Scène où Schatze Page (Lauren Bacall) et Pola Debevoise (Marilyn Monroe) sont dans leur appartement, vêtues de fins peignoirs et dansent. Scene where Schatze Page (Lauren Bacall) and Pola Debevoise (Marilyn Monroe) are in their apartment, dressed in fine bathrobes and dance.
Sur le tournage On the Set
Marilyn Monroe en grande discussion Marilyn Monroe talking with unknown man
PhotosPublicitaires Publicity Shot
Portraits de Marilyn Monroe Photographies de Nickolas Murray
Portraits of Marilyn Monroe Photographs by Nickolas Murray
- En coulisses - Photographies de John Florea
- Behind the scenes - Photographs by John Florea
Série "Reference Book" Sitting "Reference Book"
Portraits de Marilyn Monroe Photographies de John Florea
Portraits of Marilyn Monroe Photographs by John Florea
- En coulisses: le photographe Gene Trindl dirige Marilyn - - Behind the scenes: photographer Gene Trindl directs Marilyn -
Certaines photographies sont publiée dans des article des magazine américains Collier's (du 27 juin 1953) -magazine pour lequel travaille le photographe John Florea- et Eye (septembre 1953) pour promouvoir les films Les hommes préfèrent les blondes que Marilyn a terminé de tourner en mars 1953, et Comment épouser un millionnaire dont elle débute le tournage quelques jours après.
Some the photographs are published in articles in the American magazines Collier's (June 27, 1953) -magazine for which the photographer John Florea works- and Eye (September 1953) to promote the films Gentlemen Prefer Blondes that Marilyn has finished shooting in March 1953, and How to marry amillionaire that she begins filming some days after.
Le magazine Ben°98, du 10 février 2012, consacrait sa couverture et un article de 6 pages à Michelle Williams prochainement à l'affiche d'Une semaine avec Marilyn dans les salles françaises.
Michel Denisot: Il y a presque 50 ans que Marilyn Monroe nous quittait. Toute cette année, nous en reparlerons. Premier hommage ce soir avec Michelle Williams pour un très joli film My week with Marilyn. Vous êtes nommée aux Oscars pour ce film qui sortira chez nous au mois d'avril. C'est non pas un biopic sur toute la vie de Marilyn comme il y en a déjà eu, mais c'est un film très particulier qui relate, comme son nom l'indique, une semaine dans la vie de Marilyn. C'est sur le tournage d'un film, elle est au sommet de sa gloire, c'est en 1956, c'est le film 'Le prince et la danseuse', en Angleterre; elle est arrivée à Londres, on va voir d'ailleurs l'arrivée à Londres avec les images d'archives et l'arrivée à Londres dans le film. On va voir que vous êtes vraiment Marilyn, où le document d'archives est évidemment en noir et blanc et vous êtes à droite. Vous êtes très proche d'elle, vous aviez sa photo dans votre chambre d'adolescente. C'est un rêve qui se réalise pour vous, j'imagine, d'actrice, de jouer, d'être Marilyn ?
Michelle Williams: D'une certaine façon, oui. Je n'aurai jamais imaginé que je jouerai ce rôle là, que je pourrai le faire mais cela s'est présenté à moi et ma première réponse a été oui.
Michel Denisot: Alors, on va voir deux extraits du film. Il y en a un où vous chantez, vous dansez, vous n'êtes pas du tout doublée dans ce film; puis un autre avec une scène assez sensuelle.
Arianne Massenet: Ce qui est très intéressant, c'est ce film qui raconte donc une semaine avec le troisième assistant réalisateur qui passe une semaine sur ce film, c'est qu'on découvre une Marilyn que finalement on connaissait peu; bien sûr la Marilyn glamour, star de cinéma, mais surtout une Marilyn, une actrice qui doute, qui a peur, qui est tiraillée entre ce qu'elle est et ce qu'elle voudrait être. Vous avez lu beaucoup d'ouvrages sur ce trait de caractère de Marilyn que l'on connait assez peu ?
Michelle Williams: Oui. J'ai lu tout ce que je pouvais lire. J'ai commencé avec les films, j'ai commencé par regarder les premiers films dans lesquels elle avait joué, quand elle avait une vingtaine d'années jusqu'à la fin de sa carrière. Je ne savais pas si j'aurai été capable de jouer ce rôle, et puis j'avais un peu des idées préconçues; mais j'ai lu tous les livres que j'ai pu trouver sur elle et il est devenu très clair à mes yeux que la manière dont on pense à Marilyn Monroe généralement, on se dit c'est une déesse, un rêve impossible de beauté. C'était vraiment un personnage qu'elle jouait, un personnage qu'elle avait créé elle-même et sous ce personnage, il y avait une jeune femme que l'on ne connaissait pas, on n'a pas vraiment d'images vidéos de sa personnalité naturelle. On a quelques conversations avec ses amis, et c'est ce sur quoi j'ai travaillé. Je me suis dit que j'allais m'intéresser à ce qu'il y avait sous cette personne.
