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Divine Marilyn Monroe
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Marilyn Monroe
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27 juin 2013

#RIP Bert Stern

vanity_fair_logo#RIP Bert Stern
Ses dernières confidences à Vanity Fair
publié le 26 juin 2013 - par Camille Bordenet
en ligne sur vanityfair.fr

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portrait_bert_stern_jpg_5350_north_680x_whiteNé à Brooklyn en 1929, Bert Stern entre au service du Courrier de Look à l'âge de dix-sept ans. Il y reste deux ans et demi avant de prendre la direction artistique d'une petite revue et de se lancer en autodidacte dans la photographie. Durant son service militaire, il devient caméraman pour l'armée américaine basée au Japon. A partir de 1953, il se consacre à la photographie de mode et publicitaire (Vodka Smirnoff, Canon, Volkswagen, Pepsi-Cola...). Portraitiste virtuose et chasseur d'icônes, son art est généralement qualifié de glamour et romantique. Le film Bert Stern : original madman sorti en 2011 lui rend hommage.
S’il est surtout connu pour être le dernier à avoir immortalisé Marilyn Monroe six semaines avant sa mort, le photographe américain a eu d’autres modèles prestigieux - et sublimes. D’Audrey Hepburn à Kate Moss toute jeune, en passant par Madonna, Bert Stern avait immortalisé quelques unes des stars les plus emblématiques de leur époque.
Pour VanityFair.fr, il avait accepté, à 84 ans, de commenter ses plus belles photos. C'était au début du mois de juin, sur son lit d'hôpital à New York. Il est mort la nuit dernière, des suites de problèmes cardiaques.
Voici ses dernières confidences.

Marilyn Monroe, La Dernière Séance - Los Angeles, juin 1962
3marilyn_resize_jpg_9208_north_680x840_white"Pendant cette séance photo commandée par Vogue qui, après la mort de Marilyn a été nommée La dernière séance (The last sitting), j’ai pris plus de 2500 clichés d’elle pendant trois jours entiers. Habillée, nue, accessoirisée, elle était magique et hypnotique… Je ne l’aurais jamais prise en photo nue si elle n’avait pas voulu. Je rêvais juste de la photographier et c’est vrai que je ne l’imaginais pas dans des vêtements, mais tout simplement portant des bijoux ou un voile. Pour la première séance le 23 juin 1962, dans une suite de l'hôtel Bel-Air, nous avions rendez-vous à midi mais elle n’est arrivée qu’à quinze heures. Elle était plus belle encore que je l'imaginais! Plus fine, aussi... Elle avait été opérée de la vésicule biliaire six semaines plus tôt et portait d'ailleurs une cicatrice au bas du ventre. Quand elle a vu le voile transparent et les bijoux préparés elle a demandé "Alors on fait des nus ? Je suppose que vous avez envie d’être créatif !". J’étais surpris, j’ai dit oui. Elle a quand même demandé son avis à son coiffeur qui a répondu "Pourquoi pas ?". Elle est allée se préparer dans la salle de bain puis est revenue, nue sous le foulard transparent et a lancé : "Pas mal pour 36 ans, non ?". Elle avait visiblement envie de se prendre au jeu. Elle buvait le champagne que j’avais emmené sur la demande de son agent, et j'ai remarqué que son maquilleur ajoutait un peu de vodka dans son verre. Les heures passant, elle est devenue plus provocante encore. Je n'avais pas besoin de lui faire des suggestions, elle inventait les poses toute seule. Nous avons continué jusqu'à deux heures du matin, mais Vogue a jugé cette série trop provocante et en a commandé une seconde, plus habillée " .

Marilyn – Second shooting
marilyn_robe_dior_resize_jpg_7777_north_680x840_white"Ma première question à Marilyn a été "Marilyn, comment va votre vie amoureuse ?" Et elle a éclaté de rire, ce fameux et magnifique rire… mais elle n’a jamais vraiment répondu. Sur le coup, je n’ai pas remarqué qu’elle était déjà nostalgique. Elle semblait vraiment de bonne humeur et comptait peut-être sur ces photos dans Vogue pour "relancer" sa carrière. Bien sûr, rétrospectivement, je devine une certaine fragilité sur certains clichés, notamment celui-ci où elle se cache le visage. C'est un de mes préférés. Cette photo de Marilyn en robe Dior correspond à la seconde fois où nous nous sommes vus car Vogue souhaitait davantage de photos de mode et non de nu pour faire le portfolio dont ils rêvaient.  Comme la première fois, elle est arrivée avec deux heures et demi de retard. Cette fois-ci, j'avais commandé du Château Lafite... Elle a posé pendant des heures et des heures avec les robes. Et puis, au bout d'un moment, j'ai demandé à l'équipe de sortir. Marilyn s'est enroulée, nue, dans un drap et s'est allongée sur un canapé. J'ai réalisé toute une série de clichés. Puis, elle s'est endormie, sans doute un peu sous l'effet de l'alcool, et je suis sorti".

