Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Divine Marilyn Monroe

NAVIGUATION
DIVINE MARILYN

Marilyn Monroe
1926 - 1962

BLOG-GIF-MM-BS-1 

Identités

Norma Jeane Mortenson
Norma Jeane Baker
Norma Jeane Dougherty
Marilyn Monroe
Marilyn DiMaggio
Marilyn Miller
Jean Norman
Mona Monroe
Zelda Zonk

Archives
13 août 2010

Duel en studio

Duel en studio
le 10/08/2010
en ligne
sur telerama.fr

Le temps des rencontres | Séduction, intimidation, provocation : tout est bon pour saisir ce qui n'affleure qu'un instant sur le visage du modèle, ce qui était jusque-là contenu. Les grands portraitistes, tels Richard Avedon ou Irving Penn, sont aussi des stratèges.

duel_en_studio_M40905
 Richard Avedon dirigeant Marilyn Monroe et Billy Wilder lors d'une séance photo dans son studio. USA, 1954.
© Sam Shaw / Shaw Family Archives / Roger-Viollet 

« Nous sommes seuls dans une pièce, occupés à ce mystérieux échange. Qu'est-ce que je vous abandonne ? Et de quoi m'investissez-vous ou que me volez-vous ? En quoi me changez-vous ? Je sens le changement comme une sorte de courant sous ma peau. M'inventez-vous au fur et à mesure ? Est-ce que je me copie moi-même ? ». Bill, romancier reclus, parle à Brita, photographe venue faire son portrait ; tous deux nés de la plume de Don DeLillo, dans son roman Mao II. La séance est commencée, et le romancier résiste encore, n'a pas encore cédé à l'idée qu'à la première faiblesse elle le ferait sien et l'enfermerait dans l'appareil. Il sera là dans la boîte noire, à son corps défendant, coincé. Enfin pas lui justement, plutôt cet autre qui prétendra être lui désormais, et contre l'image duquel il n'y aura plus rien à faire. La photographe, par intermittences, parle de romans puis de l'écriture, attendant qu'il se livre, sans savoir si la direction empruntée sera la bonne.

“Prendre un portrait, c'est nécessairement entamer une série de négociations.”

Le portrait photographique est une mise à l'épreuve – mutuelle. Les photographes sont nombreux à témoigner sur le sujet. Tous évoquent la persévérance et la séduction nécessaires pour vaincre la résistance du modèle – avant, pendant et après la séance de prises de vue. L'assistant d'Irving Penn fait le mur pour aller chercher Picasso qui feint l'absence ; Gisèle Freund éprouve sa ténacité auprès d'un James Joyce franchement rétif ; Richard Avedon attend la fin de la danse jouée par Marilyn devant l'objectif, pour voir poindre dans le studio celle qu'il attendait à la séance, Norma Jean ; Henri Cartier-Bresson endure le silence impassible d'Ezra Pound. Ou plus récemment Stefan Ruiz patiente deux jours durant avant d'être reçu par James Brown, et le photographe américain de commenter : « Prendre un portrait, c'est nécessairement entamer une série de négociations : combien le sujet va-t-il donner ? Combien le photographe va-t-il prendre ? Sera-t-on honnêtes l'un envers l'autre ? Se traitera-t-on mutuellement avec respect ? Combien de temps aura-t-on ? Où cela va-t-il se passer : lieu personnalisé ou générique ? »

duel_en_studio_M40907
 © Sam Shaw / Shaw Family Archives / Roger-Viollet

Le processus, dans ses grandes lignes, varie peu : décider du lieu, placer son appareil, régler ses lumières, placer le sujet devant l'appareil, ajuster, observer. Puis pour certains, laisser venir ; pour d'autres, provoquer ; pour tous, guetter ce moment où affleure ce qui était jusque-là contenu ; saisir et, enfin, remercier. Pendant le laps de temps que dure la séance, la relation entre photographe et sujet culmine parfois – indépendamment de la longueur de la séance, précise Ruiz – en un sommet d'intensité. C'est seulement derrière l'appareil que l'on est autorisé à regarder, scruter, avec un tel degré d'insistance. Il y a du désir pour cet autre que l'on veut saisir ; chez Avedon, un appétit que même l'appareil entrave ; à partir de 1969, il travaillera avec une chambre photographique grand format et se tiendra significativement, non sous le voile noir, mais à côté de l'appareil, pour plus de proximité avec le sujet, actionnant le déclencheur à distance. En studio, réalisant un portrait, Avedon reproduit la gestuelle même de son sujet, à sa propre surprise confiera-t-il. Oublieux de l'environnement, du temps qui passe et de sa présence physique. « La concentration vient de moi et implique le sujet. Parfois l'intensité atteint une telle force que le studio devient silencieux. Le temps s'arrête. Nous partageons un moment bref d'intense intimité. Mais c'est immérité. Ça n'a pas de passé... ni de futur. Et quand la séance est finie, quand l'image est faite, il ne reste rien d'autre que la photographie... La photographie et une sorte d'embarras. Il part et je ne le connais pas. J'ai à peine entendu ce qu'il a dit. Si je le rencontre une semaine plus tard, quelque part, je m'attends à ce qu'il ne me reconnaisse pas. Pour la raison que je ne crois pas avoir été réellement là » (1).

