Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Divine Marilyn Monroe
NAVIGUATION
DIVINE MARILYN

Marilyn Monroe
1926 - 1962

BLOG-GIF-MM-BS-1 

Identités

Norma Jeane Mortenson
Norma Jeane Baker
Norma Jeane Dougherty
Marilyn Monroe
Marilyn DiMaggio
Marilyn Miller
Jean Norman
Mona Monroe
Zelda Zonk

Archives
28 janvier 2012

A la TV - Qui sera le meilleur sosie ?

 gif_tvmarilynSamedi 27 janvier 2012 - sur TF1 - à 20h50
Emission show - Qui sera le meilleur sosie ?

sosie_2012_01_27_cap_title

 Durée : 2h20
Présentation: Christophe Dechavanne, Victoria Silvstedt
Jury: André Manoukian, Laurence Boccolini, Willy.

> Le sosie de Marilyn (Suzie Kennedy) se produit dans une mise en scène sur la chanson I wanna be loved by you. Elle est en compétition avec une sosie de Dita Von Teese.
sosie_2012_01_27_cap01 sosie_2012_01_27_cap02 sosie_2012_01_27_cap03
sosie_2012_01_27_cap04 sosie_2012_01_27_cap05 sosie_2012_01_27_cap06 
sosie_2012_01_27_cap07 sosie_2012_01_27_cap08 sosie_2012_01_27_cap09
sosie_2012_01_27_cap10 sosie_2012_01_27_cap11 sosie_2012_01_27_cap12
sosie_2012_01_27_cap13 sosie_2012_01_27_cap14 sosie_2012_01_27_cap15
sosie_2012_01_27_cap16 sosie_2012_01_27_cap17 sosie_2012_01_27_cap18 

> Le jury doit voter: Dita Von Teese ou Marilyn Monroe ? C'est le sosie de Marilyn -Suzie- qui l'emporte.
sosie_2012_01_27_cap19 sosie_2012_01_27_cap20 sosie_2012_01_27_cap21
sosie_2012_01_27_cap22 sosie_2012_01_27_cap23 sosie_2012_01_27_cap24
sosie_2012_01_27_cap25 sosie_2012_01_27_cap26 sosie_2012_01_27_cap27
sosie_2012_01_27_cap28 sosie_2012_01_27_cap29 sosie_2012_01_27_cap30
sosie_2012_01_27_cap31 sosie_2012_01_27_cap32 sosie_2012_01_27_cap33 

> C'est ensuite aux téléspectateurs de voter: Beyoncé, Johnny, Wolverine ou Marilyn ? Là encore, c'est Marilyn qui est sélectionnée pour la finale.
sosie_2012_01_27_cap34 sosie_2012_01_27_cap35 sosie_2012_01_27_cap36 

sosie_2012_01_27_cap37 sosie_2012_01_27_cap38 sosie_2012_01_27_cap39
sosie_2012_01_27_cap40 sosie_2012_01_27_cap41 sosie_2012_01_27_cap42

> Marilyn (alias Suzie) est en finale face à Coeur de Pirate et Amy Winehouse. Les téléspectateurs ont choisi le sosie bluffant d'Amy Whinehouse.
sosie_2012_01_27_cap43 sosie_2012_01_27_cap44 sosie_2012_01_27_cap45
sosie_2012_01_27_cap46 sosie_2012_01_27_cap47 sosie_2012_01_27_cap48
sosie_2012_01_27_cap49 sosie_2012_01_27_cap50 sosie_2012_01_27_cap51
sosie_2012_01_27_cap52 sosie_2012_01_27_cap53 sosie_2012_01_27_cap54
sosie_2012_01_27_cap55 sosie_2012_01_27_cap56 sosie_2012_01_27_cap57

> l'émission en vidéo sur videos.tf1.fr


Sandy, sosie d’Amy Winehouse, élue meilleur sosie sur TF1
en ligne
sur toutelatele.com

sosie_photoChaque année, Christophe Dechavanne part à la recherche du meilleur sosie sur TF1. Et ce vendredi 27 janvier 2012, la sélection a pu compter par des anonymes ressemblants -ou pensant avoir une ressemblance- avec Britney Spears, France Gall, Justin Bieber, Katy Perry, Beyoncé, Amy Winehouse ou encore Lady Gaga.

4.17 millions de téléspectateurs ont apprécié cette compétition, soit 19.9% du public présent devant son poste de télévision entre 21h00 et 23h40.

 Au terme du show, le meilleur sosie désigné par le public a été celui de la défunte Amy Winehouse. Elle succède ainsi à celui de Kad Mérad, élu le 6 novembre 2010 devant 3.83 millions de personnes, soit 18.6% de part de marché. Sandy, fonctionnaire de Toulon, décroche ainsi les 15 000 euros promis au gagnant.

Qui sera le meilleur sosie ? enregistre ainsi une légère progression, mais est contraint de s’incliner face au NCIS (M6) et à la Dame de carreau (F2).

18 janvier 2012

Michelle Williams, plus sexy que jamais

logo_parismatchMichelle Williams, plus sexy que jamais
Publié le 18/01/2012,
en ligne
sur parismatch.com

Michelle_Williams_pm

Michelle Williams a fait sensation en posant en lingerie dans la dernière édition du magazine américain «GQ».

Michelle_williams_GQElle est méconnaissable. D’habitude si fragile et discrète, Michelle Williams a créé la surprise en posant en lingerie pour le magazine américain «GQ». La comédienne apparaît ultra-sexy et rend une nouvelle fois hommage à Marilyn Monroe, le personnage qu’elle incarne dans le film «My week with Marylin» et pour lequel elle a remporté le «Golden Globe» de la meilleure actrice dimanche soir.

Les cheveux blonds platine et la bouche rouge vif, la star se dévoile sans complexe et assume enfin sa féminité. Un côté femme fatale qu’elle a pourtant bien du mal à concevoir. «Je ne dirais pas qu’être sexy est l’une de mes principales qualités en tant qu’être humain», a-t-elle avoué dans l’interview qui accompagne la séance photo.

