Une semaine avec Marilyn (livre)
Une semaine avec Marilyn
auteur: Colin Clark
traduction: Jean-Noël Liaut
Prix éditeur: 17 Euros
Date de sortie: avril 2006
Broché: 199 pages
Editeur : Payot
Langue : français
ISBN-10: 2228900850
ISBN-13: 978-2228900850
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Présentation de l'éditeur: En 1956 à Londres, Colin Clark, âgé de vingt-trois ans et tout frais émoulu d'Eton, devient le troisième assistant de Laurence Olivier. Celui-ci doit tourner Le Prince et la Danseuse, dont il partagera la vedette avec Marilyn Monroe. Il a embauché le jeune homme par amitié pour son père, Kenneth Clark, éminent historien d'art. Le tournage est un enfer scandé par les querelles entre le génial comédien shakespearien et l'immense star d'Hollywood. Marilyn, qui aspire au rang d'authentique actrice, est traitée comme une blonde écervelée par Olivier et comme une enfant difficile par Arthur Miller, son tout nouveau mari, tandis que son associé Milton Greene la laisse avaler trop de calmants pour mieux la manipuler. Prisonnière de ces fortes personnalités masculines, prisonnière surtout de sa vertigineuse ascension, le sex-symbol du grand écran qui a conquis le monde entier tente alors de noyer son mal-être en séduisant un jeune inconnu. Entre " Mlle Monroe " et Colin se noue une étrange idylle, du 11 au 19 septembre 1956. Longues conversations, visite de la bibliothèque de Windsor, baignade à Eton... Mais que se passera-t-il lorsque le garçon se retrouvera assis au bord du lit de Norma Jean ? Devenu un grand producteur de télévision, Colin Clark (1932-2002) n'a livré son secret que deux ans avant sa mort. En racontant une seule semaine de la vie de Marilyn Monroe dans un petit livre aussi drôle que touchant, il a accompli l'exploit de nous en apprendre plus sur un personnage trop célèbre que les biographies les plus complètes.
A savoir: Ce livre a été mis en images au cinéma, par le film Une semaine avec Marilyn (2012) avec Michelle Williams (dans le rôle de Marilyn) et Eddie Redmayne (dans celui de Colin Clark).
> Le livre a été republié:
1/ Ed. Payot, Petite Bibliothèque, (poche), en 2008, à 7 euros
2/ Ed. Payot, Petite Bibliothèque, (poche), en 2012, à 7 euros
Sur le web: Le livre version originale, en anglais,
sur le site myweekwithmarilynbook
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The Prince, The Showgirl and Me
The Prince, the Showgirl, and Me:
Six Months on the Set With Marilyn and Oliver
auteur: Colin Clark
Prix éditeur: ? Euros
Date de sortie: 1996
Relié: 218 pages
Editeur : St Martin Pr
Langue : anglais
ISBN-10: 0312143958
ISBN-13: 978-0312143954
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Description: Colin Clark, troisième assistant réalisateur sur le tournage du Prince et la Danseuse, raconte à travers un journal intime qu'il écrivait la nuit, les dessous de ce tournage chaotique.
A savoir: Le livre donnera naissance à un documentaire télévisé "The Prince, The Showgirl and Me", produit en Angleterre en 2004 (durée: 1 heure) et diffusé sur la BBC.
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The prince and the showgirl caps 17
River of no return caps 8
Marilyn Monroe donne rendez-vous sur Paris Première
Marilyn Monroe donne rendez-vous sur Paris Première
Article publié le 22/03/2012
en ligne sur teleobs.nouvelobs.com
Une mini-série, un film et un documentaire au programme.
Paris Première consacrera une journée spéciale à Marilyn Monroe le 4 avril 2012 à l’occasion de la sortie en salle du film My week with Marilyn.
La chaîne diffusera (à 13h40) la mini-série “Blonde” adaptée d’une biographie de l’actrice écrite par la romancière Joyce Carol Oates. L’enfance de la star y est racontée. La petite Norma Jean Baker, qui deviendra Marilyn, ne connait pas son père, sa mère est psychotique. La série évoque aussi ses débuts difficiles dans le métier, les patrons des studios ne croyant pas en son talent et l’employant surtout pour des rôles de filles sexy et idiotes. Au casting de la série : Poppy Montgomery, Patrick Dempsey, Patricia Richardson.
