art - Marilyn par Mark Jorgenson
Peintures de Marilyn Monroe par Mark Jorgenson
>> source: atomicmall
Peintures de Marilyn Monroe par Mark Jorgenson
>> source: atomicmall
Marilyn Monroe Paper Dolls
Livret de poupées en papiers
Auteur: Tom Tierney
Prix éditeur: 6 dollars
Date de sortie: 1985
Langue: anglais
Éditeur: Dover Publications
ISBN-10: 0486237699
ISBN-13: 978-0486237695
Ou le trouver ? en commande sur amazon
Description: composé de 32 pages, comporte 31 costumes provenant de 24 films, prêts à être découpés. 1 poupée et 16 planches.
>> sur le web: Paperdoll review et speederich
Marilyn Monroe Paper Dolls
Livret de poupées en papiers
Auteur: Marilyn Henry
Prix éditeur: 12 dollars
Date de sortie: 2007
Langue: anglais
Éditeur: Paper Studio Press
ISBN-10: 0979066883
ISBN-13: 978-0979066887
Ou le trouver ? en commande sur amazon
sources: Paperdoll review et papergoodies
Description: Comporte 10 pages, couverture inclue: composé de deux poupées, huit pages de tenues avec 50 vêtements différents.
Livret américain de poupées en papiers: celui édité en 1953 s'intitulait "Marilyn Monroe Paper Dolls" et fut republié par American Beauties l'année suivante. Comporte 8 pages, couverture inclue. Prix: 16 dollars.
sources: Loraineburdickarchives et papergoodies
planches du livret (source: homeandgarden.webshots )
Tony Curtis : Une révélation plutôt "chaude"...
Article publié le 11 août 2009,
par Marie Desnos pour parismatch.com
Quand Marilyn a fait sa fausse couche en 1958, l'enfant qu'elle portait aurait été de Tony Curtis et non de son mari Arthur Miller (en photo)... | Photo Maxppp
«Marilyn Monroe a perdu mon bébé.» Dans une autobiographie à paraître en septembre, l'acteur Tony Curtis lève le voile sur un secret de polichinelle : sa relation avec l'icône blonde. Il affirme que l'actrice, avec qui il a partagé l'affiche du film mythique «Certains l’aiment chaud», est tombée enceinte de lui.
Il aurait dit que l’embrasser était «comme embrasser Hitler», et pourtant, Tony Curtis affirme aujourd’hui avoir eu une relation passionnelle avec Marilyn Monroe, et même avoir été le père de son bébé qu’elle a perdu en 1958. Dans une autobiographie à paraître en septembre, et intitulée «The Making of Some Like It Hot» («Le making of de Certains l’aiment chaud»), cet acteur phare des années 1950 («Spartacus», «Une Vierge sur canapé», «Amicalement vôtre»…) jette en effet un pavé dans la marre en révélant les tenants et les aboutissants de cette liaison plus ou moins officieuse, du moins passée jusque-là comme une passade sexuelle sans importance. «Ce que j’ai vécu avec elle est inoubliable», affirme-t-il dans ce livre inattendu dont le Telegraph a publié des extraits.
Les deux amants se rencontrent en 1949 et tombent sous le charme l'un
de l'autre. Neuf ans plus tard, alors que leur idylle s’essouffle, ils
se retrouvent sur le tournage de «Certains l’aiment chaud». Lui est
marié avec Janet Leigh depuis près de sept ans, et elle avec le
dramaturge Arthur Miller depuis deux ans. Mais ils s’attirent
irrésistiblement, et la blonde platine tombe enceinte… de lui.
L’actrice, icône glamour par excellence, l’annonce sur le plateau du
film de Billy Wilder –qui lui vaudra d’ailleurs le Golden globes de la
Meilleure actrice dans un film musical ou une comédie.
«Sors de notre vie»
«J’étais sidéré», raconte Tony Curtis. «Je suis resté pantois. La pièce est devenue si silencieuse que je pouvais entendre les pneus grincer sur le Boulevard Santa Monica. J'ai demandé à Miller ce que nous devions faire. Il m'a dit: ‘Finis le film et ensuite sors de notre vie’. Je l'ai fixé pendant une minute. Puis je l’ai regardée [Marilyn, ndlr]. Elle pleurait. J'ai répondu: ‘OK, ça je peux le faire’. Je me suis levé et je suis parti. (…) Plus tard, Miller m'a dit qu'il avait consulté le médecin de Marilyn et que celui-ci lui avait dit que l'enfant ne pouvait pas être de moi». Puis Marilyn a fait une fausse couche –sa deuxième en l’espace d’un an- mais Tony Curtis ne l’apprendra que plus tard.
Toujours est-il que leur liaison s'est achevée en même temps que le tournage du film. «Quand j’étais au lit avec Marilyn je n’étais jamais certain -avant, pendant et après nos ébats- d’où était son esprit», se souvient-il encore, dans cette autobiographie sans tabou. «Elle était actrice. Elle pouvait jouer un rôle. Elle pouvait être ce que l’homme avec qui elle était voulait qu’elle soit. Je ne lui en ai jamais demandé davantage.»
