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Divine Marilyn Monroe
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DIVINE MARILYN

Marilyn Monroe
1926 - 1962

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17 juillet 2012

Décès de Celeste Holm

Celeste Holm. La disparition d’une élégante
publié le 16 juillet 2012
en ligne sur parismatch.com

celeste_holm 

L’actrice Celeste Holm est décédée à New York à l’âge de 95 ans. Oscar du meilleur second rôle féminin en 1957 pour «Le Mur invisible» d’Elia Kazan, elle avait défrayé la chronique en 2004 en épousant le chanteur d’opéra Frank Basile, de 46 ans son benjamin.

celeste_holm_1 Cette native de la Big Apple a vécu tant de passion sur les planches, au cinéma et dans la vie qu’elle pourrait faire l’objet d’un film. Née à New York en 1917, fille unique d’un businessman norvégien qui a fait fortune dans les assurances et d’une romancière américaine, Jean Parke, Celeste Holm débute au théâtre à la fin des années 30. L’ingénue triomphe dans «The Women», «Oklahoma !» et «Bloomer Girl», au point que le septième art finit par lui faire les yeux doux. La décennie suivante sera celle de sa consécration au cinéma. Pour le rôle d’Anne Dettrey dans «Le Mur invisible» d’Elia Kazan, elle obtient l’Oscar du meilleur second rôle en 1947. Une grande carrière au cinéma s’ouvrait alors à elle, mais Celeste Holm préférait la Côte Est à la Cité des anges, Broadway à Hollywood, si bien qu'elle est restée plutôt rare sur les grands écrans. On retrouve dans sa filmographie quelques beaux films des années 40-50 : «Chaînes conjugales» et «Eve» de Joseph L. Mankiewicz ou encore la comédie musicale «High Society», avec Bing Crosby, Grace Kelly et Frank Sinatra.

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> Eve: Celeste Holm (en haut à droite) et Marilyn (en bas)

Une vie sentimentale tumultueuse

 En 2004, pour son 85ème anniversaire, Celeste Holm s’offre un cadeau à la démesure de ses passions : un cinquième mariage avec le chanteur d’opéra Frank Basile, jeune, beaucoup plus jeune qu’elle – il avait alors 41 ans. L’actrice avait déjà convolé à quatre reprises quand elle rencontra pour la première fois le ténor à une soirée en octobre 1999, où il avait donné de la voix. Coup de foudre. Au printemps suivant, Frank Basile s’installait dans le riche appartement de Manhattan qu’elle avait acheté pour une bouchée de pain en 1953 – 10 000 dollars à l’époque.

Commença alors une terrible bataille pour la fortune de la comédienne. Celle-ci avait eu deux fils de ces précédents mariages : Theodor Holm Nelson, un pionnier de l’Internet – il est le créateur de la fonction hypertexte – qui vit à San Francisco et Daniel Dunning, né de son union avec Wesley Addy, son quatrième mari. Si le premier a toujours eu une relation très lointaine avec sa mère, le second, en revanche, s’occupait de l’argent de sa tendre maman. Et a beaucoup investi… Bien sûr qui dit gros sous, fils intéressé et jeune amant dit longue procédure judiciaire et très coûteuse laissant chaque partie au bord de la banqueroute. Mais l’amour triompha malgré tout et Frank Basile est resté auprès de sa belle. «L’âge n’est pas un facteur quand vous rencontrez une personne comme Celeste Holm. Elle est l’humour, l’esprit, l’intellect, le soutien, la compassion. C’est une femme extraordinaire et si vous ne le voyez pas, alors vous êtes aveugles. N’importe qui serait probablement tombé amoureux d’elle», expliquait-t-il en 2011 au «New York Times», les yeux embués de larmes.

25 juillet 2012

The Marilyn Monroe Story

The Marilyn Monroe Story (Special Edition):
The Intimate Inside Story
of Hollywood's Hottest Glamour Girl

Auteurs
: Joe Franklin, Laurie Palmer

book_the_mm_storyPrix éditeur: 25,95 Euros
Date de sortie: avril 2012
Broché: 62 pages
Editeur : Createspace
Langue : anglais

ISBN-10: 1475264976
ISBN-13: 978-1475264975
Ou le trouver ?
amazon.fr 

Présentation de l'éditeur: This is a new release of the rare and very collectable first book entirely devoted to Marilyn Monroe. This edition includes all of the original text and photos. "The Marilyn Monroe Story. The Intimate Inside Story of Hollywood's Hottest Glamour Girl" was the first book written exclusively about Marilyn Monroe. It was originally published in 1953 by the Rudolph Field Company. It was published as a Hardcover with a color dust jacket and also as a Paperback. The original book was 63 pages with 39 gorgeous black and white photos of Marilyn Monroe. 

* A Savoir
Il s'agit de la réédition de la première bio écrite du vivant de Marilyn (l'édition originale de 1953 est désormais quasi introuvable).


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22 septembre 2012

Redbook July 1955

mag_redbook_coverLe magazine américain Redbook de juillet 1955 consacrait sa couverture et un article de 6 pages à Marilyn Monroe intitulé "The Marilyn Monroe You've Never Seen" ("La MM que vous n'avez jamais vue") publiant le reportage photographique du photographe Ed Feingersh qui avait suivi Marilyn plusieurs jours à New York.

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19 septembre 2012

23/06/1962 Two Scarves par Bert Stern

The Last Sitting
day 1

Le 23 juin 1962, première séance photos avec Bert Stern, dans la suite 261 du Bel Air Hotel de Los Angeles, transformée en studio. 
Portraits de Marilyn Monroe jouant avec deux petits foulards.

 **** Two Scarves ****
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>> Photos signées par Stern
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>> Colorisations
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>> Planches Contact
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>> couvertures de magazines / affiches
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25 septembre 2012

23/06/1962 Pink Scarf par Bert Stern

The Last Sitting
day 1

Le 23 juin 1962, première séance photos avec Bert Stern, dans la suite 261 du Bel Air Hotel de Los Angeles, transformée en studio. 
Portraits de Marilyn Monroe en couleur, avec un grand foulard rose transparent.

 ****  Pink Scarf  ****
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  >> Photos signées par Stern
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>> couvertures de magazines
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21 septembre 2012

23/06/1962 Black & White Scarf par Bert Stern

The Last Sitting
day 1

Le 23 juin 1962, première séance photos avec Bert Stern, dans la suite 261 du Bel Air Hotel de Los Angeles, transformée en studio. 
Portraits de Marilyn Monroe en noir et blanc, avec un grand foulard transparent.

 ****  Black and White Scarf  **** 
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 >> Photos signées par Stern
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>> couvertures de magazines
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28 septembre 2012

Marilyn, le dernier secret

Marilyn, Le Dernier Secret
Auteur
: William Reymond

book_lederniersecret_1Prix éditeur: 22 Euros
Date de sortie: février 2008
Broché: 489 pages
Editeur : Flammarion
Langue :
Français

ISBN-10: 2080690612
ISBN-13: 978-2080690616
Ou le trouver ?
amazon.fr

Présentation de l'éditeur: Depuis 1962, le mystère de la mort de Marilyn Monroe ne cesse de fasciner. Et, bien que présenté officiellement comme un suicide, le décès de la blonde la plus populaire de la planète suscite aujourd'hui encore d'innombrables interrogations. Marilyn était-elle la maîtresse des frères Kennedy ? John et Robert ont-ils eu leur part de responsabilité dans la disparition de la star ? A-t-il existé un témoin de ses derniers instants ? Quels rôles ont joué la Mafia, la CIA et Hoover, le patron du FBI ? Les résultats de l'autopsie de la comédienne ont-ils été manipulés, le dossier escamoté et la vérité étouffée ? A l'aide de documents rares, certains oubliés, d'autres négligés, mais surtout de témoignages inédits, Marilyn, le dernier secret répond de manière définitive à l'ensemble des questions posées par l'énigme Monroe. Après l'assassinat de JFK, les secrets de Coca-Cola et les coulisses de l'alimentation industrielle, William Reymond plonge dans les méandres d'Hollywood, pour, au terme d'une enquête au rythme haletante, dévoiler le dernier secret de Marilyn Monroe.