Catherine Deneuve – New York 1961
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"C’était sa première fois à New York, elle manquait énormément de confiance en elle, doutait comme une enfant… mais ça la rendait si belle. Je tenais absolument à la photographier".

Romy Schneider et Alain Delon – Cannes 1962
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"C’était le plus beau couple d’acteurs de l’époque mais en réalité ils se disputaient tout le temps ! Même sur le voilier où nous avons fait la séance photo ils n’ont pas arrêté de s’engueuler puis de se rabibocher comme des enfants… mais ils ressemblaient à des anges".

Kate Moss – New York 2001
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"Je devais la photographier pour Vogue et c’est sûrement le meilleur top model avec qui j’ai travaillé. Tellement gracieuse et facile à vivre".

Audrey Hepburn – Paris 1966
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"On était réunis à Paris pour shooter une publicité pour le parfum L’Interdit de Givenchy. Les gens ne réalisent pas à quel point Audrey était drôle, un vrai clown. C'est elle qui s'amusait à faire ce genre de pause".
"Audrey ne se prenait pas au sérieux et était très loin de son image d’icône. Elle était douce et extrêmement à l’écoute de ce dont j’avais besoin en tant que photographe".

Twiggy – New York 1967
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"Twiggy était très jeune et tellement naïve… presque crédule !"

Elizabeth Taylor et Richard Burton - Juin 1962 Rome
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"La 20th Century Fox m’avait demandé de les photographier durant le tournage de Cléopâtre qui faisait beaucoup de bruit à l’époque à cause de l’histoire d’amour sulfureuse et scandaleuse naissant entre les deux acteurs."
"Liz et Richard étaient fous amoureux mais cette passion les dévorait, ils se sont mariés et ont divorcé deux fois. Aussi mythique que chaotique, leur histoire n’a cessé de faire fantasmer le monde. Pourtant à mes yeux, ils étaient de vraies âmes sœurs".

Madonna – New York 1985
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"Madonna est arrivée au shooting comme une diva, extrêmement prétentieuse, bruyante et entourée de sa garde rapprochée. Je l’ai photographié durant 5 minutes et je n’en déjà pouvais plus. La photo était pour le Time Magazine qui consacrait un article à la nouvelle artiste pop qui serait nommée aux Grammy Awards. Mais finalement Cindy Lauper a gagné et Madonna n’a pas eu le droit à sa couverture !"

Brigitte Bardot – Saint Tropez 1961
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"J’étais dans le Sud de la France, à Saint-Tropez et je l’ai rencontrée alors que c’était totalement imprévu. J’ai eu beaucoup de chance car c’était la plus belle femme du monde à l’époque."
"Je l’ai photographié très rapidement, elle n’était pas très facile comme modèle, mais sa beauté transcendait tout ce que j’avais vu avant".

Sophia Loren – Pise 1962
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"Elle semblait préoccupée et ailleurs quand je l’ai photographiée. Elle était au sommet de sa carrière et se faisait beaucoup de souci pour la suite et sa vie personnelle. Mais elle était très professionnelle, belle et sauvage comme un animal, et savait naturellement comment se mettre en valeur et utiliser les lumières à son avantage." 

27 juin 2013

Décès de Bert Stern

purepeople Bert Stern : Le photographe favori de Marilyn Monroe est mort
publié le 27 juin 2013 - par Thomas Montet
en ligne sur purepeople

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Triste nouvelle pour le monde de la photographie. Le célèbre photographe américain Bert Stern est mort, mardi 25 juin 2013, à son domicile de Manhattan, a révélé son épouse depuis 2009, Shannah Laumeister. Le professionnel de l'objectif, reconnu pour ses clichés de Marilyn Monroe, avait 83 ans.

Bert Stern, dont les causes de la mort n'ont pas été dévoilées, était un photographe de mode, d'art et de publicité qui a connu ses années les plus fastes entre 1950 et 1960. À l'époque il construit sa carrière en parallèle de celle de l'icône du cinéma hollywoodien : Marilyn Monroe. C'est d'ailleurs grâce aux clichés de l'actrice de "Sept ans de réflexion" qu'il connaîtra une gloire mondiale. Six semaines avant la mort de l'actrice (le 5 août 1962), il la prenait sous toutes les coutures durant trois jours consécutifs pour les besoins du magazine Vogue. Ces photos, réalisées dans une chambre de l'Hôtel Bel-Air de Los Angeles, ont donné lieu à un livre contenant plus de 2000 clichés, intitulé "Marilyn Monroe : The Complete Last Sitting". "C'était une expérience d'une seule fois dans une vie d'avoir Marilyn Monroe dans une chambre d'hôtel", déclarait le photographe dans le documentaire "Bert Stern : Original Madman", sorti en 2010 et réalisé par son épouse.

