Vanity Fair octobre 2008
Marilyn Monroe, photographiée par Bert Stern, est en couverture du magazine américain Vanity Fair, numéro spécial 25ème anniversaire, édition d'octobre 2008. Un dossier spécial lui est consacré: "Secret Marilyn Monroe Files - What her private papers reval about her life and death". [lire le sommaire du magazine sur leur site]. L'article intitulé The Things She Left Behind (développé et illustré sur 7 pages sur le site web) dévoile la face cachée de Marilyn Monroe, de par toute sorte d'objets de sa vie privée.
A ne pas rater: les 586 objets jamais montrés auparavant et réparti en 24 thèmes sur le site de Vanity Fair: des lettres qu'elle écrivit et celles qu'elle reçut, des télégrames, des courriers de fans, la réaction des fans après sa mort, des vêtements et bijoux, son testament etc... Les documents papiers proviennent de deux meubles à casiers où Marilyn y stockait ses souvenirs. Après sa mort, c'est son manager Inez Melson qui récupéra ces deux meubles ainsi que des vêtements, bijoux et autres objets personnels. Tous ces "objets" se rapportant à Marilyn Monroe ont été aujourd'hui décryptés par l'écrivain Sam Kashner et le photographe Marc Anderson, qui se documenta pendant deux ans et photographia tout ce qu'il trouva, afin d'en connaître un peu plus sur la star Marilyn.
>> Vidéo Reportage: interviews de Sam Kashner et Marc Anderson
>> Conseil, pour vous procurer le magazine:
- Dans les points "presses étrangères" (gares, aéroports, grandes enseignes libraires)
L'Europeo mars 1962
Le magazine italien L'Europeo de mars 1962 avait choisi de mettre Marilyn Monroe à sa Une, et de lui consacrer un long article (de 6 pages) qui dévoilait sa liaison avec le réalisateur mexicain Jose Bolanos, en publiant les photographies de la cérémonie des Golden Globes où Marilyn fut couronnée d'un prix remis par Rock Hudson le 5 mars 1962, et où elle était accompagnée -pour l'occasion- de Bolanos.
Décembre 1945 Pub pour la Compagnie Douglas
La toute première couverture de magazine de Marilyn Monroe est celle du Douglas Airview (une compagnie d'avion) datée de janvier 1946, publié par Douglas Aircraft, Volume 13, No.1. et contenant 24 pages.
Marilyn apparaît aussi à l'intérieur du magazine (où elle pose en combinaison de nuit pour promouvoir le nouvel avion DC-6 dans un article intitulé "Sky Luxury Showroom"), et d'autres clichés publicitaires seront publiés dans des numéros ultérieurs du magazine de la compagnie plus tard durant cette année là.
Les prises de vues de ces clichés eurent lieu à Santa Monica en décembre 1945 par Larry Kronquist. Contrat publicitaire par l'intermédiaire de l'agence de mannequin Blue Book.
The very first Marilyn Monroe magazine cover is that one of Douglas Airview (an aircraft company) dated in January 1946, published by Douglas Aircraft, Volume 13, No.1. and containing 24 pages.
Marilyn also appears inside the magazine (where she poses in a nightie to promote the new DC-6 aircraft in an article titled "Sky Luxury Showroom"), and other publicity shots will be published in subsequent issues of the company's magazine later during that year.
The shooting of these pictures took place in Santa Monica in December 1945 by Larry Kronquist. Advertising contract through the modeling agency Blue Book.
Certains clichés furent aussi publiés dans d'autres magazines,
comme cette page publicitaire provenant du Time Magazine du 8 avril 1946.
Et en moins d'un an, Norma Jean -future Marilyn Monroe- fera la couverture de 33 magazines nationaux américains.
Some pictures were also published in other magazines,
as this advertising page from Time Magazine in April, 8, 1946.
And in less than a year, Norma Jean - future Marilyn Monroe- will be on cover of 33 US national magazines.
D'après Clark Kidder, un collectionneur de Marilyn, qui publia le livre "Marilyn Memorabilia" - qui est une sorte de guide d'identification concernant tous les produits dérivés et autres objets de collection se rapportant à Marilyn Monroe avec leurs valeurs monétaires, publié chez Krause Publications, Iola, Wis.-:
"...le (magazine) Playboy est plutôt facile à trouver, mais le premier magazine où Marilyn en fit la couverture était le premier numéro du Douglas Airview de janvier 1946, un journal interne pour la company industrielle d'aviation Douglas. Ici, Marilyn et trois autres modèles posent par deux couples, vieux et jeune, savourant l'intérieur spacieux du nouvel avion DC-6. (...) Bien que la photo déserve le modèle (Marilyn étant vêtue d'une manière très conservatrice et à moitié cachée dans son siège à côté de son partenaire en premier plan), le magazine fut vendu à une enchère en ligne (ebay pour pas le citer) pour 2100 $."