Ollivier Pourriol : Dans ce film, on voit Sir Laurence Olivier, le réalisateur du film, le grand acteur, dire que Marilyn est tellement spontanée que face à elle, on ne peut que ressentir sa propre insuffisance. Est-ce que vous, face à Marilyn, vous êtes vous sentie insuffisante ou au contraire, en complicité ?
Michelle Williams: Je crois que ce qui est important, c'est de se rappeller c'est que c'est ça qui l'a rendu si bonne dans sa performance. C'est qu'on a l'impression que tout lui arrive pour la première fois. Tout a l'air très spontané et lorsqu'on veut vraiment avoir le mot juste, un bon détail, une gestuelle, c'est un peu difficile de garder cette spontanéité et c'est c'est ça qui faisait d'elle un personnage très spécial. Cela a été véritablement un défi d'amener toutes ces caractéristiques théâtrales, mais de garder cette spontanéité, cet esprit de Marilyn.
Jean-Pierre Raffarin: Comment est-ce que aujourd'hui, on peut parler de Marilyn de manière joyeuse, puisqu'au fond c'est un mythe tellement fort, mais dont la tristesse, la déchéance, a été terrible. Est-ce qu'on peut essayer de réhabiliter un peu de joie dans le coeur de ceux qui gardent Marilyn en mémoire ? Je suis sûr que vous en êtes capable. Yes, you can !
> l'émission en vidéo pendant 1 mois surcanalplus.fr
Marilyn Monroe : Un étrange biopic avec Uma Thurman, Lindsay Lohan et d'autres Publié le 12/02/2012, en ligne surpurepeople.com
Fabuleux disque rayé, Hollywood n'en finit plus de réarranger sa propre histoire. Alors que Michelle Williams est nommée aux Oscars pour sa prestation en Marilyn Monroe dans My Week with Marilyn, l'icône sera à nouveau le sujet d'un film, à cheval entre le documentaire et la fiction.
Le site américain Screendaily révèle que la réalisatrice Liz Garbus travaille actuellement sur Fragments : Marilyn Monroe, un documentaire né des nombreux journaux intimes, lettres et poèmes écrits par l'actrice et retrouvés parmi les biens d'Arthur Miller, dernier mari de la star décédé en 2005.
Mais au-delà du sujet, c'est le parti pris de la réalisatrice qui intrigue. À la manière de Todd Haynes dans I'm not there, où Richard Gere, Christian Bale et Cate Blanchett incarnaient les différentes facettes de Bob Dylan, Liz Garbus a réuni un casting extraordinaire pour incarner Marilyn Monroe au cours de sa vie.
Uma Thurman, Lindsay Lohan (obsédée par Marilyn Monroe), Evan Rachel Wood, Viola Davis (La Couleur des sentiments), Zoe Saldana (Avatar), Ellen Burstyn (Requiem for a dream), Gretchen Mol (Boardwalk Empire), Lili Taylor , Vinessa Shaw (Two Lovers) et Jennifer Ehle (Contagion) devraient ainsi apparaître dans le rôle de l'icône. Paul Giamatti incarnera le réalisateur George Cukor, qui a dirigé Marilyn Monroe dans Le Milliardaire et Something's gotta give, tandis que F. Murray Abraham sera son psychanalyste.
La réalisatrice explique : "J'irai au coeur de Marilyn pour exprimer certains aspects de la femme qui n'ont pas été touchés auparavant. Les acteurs incarneront les peurs et l'anxiété de Marilyn, les hommes de sa vie, à la fois bons et méchants, et le contexte du monde dans lequel elle vivait. Marilyn et sa sexualité ont été mises au premier plan dans un monde qui n'était pas tout à fait prêt pour ça, et sa lutte était palpable dans ses mots. Nous découvrons également à quel point elle travaillait dur comme actrice".
Le producteur Stanley Buchthal continue : "Nous pensions à un nom très connu pour le rôle de Marilyn mais nous voulions la célébrer de plusieurs manières. Les poèmes et les lettres ont révélés une Marilyn très différente de celle que nous connaissons. Par exemple, elle écrivait très bien, très loin de cette blonde frivole qui avait été créer. C'est ce qui m'a attiré. Trop peu de gens l'ont priser au sérieux. Le film révélera à quel point elle était profonde, poétique et intéressante".
Fragments : Marilyn Monroe sortira probablement à la rentrée, afin de coïncider avec les cinquante ans de la mort de l'actrice, retrouvée sans vie le 5 août 1962 dans sa maison à Los Angeles. My Week with Marilyn sort le 4 avril.
