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8 septembre 2022

Marilyn Monroe en huit anecdotes sur Vanity Fair

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 Marilyn Monroe en huit anecdotes
28 août 2022 - Par Sébastien Cauchon sur vanityfair.fr

On pensait tout connaître de la vie de Marilyn ? Sébastien Cauchon, l’un de ses plus fins biographes, nous prouve le contraire en huit anecdotes.

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1. La liste de ses envies
Si Marilyn Monroe n'a jamais tourné pour Hitchcock, c'est bien malgré elle. Fin 1955, la star avait envoyé à la Fox une liste de ses 16 réalisateurs préférés : George Cukor, John Huston, Billy Wilder, qui l'ont portée à l'écran. Mais aussi le maître du polar donc, Elia Kazan, Vittorio de Sica, John Ford, avec qui cela ne se fera jamais. Dommage…

2. Sans domicile fixe
Meublés puis hôtels de luxe : Marilyn Monroe a compté pas moins de 38 adresses en seize ans de carrière. L’un de ses premiers pied-à-terre à Los Angeles? Le Studio Club. Une pension accueillant des actrices précaires et harcelées par des producteurs libidineux. En 1946, elle y louait la chambre 307 pour 12 dollars la semaine. Parmi les autres pensionnaires célèbres de l’établisse- ment : Kim Novak, Dorothy Malone ou Rita Moreno.

3. Flexitarienne
Hyperactive (30 films en seize ans!) elle suivait un régime protéiné avant l’heure. Au petit-déjeuner: œufs battus et lait tiède, pamplemousse et café. Pour les déjeuners et les dîners, des steaks (souvent crus), des côtelettes d’agneau ou du foie de veau grillé. Entre deux films, elle pouvait commettre quelques écarts, avec des sandwichs au fromage, des crèmes glacées, ou parfois une cuillère de caviar – mais arrosée de champagne.

4. Groupie
Avant Marilyn, il y eut Jean Harlow, l'autre blonde platine à l'aura dévorante. La star de Certains l'aiment chaud s'en est inspirée, mais son idole ultime restait la tragédienne italienne Eleonora Duse. Une actrice de théâtre légendaire, réputée pour sa pâleur et son introversion, dont elle gardait précieusement le portrait dans chacune de ses résidences.

5. Infidèle
On connaît sa passion pour le parfum Chanel n°5, mais l’actrice faisait parfois des infidélités à la célèbre fragrance, au bénéfice de Joy de Jean Patou. Et lorsqu’elle était en Angleterre, elle ne portait « rien d’autre au lit que l’eau de lavande de Yardley », révélait-elle en 1956 à un reporter curieux. Joli coup de publicité pour la marque, déjà plébiscitée par la reine Elizabeth II elle-même.

6. Main verte
Que faisait la plus grande star de Hollywood à ses heures perdues ? Du jardinage. En lectrice assidue de Horticulture Magazine, elle voulait tout savoir de la botanique. Son dernier achat? Un lot de plantes et de fleurs pour décorer son hacienda de Brentwood.

7. Addict à la mode
Tout le monde connaît la tenue portée par Marilyn Monroe à l’anniversaire de JFK en 1962. Mais sa garde-robe était plutôt constituée de basiques chics et confortables. Jusqu’à ce qu’elle découvre les imprimés colorés d’Emilio Pucci. C’est d’ailleurs dans une éclatante robe verte qu’elle sera enterrée, en souvenir d’un séjour à Mexico six mois avant sa disparition, où elle semblait plus radieuse que jamais.

8. Prémonitoire
Une inscription en latin sur quatre dalles de terre cuite : « Cursum Perficio », soit « Ici s’achève mon chemin ». Ce message s’affichait sur le perron de la villa d’inspiration mexicaine achetée par Marilyn Monroe en mars 1962. Coïncidence macabre, elle y sera retrouvée sans vie un an plus tard.


article paru dans le numéro 103 de Vanity Fair, en kiosque le 27 juillet 2022


© All images are copyright and protected by their respective owners, assignees or others.
copyright text Vanity Fair.