Avedon évoque la charge sexuelle contenue dans ce regard soutenu jusqu'à l'épuisement, Penn parle d'amour et, à ce titre, proscrit de son studio le terme « shoot » (recouvrant à la fois l'action de tirer avec une arme à feu et celle de prendre une photographie).

Y a-t-il de la place pour la gentillesse en matière de portrait ?

Les deux travaillent essentiellement en studio. On vient chez eux pour avoir son portrait pris par le maître – un certain esprit de déférence face au photographe peut-être révolu depuis, avec leur mort. Dans le studio, le minimum. Fond blanc chez Avedon, car si le noir remplit le cadre, le blanc, lui, le vide ; morceaux de moquette foncée et épaisse disposés sur des caisses savamment agencées chez Penn. L'espace est nu et le sujet, prévenu ; la complaisance n'a pas cours en ces murs. Et celui qui, un jour, suggéra à Mister Penn – comme il se devait de l'appeler –, de nettoyer « tout cela », s'en alla sans son portrait. Franchir le seuil, c'est accepter déjà de lâcher prise. Henry Kissinger, expert en manipulation, arrivant chez Avedon, l'avait compris et lui glisse : « Be kind to me » (« Soyez gentil »). Mais y a-t-il de la place pour la gentillesse en matière de portrait ? Si la gentillesse est dans le plaisant, l'intégrité artistique du photographe ne l'engage-t-elle pas, de fait, à chercher la complexité et la contradiction, au-delà de ce que le sujet offre de prime abord, au-delà de son visage social ?

duel_en_studio_M40906
 © Sam Shaw / Shaw Family Archives / Roger-Viollet

Quiconque se rend à une séance de portrait partage ce désir et cette crainte mêlés ; l'image en devenir attise un désir narcissique de se voir enfin révélé par l'objectif, autant qu'elle entretient une peur confuse à son égard. L'on se soumet. Car si le sujet et le photographe sont les deux composantes irréductibles du portrait, le contrôle est dans les mains du photographe qui sait qu'il ne peut répondre à la quête de vérité du sujet. « Il y a dans le portrait photographique, dit Penn, quelque chose de plus profond que nous cherchons dans la personne, tout en étant douloureusement conscient qu'une des limites de notre médium est que l'intérieur peut être capté seulement dans la mesure où il est apparent à l'extérieur... Je me suis parfois laissé séduire par cette croyance mystique du pouvoir pénétrant de l'appareil, mais le reflet me ramène toujours à l'acceptation du processus de l'image comme le simple rebond de la lumière sur un arrangement momentané d'atomes qui constitue un visage. » (2) Et Avedon de déclarer : « Mes photographies ne vont pas au-delà de la surface, elles ne vont au-delà de rien. Elles sont des lectures de la surface. J'ai une grande confiance dans les surfaces. Elles sont pleines d'indices. »

Toute photographie est exacte. Aucune d'elles n'est la vérité.”

Rien d'autre que la surface. Celle qui s'interpose entre le sujet et l'homme derrière l'objectif, celle sur laquelle affleurent, par brefs instants, sa fragilité, ses paradoxes. Cette peau que l'on ne reconnaît pas toujours sienne. Le sujet attend de la photographie la ressemblance, pourtant, rarement un portraituré se reconnaît dans son image, et souvent objecte : celui-là n'est pas moi ! « Le moment, poursuit Avedon, où une émotion est transformée en une photographie, n'est plus une émotion mais une opinion... Toute photographie est exacte. Aucune d'elles n'est la vérité » (3).