Au cours de sa carrière, Bert Stern a notamment photographié Audrey Hepburn, Elizabeth Taylor, Madonna, Kylie Minogue, Drew Barrymore et Lindsay Lohan (avec laquelle il a reproduit 'The Last Sitting'). Il a aussi réalisé un travail de directeur de la photographie sur le tournage du film "Lolita" de Stanley Kubrick. Du côté de la publicité, l'un de ses plus fameux clichés est celui d'un verre de Martini dans le désert égyptien, réalisé en 1955. Bert Stern ne s'imposait qu'une consigne dans son travail : "J'aime mettre mes sentiments dans mes photos". Beaucoup de ses oeuvres sont exposées dans des musées comme au 'Fashion Institute of Technology' ou au 'Museum of Modern Art' de New York.

Bert Stern avait trois enfants : Trista, Susannah et Bret, nés de son premier mariage avec la danseuse Allegra Kent, dont il avait divorcé en 1975.


logonytBert Stern, Elite Photographer Known for Images of Marilyn Monroe, Dies at 83

article published on June 26, 2013
by Paul Vitello
online nytimes

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Bert Stern at a show in New York in 2011.

Bert Stern, an elite commercial photographer who helped redefine advertising and fashion art in the 1950s and ’60s but is perhaps best known for his painfully raw and poignant photos of Marilyn Monroe, taken for Vogue six weeks before her death, died on Tuesday at his home in Manhattan. He was 83.
 His death was confirmed by Shannah Laumeister, a longtime friend, who said she and Mr. Stern had been secretly married since 2009. No cause was given.

Mr. Stern’s half-century career had multiple peaks, including “Jazz on a Summer’s Day,” his 1959 documentary film about the 1958 Newport Jazz Festival, which was selected in 1999 for the National Film Registry in recognition of its historical significance.

His photographs of Monroe, taken over three days in June 1962 in the Hotel Bel-Air in Los Angeles, were collected in a mammoth 2000 book, “Marilyn Monroe: The Complete Last Sitting.”
It was a one-time-in-a-lifetime experience, to have Marilyn Monroe in a hotel room,” Mr. Stern said in the 2010 documentary “Bert Stern: Original Madman,” “even though it was turned into a studio, where I could do anything I wanted.” Ms. Laumeister directed the film.
Many of the photos showed Monroe unclothed, or posing behind transparent scarves. “She was so beautiful at that time,” Mr. Stern told Newsday. “I didn’t say, ‘Pose nude.’ It was more one thing leading to another: You take clothes off and off and off and off and off. She thought for a while. I’d say something and the pose just led to itself.”

Early in his career Mr. Stern made his mark with a 1955 close-up of a martini in the Egyptian desert, pyramid shimmering in the background. The picture, which he shot on location with a crew of technicians and models for a Smirnoff vodka advertisement, was considered groundbreaking in its simplicity.

Along with Irving Penn, Richard Avedon and Mark Shaw, Mr. Stern was part of a generation of photographers who made clear, clutter-free, arresting images the language of glossy magazine advertising, which until then had mainly used pictures to illustrate text.

In the program notes for a 1988 Manhattan gallery exhibition, Robert Sobieszek, the curator of what is now the International Museum of Photography and Film at the George Eastman House, called Mr. Stern’s martini photograph “the most influential break with traditional advertising photography” of its time.

In a statement considered provocative in its day, Mr. Stern told a panel of commercial artists in 1959, “I like to put my feelings into my photographs.”

That same year he received an assignment that took some effort to connect with his feelings: the makers of Spam asked him to “romanticize shish kebab made from Spam,” he told The New York Times. Mr. Stern took a crew of helpers and models to the Gulf of Mexico to shoot that one — a dreamy shot of that meat product. The client was pleased.

Bert Stern was born in Brooklyn on Oct. 3, 1929. In a 1968 interview with Newsday, he said his father was a children’s portrait photographer. After dropping out of high school in his senior year, he served in the Army, working as a photographer on a base in Japan.
That experience helped him land a job in the mailroom at Look magazine, where he became a protégé of Hershel Bramson, the art director, who would later give him his first job as a commercial photographer. The Smirnoff campaign was his first assignment.
Soon he was sought after by magazines, advertisers, Hollywood studios and fashion designers, and his range of subjects grew to include celebrities, movie stars and commercial products — Audrey Hepburn, Gary Cooper, Truman Capote, Twiggy, Elizabeth Taylor, Noxema skin cream, One a Day vitamins, Wish-Bone salad dressing and, of course, Marilyn Monroe.

