interview de Tony Curtis qui raconte sa passion clandestine avec Marilyn Monroe et évoque le tournage de Some Like It Hot; à l'occasion de la sortie de son livre. Prix: 2,20 €.
Tony Curtis, qui consacre un livre à la comédie de Billy Wilder, dévoile les coulisses d'un tournage mouvementé avec Marilyn Monroe.
Trop élégant. Tony Curtis attend la page 56 pour nous dire qu'il a couché avec Marilyn. C'était avant. Avant quoi ? Le tournage de Certains l'aiment chaud, dont l'acteur dévoile les coulisses avec un mélange de malice, de franchise et de vivacité, dans le livre de souvenirs qu'il consacre au film. Ce ne fut pas une partie de plaisir. Coupable: Norma Jean Baker.
La star blonde platine s'était éloignée des projecteurs, avait vécu à New York, avait été envoûtée par les sortilèges de l'Actors Studio. Cela posait un problème au metteur en scène, à Billy Wilder:«Si elle veut vraiment étudier, c'est dans une école d'ingénieurs qu'elle devrait s'inscrire, pour apprendre à arriver à l'heure.» La star a pour habitude, quand elle se montre, d'avoir des heures de retard, de se mettre à dos toute l'équipe. Il n'est pas rare que les prises atteignent la soixantaine. Tony Curtis et Jack Lemmon, maquillés et grimpés sur talons hauts, sont au bord de la crise.
Pourtant, cette pagaille allait donner une des meilleures comédies de toute l'histoire. Au départ, personne n'y croyait. Deux musiciens contraints de se déguiser en femmes pour échapper à des gangsters:pour certains, le désastre était garanti. Le scénario n'était pas fini. La fameuse réplique finale («Nobody's perfect») était là, faute de mieux. Dans un premier temps, le réalisateur avait songé à Bob Hope et Danny Kaye, trop âgés pour les rôles. Il avait même été question de Sinatra, mais on renonça très vite à demander au crooner de se peinturlurer de rouge à lèvres.
Bizarre, attendrissante, imprévisible
Marilyn fait des caprices. Elle est accompagnée de la redoutable Paula Strasberg, que l'équipe surnomme «The Bat» (la chauve-souris) et qui ne se déplace jamais sans son parapluie. Dans sa loge, l'actrice lit Rilke et Walt Whitman. Son thermos ne contient certainement pas de café. Elle grossit, n'a pas prévenu qu'elle était enceinte. À l'Hotel del Coronado, elle passe une nuit avec Curtis, qui est marié à Janet Leigh et bientôt papa. Elle s'empresse de raconter l'aventure à l'ombrageux Arthur Miller qui n'avait pas besoin de ça pour tirer une tête de six pieds de long. La situation ne s'arrange pas quand elle persuade Tony Curtis que l'enfant est de lui. Une fausse couche, une de plus, interrompra les rumeurs.
Curtis décrit de l'intérieur l'usine à rêves qu'était le Hollywood de 1958. Les ego se percutent. Les apparitions à l'écran sont mesurées à la seconde près. Il n'y en a que pour Marilyn. Wilder commence à ne plus pouvoir la supporter. Elle est bizarre, attendrissante, imprévisible. Son égoïsme est sans bornes.
Certains jours, Curtis se retient de l'étrangler. Durant une scène de baiser, elle l'embrasse pour de bon et il a du mal à cacher une émotion très masculine. Après la prise, quelqu'un lui dit:«Hé Tony ! Ça fait quoi d'embrasser Marilyn?» Réponse : «Tu crois que c'est comment, mec ? Comme d'embrasser Hitler ?» Heureusement qu'il s'entend bien avec Jack Lemmon à qui Marilyn chipe la robe qui lui était destinée. Elle tente de masquer ses formes qui s'arrondissent, tout en dévoilant sa poitrine en douce dès que la caméra ronronne. Elle n'est jamais contente de sa prestation.