A 22h30, “Paris Première” diffusera le film mythique “Les hommes préfèrent les blondes” réalisé par Howard Hawkes en 1953.
Enfin, à 00h05, le documentaire de Patrick Jeudy “Marilyn malgré elle” retracera la naissance du mythe à travers les clichés de Milton Greene, photographe et ami de la star. Une période peu connue de sa vie sera également évoquée : ses années à New York alors qu’elle ambitionnait de devenir une “vraie” actrice.
Amber Heard en Marilyn pour Max
Amber Heard en Marilyn pour Max Italie
Article
en ligne sur celebrity-gossip.net
La mannequin et actrice américaine Amber Heard, 25 ans, pose en une Marilyn Monroe moderne pour l'édition italienne de Max de février 2012, sous l'objectif de la célèbre photographe Ellen Von Unwerth.
The 25-year-old "Drive Angry" darling offered up her best impression of blonde icon Marilyn Monroe as she posed for the alluring Ellen Von Unwerth shot spread.
In the accompanying interview, Miss Heard talks about her love of reading, as she said, "Generally I do not read novels, I prefer Richard Dawkins, Christopher Hitchens, Ayn Rand and Dave Eggers. I read continuously, almost four books a week."
Also an avid fan of music, Amber rattled off her preferences while speaking with Max, of which she told, "I listen blues, old blues, delta blues, rocking blues, Lightnin' Hopkins, Blind Willie Johnson, Muddy Waters, Arnold Burnside and Koko Taylor."
Marilyn : des photos inédites aux enchères
Marilyn : des photos inédites aux enchères
Article publié le 19/03/2012
par Valérie Duponchelle
en ligne sur lefigaro.fr
Vente aux enchères de photos inédites, intimes et amicales de la star des stars prises par son maquilleur, le 31 et le 1er avril à Los Angeles.
Marilyn Monroe, cette inconnue? À l'approche du cinquantenaire de sa mort, cet été, voici une nouvelle moisson d'images qui se promettent de dévoiler - enfin? - la vraie Marilyn, la femme douce, vulnérable et authentique, cachée derrière le casque platine, les faux-cils d'artiste et la bouche purpurine de la starlette tenace . Le samedi 31 mars et le dimanche 1er avril, la maison de ventes aux enchères Julien's Auctions proposera à Los Angeles, dans les collines de Beverly Hills, de faire flamber ses «Hollywood Legends sales» avec un ensemble de photos, menus objets et documents toute à sa dévotion et que le marché appelle d'ailleurs «Memorabilia». Pas d'estimation annoncée de la vente, mais, déjà, une information qui fait vibrer un fan-club intergénérationnel et international.
La star de l'écran américain traversa le siècle comme une comète (1er juin 1926- 5 août 1962). Elle bat tous les records sur la Toile, ce gigantesque audimat du monde: à l'évocation de son seul nom de scène, Norma Jeane Baker fait jaillir quelque 236 millions de réponses sur Google, soit largement plus que le Mahatma Gandhi (136 millions), Winston Churchill (93,5 millions), le Général de Gaulle (45,5 millions)... Mais moins, quand même, que Barack Obama, le premier président noir de l'Amérique (730 millions!). Blockbuster assuré?
L'ensemble de ces clichés, souvent inédits, montrent une Marilyn (presque) nature, jeune, potelée, assise comme une «college girl» dans son canoë mais en col roulé blanc et tout en taille de guêpe, prenant le soleil sur sa peau de rousse en petit haut trapèze coquelicot. L'art dramatique, c'est du travail. La preuve par ce déroulé d'images fraîches, mutines, amateurs, puis de plus en plus pros, qui se télescopent comme une vie en accéléré. Elles montrent comment l'assurance vient à cette belle plante au sourire de reine, de la débutante aux multiples prises, encore assez frisée et le nez en trompette, à ses derniers tournages où le mal existentiel creuse ses joues, accroît son glamour et lui donne un charme blessé.