«Avoir rôle sexy, c’est un peu comme si on ne jouait que pour les hommes»

Il faut dire que la comédienne a tout fait pour fuir l’image sensuelle qui lui collait à la peau après l’arrêt de la série «Dawson». Pendant six ans, Michelle Williams a en effet endossé le rôle de Jen Lindley, une adolescente dévergondée et mauvaise fille. «Comme mon personnage dans "Dawson " était sexy… sexualisé… sexuel, j’ai remarqué toute l’attention et les connotations négatives que cela peut susciter. Des choses qui peuvent empêcher aux gens de voir votre vraie nature», a-t-elle déploré avant d’affirmer que «quand on joue un rôle sexy, c’est un peu comme si on ne jouait que pour les hommes.» «C’est une chose que vous devez gérer et vous sortir de l’esprit»,a-t-elle ajoutée.

La star a décidément bien du mal à assumer son image. Lors d’un passage sur le plateau de l'émission «Piers Morgan Tonight» en novembre, l’actrice avait confié ne pas «s’être trouvée sexy» sur le tournage de son film «My week with Marylin». La star endossait pourtant le rôle de Marilyn Monroe, icône glamour et sex-symbol par excellence. Mais avec cette séance photo, la jolie blonde nous prouve qu’elle n’a pas de quoi se sentir complexée.

18 janvier 2012

Michelle Williams remporte le Golden Globe pour son rôle de Marilyn

Golden Globes 2012 : Michelle Williams dédie son prix à sa fille Matilda Ledger !
Publié le 16/01/2012,
en ligne
sur public.fr

Golden_Globes_2012_Michelle_Williams_dedie_son_prix_a_sa_fille_Matilda_Ledger_portrait_w674 

En remportant hier soir le Golden Globes de la meilleure actrice pour sa participation au film My Week With Marilyn, Michelle Williams a tenu à rendre hommage à Matilda, sa fille de 6 ans qu’elle a eue avec Heath Ledger.

Dans la catégorie de la meilleure actrice, il fallait vraiment aimer la concurrence hier soir pour se pointer aux Golden Globes. Mais Michelle Williams a su tirer son épingle du jeu et passer devant les pourtant très habituées Charlize Theron, Kate Winslet ou encore Jodie Foster. En allant chercher son trophée, sous les regards envieux de ses concurrentes d’un jour, Michelle a tenu à rendre un hommage spécial. Elle a dédié sa victoire à Matilda, sa petite fille âgée de 6 ans, fruit de son amour avec Heath Ledger. Elle a déclaré : "Je me considère comme une mère en premier et une actrice en second, alors la personne que je veux le plus remercier est ma fille, ma petite fille, dont la bravoure et l’exubérance me servent d’exemple dans mon travail et dans ma vie."

Et elle ne s’arrête pas là dans ce bel hommage : "Je veux te remercier de m’envoyer au boulot tous les jours avec un câlin et un bisou. Je ne pourrais pas le faire sans ça. Je suis tellement excitée à l’idée de rentrer à la maison le soir. Et pour avoir enduré pendant six mois des histoires pour dormir, où toutes les voix des princesses ressemblaient à celle de Marilyn Monroe."

Une belle dédicace qui prouve toute la simplicité de l’actrice. Plus de 50 ans après Marilyn, Michelle remporte le même prix que celle à qui elle à redonner vie au cinéma.


> Quelques photos de la cérémonie
michelle_williams_win_golden_globes_2012  
Michelle_Williams_Golden_Globes_20121_545x640 Golden_Globes_2012_Michelle_Williams_VS_Charlize_Theron_match_de_headbands_retros_portrait_300x600 69th_annual_golden_globes_awards_michelle_williams
michelle_williams_golden_globes_2012_1 Michelle_Williams_remporte_son_premier_Golden_Globe_portrait_w674 michelle_williams_golden_globes_2012 


> Vidéo: remise du prix
  

7 janvier 2012

Un biopic pour devenir mythique

lefigaromadameUn biopic pour devenir mythique

Article publié le 6 janvier 2012
en ligne sur madame.lefigaro.fr

Meryl Streep en Margaret, Leonardo DiCaprio en J. Edgar… Du film biographique à l’Oscar, il n’y a qu’une star.

Leonardo DiCaprio pour J. Edgar, Brad Pitt pour Le Stratège, Meryl Streep pour La Dame de fer, Michelle Williams pour My Week with Marilyn et Viggo Mortensen pour A Dangerous Method… Tous sont nominés cette année aux Golden Globes - parions qu’il en sera de même pour les Oscars - grâce à un rôle biographique. L’occasion de revenir sur ceux qui ont construit leur carrière sur des biopics, et raflé au passage le sacro-saint Oscar.


 01michelle_williams_marilyn_monroe_1
1/ Parce qu’elle est déjà nommée aux SAG Awards et aux Golden Globes de la meilleure actrice, on parie que Michelle Williams en Marilyn Monroe (My Week With Marilyn, de Simon Curtis) sera aussi en lice pour l’Oscar.


02leonardo_dicaprio_j_edgar_hoover_2 03meryl_streep_margaret_tatcher_3 04viggo_mortensen_sigmund_freud_4  
 2/ Si Leonardo DiCaprio a déjà été nommé aux Oscars pour Aviator de Martin Scorsese, en 2005, la critique croit très fort à son couronnement dans la peau du premier patron du FBI dans J. Edgar, de Clint Eastwood.  
3/ Meryl rutile. Son interprétation de Margaret Thatcher dans La Dame de fer (Phyllida Lloyd) vaudrait juste à Mme Streep sa 17e nomination aux Oscars 
4/ Pour David Cronenberg, Viggo Mortensen reprend le chemin des studios et le rôle de Sigmund Freud dans A Dangerous Method. Oscar du meilleur second rôle à l’horizon ?


05reese_witherspoon_june_carter_cash_5 06colin_firth_george_vi_6 07cate_blanchett_katharine_hepburn_7
5/ Pour Reese Witherspoon, le rôle biographique a déjà payé. En 2006, elle reçoit l’Oscar de la meilleure actrice pour Walk the Line, le film de James Mangold sur Johnny Cash, dans lequel elle incarne la chanteuse June Carter.
6/ En 2011, Colin Firth remporte l’Oscar du meilleur acteur, mais aussi le Golden Globe et le BAFTA pour Le Discours d’un roi, de Tom Hooper
7/ En 2007, Cate Blanchett est Katharine Hepburn dans Aviator. Elle rafle l’Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle.