Cette déception du sujet face à son image, Avedon la rencontre à de nombreuses reprises, y compris chez son père, blessé par son portrait, un des premiers qu'il prend de lui alors qu'il est atteint par la maladie. Le fils écrit pour expliquer : « Quand tu poses pour une photographie, c'est derrière un sourire qui n'est pas le tien. Toi, tu es en colère, affamé et vivant. Ce que j'estime en toi est cette intensité. Je veux faire des portraits aussi intenses que le sont les gens. Je veux que ton intensité passe en moi, à travers l'appareil et soit reconnue par l'étranger. Te rappelles-tu que tu as essayé de m'apprendre à faire du vélo quand j'avais 9 ans ? Tu devais venir dans le New Hampshire pour le week-end, je crois, pendant l'été quand nous y étions en vacances, et tu portais ton costume de travail. Tu me montrais comment monter à vélo, et tu es tombé et j'ai vu ton visage alors. Je me rappelle l'expression sur ton visage quand tu es tombé. J'avais mon appareil Brownie avec moi, et j'ai pris une photo. Je ne suis pas clair. Tu me comprends ? » Dès le moment où l'on se sait observé, on se « métamorphose à l'avance en image » dit Barthes dans La Chambre claire. Au photographe de venir faire vibrer à nouveau cette surface, au nom de la vie.

“Parfois je pense que toutes ces images sont juste des portraits de moi.”

Peu avant sa mort, Avedon se voit proposer un marché par un de ses sujets : Lee Friedlander... photographe. Le marché sera portrait contre portrait, Avedon photographiera Friedlander qui en retour pourra photographier Avedon. Tirs croisés en clairière dégagée (la maison de Friedlander) ; chambre photographique grand format, assistants, lumières, réflecteurs et fond blanc pour l'un et Hasselblad au cou pour l'autre. Et voici la dialectique du portrait mise à nu par ses auteurs. Friedlander expose le dispositif auquel il est soumis. Avedon soustrait le sujet à son environnement, l'isole sur le fond blanc pour qu'il devienne, dit-il, « symbole de lui-même ». Friedlander, au contraire, n'omet rien du contexte et, par là, révèle le dispositif du photographe Avedon, et du désir de contrôle de l'homme Avedon, absorbé, tout entier à l'image, à mi-chemin entre le sujet et l'appareil. Contrepoint saisissant au portrait de Friedlander, spectateur paisible de ce déploiement d'énergie. Le cas Avedon est fascinant tant son œuvre de portraitiste est prolifique, tant elle semble être chez lui la poursuite d'une quête absolument viscérale. Lui qui confiait à Truman Capote : « Parfois je pense que toutes ces images sont juste des portraits de moi. » Celui que l'on rencontre le plus sûrement en faisant œuvre des autres, c'est soi-même.

(1) Richard Avedon and The Minneapolis Institute of Arts, 1970.
(2) Irving Penn Portraits, de Magdalene Keaney, National Portrait Gallery Publications.
(3) In the American West, Richard Avedon, Photographs, 1979-1984 de Richard Avedon et Laura Wilson, 174 pages, 480 EUR.

A lire
Irving Penn Portraits”, de Magdalene Keaney, éd. National Portrait Gallery Publications, 80 pages, 24 EUR.
Avedon at work, in the American West”, de Laura Wilson, éd. University of Texas Press, 132 pages, 35 EUR.
Mise en scène, Richard Avedon”, de John Lahr, Andre Gregory, Mike Nichols, Twyla Tharp, éd. La Martinière, 304 pages, 39 EUR.
People”, de Stefan Ruiz, éd. Chris Boot, 144 pages, 28 EUR.
Le Monde et ma caméra”, de Gisèle Freund, éd. Denoël, 263 pages, 22 EUR.

12 août 2010

Gif Love Nest (1) - Coca Cola

gif_mmcoca

12 août 2010

Marilyn pendant Niagara par Jock Carroll 1

Niagara
Sur le tournage

 
Marilyn Monroe pendant le tournage du film Niagara
au Canada, dans sa chambre du General Broke Hotel
.
Photographies de Jock Carroll

>> Planches Contact
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_010_byJockCarroll_1 
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_011_byJockCarroll_1 ph_jock_carroll_marilyncontactsheet_1_ 