6 septembre 2022

Ladies of the Chorus - scène 17 - Captures

Les reines du music-hall
Scène 17 - Captures


Mme Carroll (Nana Bryant) a convié chez elle Peggy Martin (Marilyn Monroe) et sa mère Mae Martin (Adele Jergens) afin de les rencontrer. Elles se retrouvent dans le salon à boire le thè, avec Randy Carroll (Rand Brooks).
Mme Carroll explique que son mari était dans les affaires et avait des bureaux dans les grandes villes des Etats-Unis (New York, Chicago, Los Angeles); c'est alors qu'elle demande à Mae ce que faisait son mari. Mae, embarrassée, regarde Randy, qui répond que son mari était dans les affaires à Boston. Mais Mme Carroll souhaite en savoir plus. Heureusement pour les Martin, le majordome Salisbury (Steven Geray) arrive pour venir chercher Mme Carroll qui est demandée au téléphone. Mme Caroll quitte donc le salon.

Ms. Carroll (Nana Bryant) has invited Peggy Martin (Marilyn Monroe) and her mother Mae Martin (Adele Jergens) to her home to meet them. They meet in the living room to drink tea, with Randy Carroll (Rand Brooks).
Mrs. Carroll explains that her husband was in business and had officies in major US cities (New York, Chicago, Los Angeles); it is then that she asks Mae what her husband was doing. Mae, embarrassed, looks at Randy, who replies that her husband was in business in Boston. But Ms. Carroll wants to know more. Luckily for the Martins, the butler Mr Salisbury (Steven Geray) arrives to ask at Mrs. Carroll to come as there is a phone call for her. So Mrs. Caroll leaves the living room.

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Mae demande alors à Randy pourquoi il n'a pas tenu sa promesse de dire la vérité à sa mère, à propos de leurs activités (les Martin, mère et filles, sont danseuses et chanteuses de revue). Randy explique qu'il préfère que sa mère les connaissent mieux avant de lui dire la vérité. Mae désapprouve le mensonge, tandis que Peggy soutient Randy.
Lorsque Mme Carroll revient, Randy prétexte qu'il n'avait vu passer le temps et qu'il doit sortir faire une activité avec Peggy. Sa mère lui rappelle de revenir à l'heure pour le dîner puis Randy et Peggy sortent. Mme Carroll convie Mae de participer, après le dîner, à jouer au  bridge avec ses amies.

Mae then asks Randy why he didn't keep his promise to tell the truth to his mother, about their activities (the Martins, mother and daughters, are show dancers and singers). Randy explains that he prefers that his mother know them better before telling her the truth. Mae disapproves of the lie, while Peggy supports Randy.
When Mrs. Carroll comes back, Randy pretends that he has not seen the time pass and that he must go out to do an activity with Peggy. His mother reminds him to come back on time for dinner and then Randy and Peggy go out. Mrs. Carroll invites Mae to participate, after dinner, to play bridge with her friends.

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copyright text by GinieLand. 

6 septembre 2022

Ladies of the Chorus - scène 17 - Photos

Les reines du music-hall
Scène 17 - Photos


Nana Bryant (Adele Carroll)Adele Jergens (Mae Martin) ,
Rand Brooks (Randy Carroll), Marilyn Monroe (Peggy Martin)

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Photographie signée par Marilyn Monroe
Photograph signed by Marilyn Monroe

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6 septembre 2022

Timbres République Togolaise, 2022

"La commémoration des 60 ans de la disparition de
MARILYN MONROE "

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6 septembre 2022

Timbres République du Tchad, 2022

"60è anniversaire de sa mort MARILYN MONROE"

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5 septembre 2022

Marilyn Monroe: Le Secret de l'Amérique

Album Marilyn Monroe
Le Secret de l'Amérique
Préface de: Francis Huster

book-mm-templar-presse-1 Prix : 75 €
Date de sortie : ? 2022
480 pages
Format
30 x 30 cm