08sean_penn_harvey_milk_8 09helen_mirren_reine_helizabeth_II_9 10jamie_foxx_ray_charles_10
8/ En 2009, l’Académie du cinéma américain couronne Sean Penn pour son rôle de leader des droits civiques des homosexuels dans Harvey Milk, de Gus Van Sant.
9/ À 62 ans, Helen Mirren atteint le sommet de la gloire en gagnant l’Oscar de la meilleure actrice pour The Queen, de Stephen Frears (2007). Dans le rôle de la reine d’Angleterre, of course.
10/ En 2005, Jamie Foxx fait de l’ombre à Johnny Depp (Neverland), Leonardo DiCaprio (Aviator) et Clint Eastwood (Million Dollar Baby) en raflant l’Oscar du meilleur acteur pour sa performance en Ray Charles dans Ray, de Taylor Hackford.


11salma_hayek_frida_kahlo_11 12will_smith_mohamed_ali_12 13erin_brocovich_julia_roberts_13
11/ Pour avoir joué le rôle principal dans Frida Kahlo, Salma Hayek obtient sa première (et dernière à ce jour) nomination à l’Oscar de la meilleure actrice, en 2003.
12/ En 2002, Will Smith boxe si bien qu’il décroche une nomination pour l’Oscar du meilleur acteur dans Ali, le film de Michael Mann sur la vie du poids lourd Cassius Clay.
13/ Après deux nominations pour Potins de femmes (1990) et Pretty Woman (1991), Julia Roberts obtient enfin l’Oscar de la meilleure actrice en 2001, pour son interprétation d’Erin Brockovich, la self-made woman militante pour l’environnement dans le film de Steven Soderbergh. 


14robert_de_niro_jake_la_motta_14 15marion_cotillard_edith_piaf_15 16sir_ben_kingsley_gandhi_16
14/ Parce que les boxeurs ont la cote à l’Academy, Robert De Niro reçoit le trophée de meilleur acteur en 1981, pour avoir campé le king des rings, Jake LaMotta, dans Raging Bull, réalisé par Martin Scorsese.
15/ Édith Piaf : grâce à ce rôle dans La Môme, réalisé par Olivier Dahan, Marion Cotillard décroche en 2008 l’Oscar de la meilleure actrice et la reconnaissance des Américains. Non, ils n’avaient pas vu Taxi.
16/ Son interprétation de Gandhi, héros éponyme du film de Richard Attenborough, permet à Ben Kingsley de se faire connaître du grand public et de la critique. En 1985, du jour au lendemain, il devient une star munie d’un Oscar.

6 janvier 2012

Décès de la photographe Eve Arnold

Eve Arnold, un regard sans concession
Publié le 6/1/2012,
en ligne
sur liberation

Disparition. Première femme à avoir rejoint l’agence Magnum en 1951, la photographe est morte à 99 ans.

libearnold
Marilyn à New York en 1956, pour la sortie du film «le Prince et la danseuse».
© Eve Arnold, Magnum

Eve Arnold est morte hier (mercredi 4 janvier 2012) à Londres, dans une maison de retraite. Elle avait 99 ans. Première femme à rejoindre l’agence Magnum en 1951, l’Américaine fut une photographe légendaire, tout autant par la qualité de ses reportages que par sa ténacité - comme les photojournalistes de cet âge d’or - à être au cœur de ses sujets. Presque dans leur ombre. Comme lorsqu’elle immortalisa la fragilité transparente de Marilyn Monroe sur le tournage des Misfits, film culte de John Huston, dans un corps-à-corps d’une grande sensualité, sous la lumière surnaturelle du désert du Nevada.

Visa. «Je pensais qu’elle avait un don devant l’objectif, mais ce don s’est révélé être du génie», confiera-t-elle un jour, toujours ravie d’évoquer la mémoire de celle qui la fit connaître au grand public. Il n’y eut pas que Marilyn. Le cinéma, ses stars et leurs péchés mignons, de Joan Crawford à Elizabeth Taylor, constitueront l’un de ses thèmes préférés, car elle avait un goût certain pour la mise en scène.

Née le 21 avril 1912 à Philadelphie (Pennsylvanie), Eve Arnold est la fille d’immigrants russes (le père était rabbin), qui eurent neuf enfants. Elle prit ses premières photos en 1946 avec un Rolleicord offert par son petit ami, avant d’étudier, en 1948, à la New School for Social Research de New York sous la direction d’Alexei Brodovitch, tête chercheuse du Harper’s Bazaar. Son sujet d’études : Harlem. Qui lui vaut les félicitations de son professeur et un visa pour continuer… La reconnaissance viendra très vite, dès 1951, grâce au Picture Post qui la propulse tout en haut de l’affiche. Elle a de la chance, surtout du cran, et il en faut dans le monde si masculin de la photographie, où ses confrères, avec leurs Leica, occupent beaucoup de place.

Après son ancrage à l’agence Magnum, tout sourit à Eve Arnold, femme curieuse qui aborde de multiples sujets, de la maternité à la convention républicaine, de Mrs Kennedy à Margaret Thatcher, sans oublier son célèbre portrait de Malcolm X avec chapeau, de profil.

Poignant. Surtout, elle commence à voyager : Cuba, Chine, Afghanistan, et ne cesse d’enregistrer, ici et ailleurs, la condition humaine dans sa diversité. Les riches dans leurs voitures rutilantes. La reine Elizabeth d’Angleterre enveloppée d’un nuage bleu. Les top modèles. Le quotidien de ceux qui n’ont rien sur le dos. Comme ces deux gosses à Porto Rico, qu’elle isole en 1968. Un instant poignant et d’une grande douceur, fidèle à sa ligne de vue : ne jamais baisser les yeux sur la misère du monde.

Pourtant, Eve Arnold ne se sentait jamais vraiment satisfaite de ses photographies, comme elle le confia à Amanda Hopkinson dans le Guardian, ajoutant : «C’est la frustration qui m’a fait avancer.». Mais elle sut donner à ses photographies tout ce que la vie lui avait appris : «J’ai été pauvre et j’ai voulu documenter la pauvreté ; j’ai perdu un enfant et j’étais obsédée par la naissance ; j’étais intéressée par la politique et je voulais savoir comment nos vies en étaient affectées ; je suis une femme et je voulais tout savoir sur les femmes.»