>> Séance en chemisier rouge, pantalon rayé
1952-Jock_Carroll_03 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_020_byJockCarroll_1c1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_020_byJockCarroll_1a
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_031_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_032_byJockCarroll_1
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_030_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_050_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_040_byJockCarroll_1
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_060_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_070_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_070_byJockCarroll_2
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_081_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_080_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_080_byJockCarroll_1a
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_091_byJockCarroll_1a 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_080_byJockCarroll_1c
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_090_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_091_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_092_byJockCarroll_1
1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_100_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_010_Hotel_100_byJockCarroll_1a 1952_Niagara_OnSet_011_Hotel_010_byJockCarroll_1

>> Séance dans le lit
1952_Niagara_OnSet_Hotel_Bed_010_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_Hotel_Bed_020_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_Hotel_Bed_030_byJockCarroll_1
1952_Niagara_OnSet_Hotel_Bed_010_byJockCarroll_1c1 1952_Niagara_OnSet_Hotel_Bed_030_byJockCarroll_2

>> Séance en peignoir:
1952-Jock_Carroll_04  1952_Niagara_OnSet_Hotel_inGown_011_byJockCarroll_1  1952_Niagara_OnSet_Hotel_inGown_011_byJockCarroll_1a
1952_Niagara_OnSet_Hotel_inGown_010_byJockCarroll_1 1952-by_carroll-peopletoday12523aa
1952-Jock_Carroll_02
1952_Niagara_OnSet_Hotel_inGown_020_byJockCarroll_1 ph_dd_mm_cplanche2

1952_Niagara_OnSet_Hotel_inGown_030_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_Hotel_inGown_031_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_Hotel_inGown_032_byJockCarroll_1 1952_Niagara_OnSet_Hotel_inGown_033_byJockCarroll_1
1952-by_jock_carroll  

12 août 2010

Publicité pour American Express

Publicité pour les chèques de la banque American Express

ADV_AMERICANXPRESS_010

12 août 2010

Publicité pour AMC

Publicité pour AMC, une chaîne de télévision cablée américaine

ADV_AMC_010_1

12 août 2010

LIFE Edition Internationale 8/07/1957

MAG_LIFE_1957_07_08_COVER_PRINCE_1L'édition internationale de Life du 8 juillet 1957 consacrait sa couverture à Marilyn Monroe et Laurence Olivier dans le film "The Prince and the Showgirl" sortit sur les écrans en juin, avec en pages intérieures, la publication de photographies prises par Milton Greene de photos extraites du film et de sessions de Marilyn en studio.
Attention, cette édition de Life n'est pas à confondre avec l'édition américaine du magazine qui pour la même date, sortait un numéro avec un cow-boy du Texas à cheval.

>> couverture copie:
mag_life_7_8_57_int_mm

>> pages intérieures et article:
MAG_LIFE_1957_07_08_PAGE010 
mag_life_1957_p mag_life_1957_pp
MAG_LIFE_1957_07_08_PAGE030 mag_life_1957_ppp
MAG_LIFE_1957_07_08_PAGE020a1 MAG_LIFE_1957_07_08_PAGE020a2 
MAG_LIFE_1957_07_08_PAGE020

12 août 2010

Paris Match 18/07/1953

mag_paris_match_1953_07_18_num226_cover_01Le magazine Paris Match n°226, de la semaine du 18 au 25 juillet 1953, nous offrait pour la première fois Marilyn Monroe en couverture pour illustrer un long reportage sur l'industrie cinématographique d'Hollywood, titré en couverture  "Le Cinéma va-t-il disparaître?", rédigé par le reporter Raymond Cartier avec en pages intérieures, un long article développé sur 15 pages, intitulé "Hollywood lutte pour survivre". Dans l'article, les nouvelles jeunes starlettes d'Hollywood sont présentées sur 2 pages: "Chaque studio met son espoir dans une jeune vedette" avec cinq portraits: Ursula Thiess (RKO), Marilyn Monroe (FOX), Elaine Stewart (MGM), Lori Nelson (UNIVERSAL) et Joanne Gilbert (PARAMOUNT). Une seule photographie de Marilyn -de Nick de Morgoli- est publiée dans l'article, mais la photo de la cover est de Bert Reisfeld. (Scans Persos).

mag_paris_match_1953_07_18_num226_cover_1 mag_paris_match_1953_07_18_num226_p1
mag_paris_match_1953_07_18_num226_article mag_paris_match_1953_07_18_num226_mm

12 août 2010

Marilyn Monroe, l’écrivain

Écrits inédits de Marilyn : premières indiscrétions

Article publié par Célia Brochet
le 5 août 2010,
en ligne sur parismatch.com

photos_people_cinema_Marilyn_Monroe_et_Arthur_Miller

Un livre regroupant des écrits inédits et personnels de Marilyn Monroe sortira en octobre prochain. On y découvre une star amatrice de littérature.