In addition to Ms. Laumeister, Mr. Stern is survived by two daughters, Trista and Susannah; a son, Bret; a sister, Diane Schlanger; and three grandchildren. His marriage to the dancer Allegra Kent, the mother of his children, ended in divorce in 1975.

Mr. Stern’s work is in many museum collections, including those of the Museum of Modern Art and the Fashion Institute of Technology in New York, and the International Museum of Photography and Film in Rochester, N.Y..
In various interviews Mr. Stern said taking pictures had always been his way of seeing people, and even of relating to them in ways he could not otherwise.
It was why his favorite subject was always professional models. “Models more than actresses,” he said. “What makes a great model is her need, her desire; and it’s exciting to photograph desire.” 

23 juin 2013

Décès de Kenneth

 Décès de Kenneth Battelle

Kenneth Battelle, coiffeur qui s'occupa de la chevelure de Marilyn, est décédé à New York le 12 mai 2013, à l'âge de 86 ans.
Dans les années 1950, il travailla dans le salon d'Helena Rubinstein à New York et parmi ses clientes, figuraient notamment Jacqueline Kennedy, Audrey Hepburn et Judy Garland. Il coiffa Marilyn à partir de 1958, jusqu'à sa mort, en 1962 (on lui doit la célèbre coiffure de Marilyn lors du gala d'anniversaire du Président Kennedy).

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> source web:
la bio de Kenneth sur tarahanks.com

2 mars 2013

Dale Robertson est mort

teleobsDale Robertson est mort à l’âge de 89 ans
article publié sur teleobs.nouvelobs.com
le 28 février 2013

dale_robertson Vu dans Dallas, il a tourné avec Ronald Reagan et dans de nombreux westerns télé.

L’acteur, star de western à la télé dans les années 1950-1960, Dale Robertson, est mort mercredi à l’âge de 89 ans, dans un hôpital de San Diego. Il soufrait depuis longtemps d’un cancer des poumons et a été emporté par une pneumonie.

Les films de cowboy étaient sa grande passion. Il a joué dans « Sitting Bull » ou encore « La flèche sanglante ». Côté séries, il a été la star éphémère de « J.J Starbuck » (le temps d’une saison), a joué dans « Tales of Wells Fargo » entre 1957 et 1962 et côtoyé un certain Ronald Reagan dans « Les aventuriers du Far-West ». En 1982 il a incarné Frank Crutcher dans plusieurs épisodes de « Dallas ».

Née en 1923, il sert très jeune pendant la seconde guerre mondiale, en revient vivant mais est blessé deux fois. Il devient boxeur professionnel avant de se faire repérer par un producteur et de devenir acteur en 1948.

Son amour pour le grand Ouest et les cowboys l’ont poussé à investir la quasi-totalité de son argent dans un élevage de chevaux de l’Oklahoma. Il aurait eu, avant de le vendre il y a quelques années, plus de 235 bêtes.


>> Marilyn et Dale Robertson <<
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Dale Robertson figure au casting de O'Henry's Full House en 1952,  mais pas dans le même sketch que Marilyn; néanmoins, il la rencontre le 15 septembre 1952, lors du Charity Base-Ball Game.

>> Sur le blog: voir les photos de Marilyn et Dale Robertson  

27 février 2013

Décès de Willy Rizzo

lemondeWilly Rizzo, photographe
article publié sur lemonde.fr
par Claire Guillot - le 27 février 2013

willy_rizzo 
Le photographe au Salon de la Photo,
Porte de Versailles, à Paris, le 7 novembre 2010.

Avec ses photos de stars au naturel et son allure de dandy, Willy Rizzo a incarné la grande époque de Paris Match dans l'après-guerre. Le photographe, qui eut aussi une carrière de designer, est mort à Paris, le 25 février, à l'âge de 84 ans.

Né à Naples, Willy Rizzo a grandi à Paris avec sa mère italienne, et fait ses premières photos sous l'Occupation : l'adolescent piste les vedettes de cinéma qui sortent des studios parisiens. A la Libération, il travaille comme photoreporter à Point de vue et France Dimanche, avant de s'envoler pour l'Amérique, envoyé par l'agence Blackstar, photographier "tout ce qui l'étonne".

Mais c'est en 1949 que sa carrière décolle : il est des six personnes qui concoctent, dans un appartement de la rue Pierre-Charron, le lancement du magazine Paris Match. Sa couverture du numéro 1, avec un portrait de Churchill, sera suivie de bien d'autres.

Alors que le photographe d'antan était reçu "comme un plombier", lui en fait un personnage chic, apprécié des jolies femmes (il se mariera trois fois) : "Nous étions les voyous de la presse, déclarait-il au Monde en 1998. On gagnait très bien notre vie, on était insouciants, smart, sympas, on courait les filles avec des bagnoles incroyables (...). Nous étions sur tous les coups, on passait par la porte ou par la fenêtre. On était les meilleurs. On avait 20 ans."
Inspiré par ce photographe et sa bande, Hergé mélange son nom et celui de son collègue Walter Carone pour créer Walter Rizzoto, reporter à Paris-Flash dans 'Les Bijoux de la Castafiore'.