29 décembre 2011

Marilyn for ever

logo_parismatchMarilyn for ever
Publié le 28/12/2011,
en ligne
sur parismatch.com

pm_divine 

Cinquante ans après sa mort en 1962, livres, films et albums vont ressusciter une actrice aussi intelligente que belle.
Catherine Schwaab - Paris Match


«Je dois toujours me battre pour qu’on me permette de faire ce que je veux sur un film ! Pourtant, je sais que j’ai raison ! » Comment faire ? Incarner les ravissantes idiotes et, en même temps, imposer sa pensée. « Pourtant je connais le cinéma mieux que n’importe qui, confiait Marilyn en 1959 à son cher amant danois, le scénariste Hans Jorgen Lembourn. Je sais exactement quels résultats suivront à l’écran, s’ils donneront l’effet attendu. Mais “ils” ne s’en aperçoivent qu’après la fin du tournage. Jusque-là, “ils” n’ont aucune confiance en ce que je veux. C’est pourquoi j’ai tant d’ennuis avec les producteurs, les réalisateurs et tous ceux qui ont leur mot à dire. »

Les producteurs ! En ces années 40, il fallait coucher pour arriver. Gironde et sans inhibitions, la mignonne avait déjà posé nue. Joe Scheck, de la Fox, fut le premier à repérer cette pulpeuse starlette peroxydée dans un bar de Hollywood. Marilyn : « On essayait de dénicher un vieux type, un gros bonnet du show-biz… » Joe est un ours de 70 ans qui a réussi dans les drugstores, un chauve à cigare qui ne lui demande guère plus qu’un déshabillage et une écoute, ce qu’elle fait très bien. « Enfin… Quelquefois, il me demandait de m’étendre sur lui… J’avais l’impression que ça durait des heures. Il ne se passait rien du tout, mais je n’osais pas dire non. Il aurait été fâché. » C’est tout elle ! Gentille et pragmatique. Pleine d’espoir, elle revenait le voir dans sa somptueuse villa. « En plus, la nourriture était si bonne ! » Scheck finira par lui présenter Harry Cohn, chez Columbia. Un type grossier et puissant, qui consomme les aspirantes et n’en élit qu’une poignée. C’est ainsi que Marilyn décrochera un rôle dans « Ladies of the Chorus ». Elle y incarne la « typical success story » américaine : une ­danseuse-chanteuse rencontre un homme très riche, et l’amour triomphe de toutes les barrières sociales.

«Elle se savait exceptionnellement douée pour créer des images»

Au fond, c’est ce dont la midinette abandonnée par son père et sa mère a rêvé toute sa vie : s’unir à un homme qui l’élève au-dessus de sa condition, balaie ses peurs. Elle y est arrivée, sans pour autant trouver la sécurité intérieure. Il faut dire qu’elle avait beaucoup de traumas à liquider, entre la folie de sa grand-mère puis de sa mère – qu’il a fallu interner quand la petite avait 4 ou 5 ans – et un abus sexuel à 9 ans dans une famille d’accueil, sans parler d’un inextinguible besoin d’amour. La gamine, murée dans sa solitude et sa timidité, avait aussi quitté l’école à 15 ans pour travailler comme ouvrière chez Lockheed, à la confection des parachutes. De quoi se trimballer de sacrés manques. Mais elle a sa beauté. Enfin, beauté, pas exactement. ­Aujourd’hui, on la trouverait trop ronde, trop petite, un nez un peu fort… Mais aujourd’hui comme hier, n’importe quel ­photographe saurait capter son incroyable photogénie. Eve Arnold se souvient de ses shootings : « Elle se savait exceptionnellement douée pour créer des images, et elle adorait ça. Elle pouvait être une Marilyn différente avec chaque photographe. Elle imposait elle-même ses besoins, ses humeurs, son érotisme, travaillait rapidement. Quand ça marchait, les expressions se succédaient sur son visage, son corps ondoyait… »

Ça marchait souvent mieux que sur les plateaux de cinéma où elle débarquait avec deux, trois, quatre heures de retard, compromettant la production ; elle peinait à mémoriser son texte, incapable de se concentrer. Mais, comme l’a dit Clark Gable, son « daddy », son partenaire dans « Les désaxés » : « Quand elle est là, elle l’est à 100 %, elle donne tout »... Et bluffe le plateau par son talent autant que par sa gentillesse attendrissante. Car on n’a jamais vu une blonde ressembler aussi peu à une blonde. Ni garce ni bêtasse. Juste libre. Si proche de ses émotions, si près des larmes, si vite blessée, si vite reconquise. Une sensibilité d’enfant dans un corps de bombe sexuelle. Avec, dans le sang, un sens érotique spontané, sans calcul. D’ailleurs, sa couturière, Lena Pepitone, qui l’a accompagnée durant les cinq dernières années de sa vie, a eu le choc du siècle quand elle est venue se présenter à elle : dans l’appartement new-­yorkais où elle habitait avec Arthur Miller, sur Sutton Place, Mme Monroe lui est apparue nue comme un ver ! Même pas voilée d’un déshabillé de soie qui aurait glissé en route dans un effluve de Chanel N° 5. Non, ce jour-là – et beaucoup d’autres plus tard –, Marilyn était en tenue habituelle, pas maquillée, pas douchée, cheveux en bataille qui nécessitaient un shampooing.

Même à ses débuts, la tapageuse Madonna n’aurait pas osé. Lady Gaga ? Encore moins. Marilyn n’était ni une provocatrice ni un phénomène marketing. Sa nudité n’avait rien d’affecté. Pas plus que son aversion pour les sous-vêtements. Non, on n’est pas dans « Basic Instinct », et Marilyn n’est pas Sharon Stone. Simplement, les slips et les soutiens-gorge l’entravent et font des marques sous le fourreau moulant. Il faut rappeler que la lingerie de l’époque, c’est baleines, fibre épaisse et gros élastiques. Et confirmer une rumeur persistante : oui, Marilyn se teignait les poils du pubis. Avec deux brosses à dents, malin !

Quant à vivre nue, n’exagérons rien : c’est lorsqu’elle reste à la maison entre deux films, deux cours à l’Actors Studio, deux rendez-vous avec son agent, ou deux consultations avec son psy qu’elle voit plusieurs fois par semaine. Quand elle dîne avec Arthur, madame porte une simple robe en éponge blanche. L’endroit n’a rien d’un appartement de tycoon. Moquette ivoire un peu tachée, meubles crème pas très nets, pas de bibelots. La résidence comporte un espace pour chacun. Monsieur a son bureau-bibliothèque à double isolation ; madame, une chambre à coucher pas du tout coquette, mais avec une paroi entièrement recouverte de miroirs. Lena Pepitone : « Elle s’y observait à la loupe des journées entières. » Ventre, fesses, seins… Ultra-gourmande, elle faisait du yoyo avec son poids, entre 50 et 70 kilos pour 1,66 mètre. Lena passait son temps à élargir les coutures de ses rutilantes robes du soir. « Elle se réveillait tard, vers midi, buvait des Bloody Mary avec ses œufs brouillés, ­demandait parfois des côtes d’agneau. Mais ce qu’elle préférait, c’étaient mes spaghettis à la tomate. Avec du champagne Piper-Heidsieck. » De quoi faire craquer ses légendaires pantalons et ses chemisiers de soie blanche, qu’elle nouait à la taille ou ne boutonnait qu’en bas. Aujourd’hui encore, avec des ballerines ou des talons aiguilles, on n’a rien trouvé de plus sexy.