 > Le livre a été republié, chez un autre éditeur:

> Edité en mai 2012, chez J'ai Lu;
8 Euros - 640 pages -
sur amazon.fr  
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3 octobre 2012

23/06/1962 Black Dotted Scarf par Bert Stern

The Last Sitting
day 1

Le 23 juin 1962, première séance photos avec Bert Stern, dans la suite 261 du Bel Air Hotel de Los Angeles, transformée en studio. 
Portraits de Marilyn Monroe en couleur, avec un foulard à pompons noirs.

 ****  Black Dotted Scarf **** 
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>> Photos signées par Stern
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 >> Planches Contact
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18 octobre 2012

Julien's Auction 11/2012 - Vêtements

lot n°553: MARILYN MONROE DRESS
 A Marilyn Monroe owned off-white chiffon floor-length dress, v-neck with crossed bodice, sleeveless with thin straps, accented in rhinestone trim. Zipper at left side. Labels read "Franklin Simon's/ Fifth Avenue New York" and "New York Creation/ N.Y. Dress Institute." No size present.
PROVENANCE Partial Lot 97, "Entertainment Memorabilia Including Property From the Estates of Ella Fitzgerald and Dorothy Lamour," Sotheby's, Beverly Hills, Sale number 6975, May 21, 1997
Estimate: $5 000 - $7 000 
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 lot n°569: MARILYN MONROE PURPLE SKIRT
 MARILYN MONROE  A purple wool wraparound skirt worn by Marilyn Monroe while in Banff, Canada, shooting River of No Return (20th Century Fox, 1954) in 1953. John Vachon from Look magazine shot a series of photographs of Marilyn Monroe in this skirt, which can be seen in the book Marilyn: August 1953, The Lost LOOK Photos (New York: Dover, 2010), as did Whitey Snyder. In these photographs, Monroe is pictured recuperating from a foot injury received while filming.
PROVENANCE Partial Lot 36, "Property From the Estate of Marilyn Monroe," Julien's Auctions, Los Angeles, June 4, 2005
Estimate: $4 000 - $6 000
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lot n°581: MARILYN MONROE GOLD ENSEMBLE
 MARILYN MONROE  A Marilyn Monroe ensemble comprised of a gold fabric blouse and matching Capri pants. Don Loper Boutique label in blouse. The ensemble was originally owned by Monroe and gifted to Jean O'Doul, wife of Joe DiMaggio's personal manager.
No size present.
PROVENANCE Lot 73, "Film & Entertainment Memorabilia," Christie's, London, Sale number 5238, December 19, 2007
Estimate: $6 000 - $8 000
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31 mars 2011

When love goes wrong

Vidéo et Paroles
de la chanson When love goes wrong
interprétée en duo par
Marilyn Monroe et Jane Russell
 
en 1952 pour le film  Gentlemen Prefer Blonds


When love goes wrong
Nothing goes right
This one thing I know

When love goes wrong
A man takes flight

And women get uppity-oh

The sun don't beam
The moon don't shine
The tide don't ebb and flow

A clock won't strike
A match won't light

When love goes wrong
Nothing goes right

The blues all gather round you

And day is dark as night
A man ain't fit to live with

And a woman's sorry sight

When love goes wrong
Nothing goes right
When love goes wrong
Nothing goes right
When love goes wrong
Nothing goes, nothing goes right

When love goes wrong
Nothing goes right

The bees don't buzz
The fish don't bite

Clock won't strike
Match won't light

When love goes wrong
Nothing goes right

A woman's a fright, a terrible sight

A man goes out, gets high as a kite

Love is something you just can't fight

You can't fight it, honey
You can't fight it

When love goes wrong, nothin'
No bows, honey, just cigat bars and off
Nothing goes right

Crazy, Crazy oui, oui

lt's like we said
You're better off dead
When love has lost its glow

So take this down
in black and white
When love goes wrong nothing goes right

When love goes wrong nothing goes right
Nothing goes right


Traduction

Quand l'amour s'en va

Quand l'amour s'en va
Plus rien ne va

Ca je le sais bien

Quand l'amour s'en va
l'homme prend la fuite

Et les femmes gardent un maigre espoir

Le soleil est terne
La lune reste noire
Et même les marées cessent

Les horloges s'arrêtent
Les allumettes ne s'allument plus

Quand l'amour s'en va
plus rien ne va

La mélancolie vous entoure

Et le jour est une nuit noire
Un homme est à prendre

Et la femme fait peine à voir

Les abeilles ne bourdonnent pas
Les poissons ne mordent pas

Les horloges s'arrêtent
Les allumettes ne s'allument plus
 

La femme fait peine, est triste à voir

L'homme sort sur un petit nuage

On ne peut rien contre l'amour

Tu n'y peux rien chérie,
Tu n'y peux rien

Quand l'amour s'en va, plus rien
Pas de limites, mon cœur, attend et laisse passer
Plus rien ne va

C'est comme on te dit
Tu n'as plus de vie
Quand l'amour n'est plus beau

Alors note bien ceci
en noir sur blanc

Quand l'amour s'en va, plus rien ne va


Fiche Chanson avec paroles et traduction 
song-gpb-when_love  
 
> source fiche: blog sugarkane

19 octobre 2012

La joyeuse parade vue par DVDClassik

dvdclassik_logoCritique de La Joyeuse Parade
Article
publié par Ronny Chester
en ligne
sur DvdClassik.com

dvdclassik_joyeuseparade 

dvdla_joyeuse_parade

Générique
Année : 1954
Pays : États-Unis    
Genres : Comedie, Drame, Musical, Romance    
Réalisé par : Walter Lang    
Avec : Ethel Merman, Donald O'Connor, Marilyn Monroe, Dan Dailey, Johnnie Ray, Mitzi Gaynor, Richard Eastham, Hugh O'Brian, Frank McHugh, Rhys Williams, Lee Patrick, Eve Miller, Robin Raymond    
Montage : Robert L. Simpson    
Photographie : Leon Shamroy    
Scénario : Phoebe Ephron, Henry Ephron, Lamar Trotti    
Costumes : Travilla, Miles White    
Maquillage : Ben Nye, Helen Turpin    
Décorateur de plateau : Stuart A. Reiss, Walter M. Scott    
Direction artistique : John DeCuir, Lyle R. Wheeler    
Studios de production : Twentieth Century Fox Film Corporation


Technique
Durée : 117 min
Format d'image : 2.55:1
Couleur : Couleur 


L'histoire
dvdhis_joyeuseparadeMolly et Terence Donahue forment, avec leurs trois enfants, une grande famille de saltimbanques nommée "The Five Donahues". Ils parcourent le pays, se produisant dans des numéros de music-hall chaleureux et endiablés. Des petits bonheurs ou petits malheurs du quotidien, rien ne vient perturber leur sens du spectacle et de la fête. Cependant les enfants grandissent et, devenus adultes, finissent par afficher leur désir d’indépendance. Steve, le fils aîné souhaite quitter le métier pour entrer dans les ordres. Quant à Tim, le cadet, grand séducteur et noceur devant l’éternel, il est follement séduit par Vicky Parker, une très belle jeune femme ardente d’entrer dans la profession. De sérieuses tensions familiales font leur apparition, mais ne dit-on pas que le milieu du spectacle est une grande famille ?


Analyse et Critique
dvdan_joyeuseparadeA l’instar de That’s Entertainment, There’s no Business like Show Business tient une place particulière dans la culture américaine. Elle est devenue la chanson symbole de la comédie musicale, l’emblème d’un spectacle donnant toujours la priorité au merveilleux. Un spectacle défendu par des artistes complets, moines soldats d’un genre qui doit survivre aux différentes difficultés que ceux-ci endurent au quotidien. La Joyeuse Parade est ainsi une œuvre qui se veut un hommage vibrant à la comédie musicale et à ceux qui la font vivre sur les planches comme au cinéma. Le film est aussi et surtout un hommage à Irving Berlin, musicien américain d’origine russe grandement influencé par le Jazz, l’un des compositeurs les plus talentueux et respectés de la comédie musicale à Broadway et à Hollywood. Il composa une vingtaine de chansons pour des films comme Top Hat, En suivant la flotte ou Noël Blanc. Irving Berlin fut également l’auteur du célèbre hymne patriotique "God Bless America". Jerome Kern, autre grand compositeur qui révolutionna le musical dans les années 1910 et 1920, dit de lui un jour : "Berlin ne tient aucune place particulière dans la musique américaine… il EST la musique américaine".