According to Clark Kidder, a Marilyn's collector, who published the book "Marilyn Memorabilia" - which is a kind of a field guide on all derivatives and other collectibles related to Marilyn Monroe with their monetary values, published from Krause Publications, Iola, Wis.-:
"... the (magazine) Playboy is rather easy to find, but the first magazine where Marilyn was on the cover was the first number of Douglas Airview in 1946, January , an internal newspaper for the industrial company of Douglas aviation. Here, Marilyn and three other models pose by two couples, old and young, enjoying the spacious interior of the new aircraft DC-6. (...) Although the photo deserve the model (Marilyn is wearing a very conservative and half hidden in her seat next to her partner in the foreground), the magazine was sold in an online auction (ebay) for $ 2,100. "
>> Sources web:
article Marilyn Monroe Collectibles sur MountainStatesCollector
et article Marilyn First Cover
All photos are copyright and protected by their respective owners.
Copyright text by GinieLand.
Movieland mai 1951
Le magazine américain Movieland de mai 1951 consacrait un long article de 4 pages et demie à Marilyn Monroe - source scans : Ceux qu'emma aime
Intitulé "Lessons i've learned in Hollywood" (en français: "Les leçons que j'ai tiré d'Hollywood"), l'article montre comment Marilyn réussit par elle-même à se faire une place dans le monde déjà impitoyable du cinéma hollywoodien, malgré sa timidité, ses peurs et doutes. Après l'évocation brève de son enfance "d'orpheline ballotée de familles d'acceuil", l'article décrit ses débuts de galères et de manque d'argent (l'empêchant même de s'habiller) en s'appuyant sur la persévérance de la jeune actrice.
Extraits citations de Marilyn qui étayent l'article (et traduction):
* "I had vague notions about the motion picture business, of course, but I wasted my first Hollywood break because I was too shy to ask necessary questions. Now I realize you can't find out too much about any business."
"Bien sûr que j'avais de vagues notions sur les activités de films de cinéma, mais j'ai gâché ma première chance à Hollywood parce que j'étais trop timide pour poser les questions essentielles. Maitenant je me rend compte que vous ne pouvez jamais en savoir de trop sur aucune activité."
* "Then a Hollywood dress shop persuaded me to open a charge account. When I lost my first contract I got behind in payments and they hounded me so that I'll never do that again ! Today I won't buy anything I can't pay for with money I've already have guaranteed coming in. My most foolish splurge was on an elaborate records player. I had to give that up, too, when I couldn't keep up the payments. My first car was retrieved by a finance company for the same reason. They snatched it off the street after dark so I thought it was stolen and complained to the police about my theft. There's nothing like humiliation to make you stop and think. Today I have a little record-player, nowhere near as nice as the one I once ordered at first sight, but at least it's paid for. I have my own car now, too. It isn't a Cadillac, but it has a gay vizor above its windshield and it's all mine."
"Et là une boutique de vêtements de Hollywood me persuada d'ouvrir un compte chez eux. Lorsque je perdis mon premier contrat, je ne pouvais plus régler ma facture et ils m'ont poursuivi si bien que je ne ferais plus jamais ça! Aujourd'hui, je n'achèterai plus jamais rien si je ne peux pas le payer avec de l'argent que je possède déjà. Ma folie la plus idiote, fut pour un tourne-disque rare. J'ai dû y renoncer aussi, quand je ne pouvais plus continuer le remboursement. Ma première voiture fut récupérée par une société de finance pour la même raison. Ils l'ont fait enlever de la rue à la tombée de la nuit, j'ai donc pensé qu'elle avait été volée et alla me plaindre à la police pour ce vol. Il n'y a rien de plus humiliant que de vous forcer à vous arrêter et de réfléchir. Aujourd'hui, j'ai un petit tourne-disque, qui à première vue est loin d'être aussi bien que celui que j'avais commandé, mais au moins je l'ai payé. J'ai aussi ma propre voiture aussi maintenant. Ce n'est pas une cadillac, mais elle a un rétroviseur de couleur vive au dessus du pare-brise et tout m'appartient."