Lena Pepitone a vécu la déliquescence du couple, les crises de larmes et la terrible solitude de Marilyn. Elle se souvient de ses tentatives désespérées pour faire sortir Arthur Miller de sa tanière...Point final

 Retrouvez la suite de l'article et les images de la légende Marilyn dans le Paris Match n° 3267, en vente cette semaine dans tous les kiosques.

23 décembre 2011

Critique d' Une semaine avec Marilyn par Daniel

Critique du film My week with Marilyn
article rédigé par Daniel C.

daniel_article2011_12_04Durant la fin de semaine de la première du film Une semaine avec Marilyn, je suis allé voir cette production avec enthousiasme.
Dès le début, je constate une erreur dans les images du générique. On y voit Michelle Williams en Marilyn Monroe avec la robe du Happy Birthday Mr. Président, qui chante "Heat Wave". Cette robe n’a servi qu’à ce show plusieurs années après ce film.
Abandonnée sur place par son mari Arthur Miller, Marilyn trouvera réconfort auprès d'un assistant-réalisateur, Colin Clark, tombé totalement sous son charme. Pendant une semaine, le jeune homme de 23 ans servira de confident et de protecteur à la star, presque en permanence sous l'emprise des médicaments et de l'alcool. À 30 ans, elle a déjà vécu trois mariages. Elle est incapable de trouver le véritable amour.

Le réalisateur Simon Curtis en fait un bon film avec une Michelle Williams qui relève avec aplomb le défi de se glisser dans les robes... moulantes de l'icône devenue légende. La jeune actrice imite à la perfection la démarche et les mimiques de Monroe, conférant à son personnage une authenticité renversante. Son jeu a d'ailleurs été récompensé d'une nomination à un Golden Globe. Une nomination à un Oscar est dans la mire.
L'histoire d'amour-amitié entre Monroe et Clark, ne casse pas des briques, mais est une histoire légère, comme plusieurs comédies sentimentales. Kenneth Branagh est absolument savoureux en acteur incapable de composer avec les caprices et la candeur de sa partenaire de plateau. Malgré tout, dans une scène touchante, livrée en finale, il reconnaîtra sa grâce et son talent, ce qui n'empêchera pas Le prince et la danseuse d'être un cuisant échec commercial. Dominic Cooper joue parfaitement le rôle de Milton Greene, un homme qui donne l’impression d’un homme d’affaires dur et robuste, mais en fin compte il est la marionnette soumise de Marilyn. Eddie Redmayer est le jeune Clark qui devient un fan de Marilyn qui, illuminé par la beauté et la fragilité, en devient amoureux.
daniel_article2011_12_03 daniel_article2011_12_02 daniel_article2011_12_01

Est-ce que cette histoire est vraie?? Je ne suis pas sûr. Est-ce une légende comme le mariage de Robert Slatzer, l’amitié de Jeanne Carmen, l’amour de John F Kennedy… On n’a aucune photo de Colin et Marilyn. Comme je dis souvent, les histoires de Robert, Jeanne ou John ont fait des belles histoires qui ont alimentées la légende de Marilyn, comme celle de Colin dans Une semaine avec Marilyn. C’est plaisant de voir des images du lieu où Marilyn a demeuré en Angleterre. En parlant d’image, le film a parfaitement bien travaillé les ombres et les lumières pour donner vie à cette Marilyn. Certains gros plans de Michelle Williams ne donne pas l’illusion de Marilyn car Michelle a le visage plus rond, mais à part cela, elle est parfaite.

On a droit aussi à du réchauffer quand Marilyn parle de sa mère et de son père et nous montre que sa vie est plombée par une enfance malheureuse auprès d'une mère à l'équilibre psychologique fragile et un père absent. Le film de Curtis met en lumière toute la vulnérabilité et la fragilité d'une femme dépendante du regard des autres, prisonnière d'un doute perpétuel sur ses capacités professionnelles, assoiffée d'amour et d'approbation. Cette facette est exposée d'une troublante façon par Michelle Williams.
Si j’ai une autre occasion, je serai très heureux de le revoir pour tout : Michelle Williams, l’histoire et la musique. Une « belle soirée » avec Marilyn.
22 décembre 2011

Les looks de Marilyn Monroe

logo_puretrendLes icônes du style: dans le dressing de Marilyn Monroe
Publié le 19/12/2011,
en ligne
sur puretrend.com

Ventes aux enchères, expo arty, biopic... La garde-robe de Marilyn n'en finit pas de fasciner le monde entier. Si les clichés de la star version femme fatale en robe "grand soir", ou en bikini retro font partie des classiques, c'est une garde robe plus casual qu'affectionnait particulièrement Marilyn. L'actrice représentait la femme "Calvin Klein" avant l'heure, comme l'a souligné la costumière du film "My Week With Marilyn", Jill Taylor, au magazine InStyle.

Petit short et col roulé, jupe crayon et chemise d'homme, pantalon 3/4 et pull à col rond : loins des projecteurs, l'actrice mythique a toujours fait preuve d'une vraie modernité en matière de style, alliant confort et élégance, et mixant pièces masculines et féminines.

Une garde-robe sobre qui se transformait volontiers en boudoir glamour lors des apparitions publiques de la star, robe en lamé, collier de perles, escarpins vertigineux et veste en fourrure à l'appui.