Langue : français
Pays: France

Éditeur : Templar Presse
ISBN : ‎ ?
Ou le trouver ? sur le site de l'éditeur Maison Templar

Description - de l'éditeur Templar: 
« Il y a toujours deux côtés dans une histoire »
Norman Jeane Baker, Marilyn Monroe disparaissent dans la nuit du 5 août 1962. Indissociables dans la mort, elles sont le fruit d’une enfance livrée aux familles d’accueil et aux orphelinats. Ignorant l’identité du père. Spectatrices impuissantes de la dégradation mentale de leur mère.
La première. Norman Jeane a louvoyé entre les villes exceptionnellement désertes de la Californie et les derniers fantômes de Francis Scott Fitzgerald. Car « la lumière verte de Jay Gatsby », celle de la Cité des Anges, ont été soufflées par le krach boursier de Wall-Street. Et si à New-York, la Croix Rouge distribue des soupes de légumes aux pauvres comme aux autres, à Los Angeles, les somptueuses villas se taisent pour eux.
Surgie de ce néant, l’âme charitable de Tante Anna qui conduit Norman Jeane à l’autel pour James Dougherty, un autre rescapé. Ces deux gosses ne s’aiment pas, ils ont juste besoin l’un de l’autre pour survivre. De toute manière, la sauvagerie des pilotes Japonais à Pearl Harbor leur garantit la fin rapide de ce mariage. L’Amérique est en guerre.
Au lendemain de la mort tragique de Franklin D. Roosevelt, l’improbable président des États-Unis, Harry Truman, confie à son secrétariat improvisé : « Malheureux ! Si vous cherchez un ami à Washington, je vous conseille vivement de vous procurer un chien ! » L’avertissement du petit homme du Missouri est tout autant valable pour Hollywood et ses mirages. Mais Norma Jeane est sur la couverture d’un magazine vulgaire et se retrouve à dîner au Jilly’s.
Le 14 janvier 1954. La seconde. Marilyn Monroe épouse la star des tribunes des stades de baseball. Joe DiMaggio promet de la protéger. Elle reçoit ses premières gifles.
Le divorce est un déchirement. Frank Sinatra, Dean Martin, Sammy Davis Jr, Peter Lawford la consolent. L’un d’eux lui présente le candidat démocrate aux élections présidentielles. Il est riche, intelligent, drôle, séduisant, ambitieux et marié. John Fitzgerald Kennedy hante dorénavant ses nuits.
La Baronne noire, l’agent Paula Strasberg, la maintient hors des flots tout en lui assurant une immense carrière. Les coupes de champagne, les mensonges, les médocs sont des alliés. Marilyn rit aux éclats. Fait l’amour avec beaucoup. Y compris les taximen qui la ramènent dans son dix pièces.
En 1956, le dramaturge Arthur Miller accepte aussi ses avances. Elle porte du Chanel, le fantasme de ces millions d’hommes Blancs, Noirs, gros, grands, maigres, petits, beaux, édentés, malins, racés, répugnants et le sien. Leurs baisers sont ceux d’un couple qui s’est procuré une dernière fantaisie, « Le monde est une huître, mais on n’ouvre pas une huître avec douceur ».
À Londres, feuilletant le carnet intime de son homme, Marilyn est face à leur supercherie. Des mots lâches. Plus encore que le comportement bestial de Joe DiMaggio. Elle pleure. Regrette, « Jamais je n’aurais dû l’épouser ». Six jours avant l’investiture présidentielle de John F. Kennedy, elle lui fait ses adieux. Ils ne se reverront plus. Il le décide ainsi.
Au printemps 1961, le corps, l’esprit qu’elle désire tant, affrontent Fidel Castro, Nikita Khrouchtchev, l’armée d’Hô Chi Ming, sa douleur physique, viscérale…Et la colère du ciel. Joseph Kennedy, le patriarche du clan, s’écroule sur l’un des fairways du Country Golf Club de Palm Beach. Il n’alignera plus deux mots sans baver et attendra la mort sur un fauteuil roulant.