Avant chaque séquence, elle se tord les doigts, secoue ses mains, lance à Paula Strasberg des regards inquiets. Curtis, brave gars néanmoins, n'en peut plus. «L'idée de se remémorer la fois où votre sœur vous a piqué votre sandwich au beurre de cacahuète pour jouer la colère, c'est de la connerie.» N'empêche, Monroe attrape formidablement la lumière. Wilder est obligé d'en convenir, malgré toutes les journées perdues (« Pour la faire jouer, c'était comme arracher une dent»). Compensation:«J'ai eu le temps de lire Guerre et Paix, Les Misérables et même Hawaï, de James Michener.»
Curtis brosse le portrait d'une femme, d'un milieu, d'une époque. La femme est à la dérive. Le milieu allie cynisme et talent, coups de gueule et embrassades. L'époque ne reviendra plus. Curtis imite l'accent de Cary Grant, a des soucis avec son épouse, ne soupçonne pas qu'il va entrer dans la légende. À la sortie du film, le public rit tellement qu'on n'entend pas la moitié des dialogues. «Je serai peut-être le premier à mettre des sous-titres anglais dans un film en anglais», suggère Billy Wilder, ravi.
“Certains l'aiment chaud” et Marilyn, de Tony Curtis. Le Serpent à plumes, 316 pages, 23 euros. En librairie jeudi.
Article publié le 11 août 2009, par Marie Desnos pour parismatch.com
Quand Marilyn a fait sa fausse couche en 1958, l'enfant qu'elle portait aurait été de Tony Curtis et non de son mari Arthur Miller (en photo)... | Photo Maxppp
«Marilyn Monroe a perdu mon bébé.» Dans une autobiographie à paraître en septembre, l'acteur Tony Curtis lève le voile sur un secret de polichinelle : sa relation avec l'icône blonde. Il affirme que l'actrice, avec qui il a partagé l'affiche du film mythique «Certains l’aiment chaud», est tombée enceinte de lui.
Il aurait dit que l’embrasser était «comme embrasser Hitler», et
pourtant, Tony Curtis affirme aujourd’hui avoir eu une relation
passionnelle avec Marilyn Monroe, et même avoir été le père de son bébé
qu’elle a perdu en 1958. Dans une autobiographie à paraître en
septembre, et intitulée «The Making of Some Like It Hot» («Le making of
de Certains l’aiment chaud»), cet acteur phare des années 1950
(«Spartacus», «Une Vierge sur canapé», «Amicalement vôtre»…) jette en
effet un pavé dans la marre en révélant les tenants et les aboutissants
de cette liaison plus ou moins officieuse, du moins passée jusque-là
comme une passade sexuelle sans importance. «Ce que j’ai vécu avec elle
est inoubliable», affirme-t-il dans ce livre inattendu dont le Telegraph a publié des extraits.
Les deux amants se rencontrent en 1949 et tombent sous le charme l'un
de l'autre. Neuf ans plus tard, alors que leur idylle s’essouffle, ils
se retrouvent sur le tournage de «Certains l’aiment chaud». Lui est
marié avec Janet Leigh depuis près de sept ans, et elle avec le
dramaturge Arthur Miller depuis deux ans. Mais ils s’attirent
irrésistiblement, et la blonde platine tombe enceinte… de lui.
L’actrice, icône glamour par excellence, l’annonce sur le plateau du
film de Billy Wilder –qui lui vaudra d’ailleurs le Golden globes de la
Meilleure actrice dans un film musical ou une comédie.
«Sors de notre vie»
«J’étais sidéré», raconte Tony Curtis. «Je suis resté pantois. La pièce
est devenue si silencieuse que je pouvais entendre les pneus grincer
sur le Boulevard Santa Monica. J'ai demandé à Miller ce que nous
devions faire. Il m'a dit: ‘Finis le film et ensuite sors de notre
vie’. Je l'ai fixé pendant une minute. Puis je l’ai regardée [Marilyn,
ndlr]. Elle pleurait. J'ai répondu: ‘OK, ça je peux le faire’. Je me
suis levé et je suis parti. (…) Plus tard, Miller m'a dit qu'il avait
consulté le médecin de Marilyn et que celui-ci lui avait dit que
l'enfant ne pouvait pas être de moi». Puis Marilyn a fait une fausse
couche –sa deuxième en l’espace d’un an- mais Tony Curtis ne
l’apprendra que plus tard.