Mais alors, comment s'habillerait Marilyn aujourd'hui ? Entre robe de diva, parures de stars, Chanel N°5 et pull en cachemire, découvrez notre sélection shopping pour vous offrir le look de la blonde la plus célèbre de l'histoire du cinéma !

pt_632141_marilyn_monroe_ou_l_art_du_less_is_637x0_3 pt_632177_collier_miu_miu_nbsp_prix_512_euros_en_637x0_2 pt_632115_eau_de_parfum_chanel_n_5_nbsp_prix_637x0_3 
1/ Marilyn Monroe ou l'art du "less is more" : petite robe noire et collier de perles.
2/ Collier Miu Miu   Prix : 512€ En vente sur www.net-a-porter.com
3/Eau de Parfum Chanel N°5   Prix : à partir de 49 €


pt_632144_marilyn_a_la_plage_ou_l_icone_de_637x0_3  pt_632104_pull_col_roule_mango_nbsp_prix_637x0_2  pt_632126_short_michael_kors_nbsp_prix_376_637x0_3
4/ Marilyn à la plage, ou l'icône de mode casual avant l'heure.
5/ Pull col roulé Mango   Prix : 29,95 €
    6/ Short Michael Kors   Prix : 376 € En vente sur www.net-a-porter.com

pt_632113_lunette_linda_farrow_pour_agent_637x0_2 
7/ Lunette Linda Farrow pour Agent Provocateur   Prix : 250,15 €


pt_632139_la_star_version_grand_soir_en_robe_637x0_3  pt_632145_robe_marchesa_nbsp_prix_5965_euros_en_637x0_2  
8/ La star version grand soir, en robe lamé.
9/ Robe Marchesa   Prix : 5965 € En vente sur www.net-a-porter.com

pt_632117_robe_chloe_nbsp_prix_6700_euros_en_637x0_2  pt_632100_escarpins_christian_637x0_2      
10/ Robe Chloé   Prix : 6700 € En vente sur www.net-a-porter.com  
11/ Escarpins Christian Louboutin   Prix : 835 € En vente sur www.net-a-porter.com

 pt_632121_boucles_d_oreilles_d_oreilles_637x0_2    pt_632120_col_en_fausse_fourrure_karl_637x0_2 
 12/ Boucles d'oreilles d'oreilles Lanvin   Prix : 600 € En vente sur www.net-a-porter.com
13/ Col en fausse fourrure Karl Donoghue   Prix : 165 € En vente sur www.net-a-porter.com 


pt_632111_peignoir_la_perla_nbsp_prix_606_637x0_3 pt_632123_culotte_carine_gilson_nbsp_prix_384_637x0_3  
14/  Peignoir La Perla   Prix : 606 € En vente sur www.net-a-porter.com
15/ Culotte Carine Gilson   Prix : 384 € En vente sur www.net-a-porter.com


pt_632142_marilyn_et_sa_collection_de_petites_637x0_2 pt_632114_maillot_de_bain_clube_bossa_nbsp_prix_637x0_2 pt_632124_bb_curl_conscious_bumble_and_637x0_2  
16/ Marilyn et sa collection de petites robes midi. 
17/Maillot de bain Clube Bossa   Prix : 547 € En vente sur www.net-a-porter.com
18/ BB Curl Conscious Bumble and Bumble   Prix : 35,50 € En vente chez Sephora

pt_632105_robe_donna_karan_nbsp_prix_1495_637x0_3  pt_632112_escarpins_salvatore_637x0_2  pt_632122_bracelet_louise_swarovski_nbsp_prix_637x0_2  
19/ Robe Donna Karan   Prix : 1495 € En vente sur www.net-a-porter.com
20/ Escarpins Salvatore Ferragamo   Prix : 495 €
21/  Bracelet "Louise" Swarovski   Prix : 190 €

pt_632102_foulard_artemis_wragge_nbsp_prix_637x0_2 pt_632118_sac_bottega_veneta_nbsp_prix_2650_637x0_3  
22/ Foulard Artemis Wragge   Prix : 295 € En vente sur www.net-a-porter.com
23/  Sac Bottega Veneta   Prix : 2650 € En vente sur www.net-a-porter.com


pt_632143_marilyn_version_pin_up_fifties_en_637x0_2  pt_632146_maillot_de_bain_norma_637x0_2  pt_632125_baume_bathina_benefit_nbsp_prix_637x0_2
24/ Marilyn version pin-up fifties, en bikini rétro.
25/ Maillot de bain Norma Kamali   Prix : 406 € En vente sur www.net-a-porter.com
26/ Baume Bathina, Benefit   Prix : 32,50 € En vente chez Sephora

pt_632174_chemise_marc_by_marc_jacobs_nbsp_prix_637x0_2  pt_632116_jupe_h_amp_m_nbsp_prix_39_95_euros_637x0_2  pt_632103_escarpins_h_amp_m_nbsp_prix_49_95_637x0_3
27/ Chemise Marc by Marc Jacobs   Prix : 290 € En vente sur www.net-a-porter.com
28/ Jupe H&M   Prix : 39,95 € 
29/ Escarpins H&M   Prix : 49,95 €

pt_632175_pull_yves_saint_laurent_nbsp_prix_637x0_2  pt_632108_pantalon_j_crew_nbsp_prix_123_637x0_3   
30/ Pull Yves Saint Laurent   Prix : 550 € En vente sur www.net-a-porter.com
31/ Pantalon J.Crew   Prix : 123 € En vente sur www.net-a-porter.com


pt_632140_tailleur_fifties_et_tons_pastel_ou_637x0_2 pt_632119_robe_h_amp_m_nbsp_prix_59_95_euros_637x0_2 
32/ Tailleur fifties et tons pastel, ou l'Amérique édulcorée des années 1950.
33/ Robe H&M   Prix : 59,95 €

pt_32176_manteau_miu_miu_nbsp_prix_1365_637x0_3 pt_632101_gants_zara_nbsp_prix_49_95_euros_637x0_2  
34/ Manteau Miu Miu   Prix : 1365 € En vente sur www.net-a-porter.com
35/ Gants Zara   Prix : 49,95 €

22 décembre 2011

Les tenues de Michelle Williams dans My Week with Marilyn

logo_puretrendCinq choses à savoir sur les tenues de Michelle Williams dans My Week with Marilyn
Publié le 13/12/2011,
en ligne
sur puretrend.com

C'est l'un des évènements cinéma du début de l'année 2012, la sortie sur les écrans en mars prochain de "My Week with Marilyn". Basé sur deux livres autobiographiques de Colin Clark, "The Prince, The Showgirl and Me" et "My Week with Marilyn", le film retrace une partie du tournage du film "The Prince and The Showgirl" avec Marilyn Monroe et Laurence Olivier qui a eu lieu durant l'été 1956.