Quant à son adversaire officiel, celle-ci fait une prestation remarquable sur CBS. Le jour de la Saint Valentin. La Visite de la Maison Blanche par Madame John Fitzgerald Kennedy. Les Américains sont impressionnés. Elle autant. Pour la première fois depuis sa création, Marilyn se sent jalouse.
Elle se réconforte auprès du jeune ministre de la Justice. Tout comme elle, Bobby ferait n’importe quoi pour son frère aîné. Il travaille dix-huit heures par jour, veut mettre en prison les chefs de la mafia. Marilyn connaît l’un d’entre eux : Sam Giancana, « Il est si effrayant. On dit qu’il a tué de ses mains deux cents personnes… » Dans leurs conversations, il nomme J. Edgar Hoover, le directeur ancestral du FBI. Ils se détestent cordialement. Elle sait de quoi est capable ce « sale type » :  Écoutes téléphoniques chez ses amis à Hollywood, provoquer l’exil de son héros Charlie Chaplin…
Loin de Washington, de la Maison Blanche, Marilyn s’enfuit jusqu’aux œuvres de William Shakespeare. Imagine par écrit cette nouvelle histoire impossible, « Je produirai le Festival de Cinéma Shakespeare-Marilyn Monroe !… Je n’aurais plus jamais à me soucier des scénarios. Le plus grand des scénaristes ayant jamais existé travaillera pour moi…Je commencerai à interpréter Juliette…Je ferai une Juliette de quatorze ans, une vierge innocente mais dont la féminité naissante est fantastiquement sexy ! » Du tombeau le plus couru d’Angleterre nulle voix surgit pour répondre à la confession du sex-symbol de tous les temps.
Finalement, le 19 mai 1962, au Madison Square Garden, elle s’exhibe, nue, à John Fitzgerald Kennedy. Ivre. Magnifique. Le 35e président des États-Unis la rejoint sur scène, « Je peux maintenant quitter la politique après un tel hommage ! » Dans la salle, un millier de démocrates hurlent. Excités. Dans ce vacarme assourdissant, elle chuchote trois mots. Il sourit. Chez Arthur Krim, elle les lui répète. Ses yeux bleu-vert lui répondent.
Un mois plus tard, sur le plateau de Something’s Got To Give, elle nage nue. Cette fois pour son public. Ceux qui assistent à ce moment sont incapables de choisir l’adjectif qui le décrit le mieux. Magique. Tragique. Épique.
Dans la chambre unique de son hacienda, les vers de son impossible amant la font frissonner : « Doute que les astres soient de flammes, doute que le soleil tourne, doute de la vérité même, mais jamais ne doute que je t’aime ».
Les voici toutes deux déterminées à vivre. Norman Jeane ! Marilyn Monroe ! Elles s’engagent à dénoncer et licencier les charlatans. À fermer la porte à ceux qui ne désirent que leurs formes généreuses. Le public, le cinéma, eux seuls obtiendront leurs faveurs.
Aux aurores du 5 août 1962, on les découvre sans vie. La police de Los Angeles, le FBI, les journalistes, le reste du monde recherchent la vérité : Qui a tué Marilyn Monroe ? Aucun n’ose : Qui a tué Norman Jeane ?
De Hyannis Port, John F. Kennedy savoure des œufs au bacon. Du transistor de la cuisine, il perçoit la voix émue du meilleur commentateur des journaux du matin. Le téléphone sonne. Il ne répond pas et laisse cet appel à George Thomas. Il se lève. Gagne les rivages. De la fenêtre de leur chambre, Jackie l’observe. Il semble lever une main vers le ciel azur. Pour se protéger les yeux de la lumière déjà aveuglante de Cape Cod. L’une des domestiques brise cet instant, « Madame Kennedy avez-vous entendu ? C’est terrible ! » Elle fait signe oui de la tête, allume la première cigarette de la journée.
Et à des centaines de milliers de kilomètres de l’Atlantique, du tombeau de l’ancien monastère saxon de Stratford -Upon- Avon, près de ceux d’Anne et de Susanna Hall, les vitraux et les pierres perçoivent une voix. Une brève réponse aux tourments des mortels : « C’est la règle commune tout ce qui vit doit mourir, emporté par la nature dans l’éternité »