Des révélations d’autant plus troublantes que c’est sur ce même plateau que Tony Curtis a prononcé sa phrase devenue culte : «Embrasser Marilyn, c’est comme embrasser Hitler». Fracassante, cette déclaration a été interprétée à l’époque comme le témoignage de leurs relations tendues –notamment à cause du caractère et des retards du sex-symbol- voire comme le signe suprême de l’indifférence d’un coureur de jupons–il aurait couché avec un millier de femmes selon la rumeur.
Mais dans une interview au «Guardian» il y a quelques années, l’acteur a tenté de faire valoir une tout autre réalité. «Quelqu’un m’a demandé : ‘hey, qu’est ce que ça fait d’embrasser Marilyn’», a-t-il déclaré au très réputé quotidien britannique. C’est alors que Tony aurait répondu : «c’est comme d’embrasser Hitler…Qu’est ce que c’est que cette question stupide ?». Une parcelle de réponse qui aurait donc été occultée par la suite. «C’était juste une blague», a-t-il également assuré au Daily Mail. «C’était juste une réponse débile à une question débile», a-t-il martelé.
Le couple Monroe-Miller ne se remettra apparemment jamais de cette histoire. C’est en tout cas à cette époque qu’il connait de nombreux remous. Marilyn commence à consulter un psychiatre, et sa consommation de drogues, d’alcool et de médicaments devient inquiétante. Le tournage des «Désaxés», qu’Arthur Miller a écrit pour sa femme, est un désastre. Le couple se sépare. Le divorce est prononcé en janvier 1961, soit un peu plus d’un an avant la mort de la star.
De son côté, le père de Jamie Lee Curtis et de Kelly Curtis rompt avec la mère de ses enfants en 1962. Marilyn Monroe décède dans la nuit du 4 au 5 août 1962, officiellement d’une overdose médicamenteuse ; mais sa mort n’a jamais vraiment été élucidée. Tony Curtis aura cinq autres femmes, dont Jill Vandenberg Curtis, avec qui il vit depuis onze ans. Sa rencontre avec Jill coïncide d’ailleurs avec sa prise de distance avec le cinéma. Il se consacre depuis à la peinture… et à l’écriture.
Reposer auprès de Marilyn Monroe coûte cher
Article publié par Flore Galaud
Dimanche 16 août 2009
sur Lefigaro.fr
Crédits photo : ASSOCIATED PRESS
Une veuve dans le besoin a décidé de déloger de son tombeau son défunt mari, qui repose juste au-dessus de l'actrice au cimetière de Los Angeles. Mise à prix de la sépulture sur ebay: 500.000 dollars.
L'éternité, oui, mais pas à côté de n'importe qui, ni à n'importe quel prix. Le tombeau situé juste au-dessus de celui de Marilyn Monroe, au cimetière de Westwood Village Memorial Park, à Los Angeles, est mis à prix à 500.000 dollars depuis vendredi sur le site d'enchères en lignes eBay (>> voir l'annonce Cliquez ici, l'enchère en est déjà à plus de 4 millions de dollars!). «Voici l'opportunité, unique dans une vie, de pouvoir passer l'éternité juste au-dessus de Marilyn Monroe», promet l'annonce.
La sépulture était jusqu'ici occupée par un certain Richard Poncher, mort il y a 23 ans à l'âge de 81 ans. Mais sa veuve, ayant besoin de payer les traites de sa gigantesque maison de 1,6 million de dollars à Beverly Hills, a décidé de l'en déloger, explique le Los Angeles Times sur son site internet (>> voir l'article ici).
Elsie Poncher, qui ne souhaite pas communiquer son âge mais qui reconnaît à demi-mot avoir dépassé les 70 ans, a expliqué au quotidien que son défunt mari, un entrepreneur fortuné apparement très lié au milieu de la pègre à Chicago, avait acheté le tombeau en 1954 à l'ex-mari de Marilyn, le joueur de baseball Joe DiMaggio.
(photo ci-contre: Elsie Poncher regarde la tombe de son mari, placée juste au-dessus de celle de Marilyn; photo prise le 13 août par Mel Melcon. source: site web du Los Angeles Times)
Un autre tombeau
Au moment de son décès, Richard Poncher a donc été installé au-dessus de son actrice fétiche, disparue en 1962 à l'âge de 36 ans. Avec une requête : être allongé sur le ventre. «Il m'avait dit: 'Si je crève et que tu ne m'installes pas face à Marilyn, je te hanterai pour l'éternité'», se souvient la veuve, qui aujourd'hui ne semble plus se soucier d'un éventuel fantôme.
Richard Poncher n'est pas le seul à avoir souhaité passer le reste de l'éternité avec Marilyn. Hugh Hefner, fondateur et propriétaire du magazine Playboy, a pour sa part acheté le tombeau situé juste à côté de l'actrice en 1992, pour la somme de 75.000 dollars. Un montant bien moins élevé que ce que réclame aujourd'hui Elsie Poncher.
Mais pour ceux qui ne pourrait pas investir 500.000 dollars dans leur dernière adresse, il reste toute de même une dernière chance : le gérant du cimetière de Westwood Village vient d'annoncer qu'il restait encore une place située à deux rangs de la star. Pour la modique somme de... 250.000 dollars.