Avec son humour et sa repartie, Willy Rizzo charme les célébrités, qui deviennent ses amies. Il les saisit dans des poses spontanées, après avoir partagé avec elles un dîner, une soirée, un week-end. Brigitte Bardot sort à quatre pattes d'un bateau de pêche à Saint-Tropez, les cheveux lâchés. Marlene Dietrich écoute des disques, Jean Seberg fait du vélo et Jack Nicholson, qui partage souvent ses vacances, est hilare. Pour Paris Match, ensuite pour Marie Claire ou pour Vogue, Willy Rizzo va séduire Jane Fonda, Marlon Brando, Gary Cooper, Orson Welles, Salvador Dali...

Mais il reste un reporter, fier de sa carte de presse : le scoop dont il se vante est un portrait de Pie XII de 1950, arraché au culot. Et il est capable de signer un reportage sur la guerre d'Indochine en 1952 peu flatteur pour l'armée française. "Si je revois Rizzo en Indochine, aurait dit le général Raoul Salan, je l'encule devant mon bataillon."

A la fin des années 1960, Willy Rizzo part s'installer à Rome, avec sa femme, l'actrice Elsa Martinelli, et dessine des meubles aux lignes futuristes pour son appartement. Ces derniers font fureur auprès de ses amis fortunés : c'est le début d'une nouvelle carrière. Willy Rizzo va créer une entreprise, ouvrir plusieurs boutiques. Mais en 1978, nostalgique, il vend son affaire et revient à la photographie et à Paris, où il continue à travailler pour la presse. En 2009, il ouvre un studio de design et de photo, rue de Verneuil.

Le 6 mars 2013, celui-ci devait accueillir une exposition consacrée à Coco Chanel, dont le photographe était proche : sur les photos de Rizzo, "Mademoiselle" ose même un sourire.

Quelques dates
22 octobre 1928: Naissance à Naples.
1949: Signe la première couverture de "Paris Match".
1978: Vend son entreprise de design.
25 février 2013: Mort le 25 février 2013 à Paris.


> L'article de Paris Match

 > L'article du Point


>> Marilyn par Rizzo <<
1962_June_WillyRizzo_LosAngeles_00121_010_1 1962_June_WillyRizzo_LosAngeles_00140_040_1 mm_by_rizzo56  

Willy Rizzo ne photographia Marilyn Monroe que lors d'une unique séance en février 1962. Des portraits en couleurs et en noir et blanc d'une Marilyn au regard triste mais au sourire radieux.
>> Sur le blog: voir les photos de Marilyn par Willy Rizzo
 

24 janvier 2013

Décès de Peter Mangone

Décès de Peter Mangone
publié le 7/01/2013 sur
blog.everlasting-star.net
publié le 9/01/2013 sur latinotimes.com 

peter_mangonePeter Mangone, qui avait fait les gros titres des journaux lorsqu'il communiqua une séquence rare filmée de Marilyn à New York, alors qu'il était encore adolescent, est décédé le 11 décembre 2012, des suites d'un cancer du poumon. 

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La séquence avait d'abord été diffusée dans un documentaire de la BBC en 2003: The People’s Hollywood (voir l'article du blog: 24/03/1955 Marilyn à New York ). En 2002, une exposition est annoncée; suivie de la sortie d'un livre, Marilyn Monroe: NYC, 1955 . Malheureusement, l'expo -attendue à  Danziger Gallery de New York– a été retardée après le passage de l'ouragan Sandy qui dévasta la ville.

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Témoignage de Peter Mangone sur sa rencontre avec Marilyn:
I used to get up every day and put on a shirt and tie, because I read she was coming to New York to go to the Actor’s Studio and that she would stay at the Gladstone Hotel, so I used to get up every morning, dress up, get on the train, cut school and wait for hours. Some days I didn’t see her, some days I’d get a glimpse of her. Then I finally stood across from the hotel one day and I saw her. The next day I went in front of the hotel with a piece of paper, she signed it and she said, ‘You were here yesterday. You had a red tie on. Weren’t you cold?’ Because it was freezing. But she noticed. She really cared, you know.

19 décembre 2012

Décès de Hal Schaefer

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Le pianiste Hal Schaefer, qui fut le coach vocal de Marilyn et l'un de ses amants, est mort ce 8 décembre 2012 à l'âge de 87 ans.