Toujours est-il que leur liaison s'est achevée en même temps que le
tournage du film. «Quand j’étais au lit avec Marilyn je n’étais jamais
certain -avant, pendant et après nos ébats- d’où était son esprit», se
souvient-il encore, dans cette autobiographie sans tabou. «Elle était
actrice. Elle pouvait jouer un rôle. Elle pouvait être ce que l’homme
avec qui elle était voulait qu’elle soit. Je ne lui en ai jamais
demandé davantage.»
«Une réponse débile à une question débile»
Des révélations d’autant plus troublantes que c’est sur ce même plateau
que Tony Curtis a prononcé sa phrase devenue culte : «Embrasser
Marilyn, c’est comme embrasser Hitler». Fracassante, cette déclaration
a été interprétée à l’époque comme le témoignage de leurs relations
tendues –notamment à cause du caractère et des retards du sex-symbol-
voire comme le signe suprême de l’indifférence d’un coureur de
jupons–il aurait couché avec un millier de femmes selon la rumeur.
Mais dans une interview au «Guardian»
il y a quelques années, l’acteur a tenté de faire valoir une tout autre
réalité. «Quelqu’un m’a demandé : ‘hey, qu’est ce que ça fait
d’embrasser Marilyn’», a-t-il déclaré au très réputé quotidien
britannique. C’est alors que Tony aurait répondu : «c’est comme
d’embrasser Hitler…Qu’est ce que c’est que cette question stupide ?».
Une parcelle de réponse qui aurait donc été occultée par la suite.
«C’était juste une blague», a-t-il également assuré au Daily Mail. «C’était juste une réponse débile à une question débile», a-t-il martelé.
Des ruptures et un suicide
Le couple Monroe-Miller ne se remettra apparemment jamais de cette
histoire. C’est en tout cas à cette époque qu’il connait de nombreux
remous. Marilyn commence à consulter un psychiatre, et sa consommation
de drogues, d’alcool et de médicaments devient inquiétante. Le tournage
des «Désaxés», qu’Arthur Miller a écrit pour sa femme, est un désastre.
Le couple se sépare. Le divorce est prononcé en janvier 1961, soit un
peu plus d’un an avant la mort de la star.
De
son côté, le père de Jamie Lee Curtis et de Kelly Curtis rompt avec la
mère de ses enfants en 1962. Marilyn Monroe décède dans la nuit du 4 au
5 août 1962, officiellement d’une overdose médicamenteuse ; mais sa
mort n’a jamais vraiment été élucidée. Tony Curtis aura cinq autres
femmes, dont Jill Vandenberg Curtis, avec qui il vit depuis onze ans.
Sa rencontre avec Jill coïncide d’ailleurs avec sa prise de distance
avec le cinéma. Il se consacre depuis à la peinture… et à l’écriture.
Marilyn Monroe était enceinte de Tony Curtis... alors qu'elle était mariée à Arthur Miller !
Article publié par Adam Ikx Vendredi 7 août 2009 14h34 sur popeater.fr
La star hollywoodienne Tony Curtis, 84 ans,
star de films aussi sublimes que "Spartacus" ou "Trapèze", vient de lâcher un pavé
de plus dans la mare déjà bien chargée de la Légende d'Hollywood.
Le célèbre acteur américain, qui a tourné
avec la mythique Marilyn Monroe dans "Certains l'aiment chaud", le chef-d'oeuvre
de Billy Wilder, avait déclaré après l'avoir embrassé dans une scène :
"Embrasser Marilyn Monroe était comme embrasser Hitler !"
Eh bien visiblement il voulait détourner
l'attention de son attirance - assumée aujourd'hui - pour la légendaire blonde
platine, puisqu'il vient en effet de dévoiler qu'il avait eu une aventure suivie
avec elle, s'étalant sur presque une décennie !