* "I don't live in fear anymore. That's the essence of how I have changed as the result of my mistakes. I was afraid to talk about what I wanted because I'd been laughed at and scorned when I'd seemed ambitious. You can't develop necessary self-confidence unless you express yourself, and even after I got to Hollywood, I was afraid that if I did so, I'd be conspicuous."
"Je ne vis plus du tout dans la peur. C'est l'essentiel du comment j'ai changé qui résulte de mes erreurs. J'avais peur de dire ce que je voulais parce que j'avais été moquée et dédaignée quand je me montrais ambitieuse. Vous ne pouvez pas développer une confiance en soi à moins que vous vous exprimez, et même après que je sois arrivée à Hollywood, j'avais peur que si je le ferais, je serais remarquée."
* "Then I was terribly lucky in meeting a man who became not only my agent, but my dearest friend. When I first mentionned my acting hopes to Johnny Hyde, he didn't smile. He listened raptly and said 'of course you can become an actress!'. He was the first person who ever took my ambitions seriously and my gratitude for this alone is endless. Most men I'd known thought all I cared about was clothes and parties. The truth is I've never been much of a party-goer because I was so shy in a group I'd barely open my mouth. 'Say what you believe' Johnny told me. 'You are an individual, just like anyone else. You have a right to your opinion. If you don't know something, say so!'"
"Puis j'ai été terriblement chanceuse en rencontrant un homme qui devint non seulement mon agent, mais mon plus cher ami. Lorsque la première fois, je fis mention de mes espérances d'actrices à Johnny Hyde, il n'a pas souri. Il écouta attentivement et dit 'bien sûr tu peux devenir une actrice!'. Il fut la première personne qui prit mes ambitions au sérieux et rien que pour ça, ma gratitude est infinie. Bon nombre d'hommes que j'ai connu pensaient que tout ce qui me préoccupait était les vêtements et les fêtes. La vérité, c'est que j'ai n'ai jamais vraiment été une adepte des fêtes parce que j'étais trop timide au milieu d'un groupe, j'ouvrais à peine la bouche. 'Dis ce que tu penses' me disait Johnny. 'Tu es un individu à part entière, comme n'importe qui d'autre. Tu as le droit d'avoir ton opinion. Si tu ne sais pas quelquechose, dis-le donc!'"
* "It was Johnny too, who started me reading. Now I have to restrain myself from buying out Pickwick's Book Store on Hollywood Boulevard! There's a beautiful set of Michel-Angelo's paintings reproduced in book form I'd like to own as soon as I can. I'd also like to own all the Beethoven recordings. Johnny not only gave me self-confidence but he showed me how to make the most of my time. I'd been used to dilly-dallying around when I had no work call. Maybe I'd sleep a little longer. Maybe I'd have a long breakfast. Or I'd make lengthy phone calls to kill time. Johnny kept advising me to use every available moment to better myself. 'Think each situation through. Study!' he said. Suddenly, it no longer seemed an effort to wake up and plunge headlong into work. I found I was less misunderstood when I spoke up and explained myself, instead of avoiding a meeting of minds. 'There is nothing to be afraid of!' Johnny repeated. He also told me ponctuality. I was unconscious of timeless. Circumstances always used to come up to make me late, now I arrange things so they don't and it's fun to be dependable and known as a person who always keeps her word."
"Ce fut Johnny aussi qui commenca à me faire lire. Désormais je dois me restreindre d'aller acheter à la boutique de livres Pickwick sur Hollywood Boulevard! Il y a un superbe livre qui regroupe les oeuvres complètes des peintures de Michel-Ange que j'aimerai avoir dès qu'il m'en sera possible. J'aimerai aussi avoir tous les enregistrements de Beethoven. Johnny me donna non seulement confiance en moi, mais il me montra comment occuper mon temps libre. J'aurais eu l'habitude de traînasser quand je n'avais pas de travail. Peut être j'aurais pu dormir un peu plus. Peut être je pourrais prendre un long déjeuner. Ou j'aurais pu téléphoner longuement pour tuer le temps. Johnny me donna le conseil d'utiliser chacun de mes moments disponibles pour m'améliorer. 'Réfléchis bien à chaque situation. Etudies!' disait-il. Soudainement, ça ne semblait plus être un effort de se lever et de plonger la tête dans le travail. Je trouvais que j'étais moins incomprise quand je prenais la parole et m'expliquais, plutôt que de fuir une communion de pensées. 'Il n'y a rien d'effrayant!' répétait Johnny. Il m'enseigna aussi la ponctualité. J'étais inconsciente de la temporalité. Les circonstances sont toujours apparues habituellement à me faire mettre en retard, maintenant, j'arrange les choses avant et c'est sympa d'être digne de confiance et connue pour être une personne qui tient parole."