Hal Schaefer, jazz piano virtuoso and onetime love of Marilyn Monroe, dies
publié le 19 décembre 2012
en ligne sur washingtonpost.com

In the early 1950s, the virtuosic jazz pianist Hal Schaefer was working behind the scenes at the 20th Century Fox studio in Hollywood as a musician, musical arranger and vocal coach. He tutored many film stars in the finer points of singing, but none more glamorous than Marilyn Monroe. The two became lovers, which is how the little-known Mr. Schaefer became embroiled in a Hollywood scandal involving three of the biggest celebrities of the time: Monroe, Joe DiMaggio and Frank Sinatra.

hal_schaefer_1Mr. Schaefer, who was 87 when he died Dec. 8 at his home in Fort Lauderdale, Fla., worked with musical greats as a young man. He performed in nightclubs alongside Duke Ellington, who once introduced Mr. Schaefer by saying, “And now you’re going to hear a real piano player.” In his teens, Mr. Schaefer held the piano chair in groups led by trumpeter Harry James, saxophonist Benny Carter and progressive bandleader Boyd Raeburn.

In Hollywood, he received an assignment to help Monroe and co-star Jane Russell prepare for their roles in “Gentlemen Prefer Blondes,” a 1953 musical comedy directed by Howard Hawks.
Having worked with Peggy Lee, Billy Eckstine and other singers, Mr. Schaefer coached Monroe as if she were an aspiring jazz or cabaret vocalist. He asked her to listen to recordings by Ella Fitzgerald, then led her through private rehearsals at a bungalow on the studio lot.
Working closely with choreographer Jack Cole, Mr. Schaefer arranged the music for Monroe’s four-minute production number “Diamonds Are a Girl’s Best Friend.” It became the show-stopping centerpiece of “Gentlemen Prefer Blondes” and helped secure Monroe’s reputation as a mesmerizing screen goddess.

Meanwhile, Mr. Schaefer kept busy in Hollywood, tutoring Judy Garland, Mitzi Gaynor and others. He worked again with Monroe on the 1954 film “There’s No Business Like Show Business,” arranging her sensuous number “Heat Wave.” (Mr. Schaefer occasionally appeared on screen in uncredited roles, including in the 1954 western “River of No Return,” in which he was a saloon pianist in a scene in which Monroe strums a guitar and sings a haunting tune, “One Silver Dollar.”)

In January 1954, Monroe married baseball star DiMaggio, but the marriage was a success only in the Hollywood publicity mills. Mr. Schaefer said Monroe confided to him and others that DiMaggio had beaten her.
He did physically abuse her, and that’s what enraged me so much that I was willing to go and confront him, because I truly loved her,” Mr. Schaefer said in a 2001 documentary, “The Many Loves of Marilyn Monroe.”
I was on my way to confront him,” he added, “but she said he would make dog meat out of me, so she stopped me from going.”

On Oct. 27, 1954, nine months after they were married, Monroe and DiMaggio divorced. The next week, on Nov. 5, she and Mr. Schaefer had a rendezvous at the West Hollywood apartment of one of Monroe’s friends. DiMaggio was dining that night with Sinatra when they got word of the liaison. In the documentary, Mr. Schaefer said he and Monroe “were very close to making love” when Monroe had a suspicion of danger. 
We went over to the window, and we saw this group standing across the street,” Mr. Schaefer recalled. “One of them was Joe DiMaggio, and another was Frank Sinatra. They all came en masse and broke this door in, demolished it. It sounded like an explosion.” But the door they smashed in belonged to the neighboring apartment. A 39-year-old secretary was asleep in bed and screamed at the intruders. “We scrambled to get out the back way,” Mr. Schaefer later said, “and we made it, luckily.”
The episode did not become common knowledge until the next year, when a Los Angeles gossip magazine disclosed some of the details of what became known as the “Wrong Door Raid.”

As Mr. Schaefer began to gain renown as a jazz pianist with several well-received albums, the effects of the scandal soon overtook his career. Warned that henchmen associated with DiMaggio and Sinatra were planning to break his hands, Mr. Schaefer fled Hollywood in the late 1950s and moved to New York. He never saw Monroe again.

Harold Herman Schaefer was born July 22, 1925, in Queens. He began to pick out tunes on the piano by ear when he was 4 and studied classical music for several years until he heard a record by jazz pianist Art Tatum, whose rapid-fire brilliance he sought to emulate.
After his Hollywood years, Mr. Schaefer settled in New York and became a record-company executive, responsible for signing and developing performers for the United Artists label. He also wrote and arranged music for Broadway productions, including “A Funny Thing Happened on the Way to the Forum” (1962).
All the while, he continued to teach singing. One of Mr. Schaefer’s prize pupils in New York was a teenage Barbra Streisand. He also worked with stage stars Chita Rivera, Rita Moreno and Julie Wilson.
Mr. Schaefer spoke privately about his association with Monroe, but he did not go public with his account until after DiMaggio’s death in 1999 in Hollywood, Fla. – 10 miles from Mr. Schaefer’s home.