Il l'annonce dans ses mémoires
autobiographiques, un livre baptisé "The making of Some Like It Hot !" Il y confie
notamment que leur romance a démarré aux débuts des années 1950 et s'en rappelle
en ces termes : "Lorsque j'étais au lit avec Marilyn, elle avait toujours ce
pouvoir sur les gens. Elle parvenait à me faire perdre la tête - avant, pendant
et après nos ébats. Elle se comportait comme une actrice dans sa vie. Elle
jouait continuellement avec tout le monde. Elle s'adaptait à l'homme qu'elle
voulait avoir en imaginant ce qu'il voulait avoir. Ce que j'ai vécu avec elle
est inoubliable".
Par la suite, il livre que lorsqu'ils ont
été réunis en 1958 sur le plateau de "Certains l'aiment chaud", quatre ans avant
la mort tragique de la star, alors qu'elle était mariée avec l'auteur Arthur
Miller et que Tony vivait avec Janet Leigh (alors enceinte de leur deuxième
fille Jamie Lee Curtis), leur attraction mutuelle les avait poussés à poursuivre
leur aventure amoureuse.
Quelques mois après le tournage du film,
Marilyn annonça à Tony qu'elle était enceinte de lui (tandis qu'Arthur Miller,
furieux, refusait de croire que le comédien en était le père), mais a fait une
fausse couche peu de temps après...
"The making of Some Like It Hot", les
mémoires de Tony Curtis, paraîtra le 28 septembre prochain.
Mon Avis Voici encore une nouvelle info exclusive de très grande importance (hum !) et évidemment, encore non vérifiable (re hum !) lancée par ce cher et tendre Tony Curtis, qui s'est toujours montré très délicat lorsqu'il évoque Marilyn Monroe (re re hum !); c'est étrange car dans une interview qu'il avait accordé il y a quelques années pour un documentaire, il avait confirmé avoir eu une liaison avec Marilyn en 1950 / 1951, c'est à dire lorsqu'ils n'étaient pas encore connus et starifiés, mais il avait néanmoins ajouté qu'il ne s'était absolument rien passé entre eux sur le tournage de "Some Like it hot" ("Certains l'aiment chaud") et voilà que maintenant il affirme le contraire... Difficile de ne pas penser au coup de pub qu'il veut faire valoir pour vendre son bouquin qui, comme vous l'aurez bien compris, semble déjà comporter quelques mensonges!
Le 26 janvier 1952, se tient la cérémonie des "Henrietta Awards" à Santa Monica, qui prit place au Del Mar Club. Marilyn Monroe reçoit le prix Henrietta de la "Meilleure jeune personnalité du box office 1951". Au cours de cette soirée, Marilyn a été vue au côté de Charlie Chaplin Jr. (le fils de), avec qui elle eut une brève aventure (voir dernière photo). Parmi les autres invités figurent Tony Curtis, Dean Martin, Bob Hope, Alan Ladd, Jane Wyman, Gregory Peck, Mitzi Gaynor, Leslie Caron, Esther Williams, Errol Flynn, Janet Leigh... Les 'Henrietta Awards' seront ensuite remplacés par les 'Foreign Press Award' puis par les 'Golden Globe Awards'. On January, 26, 1952,heldsthe ceremonyof"Henrietta Awards"in SantaMonica,whichtooksplace atDel MarClub.MarilynMonroeis awarded by an Henriettafor "The Best Young Box Office Personality in 1951." During thisevening party, Marilyn is seenwithCharlieChaplinJr.(son of Chaplin), withwhom she had abrief affair. The other personalities are Tony Curtis, Dean Martin, Bob Hope, Alan Ladd, Jane Wyman, Gregory Peck, Mitzi Gaynor, Leslie Caron, Esther Williams, Errol Flynn, Janet Leigh...
> Marilyn avec le chroniqueur José Jasd
> Marilyn avec Roy Craft
> > Marilyn avec Valentina Cortesa et son mari Richard Basehart
> Marilyn avec Lita Grey et Charles Chaplin Jr.