Colin Clark, assistant de Laurence Olivier à l'époque, raconte sa folle semaine passée avec Marilyn, alors tout juste mariée avec Arthur Miller. C'est Michelle Williams qui incarne l'actrice mythique, et les premières images du film révèlent une ressemblance frappante. Michelle a été habillée par la costumière Jill Taylor, qui s'est inspirée de photos d'archives et de pièces vintage, afin de réaliser une garde-robe digne de l'icone blonde du cinéma hollywoodien.

Découvrez cinq anecdotes à connaître sur les tenues de Michelle Williams dans le film "My Week with Marilyn" !

pt_631006_la_garde_robe_de_marilyn_637x0_2La garde-robe de Marilyn ressucitée

La costumière du film, Jill Taylor, a déclaré dans le magazine InStyle , qu'elle a étroitement collaboré avec Michelle Williams pour élaborer la parfaite garde-robe de Marilyn Monroe.
Michelle apportait des photos d'inspiration, et Jill en faisait des croquis.

 


pt_631007_une_ode_a_la_mode_vintage_nbsp_dans_637x0_3Une ôde à la mode vintage

Dans une interview pour le Vogue UK ,
Jill Taylor explique qu'elle s'est aussi inspirée de vêtements des années 50 chinés dans des boutiques vintage, ou repérés lors de ventes aux enchères. La costumière a également parcouru les archives photos de l'actrice pour reproduire des pièces que Marilyn portait, notamment lors de sa lune de miel avec Arthur Miller.    


pt_631004__the_prince_and_the_637x0_3"The Prince and the Showgirl"

Lors de la scène qui fait référence au tournage du film "The Prince and the Showgirl", Michelle Williams porte une parfaite réplique de la robe blanche que portait Marilyn Monroe. Jill Taylor s'est inspiré d'une photo prise à l'époque durant le tournage. Il n'y avait qu'un seul exemplaire, si bien que Michelle a dû la porter durant les 11 jours de tournage de cette scène. L'équipe des costumes tremblait à l'idée que l'actrice ne la tache.  


pt_631003_icone_casual_made_in_usa_nbsp_si_637x0_3Icône casual made in USA

Si Marilyn est célèbre pour ses robes du soir et ses tenues sexy, Jill Taylor a découvert en fouillant dans les archives, que la star cherchait avant tout le confort dans sa vie privée. Des pièces simples et faciles à vivre, qui pourraient faire penser que Marilyn était "casual" avant l'heure.  

 


pt_631005_la_petite_robe_noire_nbsp_meme_si_637x0_4 La petite robe noire

Même si Michelle Williams a aimé porter tous les costumes du film, elle avoue une préférences pour deux tenues : une robe noire, et un ensemble jupe crayon et chemise d'homme, particulièrement modernes et avant gardistes pour l'époque.

19 décembre 2011

Marilyn vs. Marilyn: What The Prince and the Showgirl Says About Monroe’s Biopic

vanity_fair_logoMarilyn vs. Marilyn: What The Prince and the Showgirl Says About Monroe’s Biopic
Publié le 9/12/2011,
par Bruce Handy,
en ligne
sur vanityfair.com

the_prince_and_the_showgirl

In November’s Vanity Fair, I wrote a short piece about Michelle Williams’s performance as Marilyn Monroe in My Week with Marilyn, the film about the making of 1957’s The Prince and the Showgirl, in which Monroe starred opposite Laurence Olivier, who also directed. For an actress, I explained in my best cinema-studies voice, playing a woman who is arguably the most famous of all movie stars “is like an excruciatingly difficult platform dive, a win-gold-or-eat-ice figure-skating jump; Michelle Williams is the daredevil who executes the move flawlessly, brilliantly, exhilaratingly.”

Hmmm. With the film—and the deadline—having receded a bit in memory, that blurb now feels a tad . . . gushy. But the performance really is terrific (the movie itself is entertaining, if pat), and as I also wrote, with, I hope, a more level head:

“That Williams—a first-rank actress who presumably wouldn’t be caught dead in, say, a TV movie about a moth-eaten, overly mythologized sex symbol—had the nerve to take this on is impressive. That she has the talent to pull it off is maybe unprecedented. I can’t think of a better performance (not even Tina Fey’s Sarah Palin) in the role of an icon whose face, voice, and mannerisms are known by millions or even billions of people. Williams doesn’t quite capture the on-screen Marilyn—no one could—but she comes very close. And as off-screen Marilyn, she’s as funny and tragic, as sexy and pathetic and manipulative, as you cold ask for.”

(Advice for budding writers: never go back and read something you published a couple of months ago. “Overly mythologized sex symbol” is fair, but “moth-eaten”? That seems a bit gratuitous, in hindsight.)
 
But enough about me! As a point of comparison, I thought it would be fun and interesting to watch The Prince and the Showgirl and see what all the fuss had been about. The film is a classic example of Hollywood’s most prevalent genre: the awful movie made by talented people. The culprit isn’t Monroe’s neuroses, but rather a creaky, silly screenplay (adapted from what must have been a creaky, silly play). I wasn’t expecting it to be good, anyway, but I was hoping it would serve as a tutorial in opposing acting styles—Monroe’s intuitive emotional truths vs. Olivier’s precision-tooled affect. A clash of the titans, to reference another lousy Olivier movie.
 
The best parts of My Week with Marilyn coax comedy, and some drama, from this opposition—from the real-life, on-set conflict between Monroe’s Method acting and Olivier’s classical training. She needed to find her motivation for every scene; he just wanted her to hit her marks and get the lines out as written. This philosophical difference is perhaps best illustrated in a famous, probably apocryphal anecdote from the set of 1976’s Marathon Man, in which Olivier starred opposite Dustin Hoffman. The younger American actor showed up on set exhausted and disheveled one morning, and when Olivier asked why, Hoffman said he’d stayed up all night—as preparation for a scene in which his character was supposed to be exhausted and disheveled. “Try acting, dear boy,” Olivier reportedly responded. “It’s much easier.”

Back in The Prince and the Showgirl, a scene about halfway through the film perfectly captures this tension. Monroe’s and Olivier’s characters are riding opposite each other in a carriage. This is the moment when the two, who have been at loggerheads, first notice the early stirrings of genuine attraction. A close-up on Olivier shows his monocled, tightly wound prince seemingly glaring at her; the shot holds for seconds, to the point where you start to think, O.K., Larry, I get it already (and maybe there’s something to be said for Michael Bay movies after all). Then, almost imperceptibly, he begins to smile—a thin-lipped, begrudging smile, but a genuine thaw. Olivier knows exactly what he’s doing: the shot is all about toying with the audience and building to a specific moment. It is a scene in itself.
 