hal_schaefer_albumAfter battling prostate cancer for years, Mr. Schaefer died Dec. 8 of congestive heart failure, a friend, Laura Parker, confirmed.
Survivors include a brother and a grandson. His first marriage, to Leah Cahan, ended in divorce. Their daughter, Katherine Charap, died in June. In 1974, Mr. Schaefer married Brenda Goodman. She died in 2000.
After her death, Mr. Schaefer had her life dates tattooed on the inside of his left forearm: June 1, 1937-April 7, 2000.
In 2001, Mr. Schaefer dedicated an album, “A Date to Remember,” to the two great loves of his life, Monroe and his late wife, Brenda. The women shared the same birthday.


> Site Officiel halschaefer.com 

17 juillet 2012

Décès de Celeste Holm

Celeste Holm. La disparition d’une élégante
publié le 16 juillet 2012
en ligne sur parismatch.com

celeste_holm 

L’actrice Celeste Holm est décédée à New York à l’âge de 95 ans. Oscar du meilleur second rôle féminin en 1957 pour «Le Mur invisible» d’Elia Kazan, elle avait défrayé la chronique en 2004 en épousant le chanteur d’opéra Frank Basile, de 46 ans son benjamin.

celeste_holm_1 Cette native de la Big Apple a vécu tant de passion sur les planches, au cinéma et dans la vie qu’elle pourrait faire l’objet d’un film. Née à New York en 1917, fille unique d’un businessman norvégien qui a fait fortune dans les assurances et d’une romancière américaine, Jean Parke, Celeste Holm débute au théâtre à la fin des années 30. L’ingénue triomphe dans «The Women», «Oklahoma !» et «Bloomer Girl», au point que le septième art finit par lui faire les yeux doux. La décennie suivante sera celle de sa consécration au cinéma. Pour le rôle d’Anne Dettrey dans «Le Mur invisible» d’Elia Kazan, elle obtient l’Oscar du meilleur second rôle en 1947. Une grande carrière au cinéma s’ouvrait alors à elle, mais Celeste Holm préférait la Côte Est à la Cité des anges, Broadway à Hollywood, si bien qu'elle est restée plutôt rare sur les grands écrans. On retrouve dans sa filmographie quelques beaux films des années 40-50 : «Chaînes conjugales» et «Eve» de Joseph L. Mankiewicz ou encore la comédie musicale «High Society», avec Bing Crosby, Grace Kelly et Frank Sinatra.

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> Eve: Celeste Holm (en haut à droite) et Marilyn (en bas)

Une vie sentimentale tumultueuse

 En 2004, pour son 85ème anniversaire, Celeste Holm s’offre un cadeau à la démesure de ses passions : un cinquième mariage avec le chanteur d’opéra Frank Basile, jeune, beaucoup plus jeune qu’elle – il avait alors 41 ans. L’actrice avait déjà convolé à quatre reprises quand elle rencontra pour la première fois le ténor à une soirée en octobre 1999, où il avait donné de la voix. Coup de foudre. Au printemps suivant, Frank Basile s’installait dans le riche appartement de Manhattan qu’elle avait acheté pour une bouchée de pain en 1953 – 10 000 dollars à l’époque.

Commença alors une terrible bataille pour la fortune de la comédienne. Celle-ci avait eu deux fils de ces précédents mariages : Theodor Holm Nelson, un pionnier de l’Internet – il est le créateur de la fonction hypertexte – qui vit à San Francisco et Daniel Dunning, né de son union avec Wesley Addy, son quatrième mari. Si le premier a toujours eu une relation très lointaine avec sa mère, le second, en revanche, s’occupait de l’argent de sa tendre maman. Et a beaucoup investi… Bien sûr qui dit gros sous, fils intéressé et jeune amant dit longue procédure judiciaire et très coûteuse laissant chaque partie au bord de la banqueroute. Mais l’amour triompha malgré tout et Frank Basile est resté auprès de sa belle. «L’âge n’est pas un facteur quand vous rencontrez une personne comme Celeste Holm. Elle est l’humour, l’esprit, l’intellect, le soutien, la compassion. C’est une femme extraordinaire et si vous ne le voyez pas, alors vous êtes aveugles. N’importe qui serait probablement tombé amoureux d’elle», expliquait-t-il en 2011 au «New York Times», les yeux embués de larmes.