Pour toutes ces raisons, on aurait donc bien voulu encenser un tel film, s’enflammer devant la perspective alléchante d’un aussi beau spectacle. Malheureusement, il nous faut vite déchanter face à un film poussif, dénué de toute émotion et de talent proprement cinématographique. Le problème se situe véritablement à la base : le scénario n’est manifestement qu’un prétexte à un enchaînement de numéros musicaux. Daryl Zanuck, initiateur du projet, ne s’est pas trop soucié de produire un film soutenu par une véritable intrigue et de réels enjeux dramatiques. Le sujet de La Joyeuse Parade se résume à une historiette insipide faisant vaguement le lien entre les différentes et nombreuses chorégraphies. De plus, le film ne se trouve pas vraiment être une comédie musicale dans le sens où les segments musicaux ne s’insèrent pas dans la dramaturgie du récit, exception faite de la chanson "A Man chasses a Girl" interprétée par Donald O’Connor.

Ensuite, la Fox eut la volonté d’utiliser un nouveau format de pellicule apparu depuis un an : le Cinémascope. Grâce à ce dernier, les spectateurs allaient voir sur l’écran un spectacle inédit. Le film fut en effet la première comédie musicale tournée dans ce format. Mais innovation technique n’est point synonyme d’innovation artistique. Et le metteur en scène Walter Lang, à qui Zanuck confia la réalisation du film, le prouve brillamment si l’on puis dire. Walter Lang fut un réalisateur docile et appliqué comme il y en eu des dizaines à Hollywood. Il signa de nombreuses comédies (musicales ou non) dont la plus célèbre reste sans doute la version du Roi et moi de 1956. Mais ce dernier film doit sa réussite bien plus à la qualité de son livret (signé Rodgers & Hammerstein), à ses interprètes (Deborah Kerr et Yul Brynner) et à ses qualités plastiques qu’à la réalisation désespérément plate de Lang. Ancien illustrateur de mode, le metteur en scène ne fait justement que cela : illustrer. Et La Joyeuse Parade en est l’exemple le plus frappant. La caméra se contente de suivre les prestations des comédiens en plans larges, se rapprochant par moments de la scène mais pas trop près car, comprenez-vous, le cinémascope est là pour faire entrer tout ce joli monde dans son cadre extra large. On a donc véritablement l’impression d’assister à du théâtre filmé ou plutôt du music-hall filmé, devrait-on dire. Et en dehors des numéros musicaux, Walter Lang continue de plus belle en appliquant le même principe, la caméra ne faisant qu’honorer misérablement son format : plan large / léger travelling avant / léger travelling arrière, etc...

On constate enfin, et c’est bien là le paradoxe avec La Joyeuse Parade, que le cinémascope, évolution technique majeure s’il en est, a fait reculer d’une demi génération la représentation de la comédie musicale à l’écran. On en est revenu, avec ce film, à l’illustration pure et simple de superbes numéros musicaux comme le furent ceux de Busby Berkeley. Il ne s’agit évidemment pas de dénigrer cette merveilleuse période des années 1930, source de tant de beauté et de création. Mais comment peut-on, en 1954, faire fi du renouveau apporté par le sublime et baroque Vincente Minnelli, comme de la modernité venue du couple formé par les fougueux Stanley Donen et Gene Kelly ? Il faudra attendre jusqu’à 1961 pour qu’un cinéaste digne de ce nom utilise le cinémascope à de réelles fins artistiques dans une comédie musicale. On pense évidemment à Robert Wise et West Side Story.

La distribution de La Joyeuse Parade fait la part belle à des interprètes spécialistes du genre. Ethel Merman fut une fameuse artiste de Broadway qui avait créé sur scène deux célèbres Musicals de Irving Berlin : Annie get your Gun et Call me Madam. Dan Dailey était également un acteur complet, chanteur et danseur, très apprécié aux Etats-Unis bien qu’il ne fût pas véritablement considéré comme une star. Il figura dans de nombreuses comédies musicales dans les années 40 et 50. Ces deux comédiens, jouant le couple Donahue, manquent néanmoins quelque peu de charisme. Lisses et gentillets, ils ajoutent un peu trop de mièvrerie à un scénario qui en regorge déjà beaucoup. Ethel Merman et son côté "bobonne", flanquée de la sympathique mais trop sage Mitzi Gaynor, nous font amèrement regretter les personnages forts et charismatiques qui peuplent les films de Donen ou Minnelli. Heureusement, le jovial et sautillant Donald O’Connor apporte sa fraîcheur et son énergie communicative à un film qui en manque définitivement.

Mais ne restent-il pas des raisons de se réjouir à la vision de La Joyeuse Parade ? En dehors des performances de Donald O’Connor et de quelques tableaux enchanteurs (dont l’émouvant tableau final reprenant la chanson titre), les quelques instants de bonheur proviennent assurément de la présence de Marilyn Monroe. Une Marilyn qui fit des pieds et des mains pour ne pas figurer dans le film. Darryl Zanuck, qui avait acquiescé à son désir de renoncer au projet Pink Tights, l’obligea à accepter ce second rôle qu’elle renâclait tant à jouer. Le fameux contrat de sept ans qu’elle avait signé avec la Fox, et qu’elle allait bientôt casser, ne lui laissait pas d’autre alternative. Alors qu’au même moment, le grand réalisateur Henry Hathaway terminait l’adaptation du roman "Of human bondage" de Somerset Maugham, et espérait y faire jouer Marilyn Monroe et James Dean, on n’ose pas imaginer ce que nous avons perdu au change… Mais Zanuck fit la sourde oreille.

Dans la Joyeuse Parade, Marilyn Monroe interprète trois chansons : "After you get what you want", "Heat Wave" et "Lazy". Dans le premier acte, sa présence lumineuse et sa voix langoureuse avec ses vibratos donnent enfin un peu de chaleur au film. Et cela même si Walter Lang ne sait absolument pas la filmer, en la desservant avec ses plans larges, alors que Marilyn est bien meilleure chanteuse que danseuse. Nos vœux sont quand même exaucés avec le tableau "Heat Wave" qui porte bien son nom. La sensualité affriolante de Marilyn y fait merveille. Ses déhanchements lascifs et son jeu de scène suggestif affolent les rétines. Cette séquence, plus gestuelle que dansante, parvient heureusement à la mettre en valeur. Bizarrement, on a enfin le droit à un gros plan, ce qui prouve que même un réalisateur médiocre peut se sentir pousser des ailes devant un tel phénomène. La chanson "Lazy" est également propice à un joli numéro dans lequel Marilyn, accompagnée de Mitzi Gaynor et Donald O’Connor, impose à nouveau sa sensualité et son tempérament.

Malheureusement, c’est lors du tournage de ce film que la santé de Marilyn Monroe commença à chanceler. Les effets secondaires de sa consommation répétée de somnifères commençaient à se faire sentir. C’est également sur ce plateau qu’elle fit la connaissance de Susan Strasberg qui allait bientôt jouer un rôle important dans sa vie personnelle et professionnelle. Quant à La Joyeuse Parade, on laissera le dernier mot à Marilyn : " un rôle idiot dans un film idiot.. ". Rideau !


DVD
dvd_la_joyeuse_parade_fpe_diamond_collection 
DVD Diamond Collection 20th Century Fox 2002
 DVD - Région 2
20th Century Fox
Parution: 4 / 9 / 2002 

Technique
Durée : 112 min
Support : 1 DVD9
Région : 2
Norme : PAL
Format cinéma : 2.55 : 1
Format vidéo : 16/9
Langues : anglais en 3.1 et italien en mono 2.0
Sous-titres : anglais, français, italien, hollandais, grec 

Image : Encore une fois, le coffret "The Diamond Collection" des films de Marilyn se distingue par sa qualité technique. La copie proposée a été magnifiquement restaurée. Les images sont quasiment nettoyées de toute impureté. Les couleurs sont belles et pimpantes. On remarquera néanmoins, pour faire le difficile, un léger voile granuleux sur tout le film dû à la compression. Mais cela n’entache en rien la vision d’un tel spectacle coloré. A noter que l’on a droit au format dit "Cinémascope 53" avec un rapport impressionnant de 2.55.