Le magazine américain Entertainement Weekly du 3 au 10 février 2012 consacre un article sur la série Smash, produite par Steven Spielberg, une comédie musicale inspirée de la vie de Marilyn Monroe. source scans: merci à Daniel
Marilyn Monroe dans les rues de New York, sortant du Gladstone Hotel, le 24 mars 1955. On y voit James Haspiel et Milton H Greene.
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Marilyn Monroe in the New York's streets, leaving the Gladstone Hotel, Spring 1955.
L'ADOLESCENT, LA CAMERA ET MARILYN Un jour de printemps 1955, un adolescent new-yorkais de 14 ans a passé les plus belles heures de sa vie au côté de Marilyn Monroe. La star a autorisé son jeune admirateur qui la guettait devant un hôtel de Manhattan, à la suivre pendant plusieurs heures de shopping. La caméra 8 mm de son frère au poing, Peter Mangone a tourné un film amateur couleur de 5'30, l'a visionné une seule fois dans sa chambre du Bronx avant de l'oublier dans une commode. L'an dernier, rangeant la maison de leur père, son frère retrouve le film muet, en parfait état, aujourd'hui transféré en 16 mm. "J'en avais un vague souvenir, mais quand j'ai vu les images, tout m'est revenu. C'était merveilleux", raconte Peter Mangone, 63 ans aujourd'hui. Radieuse dans un pull-over noir et manteau brun à col de fourrure, la star sourit, fait des mines, souffle des baisers de la main vers son jeune admirateur, rit à pleines dents sur la 52e rue. Elle bâille, trébuche ou ôte une poussière de son oil. "J'avais lu dans le journal qu'elle venait à New York et qu'elle descendrait à l'hôtel Gladstone. Alors je faisais l'école buissonnière pour aller la voir, un jour sur deux. Elle me reconnaissait, elle m'aimait bien". Touchée par tant de constance, l'actrice lui dit bonjour, signe des autographes et des photos et, un jour qu'elle sort accompagnée de son ami le photographe Milton Greene, elle l'autorise à la suivre ou à la précéder, sa petite Kodak en main, chez Elizabeth Arden ou les grands chausseurs de la 5e avenue. Pas de gardes du corps à l'époque, pour la plus éblouissante star de l'histoire du cinéma américain. "Elle était si belle, si délicate... Il suffisait de la voir une fois pour que son image s'imprime à jamais en vous! Je n'ai plus jamais été capable de regarder une femme de cette façon". C'était l'année où, venant de divorcer de Joe DiMaggio et lassée de son image de ravissante idiote, Marilyn avait fuit la Californie et prenait des cours auprès de Lee Strasberg à l'Actor's Studio. Peter Mangone se souvient d'avoir, trois ans après ce mini-tournage et quatre ans avant la mort de Marilyn, fait le tri de ses jouets d'enfants. Il était jusqu'alors persuadé d'avoir jeté le film avec ses jouets. Il a en fait hiberné, dans sa boîte en carton, pendant 48 ans. "Mon père est mort il y a quelques années. Mon frère s'est installé dans sa maison de Floride et en rangeant des armoires il est tombé sur des boîtes de films", raconte-t-il. Russ Suniewick dirige à Rockville (Maryland) le laboratoire qui a transféré en 16 mm, format inaltérable, ces 5'30 de rêve. "Il était en parfait état de conservation", confie-t-il. "Parce qu'il avait été perdu et conservé dans sa boîte d'origine, après n'avoir été visionné qu'une fois, il n'a aucune rayure, les couleurs sont parfaites". Peter Mangone, qui est devenu coiffeur à Palm Beach et s'est spécialisé dans les vedettes hollywoodiennes de passage en Floride pour des spectacles, n'a pas encore décidé ce qu'il va faire de son petit trésor. Les demandes sont si nombreuses qu'il a chargé un avocat new-yorkais de gérer la distribution des images. "Je ne sais pas! Peut-être un beau livre illustré!" >> source: article par Michel Moutot, le 23 février 2003 sur lemauricien.com
Marilyn: Something's Got to Give Marilyn, son dernier tournage
Année: 1990 Ecrit et produit par Henry Schipper Producteur exécutif: William Knoedelseder Co-producteur: Ken Turner Pays: USA Durée: 45 min Diffusé en France le 4 août 1992sur A2
Documentaire sur le dernier film de Marilyn qui restera inachevé. C'est le premier documentaire qui diffusera des rushes retrouvés du film Something's Got to Give. Avec les interviews de: Joan Greenson (la fille du Dr Greenson), Henry Weinstein (producteur), Genes Allen (producteur associé), Evelyn Moriarty (doublure de Marilyn), Christopher Morley (joue le fils), Alexandra Heilweil (joue la fille), David Bretherton (éditeur), Marjorie Plecher Snyder (costumière), Walter Bernstein (scénariste), Allan Whitey Snyder (maquilleur) >> Fiche du documentaire sur imdb >> Le documentaire français existe en VHS (allez sur amazon).