> Marilyn avec le photographe Charlie See
>Liz Taylor / Tony Curtis / Mitzi Gaynor > Alan Ladd / Bob Hope >Bob Hope / Dean Martin
>> Photo de Murray Garrett >>
>> Photos de Loomis Dean >>
> dans la presse
Pour cette soirée, Marilyn portait une robe au décolleté vertigineux, une création de Oleg Cassini - elle réajustait sans cesse sa robe sans bretelles - si bien que la presse s'en offusqua, un journaliste présent à la soirée, allant jusqu'à écrire que Miss Monroe était "insignifiante et vulgaire dans cette robe" et que "même dans un sac à patates, elle aurait été plus élégante". Marilyn prit alors la brutale critique au mot, et posa vêtue d'un sac à pommes de terre le 6 octobre 1952 (>> voir les photos d'Earl Theisen ) For that evening, Marilyn wore a dress with a dizzy neckline-she constantlyreadjustedherstrapless dress-so thatthe presstook offense, and a journalist who wasat the party, writethatMissMonroewas "insignificant and vulgarin that dress" and that "even in apotato sack, shewould have been moreelegant." Marilynthen tookthe sharpcriticismat the word,and took photoswearing apotatoes sack in October 6, 1952(see pictures of EarlTheisen)
>> Séance photos de la fameuse robe portée pour la cérémonie (sur la photo de groupe "des jeunes premiers d'Hollywood', se trouve Mitzi Gaynor, Leslie Caron, John Derek et Tony Curtis, ce dernier vécut d'ailleurs une brève idylle avec Marilyn durant cette époque, vers 1951/1952)
Marilyn Monroe à la fête d'annonce du tournage du film Some Like It Hot avec Tony Curtis en 1958 ; puis sur le tournage du film. Photographies de Frank Worth
La première grande vente aux enchères consacrée à Marilyn Monroe fut celle organisée par la maison Christie's (vente les 27 et 28 octobre 1999 à New York), qui proposait 576 lots sur Marilyn: l'ensemble de cette incroyable collection était restée à l'abri d'un entrepôt depuis la mort de Marilyn en 1962 et appartenait à Anna Strasberg, veuve de Lee Strasberg. Cette vente aux enchères était précédée d'une exposition de certains effets (un millier aux USA et une centaine en dehors du territoire américain) présentés sur quelques jours dans diverses villes à travers le monde: l'inauguration a lieu au Rockfeller Plaza de New York aux Etats-Unis (début juin), puis en tournée à Buenos Aires en Argentine (le 12 juillet), à Los Angeles (le 19 août) aux Etats-Unis, à Londres (le 17 septembre) en Angleterre, à Paris (sur 3 jours: du 06 au 08 octobre) en France, à Saint Pétersbourg en Russie, en Floride aux Etats-Unis puis le retour à New York où l'ensemble de la collection était exposée les jours précédents la vente. Dans le "meilleur" de la vente: ses tenues Pucci, la robe de Jean-Louis portée à l'anniversaire de JFK, la veste mexicaine, ses Golden Globes, son piano blanc.
- Exemple: ticket d'invitation expo de Buenos Aires - - Example: Buenos Aires expo invitation ticket -
The first big auction dedicated to Marilyn Monroe was the one organized by Christie's (sale on October 27 and 28, 1999 in New York), which offered 576 lots on Marilyn: the whole of this incredible collection had remained under cover of a warehouse since Marilyn's death in 1962 and belonged to Anna Strasberg, widow of Lee Strasberg. This auction was preceded by an exhibition of certain effects (a thousand in the USA and a hundred outside the American territory) presented over a few days in various cities around the world: the inauguration takes place at Rockefeller Plaza in New York (early June) in the United States, then on tour in Buenos Aires (July 12) in Argentina, in Los Angeles (August 19) in the United States, in London (September 17) in England, in Paris (over 3 days: from 06 to 08 October) in France, in St Petersburg in Russia, in Florida in the United States then to return to New York where the entire collection was exhibited the days preceding the sale. In the "best" of the sale: the Pucci outfits, the Jean-Louis dress worn on JFK's birthday, the mexican jacket, her Golden Globes, her white piano.