Son
: L’éditeur offre une piste originale mixée en 3.1. Cette bande son apporte donc une spatialisation bienvenue à l’avant et un canal dédié au caisson de basse (qu’on qualifiera de symbolique). La stéréo avant est appréciable, même si l’ensemble manque de dynamique. Cependant, les voix restent claires. Malheureusement, à plusieurs reprises, quelques voix sont illogiquement déportées sur les voies latérales, provoquant des effets déplaisants. Le DVD ne propose pas de piste française. Une version italienne en mono est présente, mais elle est caractérisée par un souffle important et un doublage… particulier. On ne saurait trop recommander la version originale.

dvdbo_joyeuseparadeTrois bandes annonces : une première bande annonce originale (4’15’’) en cinémascope non sous-titrée, un peu usée ; une seconde bande annonce originale (2’41’’) plus propre mais aux couleurs passées ; une bande annonce portugaise (2’41’’), qui est la traduction de la précédente (le film s’appelle O Mundo da Fantasia.
La restauration du film (1’59’’), une comparaison avant et après, introduite par trois pages d’explications en anglais (non sous-titré) sur le processus de restauration.
Une affiche originale du film en couleur.
Le chapitrage fixe et muet.

8 février 2012

One Silver Dollar

Vidéo et Paroles
de la chanson One Silver Dollar
interprétée par
Marilyn Monroe
 
en 1953 pour le film  La rivière sans retour

One silver dollar
Bright silver dollar
Changing hands, Changing hands

And lustily rollin'
Wasted or stolen
Changing hands, Changing hands

Spent for a beer he's drinking
Won by a gambler's lost
Pierced by an outlaw's bullet
And found in the blood red dust

One silver dollar, worn silver dollar
Changing hands, Changing hands

Love is a shining dollar
Bright as a church bell's chime
Gambled and spent, and wasted
And lost in a dust of time

One silver dollar, worn silver dollar
Changing hearts, Changing lives
Changing hands


 Traduction

 Un Dollar en argent

Un dollar en argent, Beau dollar d'argent
Changeant de mains, changeant de mains

Et roulant avec convoitise,
Gâspillé ou volé,
Changeant de mains, changeant de mains

Dépensé pour une bière qu'il boit,
Gagné par la perte d'un joueur,
Percé par la balle d'un bandit
Et perdu dans la poussière rouge sang

Un dollar en argent, vieux dollar d'argent
Changeant de mains, changeant de mains

L'amour est un dollar étincelant
Brillant comme le carillon de la cloche de l'église
Parié et dépendé, et gaspillé
Et perdu dans la poussière du temps

Un dollar en argent, vieux dollar en argent
Changeant de coeur, changeant de vie,
Changeant de mains


Fiche Chanson avec paroles et traduction

song-ronr-one_silver 
> source fiche: blog sugarkane 


>> Bonus Infos

  • C'est une chanson guitare - voix: Marilyn avait d'ailleurs tenu à apprendre la guitare pour jouer les deux chansons du film (One Silver Dollar et Down in the Meadow).
  • Le groupe Vaya Con Dios en fait une reprise en 1988 et en 2011, le groupe de garage rock The Kills (composé de la chanteuse américaine Alison Mosshart et du  guitariste anglais Jamie Hince) ont fait une reprise de cette chanson:

  

1 mai 2011

Bye Bye Baby

Vidéo et Paroles
de la chanson
Bye Bye Baby interprétée
alternativement par
Marilyn Monroe et Jane Russell
 
en 1952 pour le film  Gentlemen Prefer Blonds

>> Video Version du film > Jane et Marilyn et les choeurs >

>> Video version CD > Marilyn seule et les choeurs

 I'll be in my room alone
Every post meridian
And I'll read my diary
And that book by Mister Gideon

Bye, bye, baby
Remember you're my baby
When they give you the eye,
And just to show that I care
I will write and declare
That I'm on the loose
But I'm still on the square

I've been lonely
But even though I'm lonely
There'll be no other guy
Though I'll be gone for a while
I know that I'll be smiling
With my baby by and by
With my baby by and by

I'll be gloomy
But send that rainbow to me
Then my shadows will fly
Though you'll be gone fo a while
I know that I'll be smiling
with my baby by and by


 Traduction

Au revoir, Baby

Je serais seule dans ma chambre
Chaque après-midi
Et je lirai mon journal intime
Et ce livre par monsieur Gideon

Au revoir, baby
Souviens-toi que tu es mon baby
Quand elles te feront de l'oeil
Et juste pour montrer que je le pense
J'écrirais et proclamerais
Que j'ai beau être loin de toi
Je t'appartiens toujours

J'ai été seule
Mais même si je suis seule
Il n'y aura pas d'autre garçon
Même si je m'en vais pour un moment
Je sais que je sourirais
Bientôt avec mon baby
Bientôt avec mon baby

Je serais d'humeur morose
Mais envoie-moi cet arc-en-ciel
Et les ombres s'envoleront
Même si tu t'en vas pour un moment
Je sais que je sourirais
Bientôt avec mon baby


 Fiche Chanson avec paroles et traduction

song-gpb-bye_bye 
> source fiche: blog sugarkane


>> Bonus Infos

  • Chanson écrite par Jule Styne et Leo Robin.

  • Marilyn interprétera cette chanson dans le sketch du Jack Benny Show en septembre 1953.

  • Une version, avec les choeurs qui chantent le refrain, est utilisée dans les publicités pour l'eau Evian (avec les personnes âgées et les bébés nageurs).
10 mai 2012

After you get what you want, you don't want it

Vidéo et Paroles de la chanson
After you get what you want, you don't want it

interprétée par Marilyn Monroe

dans le film La Joyeuse Parade en 1954  
 

After you get what you want,
You don't want it
If I gave you the moon,
You'd grow tired of it soon.

You're like a baby
You want what you want when you want it
But after you are presented
With what you want, you're discontented
You're always wishing and wanting for something.

When you get what you want
You don't want what you get
And though I sit upon your knee
You'll grow tired of me
'Cause after you get what you want
You don't want what you wanted at all.

Changeable,
You've got a changeable nature.
Always, always changing your mind.
There's a longing in your eye hard to satisfy
And here's the reason why ...

'Cause after you get what you want,
You don't want it
If I gave you the moon,
You'd grow tired of it soon.

You're like a baby,
You want what you want when you want it
But after you are presented
with what you want, you're discontented
You're always wishing and wanting for something.

When you get what you want
You don't want what you get.
And though I sit upon your knee
You'll grow tired of me
'Cause after you get what you want
what you wanted at all
Baby, I don't mean to make you blue
but you need a talking to

'Cause after you get what you want
you don't want what you wanted at all
I know you


Traduction

 Une fois que tu as obtenu ce que tu voulais,
tu n'en veux plus

Une fois que tu as obtenu ce que tu voulais,
tu n'en veux plus.
Si je t'offrais la lune,
tu t'en lasserais vite.

Tu es comme un bébé,
Tu veux ce que tu veux quand tu en as envie.
Mais une fois que tu es en face de ce que tu veux,
tu es mécontent.
Tu souhaites et attends toujours quelque chose.

Quand tu as ce que tu veux,
tu ne veux pas ce que tu as.
Et même si je m'asseois sur tes genoux,
tu te lasseras de moi.
Car une fois que tu as obtenu ce que tu voulais,
tu n'en veux plus du tout.

  Lunatique, tu es d'humeur lunatique.
Toujours, toujours en train de changer d'avis.
Il y a un désir dans tes yeux, difficile à satisfaire,
et en voilà la raison...

Car une fois que tu as obtenu ce que tu voulais,
tu n'en veux plus.
Si je t'offrais la lune,
tu t'en lasserais vite.

Tu es comme un bébé,
Tu veux ce que tu veux quand tu en as envie.
Mais une fois que tu es en face de ce que tu veux,
tu es mécontent.
Tu souhaites et attends toujours quelque chose.

 Quand tu as ce que tu veux,
tu ne veux pas ce que tu as.
Et même si je m'asseois sur tes genoux,
tu te lasseras de moi.
Car une fois que tu as obtenu ce que tu voulais,
tu n'en veux plus du tout.
Bébé je ne veux pas te rendre triste,
mais il faut qu'on s'explique,

Car une fois que tu as obtenu ce que tu voulais,
tu n'en veux plus du tout.