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Difficile d'avoir plus d'informations sur le contenu de ce livre (disponible exclusivement sur le site de l'éditeur): s'agit-il d'une biographie ? d'un récit littéraire de sa vie ou d'une fiction ? Qu'en est-il des illustrations ? Qui en est / sont le (les) auteur(s) ? A surveiller dans les semaines et/ou mois à venir si il y aura plus de précisions.

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Le livre semble être une sorte de "catalogue de l'exposition" (en est-il le reflet publiant les effets qui seront exposés ou non) qui doit se tenir en 2023 (du 01er avril au 02 juillet) à l'Espace Hotel de Lagoy de Saint-Rémy-de-Provence  (département 13 - voir le site de la Mairie de Saint Rémy de Provence); Exposition du même nom "Marilyn Monroe, le secret de l'Amérique" dans laquelle on pourra retrouver:
- Une reconstitution de sa chambre à coucher;
- Une série originale de 10 lithographies Marilyn signées Andy Warhol;
- 250 photographies commentées;
- Des soirées privées Marilyn Monroe.


 * (màj le 25/04/2023)
L'expo se tiendra du 01er juin au 01er octobre 2023

  Expo - Marilyn Monroe Le Secret de l'Amérique 


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5 septembre 2022

Ladies of the Chorus - scène 18 - captures

Les reines du music-hall
Scène 18 - Captures


Mae Martin (Adele Jergens) rejoint la chambre qu'elle partage avec sa fille Peggy Martin (Marilyn Monroe) où elles sont reçues chez Mme Carroll (Nana Bryant), la mère de Randy Carroll (Rand Brooks) que fréquente Peggy. Mae a passé une partie de la soirée à discuter de mondanités avec Mme Carroll, un sujet de discussion pourtant éloigné du milieu social de Mae, qui préfère s'en amuser.
Peggy est quand à elle émerveillée mais elle fait part à sa mère de son ressenti vis à vis de la situation qu'elle semble être trop belle pour être vrai ("J'éspère seulement que ce n'est pas qu'un rêve et que je me réveillerai un jour").

Mae Martin (Adele Jergens) joins the bedroom she shares with her daughter Peggy Martin (Marilyn Monroe) where they are received at Mrs. Carroll's (Nana Bryant) home, mother of Randy Carroll (Rand Brooks) whom Peggy frequents. Mae spent part of the evening discussing social affairs with Mrs. Carroll, a subject of discussion yet far removed from Mae's social middle, who prefers to have fun with it.
Peggy is on her own amazed but she tells her mother how she feels about the situation that she seems to be too good to be true ("I only hope it is not a dream and someday I wake up").

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Pendant ce temps, Randy Carroll (Rand Brooks) finit de rédiger un courrier dans son bureau quand sa mère Adele Carroll (Nana Bryant) frappe à la porte car elle désire discuter de Peggy, prenant un ton plutôt solennel. Randy, embarassé, souhaite commencer la discussion (il désire en réalité dévoiler à sa mère le métier de Peggy, danseuse et chanteuse de revue dans un cabaret), mais il n'a pas le temps d'aborder la discussion, que sa mère l'interrompt pour lui annoncer son idée d'organiser une fête de fiançailles, avec beaucoup de divertissement, voulant ainsi faire plaisir à son fils de le voir enfin si amoureux; on apprend qu'il est par ailleurs son fils unique.

Meanwhile, Randy Carroll (Rand Brooks) is finishing writing a letter in his office room when his mother Adele Carroll (Nana Bryant) knocks on the door wanting to discuss about Peggy, taking on a rather solemn tone. Randy, embarrassed, wants to start the discussion (he actually wants to reveal to his mother the profession of Peggy, dancer and singer in a cabaret), but he does not have time to start the discussion, so his mother interrupts him to announce her idea to organize an engagement party, with a lot of entertainment, thus wanting to please his son to finally see him so in love; we learn that he is also his only son.