Lors de l'exposition, le catalogue complet de 415 pages (vendu à l'époque 85 Dollars, soit près de 500 francs en France) ainsi qu'un petit livret de 8 pages étaient vendus en stand. Les tirages de catalogues de vente d'enchères étant limités, il est aujourd'hui impossible d'en acheter de nouvelles éditions, mais de les trouver seulement revendus d'occasion.
During the exhibition, the complete catalog of 415 pages (sold at the time for $ 85) as well as a small booklet of 8 pages were sold at the stand.Since the prints of auction catalogs are limited, it is now impossible to buy new editions, but to find them only resold second-hand.
L'exposition ainsi que la vente constituaient alors un événement mondial. Jamais il n'y avait eu d'exposition ni de vente d'une telle ampleur consacrée à Marilyn Monroe; l'exposition va rencontrer un succès phénoménal et mondial. Bertrand Du Vignaud, qui était alors vice-président de Christie’s France, commentait à l'époque : «On n’imagine pas à quel point la star est toujours adulée. Lorsque cette exposition a été présentée à Londres, en septembre, il y avait quatre heures de file d’attente pour venir la voir.»
The exhibition as well as the sale then constituted a world event.Never there had been an exhibition or sale of such magnitude devoted to Marilyn Monroe;the exhibition will meet a phenomenal and worldwide success. Bertrand Du Vignaud, who was then vice-president of Christie's France, commented at the time: "You can't imagine how much the star is still adored.When this exhibition was presented in London in September, there was a four-hour queue to come and see it."
De nombreuses personnalités des pays où l'expo est présentée s'y rendront (en France: les actrices Nicole Calfan, Julie Depardieu, Sylvie Joly, l'actrice et chanteuse Jane Birkin, le styliste et couturier Azzedine Alaïa, la femme d'affaires Liliane Bettencourt, la veuve d'Yves Montand Carole Amiel...); la presse internationale couvre l'événement ainsi que d'autres médias comme la télévision (une émission américaine présentée par Barbara Walters qui reçoit Tony Curtis et le directeur de studios des années 1950s David Brown et d'autres proches de Marilyn sera diffusée le 20 octobre 1999 sur ABC, Walt Disney Television).
- Barbara Walters & Tony Curtis -
Many personalities from the countries where the exhibition is presented will go there (in France: actresses Nicole Calfan, Julie Depardieu, Sylvie Joly, actress and singer Jane Birkin, stylist and couturier Azzedine Alaïa, businesswomanLiliane Bettencourt, the Yves Montand's widow Carole Amiel...);the international press covers the event as well as other media such as television (an American program presented by Barbara Walters which receives Tony Curtis and the 1950s studio director David Brown and other relatives of Marilyn will be broadcast on October 201999 on ABC, Walt Disney Television).
Catalogue de la vente aux enchères "The Personal Property of Marilyn Monroe" par Christie's de la vente aux enchères des 27 et 28 octobre 1999 à New Yorkaux Etats-Unis.
Catalogue de 415 pages en anglais, qui présente les 576 lots mis aux enchères sur deux jours (27 et 28 octobre 1999) par Christie's. Les lots sont illustrés et détaillés (avec leur estimation de prix) - mais certains lots ne sont néanmoins pas illustrés. De nombreuses photographies de Marilyn Monroe sont aussi reproduites. Le papier est de bonne qualité, rigide, un peu cartonné. Dimensions: 27.94 x 5.08 x 22.86 cm Poids: 2.34 kg Le catalogue était vendu à l'époque (en 1999) pour présenter les lots mis aux enchères (au prix de 85 Dollars - près de 500 francs à l'époque), il n'est donc désormais plus possible de le commander, mais vous pouvez le trouver facilement d'occasion sur des sites de vente (soyez parfois un peu patient pour l'obtenir au moindre coût, car il est parfois revendu très cher): ebay, amazon, abebooks, goodreads, livre-rare-book ...