Je te connais.


Fiche Chanson avec paroles et traduction

song-tnb-after 
> source fiche: blog sugarkane


 >> Bonus Infos

  • La chanson a été écrite par Irving Berlin et enregistrée en 1920 par le duo masculin Van and Schenck.
  • Une version modernisée a ensuite été interprétée par Nat King Cole en 1946, la même que celle chantée par Marilyn dans le film. Un jour, Irving Berlin s'est rendu au studio d'enregistrements pour écouter les arrangements de ses chansons pour le film There's no Business like show business, il avait du mal à croire que ce soit Marilyn qui chante; Darryl Zanuck avait eu la même réaction pour "Diamonds are a girl's best friend". Irving Berlin fut ainsi très impressionné par la voix de Marilyn, qui s'était beaucoup améliorée depuis qu'elle répétait avec son professeur de chant Hal Schaefer, qui lui avait appris à placer sa voix, à articuler et à styliser son chant, qui sont des critères que l'on relève aisèment à l'écoute de cette chanson.
11 mai 2011

Two Little Girls From Little Rock

Vidéo et Paroles
de la chanson
Two Little Girls From Little Rock
interprétée en duo par
Marilyn Monroe et Jane Russell
 
en 1952 pour le film  Gentlemen Prefer Blonds

>> Video Version du film

>> Video version CD

We're just two little girls from Little Rock
We lived on the wrong side of the tracks
But the gentleman friends who used to call
They never did seem to mind at all
They came to the wrong side of the tracks !

Then someone broke my heart in Little Rock
So I up and left the pieces there
Like a little lost lamb I roamed about
I came to New York and I found out
That men are the same way everywhere !

I was young and determined
To be wined and dined and ermined
And I worked at it all around the clock !
Now one of these days in my fancy clothes
I'm gonna go back and punch the nose of
the one who broke my heart
the one who broke my heart
the one who broke my heart
In Little Rock ! Little Rock ! Little Rock ! Little Rock !

I'm just a little girl from Little Rock
A horse used to be my closest pal
Though I never did learn to read or write
I learned about love in the pale moonlight
And now I'm an educated gal !

I learned an awful lot in Little Rock
And here's some advice I'd like to share
Find a gentleman who's shy or bold
or short or tall, or young or old ..
As long as the guy's a millionaire !

For a kid from a wrong street
I did very well on Wall Street
Though I never owned a share of stock !
And now that I'm known in the biggest banks
I'm going back home and give my thanks
To the one who broke my heart
The one who broke my heart
The one who broke my heart
In Little Rock !


 Traduction

Deux jeunes filles de Little Rock

Nous ne sommes que deux jeunes filles de Little Rock
Nous vivons du mauvais côté de la voie ferrée
Mais les amis qui passaient nous voir parfois
N'ont jamais eu l'air de s'en plaindre
Ils venaient du mauvais côté de la voie ferrée !

Puis quelqu'un m'a brisé le cœur à Little Rock
Alors je suis partie en y laissant des morceaux
Comme un petit agneau perdu j'ai erré
Je suis arrivée à New York et j'ai découvert
Que les hommes sont les mêmes partout !

J'étais jeune et déterminée
A boire, manger et vivre dans le luxe
Et j'ai essayé tout le temps
Maintenant, un de ces jours, dans mon costumes de scène
Je vais rentrer chez moi et casser le nez
De celui qui m'a brisé le cœur à Little Rock ! Little Rock !

Je ne suis qu'une jeune fille de Little Rock
Mon meilleur ami était un cheval
Même si je n'ai jamais appris à lire ou à écrire
J'ai appris l'amour au clair de lune
Et maintenant je suis une fille éduquée !

J'ai beaucoup appris à Little Rock
Et voici un conseil que je veux partager
Trouver un homme timide ou audacieux
Ou petit ou grand, ou jeune ou vieux
Tant que c'est un millionnaire !

Pour une enfant née dans la mauvaise rue
Je me suis bien débrouillée à Wall Street
Même sans avoir jamais possédé d'actions !
Et maintenant que je suis connue dans les plus grosses banques
Je vais rentrer chez moi et remercier
Celui qui m'a brisé le cœur, celui qui m'a brisé le cœur
Celui qui m'a brisé le cœur à Little Rock ! Little Rock !


Fiche Chanson avec paroles et traduction

song-gpb-two_little_girls 
> source fiche: blog sugarkane 


>> Bonus Infos

  • Chanson écrite par Jule Styne et Leo Robin
20 janvier 2011

08/1949 - Pin-Up Marilyn - Série Téléphone par Earl Moran

Portraits de Marilyn Monroe en pin-Up - vers août 1949
Photographies d'Earl Moran

Marilyn Monroe portraits as a pin-up - circa august 1949
Photographs by Earl Moran


Série "Téléphone"
Sitting "Phone"


1949-by_earl_moran-phone_towell-1-1  1949-by_earl_moran-phone_towell-1-1b 

1949-by_earl_moran-phone_towell-2-1 
1949-by_earl_moran-phone_towell-2-2 1949-by_earl_moran-phone_towell-2-3 1949-by_earl_moran-phone_towell-2-4 


- photo de presse -
Série de clichés restés inédits jusqu'à la publication
dans le magazine "Playboy" de 1986

1949-by_earl_moran-phone_towell-2-4a 


© All images are copyright and protected by their respective owners, assignees or others.
copyright text by GinieLand.

22 janvier 2011

1948 - Pin-Up Marilyn - Série Nuisette par Earl Moran

Portraits de Marilyn Monroe en pin-Up - vers 1948
Photographies d'Earl Moran

Marilyn Monroe portraits as a pin-up - circa 1948
Photographs by Earl Moran


Série "Nuisette Noire"
Sitting "Black Nightie"


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- Illustration de Earl Moran -

1948-by_earl_moran-nightie_black-paint-1a 


© All images are copyright and protected by their respective owners, assignees or others.
copyright text by GinieLand.

24 janvier 2011

1948 - Pin-Up Marilyn - Série En Culotte par Earl Moran

Portraits de Marilyn Monroe en pin-up - vers 1948
Photographies d'Earl Moran

Marilyn Monroe portraits as a pin-up - circa 1948
Photographs by Earl Moran


Série "Culotte Rayée"
Sitting "Striped Knickers"


1948-by_earl_moran-knickers_striped-1-1 1948-by_earl_moran-knickers_striped-1-1a 1948-by_earl_moran-knickers_striped-2-1 


- Illustration de Earl Moran -

1948-by_earl_moran-knickers_striped-paint-1-1 


Série "Culotte Blanche"
Sitting "White Knickers"


  1948-by_earl_moran-knickers_white-4-1 1948-by_earl_moran-knickers_white-5-1 1948-by_earl_moran-knickers_white-4-2 
1948-by_earl_moran-knickers_white-6-1  1948-by_earl_moran-knickers_white-6-2 
1948-by_earl_moran-knickers_white-7-1 1948-by_earl_moran-knickers_white-1-1 1948-by_earl_moran-knickers_white-1-2 
1948-by_earl_moran-knickers_white-2-1  1948-by_earl_moran-knickers_white-3-1 


- Illustration de Earl Moran -

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26 janvier 2011

1947 - Pin-Up Marilyn - Série Fauteuil par Earl Moran

Portraits de Marilyn Monroe en pin-up - vers 1947
Photographies d'Earl Moran

Marilyn Monroe portraits as a pin-up - circa 1947
Photographs by Earl Moran


Série "Sofa - en soutien-gorge, culotte"
Sitting "Sofa - in bra and panties"


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Série "Sofa - Serviette"
Sitting "Sofa - Towel"


1947-by_earl_moran-sofa-towel-1-1 1947-by_earl_moran-sofa-towel-1-2 1947-by_earl_moran-sofa-towel-1-3 

1947-by_earl_moran-sofa-towel-2-1 1947-by_earl_moran-sofa-towel-2-1a 1947-by_earl_moran-sofa-towel-2-2  


- Illustration de Earl Moran -

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26 janvier 2011

1947 - Pin-Up Marilyn - Série Chemise de Nuit par Earl Moran

Portraits de Marilyn Monroe en pin-up - vers 1947
Photographies d'Earl Moran

Marilyn Monroe portraits as a pin-up - circa 1947
Photographs by Earl Moran


Série "En Chemise de Nuit"
Sitting "Night Dress"