Marilyn et l'objectif, c'est sans doute sa meilleure histoire d'amour. Sérieuse sous le pinceau de son ami Allan «Whitey» Snyder, maquilleur sur le plateau de Let's Make Love (Le Milliardaire de George Cukor avec Yves Montand, sorti en 1960), ou souriante pour les photos d'essai à répétition, cette blonde de cinéma a une douceur de chatte sur un toit brûlant. Elle n'attend pas son heure, elle la précipite. La série de photos comprend une centaine de clichés provenant de la collection dudit Allan «Whitey» Snyder (1914-1994) qui fut son maquilleur attitré, de son premier essai à laTwentieth Century Fox en 1946 jusqu'à son maquillage funéraire après sa mort énigmatique en 1962. Là, on ne peut que penser à son portrait posthume par Andy Warhol, embaumeur de l'art.
L'actrice et son maquilleur de génie se rencontrèrent à la Twentieth Century Fox , lorsque Marilyn fut reperée, un visage tout neuf qui allait illuminer 26 films inégaux où sa présence continue de sidérer. Complice, confident, fier de son oeuvre, Allan «Whitey» Snyder s'exécuta lorsque Marilyn lui demanda de la photographier chaque fois qu'elle apparaissait sur le plateau. Elle est rose et naturelle sous le chapeau à fanfreluches des filles de saloon, vamp et nacrée dans un océan de plumes très Hollywood, rieuse et 100% Américaine en chemisette écossaise et ceinturon de cowboy. Cet esthète fut donc l'un des premiers à éprouver cette fascination pour Marilyn qui la fait revenir, aujourd'hui, sur tous les produits dérivés, de l'horloge à plumes à la montre, de la bricole à strass jusqu'au magnet.
Outre les images à vendre -certaines avec, fait rare, leurs droits de reproduction- , quelques vestiges touchants. Comme ces Western Union Telegrams où «Marlyn» (sic) se disculpe auprès de «Whitey» d'un projet commun avorté. Comme ces jeans portés pendant le tournage de la Rivière sans retour (River of No Return) d' Otto Preminger, sorti en 1954. Ou, encore, comme ce pince-billets de Tiffany en or, à la dédicace glaçante «Whitey dear: While I'm still warm, Marilyn» («Cher Whitey, tant que je suis vivante»). La maison de ventes californienne rappelle qu'en cette année anniversaire, le Festival de Cannes a choisi une photo songeuse de Marilyn par Otto . Bettmann pour l'affiche de sa 65e édition, que la Getty Images Gallery à Londres expose ses photos, costumes et robes de légende jusqu'au 23 mars. Et qu'enfin, la maigrissime et menue Michelle Williams a été jusqu'aux Oscars défendre son interprétation de la «Blonde Bombshell» dans le film My week with Marilyn. Poupoupidou?
Bannière Michelle Williams VS Marilyn
Rihanna réinvente Marilyn Monroe pour Vogue
Rihanna réinvente Marilyn Monroe en couverture du Vogue UK de novembre
Article
en ligne sur exceptionn-elle.fr
Rihanna signe sa seconde couverture pour le magazine Vogue en apparaissant en une du Vogue UK du mois de novembre 2011. On retrouve la chanteuse méconnaissable avec un carré rétro blond façon Marilyn Monroe.
Rihanna avait signé sa première couverture de Vogue en avril dernier, apparaissant en couverture du Vogue US et dévoilant une séance photo avec Annie Leibovitz dans les pages du magazine.
Cette fois-ci, Rihanna apparait en une du Vogue UK, dans un look complètement différent puisque si à l’époque elle portait les cheveux rouges, c’est ici avec les cheveux blonds qu’on la découvre.
Elle porte un carré parfaitement maitrisé aux pointes à peine bouclées, rappelant la coiffure incontournable de Marilyn Monroe.
C’est donc en une Marilyn des temps modernes que Rihanna se dévoile cette fois-ci, portant une robe bustier moulante noir et blanche au bustier incrusté d’imprimés fleuris d’inspiration japonaise.
Force est de constater que le blond ne lui convient décidément pas du tout, on préfère son rouge feu ou son marron, beaucoup plus naturel se mariant parfaitement à son teint.
Dans les pages du magazine, la star fait part notamment de ses vidéos controversées, précisant qu’il ne s’agit pas réellement d’elle, qu’elle se contente de jouer un rôle un peu comme au cinéma et que ce qu’elle aime avant tout c’est la musique.