Il y a eu les biographies, les romans, les enquêtes, les recueils d’images et autres bandes-dessinées. Tant d’ouvrages «sur» Marilyn Monroe, mais pas encore «de» Marilyn Monroe. Pour la première fois, un livre intitulé "Fragments" va paraître avec pour signature ce nom qui déchaîne bien souvent les passions. Les Editions du Seuil, en collaboration avec le producteur de cinéma Stanley Buchtal, vont sortir un recueil de poèmes, d’extraits intimes de journaux, et de lettres, reproduits en fac-similé. Les fans de l’icône glamour des années 50 vont découvrir une femme amatrice de grande littérature, et apercevoir la sensibilité intellectuelle de Marilyn, qui passait souvent pour plus superficielle qu’elle ne l’était.

Couverture_Marilyn_FragmentsDans une interview au «Figaro», le coresponsable de l’editing chez Le Seuil, Bernard Comment, a livré quelques grandes lignes de l’ouvrage. «Il y a une certaine mélancolie dans le ton du livre, et ce qui est très beau dans certaines notes est la façon avec lesquelles s'associent les idées, même si elles sont disséminées sur la page», explique-t-il. Des références culturelles sont semées tout au long de l’oeuvre, du dramaturge Arthur Miller, un de ses trois maris, au grand Samuel Beckett, en passant par James Joyce, écrivain du XIXe siècle. «On retrouve, dans ses textes très personnels, James Joyce, qu’elle avait découvert à vingt-six ans, en interprétant des extraits du mythique monologue de Molly. Elle admirait également Samuel Beckett, aux succès naissants, alors qu'elle fréquentait l'Actor's Studio, à son arrivée à New York. Plus surprenante encore, sa fascination pour le barde Walt Whitman, le fondateur de la poésie américaine moderne», raconte Bernard Comment au «Figaro.»

Dix-neuf ans de textes personnels

Ce fonds précieux d’écrits commence en 1943, alors que Norma Jean Baker n’a que 17 ans, et s’étale jusqu’à la veille de sa mystérieuse mort, dans la nuit du 4 au 5 août 1962. Et si cette parution est possible, c’est grâce à Anna Strasberg. La veuve de Lee Strasberg, fondateur de l’Actor’s Studio fréquenté par Marilyn, et surtout héritier de la blonde pulpeuse, est la responsable du Marilyn Monroe Estate. C’est elle qui a confié ces textes à Bernard Comment pour en faire un recueil, qui sera sûrement l’un des ouvrages phares de la rentrée littéraire de cette année.

La sortie mondiale du livre est prévue pour le 12 octobre prochain, publié en France aux éditions du Seuil dans la prestigieuse collection «Fiction & Cie.» Elle sortira en deux versions, une classique et une de luxe, éditée sous une couverture toilée rose. Dans les deux cas, le livre sera fourni avec en supplément une trentaine de photos personnelles de la star. Des vraies révélations sur cette femme qui a bien souvent véhiculé une image contraire à sa vraie personnalité.

12 août 2010

Paris Hilton se prend pour Marilyn

Paris Hilton désastreuse en Marilyn Monroe!

Article publié le 11 août 2010,
en ligne sur staragora

parishilton_tease_promo1

Paris Hilton se prend pour Marilyn Monroe. Pour le lancement de Tease, son 10e parfum, elle a pris son rôle très au sérieux. Manque de pot, le résultat n'est pas fameux...

Paris Hilton a sorti Tease, un nouveau parfum, et elle a choisi de se grimer en Marilyn Monroe pour sa promo.
Si sa première tentative passait à peu près (à voir: la
campagne de pub ), mais sa dernière apparition dans la peau de l'icône de cinéma est un désastre.

Trop de bronzage tue le bronzage ! Paris Hilton ressemble à tout sauf à la brave Marilyn Monroe. Trop maigre, trop grande, trop blonde et trop bronzée, la riche héritière a tout faux !

parishilton_tease_promo3 parishilton_tease_promo2 parishilton_tease_promo4

Diamonds are a girl's best friends... Reine du glamour et de la classe, Marilyn Monroe est tout simplement un trop grand objectif pour Paris. Seul bon point, sa coupe rétro qui rappelle effectivement celle de l'actrice tragiquement disparue. Paris Hilton ou sa poupée de cire ? 