The camera then cuts to a parallel close-up of Monroe. Her character doesn’t quite know how to respond, and neither does the actress: she smiles, looks away, looks back, giggles, blushes, and is finally pleased. Those are all appropriate responses for the character, but in aggregate, you sense Monroe is searching for a true moment, trying to connect to the scene, but ultimately flailing. Who knows—I may be reading into the performance, and seeing what I expected to see. But the difference with Olivier’s shot is stark, and he and his editor don’t seem to have helped her by letting the shot go on so long, even if they perhaps felt it needed equal time, equal weight, to his.
 
The rest of the film reveals a more complicated actress. Its best scene is a long would-be seduction, in which Olivier has invited Monroe to his apartment for a late-night repast. He then mostly ignores her, tending to business and assuming she’ll get drunk on his champagne and perforce go to bed with him. She, naturally, is onto him—she knows all the tricks—and here, Monroe is wonderful. Given a chance to show off her flair for comedy, she demonstrates that she too is capable of precise effects. She has a nice bit of business wherein she eats some caviar on toast while Olivier talks on the phone. You can see her growing more irritated with each bite, but also thinking, What the hell—caviar! Another bit has her drinking champagne while he reads the paper, talking to herself as she slowly gets drunk, registering each degree of inebriation in a way that echoes Lucille Ball touting Vitameatavegamin. Don’t let anyone tell you that Monroe lacked technical chops.
 
Near the end of My Week with Marilyn, Olivier (Kenneth Branagh) is seen watching rushes and coming to the realization that, however much she vexes him, Monroe is a much greater screen actor than he’ll ever be. Nice scene, but it’s romantic baloney. Olivier is a great on-screen, even in junk like this. For one thing, as the carriage scene shows, he understood stillness, and how to let the audience come to him, in a way that Monroe never did. She was more of a heat-seeking missile.
 
But it’s not a contest. When given the right scaffolding of dialogue and stage business, she too is great. Her greatest shortcoming as an actress, if it is a shortcoming, is that she didn’t know how to fake it. The second half of the film, where the story turns loopy and improbable—her character is forced into being a go-between for silly political intrigue—leaves her looking lost. Judy Holiday or Betty Hutton might have made it work, but that’s no knock on Monroe. The Prince and the Showgirl didn’t deserve to work. And when Monroe had real material—like with Some Like It Hot—she soared.

(The Prince and the Showgirl is out of print on DVD, but seems to be findable on YouTube. Some Like It Hot is widely available and if you've never seen it, shame on you.)

Visiteurs
Depuis la création 5 665 430
Derniers commentaires
Marilyn sur le web

BLOG-GIF-MM-GPB-1 
Une sélection de sites web

Blog - The Marilyn Report 
Blog - The Marilyn Archive 
Blog - Tara Hanks

  Mesmerizing Marilyn Monroe
Marilyn From the 22nd Row

Collection Greg Schreiner
Collection Scott Fortner
Collection Peter Schnug

Marilyn Geek
Fan Club The Marilyn Remembered

Blog - MM Books
Blog - Marilyn Monroe Animated Gifs 
Instagram Official Marilyn Monroe

Instagram - Silver Technicolor 
Instagram - Marilynraresig

Tumblr - The Marilyn Monroe Visual Vault 
Tumblr - Infinite Marilyn 
Tumblr - Always Marilyn Monroe 
Tumblr - Marilyn in High Quality 
Tumblr - Marilyn Monroe Archive 
Tumblr - Our Girl Marilyn 

Perfectly Marilyn Monroe

Crazy For Marilyn 
Crazy For You
Crazy For You 2

La presse
Blog - Marilyn Cover Girl 
Blog - La MM que j'aime 
Magazines - Famous Fix 

Magazines - Pinterest Lorraine Funke

Archives presse USA - Newspapers 
Archives presse Australia - Trove
Archives presse - Internet Archive 
Archives presse - Lantern

Archives presse - Media History Digital Library 
Archives - Gallica BNF 

Archives magazines - Magazine Art 
LIFE photo archive 
LIFE magazines 

LIFE articles 
Collier's - Unz Review 
Esquire Classic 
Bravo Posters 
Paris Match

 Agence Photos 
Magnum  
Getty images 
mptv images 
Keystone
 profimedia
ullstein bild
Redux Pictures
Roger Viollet
Shutterstock 
topfoto
picryl
iStock by Getty 
Bridgeman images 
AP Images 

Album 

 Photographes 
All About Photo  
Listing Photographes du XXeme 
Allan Grant 
Bernard of Hollywood - instagram 
Bert Stern 
Bill Ray 
Bob Willoughby 
Carl Perutz 
Douglas Kirkland - website 
 Douglas Kirkland - instagram 
Elliott Erwitt - website 
Elliott Erwitt - instagram 
Ernst Haas 
Eve Arnold - website 
Eve Arnold - instagram 
George Barris - website 
George Barris - instagram 
Harold Lloyd  
Henri Dauman 
Jock Carroll 
Lawrence Schiller 
Leigh Wiener 
Nickolas Muray 
Phil Stern 
Philippe Halsman - website 
Philippe Halsman - instagram  
Richard Avedon - website 
Richard Avedon - instagram 
Sam Shaw - website 
Sam Shaw - instagram  
Weegee Arthur Fellig 

Milton H Greene
Milton H Greene - website 
Milton H Greene - instagram 
MHG The Archives Licensing  
The archives LLC - tumblr

Video Archives 
INA 
British Pathé  
ITN Archive

Paramount & Pathé Newsreel

Culture 
aenigma 
The Blonde at the Film 
Tumblr - Weirland TV
Dr Macro's HQ scans 
Pulp International 
Stirred Straight Up 

BLOG-GIF-MM-KOREA-1 

Sites communautés
Irish Marilyn Monroe Fan Club
listal
The Place 
Who's Dated Who 
Films - imdb 
Films - Classic Movie Hub 
Bio - Wikipedia fr  
Dossiers - FBI Records

 Marilyn Friends
Mona Rae Miracle
Joe DIMaggio
Arthur Miller
Yves Montand 
Montgomery Clift 
Clark Gable 
Marlon Brando 
Jane Russell 
Rock Hudson 
Dean Martin 
Frank Sinatra 
Ava Gardner 
Ralph Roberts 
George Fisher
Joan Crawford
Jeanne Carmen 
Travilla Style - blog 
The Actors Studio