1947-by_earl_moran-night_dress-1-1 
1947-by_earl_moran-night_dress-2-1  


- Pose de Marilyn inspirée par une ancienne illustration de Earl Moran -

calendrier "Walsh Refractories Corp." , janvier 1943

1947-by_earl_moran-night_dress-2-paint-1-adv-1943-before_mm 


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27 janvier 2011

1947 - Pin-Up Marilyn - Série Mirroir par Earl Moran

Portraits de Marilyn Monroe en pin-up - vers 1947
Photographies d'Earl Moran

Marilyn Monroe portraits as a pin-up - circa 1947
Photographs by Earl Moran


Série "Miroir"
Sitting "Mirror"


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1947-by_earl_moran-mirror-2-2 


- Illustration de Earl Moran inspirée par les photographies -

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31 octobre 2010

art - Marilyn par Jose Pepe Gonzalez

Jose Pepe Gonzalez (1939 - 2009)
illustrateur et dessinateur espagnol de bande dessinées
Spanish illustrator and cartoonist


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- theme "Niagara" -

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theme "Some Like It Hot" -

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- theme "Bert Stern" -

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- theme "Philippe Halsman" -

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- Magazines -

 Cimoc n°03- Italie
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 Cimoc n°06 - Italie
1983-cimoc-1  1983-cimoc-2  1983-cimoc-3 

Cimoc n°07 - Italie
1981-cimoc-1  1981-cimoc-2  1981-cimoc-3 
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1984 - Italie
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 art-gonzalez-01  Jose Pepe Gonzalez (1939-2009) était dessinateur espagnol pour bande dessinée, surtout connu pour la BD "Vampirella" dans laquelle les héroïnes sont des filles aux longs cheveux noirs très sexy! Outre Marilyn qu'il dessina bon nombre de fois, il croqua aussi à merveille Greta Garbo. Il a publié un livre "Portfolio Marilyn" regroupant ses illustrations de Marilyn.

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Jose Pepe Gonzalez (1939-2009) was a Spanish cartoonist, best known for the "Vampirella" comic strip in which the heroines are girls with very sexy long black hair! Besides Marilyn, whom he drew many times, he also sketched Greta Garbo wonderfully. He published a book "Portfolio Marilyn" regrouping his illustrations of Marilyn.


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27 avril 2013

TV - Cycle Billy Wilder sur TCM

    gif_tvmarilynDimanche 28 avril 2013
TCM

Journée Spéciale Billy Wilder

* * * * * * * * * * 

Film - Le gouffre aux chimères  - à 8h10
Année: 1951
Distribution
: Kirk Douglas, Frances Dominguez, Harry Harvey, Edith Evanson, Robert Arthur, Jean Sterling, Jan Sterling, Porter Hall, Frank Cady, Richard Benedict, Ray Teal, Lewis Martin, John Berkes
Résumé: Journaliste sans scrupules, Charles Tatum a connu quelques déboires à New York. Sans travail, alcoolique, il trouve enfin une occasion de renouer avec le métier. Il est embauché au Sun Bulletin d'Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Parti avec Herbie Cook, un jeune photographe, pour faire un reportage sur la chasse aux serpents à sonnette, il s'arrête en cours de route à Escudero, où un homme vient d'être enseveli par un éboulement dans une grotte. Aveuglé par sa soif de réussite, Tatum met tout en oeuvre pour faire de ce dramatique incident un spectacle à rebondissements. Rien ne l'arrête. Ayant obtenu l'exclusivité du reportage, il devient le maître des opérations, poussant son avidité jusqu'à demander au shérif de ralentir les manoeuvres de sauvetage...

* * * * * * * * * *  

Film - Le poison  - à 10h00
Année: 1945
Distribution
: Ray Milland, Lewis L Russell, Jane Wyman, Phillip Terry, Howard Da Silva, Doris Dowling, Frank Faylen, Mary Young, Anita Sharp-Bolster, Lillian Fontaine
Résumé: Ecrivain raté, Don Birnam a lentement sombré dans l'alcool. A peine sorti d'une cure de désintoxication, il se met frénéiquement en quête d'une bouteille et ne se calme pas avant d'en avoir trouvé une, dans l'appartement de son frère, Wick. Helen St James, sa fiancée, a beau l'aimer tendrement, elle ne peut lutter contre les démons qui le hantent. Don a décidé de se détruire, tout simplement. Un long week-end commence : comment Don va-t-il l'occuper ? Il n'est pas seul, il pourrait aller à l'opéra avec Helen, ou faire une virée avec Wick. Mais en a-t-il envie ? La bouteille qui pend au bout d'une corde au bord de sa fenêtre n'est-elle pas une compagnie plus tentante ?...

* * * * * * * * * * 

Documentaire - Billy Wilder: Confessions  - à 11h40
Année: 2006
Réalisateur: Volker Schlöndorff, Gisela Grischow
Résumé: Né à Vienne en 1906, devenu scénariste en Allemagne, qu'il doit fuir lorsque le nazisme y prend le pouvoir, Billy Wilder reprit la plume à Hollywood. En 1942, il passe à la réalisation, avec «Uniformes et jupons courts». Il signera son dernier film en 1981 et mourra en 2002, entouré de ses toiles de maître. En 1988, il avait donné une longue interview au cinéaste Volker Schlöndorff, en lui demandant de ne la diffuser qu'après sa mort. Il y parle librement de sa vie et de sa carrière, de l'art et la manière de faire un film, à la façon d'un joueur d'échecs, ainsi que des acteurs et des actrices qu'il a cotoyés.

* * * * * * * * * * 

Film - Stalag 17  - à 12h55
Année: 1953
Distribution: William Holden, Otto Preminger, Don Taylor, Michael Moore, Peter Baldwin, Harvey Lembeck, Peter Graves, Sig Ruman
Résumé: Dans le Stalag 17, un camp de prisonniers près du Danube, plus de 600 pilotes américains sont incarcérés. Toutefois, l'ambiance est bonne. Les plaisanteries contre les officiers allemands vont bon train, les jeux et paris ne manquent pas. Mais un jour, la tentative d'évasion de Manfredi et de Johnson échoue lamentablement. La trahison ne fait aucun doute. Les Allemands devaient forcément avoir eu connaissance de l'existence du tunnel par lequel les malheureux comptaient prendre la poudre d'escampette. Soudain, l'ambiance se dégrade, plus personne ne fait confiance à qui que ce soit et chacun cherche le traître. Les soupçons se portent sur un sergent au caractère cynique, JJ Sefton. A tort ou à raison ?...

* * * * * * * * * * 

Film - Spéciale Première  - à 14h55
Année: 1974
Distribution: Jack Lemmon, Walter Matthau, Susan Sarandon, Vincent Gardenia, David Wayne, Allen Garfield, Austin Pendleton, Charles Durning, Paul Benedict
Résumé: Chicago, en 1929. Grand reporter à l'«Examiner», Hildy Johnson a décidé d'abandonner sa carrière de journaliste et de se marier avec la belle Peggy Grant. Walter Burns, le rédacteur en chef, est furieux. Il comptait fermement sur Johnson pour décrocher un scoop sur la pendaison d'Earl Williams, un dangereux agitateur accusé de meurtre. Tandis qu'il célèbre son départ avec ses collègues, réunis dans la salle de presse de la prison où tous les journalistes sont à pied d'oeuvre, Hildy apprend l'évasion de Williams. Celui-ci a profité de la reconstitution du crime pour s'échapper. Tous les reporters se précipitent pour récolter les premiers témoignages. Alors que la confusion est à son comble, un certain Plunkett remet au shérif et au maire un sursis accordé par le gouverneur au condamné...