Enregistrer

11 août 2010

1946 Publicité pour Nivea

Publicité pour la crème Nivea
vers 1946


ADV_BEAUTY_NIVEACREAM_010 adv_beauty_nivea_barque
 

il semblerait que le photographe soit Joe Jasgur

Visiteurs
Depuis la création 5 665 430
Derniers commentaires
Marilyn sur le web

BLOG-GIF-MM-GPB-1 
Une sélection de sites web

Blog - The Marilyn Report 
Blog - The Marilyn Archive 
Blog - Tara Hanks

  Mesmerizing Marilyn Monroe
Marilyn From the 22nd Row

Collection Greg Schreiner
Collection Scott Fortner
Collection Peter Schnug

Marilyn Geek
Fan Club The Marilyn Remembered

Blog - MM Books
Blog - Marilyn Monroe Animated Gifs 
Instagram Official Marilyn Monroe

Instagram - Silver Technicolor 
Instagram - Marilynraresig

Tumblr - The Marilyn Monroe Visual Vault 
Tumblr - Infinite Marilyn 
Tumblr - Always Marilyn Monroe 
Tumblr - Marilyn in High Quality 
Tumblr - Marilyn Monroe Archive 
Tumblr - Our Girl Marilyn 

Perfectly Marilyn Monroe

Crazy For Marilyn 
Crazy For You
Crazy For You 2

La presse
Blog - Marilyn Cover Girl 
Blog - La MM que j'aime 
Magazines - Famous Fix 

Magazines - Pinterest Lorraine Funke

Archives presse USA - Newspapers 
Archives presse Australia - Trove
Archives presse - Internet Archive 
Archives presse - Lantern

Archives presse - Media History Digital Library 
Archives - Gallica BNF 

Archives magazines - Magazine Art 
LIFE photo archive 
LIFE magazines 

LIFE articles 
Collier's - Unz Review 
Esquire Classic 
Bravo Posters 
Paris Match

 Agence Photos 
Magnum  
Getty images 
mptv images 
Keystone
 profimedia
ullstein bild
Redux Pictures
Roger Viollet
Shutterstock 
topfoto
picryl
iStock by Getty 
Bridgeman images 
AP Images 

Album 

 Photographes 
All About Photo  
Listing Photographes du XXeme 
Allan Grant 
Bernard of Hollywood - instagram 
Bert Stern 
Bill Ray 
Bob Willoughby 
Carl Perutz 
Douglas Kirkland - website 
 Douglas Kirkland - instagram 
Elliott Erwitt - website 
Elliott Erwitt - instagram 
Ernst Haas 
Eve Arnold - website 
Eve Arnold - instagram 
George Barris - website 
George Barris - instagram 
Harold Lloyd  
Henri Dauman 
Jock Carroll 
Lawrence Schiller 
Leigh Wiener 
Nickolas Muray 
Phil Stern 
Philippe Halsman - website 
Philippe Halsman - instagram  
Richard Avedon - website 
Richard Avedon - instagram 
Sam Shaw - website 
Sam Shaw - instagram  
Weegee Arthur Fellig 

Milton H Greene
Milton H Greene - website 
Milton H Greene - instagram 
MHG The Archives Licensing  
The archives LLC - tumblr

Video Archives 
INA 
British Pathé  
ITN Archive

Paramount & Pathé Newsreel

Culture 
aenigma 
The Blonde at the Film 
Tumblr - Weirland TV
Dr Macro's HQ scans 
Pulp International 
Stirred Straight Up 

BLOG-GIF-MM-KOREA-1 

Sites communautés
Irish Marilyn Monroe Fan Club
listal
The Place 
Who's Dated Who 
Films - imdb 
Films - Classic Movie Hub 
Bio - Wikipedia fr  
Dossiers - FBI Records

 Marilyn Friends
Mona Rae Miracle
Joe DIMaggio
Arthur Miller
Yves Montand 
Montgomery Clift 
Clark Gable 
Marlon Brando 
Jane Russell 
Rock Hudson 
Dean Martin 
Frank Sinatra 
Ava Gardner 
Ralph Roberts 
George Fisher
Joan Crawford
Jeanne Carmen 
Travilla Style - blog 
The Actors Studio