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4 septembre 2022

Ladies of the Chorus - scène 18 - Photos

Les reines du music-hall
Scène 18 - Photos


Marilyn Monroe (Peggy Martin) & Adele Jergens (Mae Martin)

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4 septembre 2022

Ladies of the Chorus - scène 19 - captures

Les reines du music-hall
Scène 19 - Captures


Adele Carroll (Nana Bryant) est tellement ravie que son fils Randy soit tombé amoureux, qu'elle décide d'organiser une fête de fiançailles et d'y inviter tous ses amis de la haute société. Elle demande à son majordome Salisbury (Steven Geray) de recevoir le décorateur M Ripple. Quand ce dernier sonne à la porte, M Ripple (Dave Barry) se présente en parlant à Salisbury d'une voix en gargouillant; il est même accompagné de son fils, Junior Trickle (Alan Barry), qui parle de la même voix, ce qui déconcerte totalement M Salisbury. Il les fait entrer jusqu'au grand salon, qui doit être décoré pour la fête. Ils discutent des éléments à mettre en place pour la décoration, losque l'on sonne à la porte.
M Salisbury, agacé, va ouvrir la porte à Billy Mackay (Eddie Garr). Le majordome lui répond sèchement et le fait entrer, sans lui laisser le temps de se présenter, pensant qu'il a affaire à un assistant du décorateur.

Adele Carroll (Nana Bryant) is so thrilled that her son Randy has fallen in love that she decides to throw an engagement party and invite all her high society friends. She asks her butler Salisbury (Steven Geray) to receive the decorator M Ripple. When the latter rings the doorbell, Mr. Ripple (Dave Barry) introduces himself speaking to Salisbury in a gurgling voice; he is even accompanied by his son, Junior Trickle (Alan Barry), who speaks with the same voice, which totally baffles Mr Salisbury. He brings them into the large living room, which is to be decorated for the party. They discuss the elements to put in place for the decoration, when the doorbell rings.
M Salisbury, annoyed, will open the door to Billy Mackay (Eddie Garr). The butler answers him curtly and lets him in, without giving him time to introduce himself, thinking that he is dealing with an assistant decorator.

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Billy Mackay (Eddie Garr), valise à la main, se retrouve à attendre seul dans le grand hall lorsque Peggy Martin (Marilyn Monroe) et Randy Carroll (Rand Brooks), suivis de leurs mères respectives - Mae Martin (Adele Jergens) et Adele Carroll (Nana Bryant) - descendent les escaliers. Peggy se jette dans les bras de Billy, heureuse de le retrouver. Billy est en effet un ami de longue date des Martin. Peggy le prèsente à Mme Carroll qui appelle Salisbury pour qu'il amène Billy à sa chambre. M Salisbury est confus de réaliser que Billy n'est pas un employé venu pour les préparatifs, mais qu'il fait parti des invités. Il lui prend alors sa valise et l'invite à le suivre jusqu'à la chambre.

Billy Mackay (Eddie Garr), suitcase in hand, finds himself waiting alone in the great hall when Peggy Martin (Marilyn Monroe) and Randy Carroll (Rand Brooks), followed by their respective mothers - Mae Martin (Adele Jergens) and Adele Carroll (Nana Bryant) - down the stairs. Peggy throws herself into Billy's arms, happy to see him. Billy is indeed a longtime friend of the Martins. Peggy introduces him to Mrs. Carroll who calls Salisbury to bring Billy to her room. Mr. Salisbury is confused to realize that Billy is not an employee who came for the preparations, but that he is one of the guests. He then takes the suitcase and invites him to follow him to the bedroom.

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3 septembre 2022

Ladies of the Chorus - scène 19 - Photos

Les reines du music-hall
Scène 19 - Photos


 Steven Geray (Salisbury), Alan Barry (Junior), Dave Barry (M Ripple)

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