Catalog of the auction "The Personal Property of Marilyn Monroe" by Christie's of the auction of October 27 and 28, 1999 in New York in the United States.
Catalog of 415 pages in English, which presents the 576 lots auctioned over two days (27 and 28 October 1999) by Christie's.The lots are illustrated and detailed (with their price estimate) - but some lots are however not illustrated.Numerous photographs of Marilyn Monroe are also reproduced. The paper is of good quality, rigid, a little cardboard. Dimensions: 27.94 x 5.08 x 22.86 cm Weight: 2.34 kg The catalog was sold at the time (in 1999) to present the lots put up for auction (at the price $ 85), so it is no longer possible to order it, but youyou can easily find it second-hand on sales sites (sometimes be a little patient to get it at the lowest cost, because it is sometimes resold at a very high price): ebay, amazon, abebooks, goodreads, livre-rare-book...
Le catalogue présente les lots par ordre chronologique tels qu'ils sont numérotés et ordonnées en thème: Partie 1 - The Evening Sale (Lots 1 à 55) Partie 2 - The Day Sale (Lots 100 - 576) : The Day wear (les habits de jour), The Winterwear & Furs (les vêtements d'hiver & fourrures), The evening wear (les habits de soirées), Pucci, The Lingerie (la lingerie), The make-up (le maquillage), The memorabilia (les souvenirs), The decorative (les éléments décoratifs), The scripts (les scénarios), The books (les livres).
The catalog presents the lots in chronological order as they are numbered and ordered by theme: Part 1 - The Evening Sale (Lots 1 to 55) Part 2 - The Day Sale (Lots 100 - 576): The Day wear, The Winterwear & Furs, The evening wear, Pucci, TheLingerie, The make-up, The memorabilia, The decorative, The scripts, The books.
- visuel de quelques pages - - visual of a few pages -
Mon Avis en Bref... 10/10 Les catalogues d'enchères restent des pièces de collection en général destinés aux plus mordus. Ce catalogue reste un must pour tout fan de Marilyn Monroe: pour la première fois, une grande vente aux enchères était organisée autour de la star, perçue sous un autre aspect qu'un mythe impalpable, à travers la découverte de nombreuses pièces jusqu'alors inédites relatives à sa vie privée (bijoux, vêtements, chaussures et chapeaux portés dans sa vie personnelle, son maquillage, ses livres, son piano blanc, ses meubles et objets de décoration) en plus de pièces mythiques reliées à son statut de star (ses Golden Globes et d'autres prix, sa garde robe Pucci, des robes et fourrures portés à des soirées, et la pièce phare restant la robe de Jean-Louis portée à l'anniversaire de JFK). Ce sont principalement des objets et peu de documents papiers (on y trouve ses scripts des Misfits, de Something's got to give entre autres, mais pas de lettres ou de notes personnelles). Ce catalogue est abondamment illustré avec présentation des lots, permettant de découvrir ou de redécouvrir Marilyn sous un autre jour.
Livret de la vente et des expositions ""The Personal Property of Marilyn Monroe" organisées en 1999 par Christie's dans différentes villes du monde (New York, Buenos Aires, Los Angeles, Londres, Paris, Saint Pétersbourg, Floride). Ce livret n'était disponible en vente que sur les stands des expositions. Petit livret de 8 pages qui ne contient donc qu'un extrait des lots exposés et qui seront mis aux enchères. Il s'est bien vendu sur les stands, et reste désormais introuvable (parfois mis aux enchères comme par Julien's en 2020 avec une mise à prix de 25 Dollars, il s'est vendu 256 Dollars !).
Booklet of the sale and exhibitions "The Personal Property of Marilyn Monroe" organized in 1999 by Christie's in various cities around the world (New York, Buenos Aires, Los Angeles, London, Paris, Saint Petersburg, Florida). This booklet was available for sale only on exhibition stands. Small 8-page booklet which therefore only contains an extract of the lots exhibited and which will be put up for auction. It did well sold on the stands, and now remains not found (sometimes auctioned as by Julien's in 2020 with a starting price of $ 25, it sold for $ 256 !).