 * * * * * * * * * * 

Film - Certains l'aiment chaud - à 16h40
Année: 1959
Distribution: Marilyn Monroe, Joan Shawlee, Nehemiah Persoff, Mike Mazurki, Tony Curtis, Jack Lemmon, George Raft, Pat O'Brien, Joe E Brown, Billy Gray, George E Stone, Dave Barry
Résumé: Chicago, 1929. Joe et Jerry, deux musiciens au chômage, sont les témoins involontaires d'un sanglant règlement de comptes. Pris en chasse par les gangsters, ils se retrouvent par hasard dans un orchestre féminin. Travestis en femmes, ils sont engagés et partent pour la Floride sous les pseudonymes respectifs de Joséphine et Daphné. Rapidement, les quiproquos s'enchaînent. Joe est très attiré par Sugar, une vamp naïve qui ne voit en lui qu'une confidente. De son côté, Jerry est courtisé par Osgood Fielding III, un milliardaire prêt à tout pour l'épouser. Joe abandonne de temps à autre ses habits féminins et se fait passer pour un nanti aux yeux de Sugar. Cependant, un congrès de gangsters se tient à Miami. Reconnus, Jerry et Joe doivent à nouveau fuir...

* * * * * * * * * * 

Film - Boulevard du Crépuscule - à 18h40
Année: 1950
Distribution: William Holden, Buster Keaton, Franklyn Farnum, Larry J Blake, Gloria Swanson, Erich von Stroheim, Erich von Stroheim, Nancy Olson, Fred Clark, Lloyd Gough, Cecil B DeMille, Hedda Hopper, Jack Webb
Résumé: Jeune scénariste sans travail et sans argent, Joe Gillis offre ses services à la Paramount, sans succès. Poursuivi par deux redoutables créanciers, il réussit à se cacher dans la villa de Norma Desmond, grande star du cinéma muet, à présent âgée, mais qui rêve toujours des feux de la rampe. Celle-ci, qui vit dans une quasi-solitude, n'a plus dans son entourage que Max, qui fut naguère son metteur en scène et son époux. Apprenant le métier de son hôte, Norma demande à Joe d'écrire le film qui marquera son retour à l'écran, «Salomé». Installé chez elle, Joe découvre peu à peu l'univers et la personnalité de Norma, qui l'effraie et le fascine tout à la fois...

* * * * * * * * * * 

Film - Sept ans de réflexion - à 20h40
Année: 1955
Distribution: Marilyn Monroe, Tom Ewell, Evelyn Keyes, Sonny Tufts, Robert Strauss, Oskar Homolka, Marguerite Chapman, Victor Moore
Résumé: Richard Sherman rentre chez lui après avoir accompagné son épouse, Helen, et son fils, Ricky, à la gare. Le mari et père de famille délaissé pour les vacances voit bien vite sa solitude troublée par sa charmante voisine, une blonde capiteuse et ingénue, qui ne mesure pas l'effet de l'oscillation de ses hanches sur l'esprit des hommes. Soudain guilleret, Richard rêve de séduire la belle, persuadé que le deuxième concerto pour piano de Rachmaninov lui sera d'une aide décisive. Mais entre ses désirs les plus fous et la plus prosaïque réalité, il y a un grand fossé, que les vapeurs d'alcool, qui sait, lui permettront peut-être de franchir...

* * * * * * * * * * 

Film - Un, deux trois - à 20h40
Année: 1961
Distribution: James Cagney, Hubert von Meyerinck, Karl Lieffen, Hubert von Meyerinck, Loïs Bolton, Peter Capell, Horst Buchholz, Pamela Tiffin, Arlene Francis, Howard St John, Hanns Lothar, Liselotte Pulver, Leon Askin, Ralf Wolter, Howard St John
Résumé: 1961 à Berlin-Ouest. CR MacNamara, directeur de la filiale allemande d'une célèbre firme de sodas, rêve de vendre la fameuse boisson dans les pays de l'Est. Sa politique expansionniste est largement soutenue par les membres de son équipe, dont monsieur Schlemmer et sa secrétaire, la pétulante Ingeborg. Ses projets sont cependant contrariés par la venue de Scarlett Hazeltine, l'excentrique fille du grand patron de la firme de soda. Effectuant un séjour en Europe, la jeune femme lui est confiée par son père. Au lieu d'assister à ses cours, elle part visiter Berlin-Est et s'éprend d'un séduisant jeune communiste, Otto, qu'elle ne tarde pas à épouser en secret. Or monsieur Hazeltine annonce sa visite à Berlin...


La comédie noire selon Billy Wilder 
article publié sur tcm  

Si l’œuvre de Billy Wilder, consacrée à la critique de la nature humaine, lui a valu une étiquette de misanthrope, chacun s’accorde avec le recul à saluer sa lucidité, tout comme son génie cinématographique auquel TCM rend hommage avec une sélection de films récemment restaurés et un documentaire-interview qui est un véritable testament. 7 films en HD native, un documentaire et une journée spéciale le 28 avril.
Tous les jeudis du mois d'avril à 20h40.

« Il y a trois cinéastes auxquels je veux rendre hommage : Billy Wilder, Billy Wilder et Billy Wilder » a déclaré Michel Hazanavicius en recevant son Oscar pour The Artist. Un bon mot qui en dit long sur la fascination exercée par l’intéressé sur ses pairs. De fait, rares sont les cinéastes qui ont atteint le degré de perfection de Billy Wilder dans l’art de raconter une histoire, tout comme peu ont égalé l’acuité de son regard sur la nature humaine. Une lucidité qui lui a forcément valu une réputation de cynique et de misanthrope alors qu’il se contentait, selon la formule célèbre de Bertrand Tavernier de décrire les hommes comme ils sont, à l’inverse d’un Frank Capra qui les montrait comme ils devraient être.

Mais comment être optimiste quand, issu d’une famille juive austro-hongroise, on a perdu la plupart des siens dans les camps de la mort ? Ex-journaliste puis feuilletoniste avant de devenir scénariste pour la UFA, Billy Wilder, de son vrai prénom Samuel, a moins de trente ans lorsqu’il quitte Berlin au début des années 30 pour fuir les persécutions antisémites du Nazisme. Et réfugié à Hollywood, il ne met pas longtemps à faire valoir ses talents de scénariste, notamment en écrivant le Ninotchka d’Ernst Lubitsch. Quelques années plus tard, Wilder passe sans difficulté derrière la caméra, obtenant même, contrairement aux usages en vigueur à l’époque dans les studios hollywoodiens, de cumuler les fonctions de réalisateur et de scénariste. Un privilège à double tranchant car la puissance de ses histoires et la brillance de ses dialogues ont tendance à éclipser la qualité de sa mise en scène, taxée d’impersonnelle par ceux qui ne comprennent pas son souci de fluidité et son mépris des artifices. « Un bon cinéaste est un cinéaste que l’on ne voit pas » aime-t-il à dire. Une discrétion qui ne l’empêche de décrocher un Oscar du meilleur film et du meilleur réalisateur avec Le Poison, l’un de ses premiers films, avec en prime une statuette du meilleur scénario et du meilleur acteur pour son interprète Ray Milland. Autant de récompenses méritées pour ce drame qui aborde sans détours le thème de l’alcoolisme.

Cinq ans plus tard, en 1950, un autre Oscar vient récompenser son génie de la narration pour le scénario d’un de ses films phare, Boulevard du Crépuscule, qui ne craint pas de dépeindre la sombre face cachée d’Hollywood. Une causticité qui monte encore en puissance lorsqu’il dénonce la nocivité de la presse à sensation dans Le Gouffre aux Chimères avec une telle radicalité que le public de l’époque en est dérouté. Dans la foulée, il parfait son image de misanthrope avec Stalag 17 dans lequel il dissèque les effets pervers des phénomènes de groupe, en l’occurrence dans un camp de prisonniers de guerre. Lorsque Billy Wilder s’essaie au registre de la comédie, on pourrait le croire radouci, mais s’il choisit l’humour, c’est pour critiquer ses semblables de manière moins frontale, comme dans Sept ans de réflexion qui raille en filigrane le machisme triomphant et l’obsession de la réussite sociale qui président dans l’Amérique des fifties. Couronné de succès, ce nouveau chef-d’œuvre l’autorise à tout se permettre, y compris à pratiquer un humour burlesque teinté de grossièreté assumée avec Certains l’aiment chaud. Encore un futur classique et encore un film avec Marilyn dont il exècre pourtant la désinvolture et qu’il décrit secrètement en ces termes : « Buste en granit et cerveau en gruyère » !