6 janvier 2012

Décès de la photographe Eve Arnold

Eve Arnold, un regard sans concession
Publié le 6/1/2012,
en ligne
sur liberation

Disparition. Première femme à avoir rejoint l’agence Magnum en 1951, la photographe est morte à 99 ans.

libearnold
Marilyn à New York en 1956, pour la sortie du film «le Prince et la danseuse».
© Eve Arnold, Magnum

Eve Arnold est morte hier (mercredi 4 janvier 2012) à Londres, dans une maison de retraite. Elle avait 99 ans. Première femme à rejoindre l’agence Magnum en 1951, l’Américaine fut une photographe légendaire, tout autant par la qualité de ses reportages que par sa ténacité - comme les photojournalistes de cet âge d’or - à être au cœur de ses sujets. Presque dans leur ombre. Comme lorsqu’elle immortalisa la fragilité transparente de Marilyn Monroe sur le tournage des Misfits, film culte de John Huston, dans un corps-à-corps d’une grande sensualité, sous la lumière surnaturelle du désert du Nevada.

Visa. «Je pensais qu’elle avait un don devant l’objectif, mais ce don s’est révélé être du génie», confiera-t-elle un jour, toujours ravie d’évoquer la mémoire de celle qui la fit connaître au grand public. Il n’y eut pas que Marilyn. Le cinéma, ses stars et leurs péchés mignons, de Joan Crawford à Elizabeth Taylor, constitueront l’un de ses thèmes préférés, car elle avait un goût certain pour la mise en scène.

Née le 21 avril 1912 à Philadelphie (Pennsylvanie), Eve Arnold est la fille d’immigrants russes (le père était rabbin), qui eurent neuf enfants. Elle prit ses premières photos en 1946 avec un Rolleicord offert par son petit ami, avant d’étudier, en 1948, à la New School for Social Research de New York sous la direction d’Alexei Brodovitch, tête chercheuse du Harper’s Bazaar. Son sujet d’études : Harlem. Qui lui vaut les félicitations de son professeur et un visa pour continuer… La reconnaissance viendra très vite, dès 1951, grâce au Picture Post qui la propulse tout en haut de l’affiche. Elle a de la chance, surtout du cran, et il en faut dans le monde si masculin de la photographie, où ses confrères, avec leurs Leica, occupent beaucoup de place.

Après son ancrage à l’agence Magnum, tout sourit à Eve Arnold, femme curieuse qui aborde de multiples sujets, de la maternité à la convention républicaine, de Mrs Kennedy à Margaret Thatcher, sans oublier son célèbre portrait de Malcolm X avec chapeau, de profil.

Poignant. Surtout, elle commence à voyager : Cuba, Chine, Afghanistan, et ne cesse d’enregistrer, ici et ailleurs, la condition humaine dans sa diversité. Les riches dans leurs voitures rutilantes. La reine Elizabeth d’Angleterre enveloppée d’un nuage bleu. Les top modèles. Le quotidien de ceux qui n’ont rien sur le dos. Comme ces deux gosses à Porto Rico, qu’elle isole en 1968. Un instant poignant et d’une grande douceur, fidèle à sa ligne de vue : ne jamais baisser les yeux sur la misère du monde.

Pourtant, Eve Arnold ne se sentait jamais vraiment satisfaite de ses photographies, comme elle le confia à Amanda Hopkinson dans le Guardian, ajoutant : «C’est la frustration qui m’a fait avancer.». Mais elle sut donner à ses photographies tout ce que la vie lui avait appris : «J’ai été pauvre et j’ai voulu documenter la pauvreté ; j’ai perdu un enfant et j’étais obsédée par la naissance ; j’étais intéressée par la politique et je voulais savoir comment nos vies en étaient affectées ; je suis une femme et je voulais tout savoir sur les femmes.»

31 juillet 2011

En souvenir d'Amy...

Amy Whinehouse
(14/09/1983 - 23/07/2011)

amy 

Cela fait aujourd'hui déjà une semaine que la chanteuse britannique Amy Winehouse a été retrouvée sans vie à son domicile: Amy est morte seule, dans son lit (ça ne vous rappelle pas quelque chose ?!). Elle n'avait que 27 ans et une voix d'or qui la fait accèder pour toujours dans le panthéon des grandes chanteuses de la soul music. Mais aussi dans la légende des stars au destin tragique. Bye Amy et repose en paix.

amy_winehouse_fred_perry_1

Amy était une grande admiratrice de Marilyn Monroe: en février 2008, la chanteuse est en cure de désintoxication pour lutter contre ses démons (drogue et alcool). Son père Mitch avait alors déclaré aux médias: "Amy est encore très malade et souffre d'horribles syndrômes de sevrage - elle grelotte et vomit tout le temps. Son corps se débarasse de toute la crasse. Quelque chose qui aide Amy ce sont les films de Marilyn Monroe. Elle adore Certains l'aiment chaud. C'est une grande fan de Marilyn, elle la trouve merveilleuse." 

amy_winehouse_grimace 

Pour preuve, cette photographie d'Amy prise en 2004, où elle pose devant un mur contenant des photographies encadrées, comme celle de Marilyn.

amy_marilyn_wall  

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