La vente s'est déroulée sur deux jours - les 27 et 28 octobre 1999 - à New York (Rockfeller Center, Manhattan); l'événement va être relayé médiatiquement, amenant des journalistes du monde entier et pami l'assistance se trouvait les actrices Demi Moore et Meg Tilly, l'acteur Tony Curtis, le designer Tommy Hilffiger, la mannequin Stephanie Seymour; les enchères vont rapporter la somme de 13 millions de Dollars (13 405 785 Dollars).
The sale took place over two days – on October 27 and 28, 1999 – in New York;the event will be covered in the media, bringing in journalists from around the world and among the audience there were actresses Demi Moore and Meg Tilly, the actor Tony Curtis, designer Tommy Hilffiger, supermodel Stephanie Seymour;the auction will bring in the sum of 13 million Dollars (13,405,785 Dollars).
La vente est aussi filmée (vidéo en plusieurs parties sur youtube): The sale is also filmed (video in several parts on youtube):
Parmi les "célèbres" acheteurs: Tommy Hilfiger (les trois paires de Jean's portés pour La Rivière sans retour en lot 7 et la paire de bottes de cow-boy portée dans Les Désaxés du lot 42), Mariah Carey (le piano blanc lot 21), Massimo Ferragamo (fils de Salvatore Ferragamo, plusieurs paires Ferragamo sont vendus via les lots 2 / 189 / 213 / 235 / 221 / 246 / 273 / 292 / 294 - pour les exposer au musée Ferragamo de Florence en Italie), la Chef cuisinière Nicole Martin (ustensiles de cusine lot 401), le musée Ripley's Believe It Or Not (la veste mexicaine lot 51, la boîte à maquillage du lot 310 et le permis de conduire lot 358), Esther Kreis (une sosie Suisse de Marilyn - la paire de chaussures portée en Corée en lot 11). L'homme d'affaires Bob Schagrin (propriétaire d'une boutique 'Gotta Have It Collectibles' sur la 57ème rue de NY) est reparti avec la robe de Jean-Louis portée à l'anniversaire de JFK (pour 1,3 millions de Dollars, ce qui en faisait alors un record historique de la robe la plus chère revendue aux enchères -lot 55), ainsi que la robe de Norman Norell que Marilyn porte à la remise des Golden Globes en 1962 (lot 53).
Among the "famous" buyers: Tommy Hilfiger (the three pairs of jeans worn for River of no return in lot 7 and the pair of cowboy boots worn in The Misfits from lot 42),Mariah Carey (the white piano lot 21), Massimo Ferragamo (son of Salatore Ferragamo, several pairs of Ferragamo shoes are sold in lots 2 / 189 / 213 / 235 / 221 / 246 / 273 / 292 / 294 - to present them at Ferragamo museum in Florence, Italy), Chef Nicole Martin (kitchen utensils lot 401), The museum Ripley's Believe It Or Not (the Mexican jacket lot 51, the make-up box lot 310 and driver's license lot 358), Esther Kreis (a Swiss impersonator of Marilyn - the pair of shoes worn in Korea in lot 11). Businessman Bob Schagrin(owner of a 'Gotta Have It Collectibles' store on NY's 57th Street) took away with Jean-Louis' dress worn on JFK's birthday (for 1.3 million dollars, which then made it a historic record for the most expensive dress sold at auction -lot 55), as well as the Norman Norell dress that Marilyn wore to the Golden Globes in 1962 (lot 53).
Sources article pour la vente article Marilyn "Happy Birthday, Mr. President" dress sells for more than $1 million" Record Courrier article "DRE$$ED TO THRILL ; MARILYN’S ‘JFK’ GOWN NETS $1.15M " sur New York Post article "Marilyn Monroe Auction Is an Icon's Best Friend" surNew York Times quelques lots présentés appartenant au fan et collectionneur Scott Fortner sur son siteThe Marilyn Monroe Collection
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