De plus en plus critiqué, voire rejeté par une bonne partie du milieu hollywoodien, Billy Wilder n’en continue pas moins d’enfoncer le clou en bousculant les conventions morales ou politique, notamment dans Un, deux, trois, comédie visionnaire dans laquelle, en 1961, il fait de la firme Coca-Cola l’emblème de l’impérialisme américain ! Quant à Spéciale Première, sans doute l’un de ses films les plus grinçants, il parvient à faire rire en brocardant des politiciens qui exploitent à des fins électorales l’exécution d’un condamné à mort ! Du grand art dont la subversion a tout pour séduire la nouvelle génération anticonformiste née dans les sixties, notamment des jeunes cinéastes comme Martin Scorsese qui l’adule, ou l’Allemand Volker Schlöndorff qui le rencontre en 1988 pour une série d’interviews filmées qui sont autant de leçons de cinéma. Des propos précieux que l’on retrouve dans Billy Wilder : Confessions, documentaire produit par TCM en 2006 pour célébrer le centenaire de la naissance du cinéaste. Même si l’on dit que la méchanceté conserve, Wilder n’a pas atteint cet âge canonique, mais il a cependant bien failli puisqu’il a vécu jusqu’à 95 ans !

21 avril 2011

Publicité Mikimoto, 1999

Année: 1999
Marque / Produit: Mikimoto / Collier de perles
Pays: USA
Marque japonaise
Photographie: Instantané de Marilyn Monroe
prise à l'aéroport le 16 septembre 1954

mikimito-1999-USA-1-1 

Year: 1999
Brand / Product: Mikimoto / Pearls necklace
Country: USA
Japanese brand
Photograph: Snapshot of Marilyn Monroe
taken at the airport on September 16, 1954

mikimito-1999-USA-2-1 


Photographie originale

mikimito-1999-USA-photo-1954-09-16--airport 

Joe DiMaggio & Marilyn Monroe
- Blog: 16/09/1954 De New York à Los Angeles


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21 novembre 2013

Les Confidences de Truman Capote sur Jackie et Marilyn

express_logo

Truman Capote's confidante reveals details about lost Jackie Kennedy/Marilyn Monroe film
18 novembre 2013
en ligne sur express.co.uk

Un des plus proches confidents de Truman Capote a révélé que l'écrivain avait filmé une réunion secrète entre Jackie Kennedy et Marilyn Monroe à son domicile de New York quelques semaines avant la mort de l'actrice en 1962.

Le célèbre voyant John Cohan dit que Capote lui a montré les images d'une confrontation tendue entre l'épouse du président John F. Kennedy et de sa maîtresse présumée, dont il a filmé à l'insu de ces deux femmes, dont il a vendu la vidéo quelques temps avant à à la télévision, au magnat Merv Griffin, au début des années 1980.

Griffin, à son tour, avait prévu de sortir le film pour le 50e anniversaire de la mort de Monroe l'an dernier (en 2012), mais il est mort en 2007 avant d'avoir pu créer l'émission spéciale de télévision qu'il avait prévu.
Maintenant, Cohan n'a aucune idée de ce qu'est devenu le film , mais il est convaincu qu'il sera diffusé dans un proche avenir .
Il dit: "Je me suis souvenu de ce film alors que je pensais à mon amitié avec Truman pour un nouveau livre, intitulé 'The Pink Triangle' ('Le triangle rose')".
"Truman avait été un ami de Jackie Kennedy, mais ils ont eu une brouille et quand elle lui a demandé d' organiser une rencontre avec Marilyn à son domicile, il a mis sur écoute la pièce et les a filmées. Il l'a fait parce qu'il ne pouvait être sournois et rusé."

Et Cohan a été stupéfait lorsque l'auteur lui a d'abord montré les images.
Il raconte: "Je me souviens que Marilyn arriva ressemblant à la star de cinéma qu'elle était, vêtue d'une magnifique robe blanche et Jackie s'est montrée dans un tailleur noir, ce qui la rendait très matronale ... Quand MM (Marilyn) a commencé les salutations, elle lui dit «Bonjour Madame Jacqueline».

"Les deux femmes sont restées ensemble un peu plus de 30 minutes et Jackie a essentiellement dit à Marilyn qu'elle savait ce qui se passait entre son mari et elle, et qu'elle voulait que cela cesse. Jackie a dit qu'elle a pardonné à MM pour la liaison avec son mari parce qu'elle connaissait trop bien que Jack pouvait jusqu'à charmer un cadavre et obtenir une réponse".

"Marilyn est devenu hystérique parce qu'elle ne voulait pas mettre fin à la liaison. De l''argent a été échangé. Jackie avait apporté une grande boîte à chapeau ronde et rose. Dedans, il y avait beaucoup d'argent. Elle a dit à MM :« Prenez-le et utilisez-le pour embellir votre nouvelle maison et investissez le reste dans des actions et d'autres bons projets pour votre avenir ». Vers la fin du film, Marilyn étaitconfuse. Ses cheveux étaient tout ébourrifés et son mascara coulait " .

Cohan admet que Capote gardait préciseument le film, et aussi longtemps qu'il s'en souvienne, il est le seul à avoir vu le film, avec son auteur Capote et Merv Griffin.
Il ajoute: "Au début, Truman l'a gardé parce qu'il voulait le rendre à Jackie et juste en possédant le film, il pensait qu'il avait réalisé ça, et au fil des ans, cela l'ennuya et il m'a dit :«Je vais le vendre
»- et il l'a fait."

"Merv Griffin garda précieusement les images et souhaitait les garder sous clé jusqu'au 50e anniversaire de la mort de Marilyn. Comme Truman, il était très protecteur à ce sujet et je ne pense pas qu'il l'ait montré à tout le monde ni même en ait parlé."
"Malheureusement, Merv, un autre grand ami à moi, est mort avant son temps et le film est maintenant perdu, mais je suis sûr que Merv a pris soin de toutes ses affaires avant sa mort et avait des plans pour ce film. Je suis sûr qu'il va voir la lumière du jour à un moment donné ".


One of TRUMAN CAPOTE's closest confidantes has revealed the writer captured footage of a secret meeting between JACKIE KENNEDY and MARILYN MONROE at his home in New York just weeks before the actress' death in 1962.

Celebrity seer John Cohan tells WENN Capote showed him the footage of the tense showdown between President John F. Kennedy's wife and his alleged mistress, which he filmed without the two women's knowledge, multiple times before he sold the home video to TV mogul Merv Griffin in the eraly 1980s.

Griffin, in turn, had planned to release the film on the 50th anniversary of Monroe's death last year (12), but died in 2007 before he could create the television special he had planned.
Now Cohan has no idea what has become of the footage, but he's convinced it will be broadcast in the near future.
He says, "I was reminded of this film while I was recalling my friendship with Truman for a new book, titled The Pink Triangle.
"Truman had been a friend to Jackie Kennedy but they had a falling out and when she asked him to arrange a meeting with Marilyn at his home, he bugged the room and filmed them. He did this because he could be devious and cunning."

And Cohan was stunned when the author first showed him the footage.
He recalls, "I remember Marilyn arrived looking like the movie star she was, dressed in a stunning white dress and Jackie showed up in this very tailored black suit, which made her look very matronly... When MM (Marilyn) first started the greetings, she said, 'Hello Madam Jacqueline'.

"The two women were together a little over 30 minutes and Jackie basically told Marilyn she knew what was going on between her husband and Marilyn, and wanted it to stop. Jackie said she forgave MM for the affair with her husband because she knew too well Jack could charm a dead body and get a response.

"Marilyn became hysterical because she didn't want to end the affair. Money was exchanged. Jackie had with her a good size pink round hat box. In it was a lot of money. She said to MM, 'Take this and use it to make your new home more beautiful and the rest invest in stocks and other good ventures for your future'. By the end of the film, Marilyn was a mess. Her hair was all messed up and her mascara was running."

Cohan admits Capote was very guarded about the film and, as far as he knows, he's the only person who has seen it other than the author and Merv Griffin.
He adds, "In the beginning, Truman kept it because he wanted to get back at Jackie and just by having this film he felt he had achieved that, but over the years he got so bored with it and told me, 'I'm going to sell it' - and he did.

"Merv Griffin treasured the footage and intended to keep it under lock and key until the 50th anniversary of Marilyn's death. Like Truman, he was very guarded about this and I don't think he showed it to anyone or talked about it.
"Unfortunately Merv, another great friend of mine, died before his time and the footage is now lost, but I'm sure Merv took care of all his affairs before his death and had plans for this film. I'm sure it will see the light of day at some point."

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