Marilyn dans le Playboy US juillet 2008
L'édition américaine du magazine Playboy de juillet 2008 (avec Cindy Margolis en cover), consacre un dossier "Monroe & Moran"
sur Marilyn Monroe et le photographe et peintre de pin-up Earl Moran,
avec publication de superbes photos -quelques inédites- en voici les scans:
(nb un grand merci à Lacrymosa pour les scans)
>> Pour vous procurer le magazine:
- Dans les points "presses étrangères" (gares, aéroports, grandes enseignes libraires)
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/ Ne vous trompez pas d'édition: il s'agit du Playboy US
avec Cindy Margolis en couverture /
Article Photography Mag - Earl Wilson Report 1954
Article du magazine Photography Mag en juin 1954 portant sur un reportage photos illustrant une interview de Marilyn par Earl Wilson.
Retranscription -incomplète- de l'article
Broadway columnist Earl Wilson is kind of a nice guy. He knows and loves show people, and has a special spot in his heart for the kids with the brassy hair, the brassy stare and the anxious expression that means they're not eating too well or too often. Marilyn Monroe used to be one of those kids and when she hit the top in just a few long strides, Earl was genuinely happy for her. But he knew that stardom can change people and wondered if the bright lights were dazzling the world's loveliest pin-up girl, so on a trip to Hollywood he went to see her, taking along his favorite camera and, as always, his beautiful and clever wife. Both Wilsons were completely surprised. This was indeed a new Marilyn. The frightened kid was gone. Here was a serene and confident woman. Earl was pleased to note that the famous Monroe curves were more gorgeous and curvy than ever. But what impressed him most was the good, practical sense taht's inside of that lovely, golden head. Marilyn told her old friend all about her dreams for Marilyn Monroe Productions, Inc and pretty soon they were involved in a thoroughly complicated chat about incorporation, investments, production problems and what-not. Poor Earl's head was fairly spinning as he tried to keep up with the conversation - and at the same time believe this was really Marilyn Monroe spouting all this business talk. She had him so confused and fascinated that he almost forget to pull out his camera and ask for some exclusive shots. Marilyn sighed, pulled off her glasses, dropped her expression of intense concentration and pretty soon Earl was snapping happily away as a droppy-eyed sex siren lounged in front of his camera. We're lucky enough to have the pictures (aren't they luscious ones?) along with Earl's personal report of his session with The Monroe.
Légendes des photos
>> page 2:
-légende 1 : This gal may look like all sex -but there's plenty of common sense here, too, as she makes plans for her future.
-legende 2 : Earl Wilson's camera catches his friend Marilyn in a typical pose - lips parted, eyes drooping, body reclining.
>> page 3:
-légende 1 : Camera snaps busily away as Marilyn strikes pose after she hopes to be on the other side of the camera herself.
-légende 2 : A press photographer explains the workings of his camera to her. She has a quick mind and constantly asks questions.
-légende 3 : Marilyn relaxes against the cushions, but she's gettig a stiff back. The star is always glad to pose.
-légende 4 : Marilyn obliningly poses for author Wilson with his zany book in hand. She's an avid reader and is trying to educate herself.
Yours - 22/05/2006
Marilyn Monroe en couverture du magazine Yours (Special Yours Summer) du 22 mai 2006 avec un article intérieur de 4 pages - source scans : Sugars Marilyn
Article Fabulous Females 1955
Magazine Fabulous Females de 1955 avec en couverture: une autre pin-up des années 50, mais européenne: la suédoise Anita Ekberg. A l'intérieur: 4 pages consacrées à Marilyn Monroe avec le sous-titre "Hollywood transformed Marilyn from a calendar decoration into a national institution", avec publication de photos prises par André De Dienes.
Lot 108 vintage clippings 1956 - 1964
Lot de 108 clippings* (= pages de magazines) datant de 1956 - 1964
en vente sur ebay italien
Timbres S. Tomé E Principe, 2003
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